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ectatrip a écrit
Salut,
Même au bout de 3ans de conso abusive de stimulants, je remarque que je n'arrive pas à trouver mes mots à l'oral, j'ai plus de mal à comprendre certaines logiques (qui m'étaient totalement logique), ect..
Je n'ai que 20 piges.
Ça m'a révélé aussi un TDAH sévère (neurologique donc), qui était déjà présent, enfouis.
C'est sûrement à cause de tout ces pertes cognitives, troubles, humeurs que je regrette mes consommations, seulement ça.
Sans oublier les séquelles, si il y en a, dans une dizaine d'années pour moi..
Salut !
As-tu essayé de faire une pause de plusieurs mois pour voir si ça s'atténuait ?
Il faut savoir que le cerveau est d'une incroyable plasticité, donc autant si tu fais un peu d'exercice intellectuel tous les jours, tu devrais récupérer des facultés d'attention à peu près normales à terme.
C'est comme quand tu commences la lecture, au début tu décroches au bout d'une demie page, et après tu t'en enfiles 50 d'un coup.
J'ai aussi noté un petit TDAH chez moi avec la coke, car je suis largement sevré et remis de mes nombreuses sessions MD/ké/speed. Donc je me dis, pourquoi n'y arriverai-je pas à terme aussi ?
En arretant (mais du coups pas que la coke), je me suis rendu compte que il y avait des répercussions sur mes prises de décisions, beaucoup de voilage de face (inconscient), démotivation, moins réactif, controle des émotions plus compliqué, beaucoup plus d'ennui, impréssion de vie sobre plus fade.
La mémoire je m'en suis rendu compte que 1 ans plus tard presque quand j'ai des souvenirs qui me sont revenus de nul part ou presque. Mais par rapport à la mémoire à cours terme je ne serai pas dire.
Au début c'est normal je trouve, mais il faudrait que tu reprennes une hygiène de vie vraiment saine pour savoir si ces séquelles sont durables ou non... Faire du sport tous les jours pour l'oxygénation, une bonne alimentation, entraîner sa logique et son intellect, sevrage des quelques médocs qu'il te reste et j'en passe...
Je pense que tout ça peut largement favoriser la motivation, et la motivation à elle seule permet une évolution de notre état psychologique.
Dernière modification par Nick Drake (29 janvier 2021 à 15:21)
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Au début c'est normal je trouve, mais il faudrait que tu reprennes une hygiène de vie vraiment saine pour savoir si ces séquelles sont durables ou non... Faire du sport tous les jours pour l'oxygénation, une bonne alimentation, entraîner sa logique et son intellect, sevrage des quelques médocs qu'il te reste et j'en passe... Je pense que tout ça peut largement favoriser la motivation, et la motivation à elle seule permet une évolution de notre état psychologique.
On s'est pas totalement compris ^^.
C'est justement parce que j'ai un mode de vie sain aujourd'hui (même plus de tabac, sport quotidien, alimentation vraiment saine + complétement alimentaires, réinsertion dans la vie active, et dose minime de metha que je suis entrain de baissé) que je me suis rendu compte des effets qu'avaient mes consos sur moi, au moment de mes consos, pas en arrétant.
C'était juste pour répondre à ta question en disant que pendant mes consos j'avais tout les symptomes que je t'ai citée mais dont je me suis aperçu que une fois que je suis resté "à jeun" assez longtemps, et que forcément ce sont des conséquences de changement au niveau de a chimie du cerveau, mais même si tout ça c'est vachement améliorée, par rapport à ta quetion de base, je n'ai aucune idée si il persite toujours des répercussion à long terme dont je ne me rendrai pas compte, car c'est compliqué, tu n'a pas accés à ton état, d'avant les consos pour pouvoir comparé en direct.
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démotivation, moins réactif, controle des émotions plus compliqué, beaucoup plus d'ennui, impréssion de vie sobre plus fade.
N'empêche que tout ça me fait penser à des petits symptômes dépressifs.
C'est un peu comme pour l'expérience des rats avec la MD administrée pendant 4 jours à haute dose. 7 ans plus tard leur taux de sérotonine était encore largement inférieure à la normale, mais s'était aussi beaucoup amélioré.
