« Benzodiazépines, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

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L'intronisation des benzodiazépines a conduit au déclin des prescriptions de barbituriques dans les années 1970, les anciens médicaments barbituriques ont été remplacés par des médicaments benzodiazépines sédatifs et hypnotiques jugés plus sur.
L'intronisation des benzodiazépines a conduit au déclin des prescriptions de barbituriques dans les années 1970, les anciens médicaments barbituriques ont été remplacés par des médicaments benzodiazépines sédatifs et hypnotiques jugés plus sur.


Dans les années qui suivirent, d'autres benzodiazépines furent commercialisées telles que le clorazépate (Tranxène), le lorazépam (Témesta), l'oxazépam (Seresta) ou encore le bromazépam (Lexomil). Des comportements impulsifs, par exemple, le chapardage ou autres infractions à la loi, font également partie des réactions « paradoxales » aux benzodiazépines ont déjà été répertoriées dans la littérature, au début des années 1960, lors de l'arrivée des premiers benzodiazépines. Ces nouveaux groupes de médicaments ont fait grandir l'optimisme dans la profession clinique, mais ont rapidement suggéré quelques controverses ; en particulier, le risque de dépendance a été perçu durant les années 1980.
Dans les années qui suivirent, d'autres benzodiazépines furent commercialisées telles que le clorazépate (Tranxène), le lorazépam (Témesta), l'oxazépam (Seresta) ou encore le bromazépam (Lexomil). Des comportements impulsifs, par exemple, le chapardage ou autres infractions à la loi, font également partie des réactions « paradoxales » aux benzodiazépines, elles ont été répertoriées dans la littérature médicale au début des années 1960, lors de l'arrivée des premiers benzodiazépines. Ces nouveaux groupes de médicaments ont fait grandir l'optimisme dans la profession clinique, mais ont rapidement suggéré quelques controverses ; en particulier, le risque de dépendance, qui a été perçu durant les années 1980.


Leur usage a vite concurrencé celui des barbituriques pour rendre ceux-ci obsolètes, car ces derniers, plus toxiques, provoquaient des dépendances associées à des effets indésirables dangereux, avec risque de surdose important. Aujourd'hui, les barbituriques ne sont plus que marginalement prescrits dans un but anxiolytique ou hypnotique (bien qu'ils restent très utilisés en anesthésie notamment) car le corps médical leur préfère les benzodiazépines qui sont plus maniables que les barbituriques même si un patient en abuse, il y a vraiment moins de risques de faire une overdose.
Leur usage a vite concurrencé celui des barbituriques pour rendre ceux-ci obsolètes, car ces derniers, plus toxiques, provoquaient des dépendances associées à des effets indésirables dangereux, avec risque de surdose important. Aujourd'hui, les barbituriques ne sont plus que marginalement prescrits dans un but anxiolytique ou hypnotique (bien qu'ils restent très utilisés en anesthésie notamment) car le corps médical leur préfère les benzodiazépines qui sont plus maniables que les barbituriques même si un patient en abuse, il y a vraiment moins de risques de faire une overdose.
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