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Voir [http://www.pharmacologie.u-bordeaux2.fr/documents/pharmacovigilance/afci.pdf par exemple] qui regroupe des associations formellement interdites, notamment en raison du syndrome serotoninergique | Voir [http://www.pharmacologie.u-bordeaux2.fr/documents/pharmacovigilance/afci.pdf par exemple] qui regroupe des associations formellement interdites, notamment en raison du syndrome serotoninergique | ||
Actuellement la grande majorité des syndromes serotoninergiques surviennent chez des patients traités par anti-depresseurs, le plus souvent IRS, et qui prennent d'autres agents serotoninergiques pour des douleurs (Tramadol notamment mais aussi fentanyl), des migraines (Triptans), une anxiété (Buspar), etc.. | Actuellement la grande majorité des syndromes serotoninergiques surviennent chez des patients traités par anti-depresseurs, le plus souvent IRS, et qui prennent d'autres agents serotoninergiques pour des douleurs (Tramadol notamment mais aussi fentanyl), des migraines (Triptans), une anxiété (Buspar), etc.. . | ||
Une question souvent posée dans le cadre de consommations illicites de psychostimulants est le risque pris en associant cette consommation par exemple à des anti-depresseurs. Il paraît difficile de répondre exactement à cette question actuellement etant donné le manque de connaissances sur l'épidémiologie de ce syndrome mal connu. On peut penser que de nombreux (la plupart ??) syndromes hyperthermiques constatés avec le MDMA sont au moins en partie liés au syndrome serotoninergique. | De nombreux produitqs psychoactifs sont aussi de puissants serotoninergiques = coaciane, MDMA, Amphetamines, LSD. Enfin les TSO ne sont pas « innocents », des syndromes serotoninergiques ont été décrits avec la Methadone et La Buprenorphine. | ||
Toutefois de nombreux usagers associent anti-depresseurs et psychostimulants sans inconvenient notable. Dans l'état actuel des connaissances on ne peut donc que mettre en garde et | |||
Surtout, en cas de symptome évocateur (voir + bas) , les produits non indispensables doivent être arrêtés immédiatement | Une question souvent posée dans le cadre de consommations illicites de psychostimulants est le risque pris en associant cette consommation par exemple à des anti-depresseurs. Il paraît difficile de répondre exactement à cette question actuellement etant donné le manque de connaissances sur l'épidémiologie de ce syndrome mal connu. | ||
On peut penser que de nombreux (la plupart ??) syndromes hyperthermiques constatés avec le MDMA sont au moins en partie liés au syndrome serotoninergique. | |||
Toutefois de nombreux usagers associent anti-depresseurs et psychostimulants sans inconvenient notable. Dans l'état actuel des connaissances on ne peut donc que mettre en garde et apppeler à la vigilance en cas d'association « à risque » . | |||
Toutefois le risque augmente avec le nombre d'associations et la prise de medicaments qui disposent d'alternatives comme le Tramadol, le Buspar, le DXM doit absolument être évitée chez les patients prenant deja des produits serotoninergiques. | |||
Surtout, en cas de symptome évocateur (voir + bas) , les produits non indispensables doivent être arrêtés immédiatement en attendant un avis médical. | |||
=== Délais de survenue du syndrome === | === Délais de survenue du syndrome === |