« GBL, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

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===Dépendance===
===Dépendance===
Le GBL '''peut créer un forte dépendance''' en quelques mois, voire en quelques semaines, et le manque de GBL peut mettre la vie en danger<ref name="GBL addiction">Addiction Journal : [http://www.addictionjournal.org/viewpressrelease.asp?pr=145 Research shows GBL addiction can be life threatening]</ref>   
Le GBL '''peut créer un forte dépendance''' en quelques mois, voire en quelques semaines, et le manque de GBL peut mettre la vie en danger<ref name="GBL addiction">Addiction Journal : [http://www.addictionjournal.org/viewpressrelease.asp?pr=145 Research shows GBL addiction can be life threatening]</ref>   
{{Citation|Gébéèl|http://www.psychoactif.org/forum/t5679-p1-Sevrage-GBL.html|Cela fait déjà pas mal de temps qu'il m'arrive de temps en temps de prendre du gbl à certaines occasions... Bien que je connaisse particulièrement bien ce produit (effets, dosage, risque de dépendance, etc...), suite à une épreuve difficile dans ma vie dernièrement je me suis lâché sur ma consommation... Cela fait une semaine que je me suis rendu compte que '''j'ai développé une dépendance''' : Une prise toutes les deux heures le jour, et la nuit des prises un peu plus grosses afin de pouvoir dormir par deux tranches de 4h et une de deux heures. Ces derniers jours, j'ai essayé de stopper net ma consommation qui fut un échec : tremblement, irritable, ayant perdu ma joie de vivre naturelle, impossible de dormir, angoisses, etc...Du coup, '''j'essaie progressivement de réduire les doses'''...Sinon, en cas d’échec, je ne sais pas quoi faire... }}
{{Citation|GüBeL|http://www.psychoactif.org/forum/t10191-p1-Gbl-entre-paradis-enfer.html|Après une année de consommation "récréative" (le GBL a remplacé ma consommation d'alcool), uniquement le weekend ou en soirée, suite à une période de stress, je me suis mis à consommer H24, c'est à dire une dose tout les 2-3 heures et ce 24h sur 24h et 7j sur 7j ET CECI PENDAN 2ANS. Très vite une forte dépendance physique m'a fait renoncé à tout sevrage, d'autant plus que la vie avec devenait incroyablement magnifique. Affectivement, professionnellement, socialement la première année fut une réussite complète, j'avais ma potion magique! Puis les dernier 6 mois devinrent progressivement un cauchemar, plus de sommeil, l'impression de devenir fou, les doses qui augmentent (a noter que contrarairement à d'autre drogue alcool, cannabis, MDMA, et autre l’accoutumance (augmentation des dose) est très faible. La consommation simultanée de benzodiazépine, et ensuite: un sevrage,qui m'a amené à un coma de 1 mois avec 2 % de chance de survie. Ensuite réapprendre à vivre, sans les lunette rose du GBL, apprendre à déguster les instants sans saveur de la vie abstinente, et pour finir plonger dans l'alcoolisme le plus violent avant de commencer à ré-émerger, de me mettre à consommer de l'héro etc.. le seul médicament efficace pour autant de ne pas l'avoir consommé avec le GBL est Diazépam à dose de cheval (min 80 mg) Pour exemple dans mon coma sous assistance respiratoire , j'ai reçu 15mg de midozalam /h, oui oui et finalement 50mg/h de diazépam qui a enfin réussi à me faire arrêter de convulser. J'étais sous intubé, sous assistance respiratoire.}}


Lors du '''sevrage de GBL''', beaucoup d'usagers reportent de l'anxiété, des crise de panique et de l'insomnie. Dans la plupart des cas, cela prend généralement entre semaines pour ne plus ressentir les signes de manque.<ref name="GBL addiction">Addiction Journal : [http://www.addictionjournal.org/viewpressrelease.asp?pr=145 Research shows GBL addiction can be life threatening]</ref>
Lors du '''sevrage de GBL''', beaucoup d'usagers reportent de l'anxiété, des crise de panique et de l'insomnie. Dans la plupart des cas, cela prend généralement entre semaines pour ne plus ressentir les signes de manque.<ref name="GBL addiction">Addiction Journal : [http://www.addictionjournal.org/viewpressrelease.asp?pr=145 Research shows GBL addiction can be life threatening]</ref>
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Le sevrage du GBL peut se faire en ambulatoire dans la plupart des cas. Une étude anglaise<ref>[http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1360-0443.2010.03145.x/abstract Gamma-butyrolactone (GBL) dependence and withdrawal]</ref> rapporte que les patients en sevrage ont été traité avec des hautes doses de diazepam et de baclofène durant les 4 première heures, puis des doses de diazepam comprise entre 40mg et 110 mg durant les 24 heures suivantes.
Le sevrage du GBL peut se faire en ambulatoire dans la plupart des cas. Une étude anglaise<ref>[http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1360-0443.2010.03145.x/abstract Gamma-butyrolactone (GBL) dependence and withdrawal]</ref> rapporte que les patients en sevrage ont été traité avec des hautes doses de diazepam et de baclofène durant les 4 première heures, puis des doses de diazepam comprise entre 40mg et 110 mg durant les 24 heures suivantes.


