« Le syndrome sérotoninergique » : différence entre les versions

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Beaucoup de soignants soupçonnent que le syndrome hyperthermique du MDMA pourrait être, au moins partiellement, l'effet d'une toxicité sérotoninergique.
Beaucoup de soignants soupçonnent que le syndrome hyperthermique du MDMA pourrait être, au moins partiellement, l'effet d'une toxicité sérotoninergique.


 
Une [http://www.medscape.com/viewarticle/776124 publication américaine] fait état de 43 % de syndromes frustres, dépistés par la recherche du clonus de la cheville chez des patients sous Suboxone. Elle me paraît assez étonnante, par rapport à l'expérience clinique avec le Subutex et la Suboxone, mais elle mérite d'être citée, au moins pour attirer l'attention des professionnels de santé.
 
Une publication américaine (http://www.medscape.com/viewarticle/776124) fait état de 43 % de syndromes frustres, dépistés par la recherche du clonus de la cheville chez des patients sous Suboxone. Elle me paraît assez étonnante, par rapport à l'expérience clinique avec le Subutex et la Suboxone,  
 
mais elle mérite d'être citée, au moins pour attirer l'attention des professionnels de santé.


L'incidence paraît très élevée avec les IMAO non selectifs, qui sont très peu prescrits (le danger de l'association IMAO, avec les autres antidepresseurs, le Dolosal, les aliments contenant de la tryptamine etc.. sont connus depuis très longtemps) mais la multiplication actuelle des substances sérotoninergiques impose au moins la prudence.
L'incidence paraît très élevée avec les IMAO non selectifs, qui sont très peu prescrits (le danger de l'association IMAO, avec les autres antidepresseurs, le Dolosal, les aliments contenant de la tryptamine etc.. sont connus depuis très longtemps) mais la multiplication actuelle des substances sérotoninergiques impose au moins la prudence.
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