« Mescaline, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions
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Version du 6 août 2018 à 16:03
Histoire brève
L'usage du peyotl remonte à au moins trois mille ans comme en atteste la découverte de stocks du cactus, vraisemblablement destinés à la consommation rituelle, dans des grottes du Texas habitées il y a 3 000 ans. Au moment de la conquête espagnole, il était utilisé par plusieurs tribus indiennes, les Tarahumaras, les Chichimèques, les Huichols, etc.. Son usage chez les Chichimèques fut décrit pour la première fois par le chroniqueur espagnol Bernardino de Sahagun, qui estimait l'âge de cette pratique à 1 800 ans. En 1620, son usage fut interdit par les autorités coloniales parce qu'il constituait un rite païen mais il persista néanmoins clandestinement jusqu'à notre époque. À la fin du dix-neuvième siècle, l'usage rituel du peyotl gagna d'autres tribus indiennes habitant les USA. Pour obtenir le droit de consommer le cactus, les tribus indiennes des USA rédigèrent une charte définissant une nouvelle église dont la religion constitue une sorte de syncrétisme liant christianisme et peyotl. Cette église, la Native american church of north America (NACNA) enregistrée en 1918, a aujourd'hui le même statut que les autres églises aux USA. Alors qu'elle comptait une dizaine de milliers de membres en 1920, elle en revendique aujourd'hui 250 000. Malgré sa qualification de stupéfiant placé sous contrôle international, l'usage religieux du peyotl dans le cadre de la NACNA est resté toléré jusqu'en 1990, date à laquelle la Cour suprême des États-Unis supprima ce régime spécial.
La première description écrite des effets hallucinogènes du peyotl fut faite en 1896 par S. Weir Mitchell, un médecin de Philadelphie (USA), qui procura également du peyotl au philosophe américain William James et au psychologue anglais Henri Havelock Ellis. Ce dernier, qualifiant le peyotl de nouveau paradis artificiel, publia à son tour une description de ses hallucinations visuelles. C'est Louis Lewin, un des pionniers de la psychopharmacologie, qui est à l'origine de l'identification de la mescaline. Ayant reçu des échantillons de peyotl, il entreprit en 1886 un voyage dans le sud des États-Unis pour rapporter lui-même des échantillons de la plante, appelée à l'époque Anhalonium williamsii. Il en entreprit la culture et l'étude chimique et montra qu'elle contenait des alcaloïdes. Toutefois, c'est seulement en 1897 qu'un autre chercheur allemand, Arthur Heffter, parvint à isoler l'alcaloïde hallucinogène en testant systématiquement sur lui-même les fractions extraites et purifiées. Il lui donna le nom de mezcalin devenu ensuite mescaline. En 1919, sa synthèse fut obtenue par Ernst Späth, connu également pour avoir réalisé la synthèse d'un autre alcaloïde, la nicotine.
Louis Lewin (1850-1929) C'était la première fois qu'un hallucinogène naturel était produit sous forme synthétique. La première étude scientifique des effets de la mescaline sur l'animal et l'homme fut menée en 1920 par le docteur Kurt Beringer, un ami du psychanalyste Carl Jung et de l'écrivain Hermann Hesse, qui la publia en 1927 sous le titre Der Meskalinrausch (L'ivresse mescalinique). La même année un pharmacologue français, Alexandre Rouhier, publia une étude menée sur un groupe d'étudiants auxquels il avait administré un extrait du cactus.
À partir de cette date et jusqu'à la découverte de nouveaux hallucinogènes, les candidats au voyage utiliseront la mescaline plutôt que le peyotl. On doit notamment à Aldous Huxley et Henri Michaux une description détaillée des effets de l'alcaloïde. À la suite de la description des rituels du peyotl chez les Indiens du Mexique publiée par l'explorateur Carl Lumholtz à la fin du dix-neuvième siècle, de nombreux témoignages et travaux ethnologiques sur l'usage rituel du peyotl dans diverses tribus indiennes furent publiés jusque dans les années 1960. Antonin Artaud, parti au Mexique en 1936 à la découverte du peyotl et qui espérait en rapporter un remède universel, publia les récits de ses voyages chez les Tarahumaras en 1937 (D'un voyage au pays des Tarahumaras) et en 1943 (Le rite du peyotl chez les Tarahumaras). En 1945, la mescaline fut isolée du cactus Trichocereus pachanoi utilisé par des tribus indiennes des Andes lors de pratiques chamaniques. Elle fut ensuite identifiée dans quelques autres Cactées d'Amérique. En 1925, pour la première fois, la question de l'analogie entre les effets hallucinogènes d'une substance et les hallucinations liées à la schizophrénie fut posée par Mayer Gross à propos de la mescaline. Cette question devait faire à partir des années 50 l'objet d'investigations par un groupe de psychiatres (le Britannique Humphry Osmond et les Canadiens John Smythies et Abram Hoffer) qui publièrent les résultats de leurs travaux en 1952 dans le Journal of Mental Science, une revue scientifique renommée.