Mais j'en reviens à mes suppositions qu'avec les expériences positives de la vie, un éventuel suivi psy et une bonne hygiène de vie, au bout de quelques années on pourrait retrouver des facultés mentales et cognitives similaires à l'avant-conso
L'idéal serait d'avoir le témoignage d'un consommateur qui a arrêté plusieurs années, pour voir si les troubles perdurent ou s'ils s'atténuent de plus en plus sans laisser de séquelles trop importantes
Dernière modification par Nick Drake (29 janvier 2021 à 23:32)
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Donc ça fait 1 an que tu as tout arrêté si je comprends bien ?
Tu penses pas que la métha peut être coupable de certains maux ?
Pour être précis, j'ai commencé les prods il y a 6 ans, et je ne suis sous métha "que" depuis 2 ans, et je ne touche plus à rien depuis 1 ans (au mois de Mars précisemment).
Ce que je reportais comme effets c'était aussi avant la métha qui est arrivé vraiment que vers la fin de ma période de consos. Parce que oui la métha à un tas d'effet secondaire mais c'est différent que ce que je décrivais.
Et justement ce que je décrivais, c'est largement améliorée à l'arrêt de toute mes consos, plus de voilage de face, donc j'ai tout pris dans la gueule, vu que tu es sobre tout le temps au bout d'un moment tu peux moins esquiver la "vérité",j'ai retrouvé de l'intérêt pour mes passions, je me suis remis au sport à fond, j'ai retrouvé l'envie que de faire gaffe à mon corps, de le respecter, de me respecter, de me construire, alors que pendant mes consos je ne voyais pas l'interêt dans un système qui ne me semblait pas être fait pour moi et c'était un cercle vicieux.
Bon tout n'est pas rose non plu maintenant, mais je pense être sur le bon chemin.
Oui je pense que il y avait une petite dépression dérrière tout ça, mais catalysé par les prods (je précise, car ce n'est surement pas le seul facteur), mais justement mon post c'était pour dire que même si sur le moment on s'en rend pas compte, tous les prods (certains plus que d'autres certes) ont des répércussions.
En soit même une descente, c'est un mini état dépréssif, et je pense que vivre cet état trop souvent à des répercussions à moyens terme.
Cet culpabilité d'avoir foutu des thunes en l'air, de pas avoir réussis a géré son craving, c'est toxic aussi.
On peut avoir tendance à se sentir différent voir "anormal", on peut se renfermé sur soi même ou dans un cercle liée aux consos (même si pour moi ça n'a pas été extreme non plus je comprend très bien par quel processus ça peut arriver).
Car avant mes consos je n'étais pas comme ça, de manière plus général je peux dire que je n'avais pas une vision aussi pessimiste du système etc, c'est avec mes consos que j'ai ouvert les yeux là dessus, sauf que au ça m'aura perdu.
J'étais naif mais moins malheureux en gros (après paradoxalement mes périodes de consos surtout au début fut une des plus belles périodes de ma vie, c'est surtout avec le temps que les choses se sont gatées).
Après bien sur le facteur le plus important dans tout ça, c'est surement que j'étais déjà un peu perdu au fond de moi, et que là drogue à amplifié ça, mais je pense que quand on a des pb de consos, on a souvent des pb à réglé que la drogues amplifie petit à petit.
On connait tous des personnes que l'on connaissait avant de consommé, qui on tendance à pas mal changé (sans jugement, en bien ou en mal peu importe), mais on voit les centre d'interet qui commence à changé un peu, les fréquentations, le style vestimentaires desfois, les idées, donc c'est bien que ça nous impacte beaucoup que l'on le veuille ou non (c'est peut être pas le cas pour tout le monde mais moi j'ai connu plusieurs personnes comme ça, desfois rien que avec du joint).
Et oui j'ai l'impression que depuis ma première fois à la MD, la vie m'a paru plus fade et j'ai encore plus cherché la défonce, donc surement une question de déréglement de serotonine, mais également le fait de connaitre un bien être si intense, qui comparativement fait paraitre la vie fade.
Et la MD doit être la drogue que j'ai le moins pris (10 voir 15 éxperience max en 6 ans).
