Mon
sevrage suboxone la fin du tunnel 15 jours de rush
Bonjours à tout le monde j’avais déjà posté avant voyage et
suboxone par dre, mais j’ai oublié mon mot de passe j’en ai redemandé un et ma compagne c’est inscrite en attendant pour que je puisse vous raconter mon histoire. Pris de rage par la cam, le sub et l’alcool en France je ne faisais rien d’autre, de plus j’avais entrepris de prendre la pompe pour plus d’effets bien sûr.
J’explique, tous commence par Rotter, 40 g de pur qui était destiné à la revente. Je tapais déjà mais le sub me bottait plus que la cam de merde de l’allier donc pour faire un bon billet avant de décoller pour la nouvelle zélande, on décide avec ma chérie de monter à Rotter. Une bmw grise arrive à mon niveau et dit bonne qualité, ils disent tout ça. Le rebeu me dit 10,20,ou 30 je décide de prendre celle à 20 euros le meug, erreur de la pur premier choute dans les vapes j’en avais 40 g j’ai chouté 1 mois donc pas de tunes ,je me suis foutu dedans ma copine a mis le reste au chiotte, marre de voir qu’à chaque fin de repas la gerbe, elle était vraiment bonne ça change. Donc retourne sous sub 6 mg je me suis senti pas bien pendant 4 jours ne jamais prendre sub plus cam.
Pas de tunes ça va que les finances ça allait à peu près , je passe au csst de moulins le 14 janvier pour mon renouvellement voir mon médecin qui me suis depuis 3 ans, je lui explique que je veux partir en nouvelle Zélande il me dit ok pas de blem me prescrit deux fois 27 et oui ils ont le droit avec l’accord des douanes il a fallu demander un
doc spéciales qui m’autoriser à quitter le territoire avec 56 jours de
suboxone, avant j’étais sous
subutex mais il n’existe pas en nouvelle Zélande, donc obliger de passer sous
suboxone que je vous conseille je shootai le sub, un peu le
suboxone mais sans effets donc prise régulière sous la langue et c’est le mieux.
Mon ordonnance en main, mon certicat médical, mon autorisation de quitter le territoire francais avec mes boites de
suboxone, 21 h le 12 février départ de lyon puis doubai,melbourne et enfin auckland au top tous se passe bien il fait chaud, au top quoi.
ET la merde je perds 15 jours même mieux de traitement, on avait contacté un centre avant de partir, décide de mis rendre et là le
sevrage vas commencer. Comme je ne suis pas encore bilingue ma chère et tendre fait la traduction en me disant que je n’aurai pas de traitement pendant une semaine et là je commence à me dire la merde le chien que je vais me taper. Ce qu’il faut savoir c’est que en nouvelle zélande pour le
suboxone il faut aller tous les jours chercher son traitement donc impossible car on a trouvé du taf juste impossible , donc j’ai pas mis longtemps à capter
sevrage. Ils m’ont laissé partir en chien en disant sorry sorry, ça fait pas tous pas le choix.
Les deux premiers jours ça va après ça rigole plus, après ça commence à être dur dur, fièvre crampe insomnies……ET LA 7,8,9,10 JOURS LES PIRES DE TOUTES MA VIE ; j’ai cru que j’allais mourir et j’ai pris de la
codéine magique(à chacun de voir mais c’est la seul façon de moins morfler et ça fait pas tous) je baisse les doses de jours en jours et ça passe nickel sérieux c une histoire de 15 jours j’ai pas battu bolt pendant 15 jours mais maintenant je me sens libre ,je fais l’amour trois fois par jours, Ont fait 10 km de marche jours hier j’ai couru pour la première fois depuis mes 20 ans j’en ai 26.Je vous conseille le sport et de passer au
suboxone je le trouve plus facile à décrocher que le
subutex expérience j’ai pris les deux et essayer le
sevrage avec les deux et le
suboxone c une histoire de 15 jours enfin pour ma part.