Cet article remarqué par Aldous Huxley lui donna envie d'essayer la mescaline. Déjà célèbre à l'époque pour ses romans, Huxley prit du sulfate de mescaline une dizaine de fois et raconta son expérience dans Les Portes de la Perception. Ce petit livre écrit en un mois et publié en 1954 attira l'attention sur les hallucinogènes. Un autre personnage célèbre, le peintre, poète et écrivain d'origine belge Henri Michaux, eut l'occasion d'expérimenter la mescaline. Il rendit compte de ses hallucinations dans plusieurs ouvrages (Misérable Miracle, 1956 ; Connaissance par les Gouffres, 1957 ; L'Infini Turbulent, 1961). Disponible jusque là auprès de l'industrie chimique sous forme de sulfate et de chlorhydrate, la mescaline fut interdite en 1970. [1]
Qu'est ce que c'est ?
La mescaline est un psychédélique naturel présent dans plusieurs espèces de cactus, et plus particulièrement, le Peyote (Lophophora williamsii) et le San Pedro (Echinopsis pachanoi). Mais plusieurs autres variétés de la famille des Trichocereus peuvent également contenir de la mescaline.
La mescaline appartient à une famille de composés connus sous le nom de phénéthylamines, ce qui les rend tout à fait distinct des autres psychédéliques majeurs qui appartiennent à la famille des indole. Le LSD, la psilocybine, l'harmaline et la DMT sont tous des indoles. Beaucoup de créations psychédéliques synthétiques / énergisantes, comme l'ecstasy (MDMA) et le 2C-B, sont des phénéthylamines, et sont liés à la chimie de la mescaline.
En plus de contenir de la mescaline, les cactus mentionnés ci-dessus contiennent une grande variété de composés psycho-actifs, et offrent des expériences qui sont qualitativement différente de la mescaline pure. L'expérience produite par le Peyote est également très différente de celle produite par les cactus de la famille des Trichocereus.
De nombreuses variétés de la famille des Trichocereus sont psycho-actives. Beaucoup de références indiquent que la variété, Trichocereus peruvianus, est plusieurs fois plus puissante que les autres espèces de Trichocereus. Les variétés psychoactives comprennent : Trichocereus bridgesii, T. cuzcoensis, T. fulvinanus, T. Macrogonus, E. pachanoi, T. peruvianus, T. taquimbalensis, T. tersheckii, T. validus, T. werdermannius. [2]
Aspect, à quoi ça ressemble ?
FORMES DE MESCALINE:
Si une extraction à l'acide est effectuée sur du matériel végétal contenant de la mescaline, différentes formes de mescaline sont produites, en fonction de l'acide utilisé. Si l'acide chlorhydrique est utilisé, le résultat est le chlorhydrate de mescaline. Si l'acide sulfurique est utilisé, le résultat est le sulfate de mescaline. Si l'acide citrique est utilisé, le résultat est le citrate de mescaline. Et si l'acide acétique (vinaigre) est utilisé, le résultat est l'acétate de mescaline. Chacune de ces formes a un poids moléculaire différent et, par conséquent, un dosage différent ... ainsi qu'une solubilité différente dans l'eau (plus elle est soluble dans l'eau, plus la mescaline sera extraite de la matière végétale dans une extraction aqueuse) .
Les deux formes synthétiques de mescaline les plus couramment produites sont le chlorhydrate de mescaline et le sulfate de mescaline, dont les dosages sont très similaires. Le sulfate de mescaline est 11% plus lourd que le chlorhydrate de mescaline, ce qui signifie qu'il faut 11% de plus de sulfate de mescaline en poids pour obtenir les mêmes effets qu'une certaine quantité de chlorhydrate de mescaline. Si une extraction acide-base-solvant est effectuée sur le matériel végétal, il en résulte une base libre de mescaline. La mescaline Freebase est 15% plus légère que le chlorhydrate de mescaline (et 25% plus légère que le sulfate de mescaline), nécessitant ainsi 15% de matière _less_ en poids pour la même dose que le chlorhydrate de mescaline. Cependant, la plupart des extractions (sinon toutes) se terminent par la transformation de la base libre en sel. Si la mescaline extraite n'est pas convertie en sel et que le solvant est évaporé, elle peut facilement former un sel avec le dioxyde de carbone dans l'air, formant du carbonate de mescaline (poids moléculaire inconnu?).