Ma période cocaine m'a beaucoup affecté également, j'ai aussi terminé en mini dépréssion sur la fin, que même le high ne calmais pas, ça m'a fait faire des choix que je n'aurai jamais fait en temps normal, pour en avoir ou pendant.
Mais chaques prod c'était sous une forme différente, sous coke c'est la ou il y a eu le plus de voilage de face, tu n'a pas l'impréssion d'être demotivé, au contraire je restais motivé même quand je consommais pas car l'idée que je pouvais consommé me donné de la motivation pour faire des trucs même chiant.
Justement ma période ou ça allais le mieux c'était quand j'ai commencé les opiacés, ça soulage vraiment même à moyen terme du moins au début jusqu'a que ça t'accroche.
Donc je pense que minimum a moyen terme, tout les drogues ont une influence sur notre cerveau, à long terme oui je ne peux pas encore répondre, et en effet j'aimerai beaucoup que quelqu'un qui a arreter depuis longtemps vienne témoigné j'espère pouvoir le faire un jour.
Car j'ai l'impression que les gens qui arrêtent tout pendant longtemps ne viennent plus sur ce forum.
Après peut être que ces déstruction neuronales sont inévitable mais peut être que elles sont "recrée ailleurs"aussi à l'arret ? car certes on ne redeviendra plus jamais celui que on été dans le passé, mais c'est pas pour autant que on sera "moins bien" dit grossièrement, le plasticité cérébrale je crois qu'on appel ça.
Mais oui tout ça est très subjectif il y a trop de facteurs qui rentrent en compte, mais je voulais faire part de mon témoignage car c'est vraiment avec du recul que je me suis aperçu de "l'ampleur" de la chose.
Dernière modification par fafefifofu (30 janvier 2021 à 13:51)
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Dernière modification par Momo75014 (30 janvier 2021 à 20:19)
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Nick Drake a écrit
Les capacités intellectuelles dépendent aussi de notre état à l'instant t, et si l'on consomme régulièrement, on est sûrement plus à même de ressentir des troubles passagers. Je pense qu'il peut néanmoins être intéressant de poser la question :
Qu'en est-il réellement au bout de dizaines d'années de consommation ? Avez-vous constaté des changements flagrants, voire même invalidants ?
Nick
Salut,
Pour répondre à tes questions, mon témoignage va être un peu faussé car je suis polytoxicomane puisque pendant mes périodes "coke" j'ai consommais aussi de la MD et des amphétamines (merci les coupe faim de l'époque !)
Mais bon si mon expérience peut être utile à quelqu'un, je vais raconter un peu ma life.
Périodes et type de drogues consommées :
1981 : je commence à prendre quelques drogues, essentiellement du cannabis mais rien de méchant.
1999/2001 : mes consommations deviennent beaucoup plus régulières, rapprochées et intensives, essentiellement des amphétamines, ecstasy et un petit peu de coke mais rien de fou.
2003/2008 : La coke est bien présente, jusqu'à 1gr/jours et beaucoup plus les week-end et vacances. Quand aux ecstasy c'était quasiment tous les week-end, à ne pas faire, pas du tout Rdr mais à cette époque et vivant à la campagne j'en entendais pas trop parler ou ne voulais pas l'entendre.
Cependant, j'étais parfois écœurée et je pouvais très bien m'arrêter pendant 6 à 8 mois puis rebelotte jusqu'en 2008.
A partir de cette date je me suis mise en plus à la came, essentiellement pour mieux appréhender les descentes, mais ça n'a durer que quelques mois.
En 2009 : Cure en clinique spécialisée, je ressort avec un TSO et sevrée des stims
Les maladies que mes consommations ont pu engendrer :
2010 : Une chose très étrange se produit, je me suis mise à faire des crises d'épilepsie, pour ceux qui connaissent ce sont des crises tonico-cloniques (ou le "grand mal") qui pouvaient avoir lieu plusieurs fois par semaines.
Je ne comprenais pas pourquoi car je n'avais jamais fais de crises pendant ma grande période abusive.
J'ai donc consulté des neurologues pour déjà trouver un traitement en urgence et aussi pour comprendre cet état de fait.