{{Citation|Gébéèl|http://www.psychoactif.org/forum/t5679-p1-Sevrage-GBL.html|Cela fait déjà pas mal de temps qu'il m'arrive de temps en temps de prendre du gbl à certaines occasions... Bien que je connaisse particulièrement bien ce produit (effets, dosage, risque de dépendance, etc...), suite à une épreuve difficile dans ma vie dernièrement je me suis lâché sur ma consommation... Cela fait une semaine que je me suis rendu compte que '''j'ai développé une dépendance''' : Une prise toutes les deux heures le jour, et la nuit des prises un peu plus grosses afin de pouvoir dormir par deux tranches de 4h et une de deux heures. Ces derniers jours, j'ai essayé de stopper net ma consommation qui fut un échec : tremblement, irritable, ayant perdu ma joie de vivre naturelle, impossible de dormir, angoisses, etc...Du coup, '''j'essaie progressivement de réduire les doses'''...Sinon, en cas d’échec, je ne sais pas quoi faire... }}
{{Citation|GüBeL|http://www.psychoactif.org/forum/t10191-p1-Gbl-entre-paradis-enfer.html|J'ai été faire un sevrage spécialisé dans une clinique suisse réputée pour cela. Ils ont complètement sous évalué ma consommation, et pourtant je n'ai rien minimisé, j'avais conscience de la gravité de mon état. Ils ne se sont absolument pas renseigné sur le produit et m'ont proposé quelques anxiolit tm pour  compensé (je prenait déjà des benzo à haute dose en simultané de mes environs 70ml de GBL par jour. Bref il ne m'ont pas surveillé et retrouvé dans ma chambre, 6h plus tard en train de convulsé (la notion avec l'épilepsie fait, malgré tout ce que l'on dit, débat). Du coup j'ai été transféré au urgence et ils ont commencé à m'administré du midozalam (un des moins anti-convulsivement). après deux semaine d'intubation du propofol et tout les complication possible (hépatite médicamenteuse, étrangement le gbl épargne le foie), disfonction rénale, pneumonie sur le poumon g, multiple infection, une ambolie pulmonaire massive sur le poumon droit qui m'a donné 2% de chance de survie. Ils ont voulu me transféré en hélicoptère, mais ils n'y avait pas assez de place pour les pousse seringue, tellement il me fallait de substance pour me maintenir en vie. Bref dans ce grand centre ils m'ont lysé (liquéfié le sang) mon pronostique vitale c'est amélioré et surtout il m’ont passé au Diazépam. J'ai du réapprendre à marché, parler et autres. Bref je n'ai aucune séquelle, ma puissance supérieur était avec moi.}}
 
{{Citation|GüBeL|http://www.psychoactif.org/forum/t10191-p1-Gbl-entre-paradis-enfer.html|Après une année de consommation "récréative" (le GBL a remplacé ma consommation d'alcool), uniquement le weekend ou en soirée, suite à une période de stress, je me suis mis à consommer H24, c'est à dire une dose tout les 2-3 heures et ce 24h sur 24h et 7j sur 7j ET CECI PENDAN 2ANS. Très vite une forte dépendance physique m'a fait renoncé à tout sevrage, d'autant plus que la vie avec devenait incroyablement magnifique. Affectivement, professionnellement, socialement la première année fut une réussite complète, j'avais ma potion magique! Puis les dernier 6 mois devinrent progressivement un cauchemar, plus de sommeil, l'impression de devenir fou, les doses qui augmentent (a noter que contrarairement à d'autre drogue alcool, cannabis, MDMA, et autre l’accoutumance (augmentation des dose) est très faible. La consommation simultanée de benzodiazépine, et ensuite: un sevrage,qui m'a amené à un coma de 1 mois avec 2 % de chance de survie. Ensuite réapprendre à vivre, sans les lunette rose du GBL, apprendre à déguster les instants sans saveur de la vie abstinente, et pour finir plonger dans l'alcoolisme le plus violent avant de commencer à ré-émerger, de me mettre à consommer de l'héro etc.. le seul médicament efficace pour autant de ne pas l'avoir consommé avec le GBL est Diazépam à dose de cheval (min 80 mg) Pour exemple dans mon coma sous assistance respiratoire , j'ai reçu 15mg de midozalam /h, oui oui et finalement 50mg/h de diazépam qui a enfin réussi à me faire arrêter de convulser. J'étais sous intubé, sous assistance respiratoire.}}


===Overdose===
===Overdose===
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