Plus d'informations sur le calcul des dosages de la mescaline
La mescaline est présente dans de nombreux types de cactus, principalement dans le peyote (lophophora williamsii), le San Pedro (trichocerus pachanoi) et la torche péruvienne (trichocerus peruvianus). La teneur en mescaline des différents cactus contenant de la mescaline varie fortement entre les échantillons individuels ainsi qu'entre les espèces. Voici une estimation de la teneur en mescaline de ces trois espèces. Bien que le mythe selon lequel Trichocerus peruvianus soit "dix fois" plus fort que T. pachanoi existe depuis longtemps, il n’ya pas beaucoup de données à l’appui de ce point de vue. De nombreux rapports indiquent que péruvianus peut être un peu plus fort que pachanoi, mais cela est vivement contesté par les experts en cactus. Voir un aperçu de la teneur en mescaline de T. peruvianus et T. pachanoi. Lophophora williamsii - 300 mg / 27 g matière sèche Trichocerus peruvianus - 300 mg / 15 à 100 grammes de matière sèche (0,3% à 2,0%) Trichocerus pachanoi - 300 mg / 15 à 100 grammes grammes de matière sèche (0,3% à 2,0%)
Les autres noms et surnoms
Mescaline, mesca, cactus, san pe, san Pedro, peyotl, torche Péruvienne, mescalito, mess, wizz, 2c-x comme le 2c-b (attention c’est un analogue synthétique de la mescaline et non de la mescaline comme certains essayent de le vendre).
Le prix
Tout dépend de la forme et/ou du type de cactus ..
Pour un cactus jeune le prix est de 8€, après avec l’âge et l’augmentation en concentration de mescaline c’est plus vers 30€.
La mescaline synthétique (cristaux de chlorhydrate de mescaline) est plus chère, il faut compter environ 100 à 200$ pour un gramme mais c’est extrêmement rare.
Les analogues de la mescaline et non de la mescaline synthétique, RC de type 2c-b sont à environ 10-15€.
Test de dépistage
La mescaline est détectée par les tests type narcocheck mais aussi par les tests routiers que pratique les forces de l’ordre.
Ne conduisez pas sous mescaline c’est un hallucinogène puissant, vous risquez de blessez ou tuer quelqu’un, la perte du permis et des lourdes sanctions ou au mieux une suspension.
Les dosages
Palier ou l’on ressent le produit 100mg.
Début des effets : à partir de 45/60 mins.
Durée du trip : minimum 4 à 8H voir plus, de 10 a 18h selon certaines sources. La moyenne est 10h.
Pick : T+4 H
Dosage pour une prise orale
Effet léger : 100 à 200 mg
Commun : 200 à 300 mg
Fort : 300 à 500 mg
Très fort (attention) : 500 à 700 mg.
Dosages selon erowid [3]
Les modes de consommation
Sniffer
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Injecter
Pas de données fiables sur cette ROA
Ingérer
C’est le mode de consommation à privilégier et largement documenté.
La difficulté la plus immédiate en consommant de la mescaline est le goût. Les deux plantes sont en réalité toxiques en raison de la mescaline et des alcaloïdes qu’elles contiennent. Un goût extrêmement amer et général décrit par les consommateurs, goût qui entraîne des nausées et vomissements – une réaction naturelle à la toxicité. Les bonnes choses n’arrivent jamais facilement, n’est-ce pas ?
