J'ai une question : le chocolat, aux noisettes ou aux amendes ?
Je te charrie un peu, je sais que ton post part d'une bonne attention mais je rêverai que ce soit aussi simple, car du chocolat j'en bouffe des tonnes, mais cela n'équivaut pas à 80 mg de
méthadone et je pense que grosse dépression si j'arrêtais d'un coup, serais un faible mot.
Aurais-tu arrêtais les consommations et si oui depuis quand et comment ?
Franchement, à certaines doses de produits, se sevrer à sec, c'est pire que tout, je l'ai pratiqué, mais au-delà d'un quelconque désire de le faire, ce fut accidentel. J'ai vécu plus d'un mois de souffrances terribles, abominable, accompagnées par une dépression de plus de trois ou quatre ans si ce n'est plus d'ailleurs. C'est le schéma typique de la rédemption en compagnie de Jésus...
Non franchement trop peu pour moi et je pense que le meilleur
sevrage auquel je vais pouvoir m'adonner, c'est celui qui ne porte même plus le nom de
sevrage, c'est à dire que c'est un mouvement très tranquille d'une
descente de mg en mg, aux bons moments, sans décisions intellectuelles, juste par le biais de ce qui est ressentis.
Bonne soirée.