« Sevrage des benzodiazépines » : différence entre les versions

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==les effets du sevrage de benzos==
==les effets du sevrage de benzos==


Les Benzodiazepines (BZD) ont plusieurs indications thérapeutiques, que ça soit pour diminuer l’agoisse (TAG) ou pour traiter l’insomnie ces molécules sont très utiles en médecine mais souvent surconsommées par méconnaissance ou pcq utilisée seule dans la dépression.
Les Benzodiazepines (BZD) ont plusieurs indications thérapeutiques, que ça soit pour diminuer l’agoisse (TAG) ou pour traiter l’insomnie ces molécules sont très utiles en médecine mais souvent surconsommées, par méconnaissance ou pcq utilisée seule dans la dépression.
Dans ce cas bien souvent elles ne suffisent pas à régler les problèmes de type dépression et il faut y ajouter d’autres moyens.
Dans ce cas bien souvent elles ne suffisent pas à régler les problèmes de type dépression et il faut y ajouter d’autres moyens.
Il y a deux grandes classes dans les BZD, les anxiolytiques (Xanax, Valium, ect) et les hypnotiques (Stilnox, Havlane, ect), plus rarement on les utilises aussi pour l'épilepsie (Rivotril) ou pour une sédation en anesthésie (Midazolam).  
Il y a deux grandes classes dans les BZD, les anxiolytiques (Xanax, Valium, ect) et les hypnotiques (Stilnox, Havlane, ect), plus rarement on les utilises aussi pour l'épilepsie (Rivotril) ou pour une sédation en anesthésie (Midazolam).  
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Si en cas de crise ou d’effets invalidants les BZD sont d’une aide preciseuse il reste indispensable d’allier d’autres moyens ou molécules comme les antidépresseurs (AD) et une psychothérapie pour traiter certaines pathologies.
Si en cas de crise ou d’effets invalidants les BZD sont d’une aide preciseuse il reste indispensable d’allier d’autres moyens ou molécules comme les antidépresseurs (AD) et une psychothérapie pour traiter certaines pathologies.


La consommation de plusieurs semaines, ou mois, voire, années provoque une accoutumance puis une dépendance.  
La consommation de plusieurs semaines, mois, voire années provoque une accoutumance puis une dépendance.  
Les recommandations de l’HAS sont maximum 12 semaines pour les anxiolytiques et maximum 4 semaines pour les hypnotiques afin de minimiser le risque de développer une dépendance, et en cas d’arrêt de diminuer par palier.
Les recommandations de l’HAS sont maximum 12 semaines pour les anxiolytiques et maximum 4 semaines pour les hypnotiques, afin de minimiser le risque de développer une dépendance et en cas d’arrêt de diminuer par palier.


Mais que se passe-t-il après une longue consommation ?
Mais que se passe-t-il après une longue consommation ?