MANGER DU CACTUS CRU
La peau du cactus est l’endroit où est stockée la majorité de la mescaline. C’est pourquoi raser la plante (pour éliminer les petits poils) et retirer les grosses épines ou aiguilles sont des étapes essentielles à la préparation. Après quoi les choses sont aussi simples que manger la peau crue. Cependant, comme pour la plupart des substances psychédéliques naturelles, faire sécher la matière végétale d’abord entraîne de meilleurs résultats. Le processus de séchage demande un peu de préparation pour obtenir des résultats optimaux. Le cactus séché contient significativement plus de mescaline, ce qui rend les efforts valables. Couper le cactus juste au-dessus de la base, là où il plonge dans le sol, est le meilleur point de départ. Ensuite, vous devez augmenter la quantité d’air pouvant atteindre la surface de votre cactus Peyotl ou San Pedro. Couper la plante en fines tranches permet d’y arriver. Le séchage de la plante peut se faire de multiples façons. Vous pouvez la sécher au soleil, la sécher au four ou, et c’est l’option préférée, utiliser un déshydrateur à aliments pour garantir une température et un contenu en humidité constants.
D’AUTRES FAÇONS SIMPLES D’INGÉRER UN CACTUS À MESCALINE
Consommer la peau de cactus telle quelle est une option parfaitement viable. Il existe un certain nombre d’autres méthodes de consommation qui peuvent être utilisées pour rendre le goût extrêmement amer un peu plus supportable. Deux méthodes très courantes sont de transformer la mescaline séchée en poudre, ou d’en faire un liquide buvable. La poudre peut être consommée en remplissant une capsule et en l’avalant comme une pilule. Mais ne vous y trompez pas ! Ceci ne préviendra ni la nausée, ni les vomissements ! Par défaut, c’est une partie du voyage quand on part en trip sous mescaline. La dernière option de préparation, sous forme liquide, est probablement la plus courante pour les consommateurs débutants. Cependant, les deux étapes nécessitent encore plus de préparations, en plus du processus de séchage présenté ci-dessus.
PRÉPARER UNE POUDRE DE CACTUS
Préparer Une Poudre De Cactus Commençons par la préparation du cactus pour une consommation sous forme de poudre :
1) Retirez soigneusement les épines et rasez l’extérieur du cactus pour éliminer les petits poils. Attention à ne pas éliminer trop de peau, car c’est là où se trouve une grande quantité de mescaline.
2) Ajoutez de l’eau aux matières végétales, laissez mijoter dans une casserole pendant 1-2 heures à feu moyen. L’eau doit arriver à la moitié de la casserole et vous pouvez en rajouter pendant qu’elle mijote pour éviter de brûler le cactus. Le cactus sera prêt quand la couleur commence à virer au gris plutôt que d’être vert vif.
3) Ensuite, séparez la chair du cactus de la peau. Vous pouvez le faire en grattant la chair maintenant molle avec un couteau. Placez le cactus avec la peau contre la surface de travail et, avec le couteau, grattez dans la direction opposée à vous. La pulpe ainsi obtenue peut être collectée.
4) Cette pulpe nouvellement collectée doit maintenant être mixée sous forme liquide. En plaçant la pulpe dans un récipient de taille raisonnable, vous pouvez utiliser un mixeur manuel. Assurez-vous que le mélange soit bien mixé pour éviter d’avoir des morceaux. Laissez mijoter à feu doux dans une casserole qui n’attache pas pendant 2-3 heures.
5) Cette étape peut être réalisée de nombreuses façons, mais le but ultime est de s’assurer d’obtenir une pâte aussi sèche que possible. Vous pouvez la laisser sécher naturellement, mais cela vous prendrait probablement quelques jours. D’autres méthodes incluent de placer la casserole avec la pâte de cactus devant un chauffage ventilé pendant la nuit, ou du moins jusqu’à ce que le mélange soit bien sec et friable au toucher.
6) Enfin, la pâte séchée de cactus doit être finement broyée. Vous pouvez le faire en utilisant n’importe quel moulin de cuisine. Assurez-vous simplement qu’il soit bien propre. Ensuite, votre poudre de mescaline est prête à être consommée.
PRÉPARER UNE INFUSION À BOIRE Préparer le cactus pour le boire, que ce soit mélangé avec du thé ou comme « shooter » de mescaline, demande de suivre des étapes similaires à celles de la poudre. Ce sont les étapes ultérieures qui différent. Pour cette raison, nous commencerons à partir de l’étape 4 :
4) Avec votre pulpe mixée, vous devez éviter de brûler la matière végétale durant le mijotage. Ajoutez simplement de l’eau pour y arriver, en rallongeant un peu le délai ciblé de 2-3 heures. Jusqu’à 4 heures peuvent être nécessaires pour obtenir une consistance comme de la morve ou de la colle.
5) Une fois à cette étape, vous devez égoutter le liquide semblable à de la morve. En utilisant un chiffon microfibre ou une gaze très fine, le but est de filtrer la pâte pour que le liquide s’écoule dans un récipient et que les matières végétales ne passent pas à travers votre filtre.