Pour ces 2 spécialistes il n'y avait aucun doute, il était évident que mon épilepsie était la conséquence de mes consommations de drogues.
Par contre mon médecin généraliste et mon addictologue étaient moins formels, sans pour autant éliminer l'affirmation des neuro, mais bon...
Du coup qui croire ?
Pour ce qui est des conséquences sur la mémoire, il y a des périodes de ma vie dont je me souviens parfaitement jusque dans les moindres détails. Je peux me rappeler des moments de mon enfance (même les odeurs) et étrangement certaines teufs ^^
Par contre j'ai complétement oublié des années entières, même récentes.
Est-ce que c'est du à mes prises de drogues ou à l'âge (j'ai plus de 50 ans) ?, je n'en sais rien.
Mais bon, je me voile certainement la face et préfère me dire que tous ces produits n'ont pas eu de conséquences sur mon état de santé actuel car je continue de consommer mais à un rythme nettement plus ralenti et en respectant au maximum la Rdr (merci psychoactif !), c'est à dire environ 3/4 fois par an et seulement sur 1 ou 2 jours et je suis de nouveau sous buprénorphine car j'ai craqué juste après le 1er confinement.
Et puis aussi, comme l'a évoqué un forumeur plus haut, j'ai fais une grosse dépression juste après mon sevrage, je n'arrivais plus à être heureuse.
J'avais vécu tellement intensément les meilleures années de ma vie sous l'influence des drogues que ne connaissais pratiquement que ça pour être bien dans ma peau.
Et cette fois-ci la descente fût mortelle ou du moins aurait pu l'être si vous voyez ce que je veux dire.
Désolée si j'ai fais un peu de HS mais peut être que d'autres personnes sont dans mon cas, c'était l'occasion d'en parler.
Bilan : A part les pertes de mémoire et l'épilepsie je dirais que ce sont les seuls problèmes, et c'est déjà pas mal, qui sont peut être, voir certainement liés à mes prises de drogues.
Ceci dit, je n'arrive pas à regretter cette vie, seulement des comportements que j'aurais pu éviter.
Prenez soin de vous.
Lolla
Dernière modification par Lolla (31 janvier 2021 à 17:37)
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Momo75014 a écrit
et n'écoute pas les ignorants et les pretencieux qui n'ont pas ENCORE subit les effets néfastes
Les ignorants mais qui donc ? Il y en a beaucoup des consommateurs ...
As tu des sources source sur ce que tu avances ? A par des " les médecins le disent "
Et faut pas généraliser non plus car "la drogue " ne veux rien dire , il y en a énormément , dont certaines qui ne sont pas où presque pas nocives ...
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Dernière modification par trolalol (31 janvier 2021 à 18:38)
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Momo75014 a écrit
Tu veux vraiment des source qui affirme que ces drogue sont mauvaises pour la santé ?
Tu te moques de moi ou quoi ?
Du calme l'ami , non je me moque pas , je suis sérieux . Certe tu parle de ce que consomme une personne , mais ne généralise , les raccourcis trop rapide ici "la drogue " peuvent porter à confusion , induire en erreur
Take Care
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Dernière modification par Morning Glory (01 février 2021 à 01:58)
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Dernière modification par Antonella77 (01 février 2021 à 01:02)
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La construction de cet argument est déterminé socialement par la position du locuteur et les catégories de perception associées à la position du récepteur. Le locuteur peut ainsi exercer un effet d'imposition, argument d'autorité utilisé de manière hyperbolique, propre à décourager toute critique2.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Argument_ … orit%C3%A9
Les articles scientifiques c'est sourcé, bien expliqué, empirique... Les médecins sont sujets à leurs propres croyances et surtout aux valeurs de la société, et toutes les conneries que tout le monde répète parce que "tout le monde le dit donc c'est vrai". Bref, ils sont humains. Là où les études sont standardisées et donc les plus neutres possibles, sauf conflit d'intéret.
Mais de toute façon oui, les études scientifiques vont dans le sens de la toxicité avérée.
Cela dit la MDMA à doses nomales (lol, cad pas 200mg^^), ensuivant les règles de rdr notamment contre l'hyperthermie, et de façon suffisamment espacée ne serait pas vraiment neurotoxique. Par contre en cas d'abus ou de mésusage là oui carrément... et pour certaines personnes c'est vite arrivé.
