« La naloxone un antidote aux overdoses d'opiacés » : différence entre les versions

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Elles permettent seulement de prévoir « une efficacité » de la mise à disposition de naloxone en communautés.
Elles permettent seulement de prévoir « une efficacité » de la mise à disposition de naloxone en communautés.
Enfin, le coût de la formation serait aussi assez élevé mais, il serait important que la formation ne se cantonne pas à l'utilisation  de la naloxone mais s'adresse à tous les facteurs d'OD et aussi aux autres facteurs de risque associés à l'usage d'opiacés, légaux et illégaux.
Enfin, le coût de la formation serait aussi assez élevé mais, il serait important que la formation ne se cantonne pas à l'utilisation  de la naloxone mais s'adresse à tous les facteurs d'OD et aussi aux autres facteurs de risque associés à l'usage d'opiacés, légaux et illégaux.
http://www.ofdt.fr/statistiques-et-infographie/series-statistiques/evolution-du-nombre-de-deces-par-surdose/
Il s'agit des OD aux opiacés déclarées comme telles dans le certificat de décès. Il peut donc y avoir une sous déclaration importante notamment quand les opiacés sont prescrits pour des maladies graves (douleurs cancéreuses par exemple).
Toutefois l'ANSM donne des chiffres équivalents par une méthode différente (DRAMES). Notons qu'au moins 50 % sont liés aux TSO,  Méthadone en premier mais aussi Subutex et le plus souvent, voire presque toujours, en association avec d'autres psychotropes (mais notons que, comme le montre le graphique, l'introduction des TSO vers 1995 a amené une diminution globale du nombre des OD par opiacés.).
http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/4473fb6edabe70f675f8669550dae93f.pdf
nb=  un nombre non négligeable d'OD (15 % des OD?) survient chez des patients traités pour des douleurs par des opiacés prescrits et donc non usagers de drogues illégales. Inversement la majorité des OD par « produit de TSO » (aux USA en tous cas) survient pour des TSO pris « au black ».
nb= Il s'agit des décès. Évidemment le nombre des OD ne conduisant pas à la mort, soit spontanément, soit par intervention des urgences est beaucoup plus élevé, probablement plusieurs milliers par an.
EN EUROPE  Près de 8000 OD par an !! La France est donc parmi les pays plutôt « protégés » mais derrière le Portugal qui a poussé pourtant le plus loin la dépénalisation.
http://www.emcdda.europa.eu/edr2015  (pages 56 et 57)
www.emcdda.europa.eu/attachements.cfm/att_33743_FR_Dif13FR.pdf
http://eurpub.oxfordjournals.org/content/16/2/19
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