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Ciao ^^
Bon sang, j'en arrive à en rêver chaque nuit (M.D > incroyable pour faire l'amour à celle qu'on aime,
Keta pour la seule et unique raison que l'unique jour où je l'ai testé je me suis "senti mieux" (ma vie de "pathos" défilait devant mes yeux, et, au bord du gouffre, de l'abysse, je me suis dit : "ET ALORS ?") Et j'ai - selon la tradition Nietzschéenne - rit à plein poumons. "A force de regarder l'abîme, l'abîme regarde en vous" En d'autres termes, merci de m'avoir ouvert l'esprit à ce point là, mieux que ces p**** de benzos, (mon cauchemar du moment > ici je ne parle pas "d'enfer" mais bien de "cauchemar" (les mots ont leur importance ), l'enfer c'est de se prendre une foison de bombes sur la gueule, où les hôpitaux sont détruits etc. Le "cauchemar" a au moins ce mérite qu'on peut se réveiller à n'importe quel moment, à un moment précis, où l'on se sent respirer à nouveau.. Mais comme nombre de camarades de P.A me l'ont confirmé : rêver d'extase n'a rien d'exceptionnel, même si dans les rêves, la prise de gué-dro foire à peu près à cent pour cent. Pesteux me l'a certifié, dans un post immense de sa part que je peine pour le moment à saisir pleinement, et dont je n'ai - pour le moment - pas la force adéquate de répondre. Sorry si j'ai l'air random, mais sache que la douleur que tu vis, je l'a vis aussi. OUI ça me parle et -de façon la plus égoïste du monde - je me dis chaque jour, quand le soleil se lève et me terrifie tout comme il se couche et me terrifie, que je ne suis PAS SEUL. Force à toi, petite guerrière, et advienne que pourra... Je combatrais les ténèbres quitte à y laisser ma peau. Et je ressens, qu'on fond, grâce à ton billet, je me sens moins seul.