6) Travaillez la pâte (une fois refroidie) à travers le filtre. Vous devriez maintenant avoir collecté dans le récipient un liquide vert pale. C’est votre shooter de mescaline. La pulpe épaisse peut être jetée et la boisson dépend alors totalement de vos envies. Mélanger à un thé peut aider à atténuer La nausée provoquée par la consommation de mescaline. [4]
Fumer
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Plugger
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Les effets recherchés
Les effets physiques peuvent inclure :
- mydriase (dilatation des pupilles) ;
- nausée, vomissement (surtout lors de l'ingestion) ;
- hypertension artérielle (augmentation de la pression artérielle), tachycardie (augmentation du rythme cardiaque) ;
- hyperthermie, sudation (transpiration) voire fièvre.
Les effets psychiques et d'altération de la perception peuvent inclure :
- euphorie ;
- phosphènes et autres hallucinations visuelles de type psychédélique ;
- hallucinations auditives ;
- synesthésie ;
- perception déformée du corps ;
- troubles de la concentration ;
- désorientation ;
- altération de la mémoire immédiate.
À forte dose, la mescaline peut provoquer :
- maux de tête (céphalées) ;
- hypotension artérielle (diminution de la pression artérielle), bradycardie (baisse du rythme cardiaque) ;
- assèchement de la peau ;
- dépression respiratoire ;
- confusion onirique et perte des repères spatio-temporels.
Dans le cas d'un Modèle:Lang, les effets seront plutôt négatifs, l'euphorie et l'extase pouvant laisser place à l'angoisse et la peur. [5]
Effets et conséquences
Les effets physiques peuvent inclure :
- mydriase (dilatation des pupilles) ;
- nausée, vomissement (surtout lors de l'ingestion) ;
- hypertension artérielle (augmentation de la pression artérielle), tachycardie (augmentation du rythme cardiaque) ;
- hyperthermie, sudation (transpiration) voire fièvre.
Les effets psychiques et d'altération de la perception peuvent inclure :
- euphorie ;
- phosphènes et autres hallucinations visuelles de type psychédélique ;
- hallucinations auditives ;
- synesthésie ;
- perception déformée du corps ;
- troubles de la concentration ;
- désorientation ;
- altération de la mémoire immédiate.
À forte dose, la mescaline peut provoquer :
- maux de tête (céphalées) ;
- hypotension artérielle (diminution de la pression artérielle), bradycardie (baisse du rythme cardiaque) ;
- assèchement de la peau ;
- dépression respiratoire ;
- confusion onirique et perte des repères spatio-temporels.
Dans le cas d'un Modèle:Lang, les effets seront plutôt négatifs, l'euphorie et l'extase pouvant laisser place à l'angoisse et la peur.
La mescaline ne semble pas provoquer de dépendance physique ni psychique. Aucun cas de décès directement lié à la mescaline n'a jamais été recensé en France. Utilisée dans un contexte traditionnel (chamanique) ou dans le cadre d'un groupe religieux comme l'église des Indiens Natifs aux États-Unis (NAC), elle possède des propriétés anti-addictives, permettant de lutter contre l'alcoolisation de ces populations
En revanche, comme toute substance hallucinogène, elle peut causer des accidents psychiatriques graves et durables, parfois dès la première prise. On parle alors de « syndrome post-hallucinatoire persistant », à savoir angoisses, phobies, état confusionnel, dépression voire pseudo-hallucinations, critiquées et reconnues comme telles, pouvant persister plusieurs années. Ces incidents ne semblent pas survenir chez les Navajos qui l'utilisent dans leurs rituels [6]
Les risques de la consommation
Dangerosité et dommages du produit selon différents classements
Les effets secondaires
Tolérance, accoutumance, Dépendance
Mescaline et grossesse
Mescaline et mélanges de drogues ou de médicaments
Comment réduire les risques
xxx et test chimique d’identification de substances
Liens
Références
- ↑ http://www.didier-pol.net/8his-pey.htm
- ↑ https://azarius.fr/encyclopedia/21/mescaline/
- ↑ https://erowid.org/chemicals/mescaline/mescaline_dose.shtml
- ↑ https://www.zamnesia.fr/blog-comment-consommer-un-cactus-a-mescaline-n1474
- ↑ https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Mescaline#/editor/7
- ↑ https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Mescaline