Mais svp, arrêtez si vous vous pouvez, ça vaut vraiment le cout, je revit, j’ai une libido enfin, je suis heureux, une chose attention aux insomnies, c pour ça le sexe et le sport c le top.IL faut des news de la famille de plus je vais être tonton donc encore plus motivé ,une chérie comme la mienne ,quand tu tapes des chien de 5h ou plus il faut une meuf qui t’aime, tout le monde est fier de moi et ca c le mieux, quand ta sœur te dit david je suis fier de toi ,ta copine qui te dis je suis fier, ta mère tu chialle 15 jours mais je vous jure c le top, la musique aide beaucoup , je voudrai remercier le csst de moulins, courage à vous il faut se battre si un jours ont remet de la cam ou du sub sous le nez je crache dessus ,vrai .
Garder le cap il faut juste se dire qu’il ya plein de belle choses, la vie c pas ca. 15 jours de hot pour ma part, après c’est de l’endurance gérable.
Merci à vous de vos messages qui sont utiles pour une décroche à la dur, je garde la forme la motive tout le monde peut le faire sérieux, et ça vaut le cout tu payes 15 jours.
Bonjour à tous,
Je suis la compagne de Dre depuis maintenant 9 mois. Je tiens à poster un message à tous ceux qui sont dans la galère d’une addiction quelconque et à tous les proches de ces personnes.
Pour commencer, un bref historique : Je rencontre mon chéri par hasard, je ne prends rien et je ne sais pas encore qu’il prend de la drogue. Très rapidement je me rends compte de la situation, avant même de sortir avec lui. Mais la magie de l’amour opère. Après une semaine, nous sortons ensemble, je me pose beaucoup de questions. Très rapidement je décide de lui en parler, on en discute bcp. Il a peur que je le juge, mais non je préfère essayer de comprendre et me dire que j’arriverai peut être à l’aider un jour, s’il le souhaite. Par contre je lui demande s’il compte arrêter un jour ou si il s’en fout, car moi je ne veux pas vivre dans l’angoisse d’une overdose ou autre tout le temps. Il accepte de « faire de efforts », et quels efforts !!!
Neufs mois plus tard nous sommes partis en Nouvelle Zélande, on a tous lâché en France. Il est très important de changer de lieu de vie, d’habitude pour stopper les drogues. Nous arrivons à Auckland, plus de shoot….ouf !! Et un mois plus tard, plus de substitue ou autres drogues. L’homme que j’aime plus que tout est CLEAN !!!!
Ça n’a pas toujours été rose, notre début de relation a été chaotique mais maintenant nous pouvons traverser n’importe quoi, on peut compter l’un sur l’autre.
Alors si vous êtes avec une personne qui prend de la drogue, soyer fort, aimez le plus que tout et surtout ne le jugeais pas ! Pas d’ultimatum, pas de confrontation sur ce sujet. Il faut prendre le temps, on ne sort pas de cette merde du jour au lendemain, on ne sort pas de cette expérience indemne mais on en sort grandi.
Si vous ne prenez rien, resté fort, ne JAMAIS rien prendre. La vie est tellement mieux sans ça. J’ai vu mon chéri souffrir à un tel point que j’en pleurais, je ne pouvais rien faire. J’essayais d’occuper les journées de
sevrages par de la marche, des encouragements. Les nuits ont été difficiles mais restez à ces côtés même si il ne veut pas. Pour les personnes qui prennent de la drogue, croyez en vous, regardez loin et acceptez les mains que l’on vous tend. N’ayez pas honte de pleurer, de dire le font de vos pensées. UNE BELLE VIE VOUS ATTEND SANS DROGUES.
SERIEUX ARRETER CETTE MERDE DE SUB QUI VOUS BOUFERA LA VIE, JE SAIS C EST PAS FACILE MAIS ESSAYER JE VOUS PROMETS CA IRA MIEUX. Dre et mp