Dernière modification par Morning Glory (01 février 2021 à 01:20)
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Morning Glory a écrit
Yo,
Une étude très exhaustive sur le sujet (en anglais):
https://archives.drugabuse.gov/sites/de … h163_0.pdf
Une autre moins dense à moins d'en avoir les clés, mais le résumé peut parler de lui-même:
https://link.springer.com/referencework … -5836-4_81
En bref: oui la cocaïne est neurotoxique, et peut exposer à des maladies neurodégénératives (incurables).
En bonus,
Combo avec la MDMA:
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23681166/
(Augmente le stress oxydatif, mais apparemment pas la neurotoxicité directe (ce qui ne veut pas dire que c'est un combo safe, en plus du stress oxydatif je pense au coeur notamment.))
Combo avec la diacetylmorphine (speedball):
https://www.sciencedirect.com/science/a … 3X10002647
(Neurotoxicité +++: dégats nécrotiques par suffocation (la mitochondrie, "poumon" de la cellule, dysfonctionne), apopothose cellulaire via hypercalcémie intracellulaire (excitotoxicité). Dégats majorés au niveau du cortex frontal (prise de décisions, fonctions cognitives => baisse d'autant plus la capacité de contrôle des impulsions => d'autant plus addictif, sans même parler du circuit de la récompense) Bref: c'est vraiment pas beau x_x)
Bonne soirée et prenez soin de vous
Morning
Hello,
Super intéressant vraiment ! D'ailleurs ils disent que certains des troubles peuvent s'estomper voire probablement disparaitre. Plutôt encourageant.
Par contre ils notent une atrophie cérébrale sur la moitié des consommateurs de longue date contrôlés...
Dernière modification par Nick Drake (01 février 2021 à 01:29)
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Dernière modification par Antonella77 (01 février 2021 à 01:42)
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Je comprend ton point de vue mais au final pense tu que le fait detre polyconsomateur peu entrainer des Perte des facultés cognitives à long terme ?
En un mot, comme je le sous-entendais plus haut: oui.
En tout cas en cas d'abus. (et ça dépend aussi des substances, certaines sont plus virulentes que d'autres, idem pour les combos)
Courage pour ta rupture, c'est l'écatombe en ce moment... Je viens d'en vivre une aussi (et pas des moindres), c'est très violent les deuils...
Dernière modification par Morning Glory (01 février 2021 à 02:01)
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Morning Glory a écrit
Ouaip, les stimulants c'est des drogues vachement crades globalement, elles tirent beaucoup sur l'organisme.
Cela dit moi avec mon isolement social (neurotoxique^^), ma dépression (neurotoxique aussi ><), et mon usage d'autres substances régulier, genre à tout hasard les dissos... Je dois pas avoir un cerveau très beau non plus amha.
Si tu peux lever le pied de tes consos, c'est le moment...
Oh t'inquiète, je suis à peu près dans la même situation..
Mais en ce moment j'ai trouvé une faille qui à la fois me raisonne et calme mon craving. J'ai décroché des entretiens pour mes jobs de rêve, et pour moi qui avait une vision assez négative de l'avenir, ça me fait revivre. C'est vraiment un moteur pour moi, et plus puissant que la drogue même.
Lorsque j'ai une opportunité d'entretien, j'ai une montée de dopamine similaire à un gros trait, véridique.
Comme quoi rien n'est perdu, avec de la volonté. Même pour les cerveaux les plus atrophiés haha
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Dernière modification par Antonella77 (01 février 2021 à 02:06)
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Dernière modification par Nick Drake (01 février 2021 à 02:36)
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Dernière modification par Antonella77 (01 février 2021 à 02:47)
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Antonella77 a écrit
C'est le terme il ne faut pas se voiler la face sur les effets negatif de la drogue qui a fait réagir.
Je sais pas pour les autres moi ce qui m'a fait réagir c'est de prendre le raccourci " la drogue " / "les drogues" ça fais une généralité qui n'est pas bonne a faire pour le coup .
Et sinon gg Drake pour tes entretiens c'est cool d'avoir des objectifs qui se réalise
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