salut les amis,
depuis environ 6 mois, j'avais cru trouver mon salut dans le
phenibut, à propos duquel on ne parle que trop peu ou alors plus depuis trop longtemps. J'aurais aimé obtenir svp des témoignages d'usagers ou ex-usagers sur cette molécule russe vendu à tort comme nootrop.
Me concernant j'avais débuté pour vaincre mes insomnies, ce qui a immédiatement marché. Je consommais la plus plus haute dose quotidienne recommandée 2g le soir en prise unique, environ 2h30 avant l'heure d'endormissement souhaitée, pour des nuits telles que j'en avais plus passées depuis l'enfance!
Cerise sur la gâteau, l'effet dépresseur nocturne laisse place à un effet diurne que je qualifierais d'euphorisant et désinhibant le lendemain, même si j'observais un petit creux vers en milieu d'après-midi. Ma phobie sociale a diminué et j'ai même trouvé le courage de toquer à la porte de mes patrons pour obtenir une promotion.
Vous me direz, cette substance légale étant miraculeuse, pourquoi le créateur ne l'a-t-elle pas incorporée dans notre sang? Car bien sur il y a plusieurs mais:
- avec le temps, l'effet dépresseur prend le pas sur l'effet euphorisant une partie de la journée réduisant les facultés intellectuelles, (il est préconisé de respecter des pauses, ce que faisais en m'abstenant 2 nuits par semaines)
- le
sevrage, nous y voilà . La nuit dernière, je me suis promis de témoigner sur psychoactif pour que personne ne tombe dans le même piège que moi. J'ai consommé la dernière fois mercredi dernier, et les syndromes sont sans aucune mesure avec ceux que j'avais pu ressentir avec le
sevrage des benzos:
- insomnie complète et totale, cad 2 nuit passées sans dormir
- à transpirer dans mon lit,
- et à me battre contre des douleurs et contractions musculaires sinon des crampes.
Je suis donc lessivé et ai du me faire prescrire un
AD sédatif et me mettre en arrêt maladie toute la semaine pour ne pas apparaître comme un zombie au bureau. Aux plus connaisseurs d'entre-vous je pose donc les questions suivantes:
-
Quelle est la durée de ce sevrage, celle du syndrome de sevrage prolongé?
- Qu'elle en la demie-vie, surtout en usage prolongé?
- N'ayant pas parlé au médecin du phénibut et en prétextant une insomnie chronique mais s'aggravant (j'étais toutefois très insomniaque avant le phenibut), qu'en pensez vous je puisse stopper l'AD sédatif pour retrouver au moins 4 heures de sommeil qui me satisferaient?
D'avance merci bien à vous