Hier soir, j’ai acheté mon billet d’avion au détaillant de ma ville,
Avant que la fête arrive je lui ai pris trois
amphétamines,
En espérant que ça m’envoie en l’air, j’ai pris la merde la moins cher,
Ce soir c’est direction Paris, rendez-vous à minuit, avec les potes on a pris un avion gratuit,
Je suis de plus en plus stressé quand je me rapproche, avec mes Amphêt en poche,
Exciter à l’idée de vivre mon tout premier vol, j’attends le moment ou l’avion décolle s’envole et va quitter le sol.
C’est bon, arrivé sans galère, j’ai retrouvé mes frère, on entre dans le Ryan Air, accueillis par de jolies hôtesses de l’air,
Les bagagistes nous prennent nos affaires et les mettent à la consignes par sécurité
Les hôtesses nous présentent les consignes de sécurité
Y’a beaucoup de monde, c’est pas un bon signe de sécurité,
Mais, je veux pas d’une soirée naze, afin d’être en phase, je prends mon tout premier
taz,
Je fais confiance à mes gars surs, eux ce sont pas des ordures,
Ils ont déjà pris de la dure et me disent « Attends un moment dans 1heure tu carbures, »
J’espère que la montée sera d’envergure, c’est comme même de la pure, Je guette l’heure
Le pilote nous informe de la douce température extérieurs,
Le temps est dégagé par ailleurs,
Tout est réunis pour que ce trajet soit le meilleur,
le décollage est imminent, je sens que c’est le moment
l’avion accélère sur la piste d’atterrissage,
il quitte la terre direction les nuages
3,2,1 c’est le décollage
3,2,1 c’est le décollage
REFRAIN : J’ai pris des
paras mais chhuutt
J’étais paré à la chute,
Je m’étais préparer Mais ZUUTT
C’était mon dernier
parachuteCe soir je me sens paré à comparer des
paras,
Si on me dit que je suis un con, pas grave, l’effet est un incomparable,
En apesanteur, je garde plus les pieds sur terres, j’ai la tête en l’air, je n’ai plus aucune peur,
Je veux profiter à fond de la fête, donc j’en fait qu’à ma tête,
Et je gobe un deuxième Amphêt,
Et je gobe un deuxième Amphêt,
Le pilote prend de l’altitude et j’essaie de garder de l’attitude,
même si j’ai pas la habitude, de prendre des claques aussi rudes,
maintenant c’est une certitude avec mon dernier
para je vais atteindre la plénitude.
Le pilote fais quelques manip, ça secoue, je m’agrippe,
je sens que ça me prend aux tripes, c’est parti pour un trip
Je suis avec mon équipe quand je me fais bousculer par un types qui s’excuse même pas,
il a pas de principes, il ne se retourne pas, donc, je kick ce types,
Mais ensuite, je flippe qu’il rapplique avec d’autres types, je réagis vite et je quitte l’endroit.
J’ai fait n’importe quoi, d’habitude j’aurais jamais fait ça,
Mais j’y arrive pas quand je résonne
ça m’étonne, j’entends la musique qui détonne dans ma tête sa résonne,
C’est bon je crois que je suis en transe,
je me balance je contrôle plus mon corps quand je danse,
Un
para et tu décolles pas besoin d’en prendre des tonnes, qu’on m’a dit
Fais gaffe à la chute, m’as t’on dit,
Mais je prends mon dernier
parachute, allons-y
REFRAIN : J’ai pris des
paras mais chhuutt
J’étais paré à la chute,
Je m’étais préparer Mais ZUUTT
C’était mon dernier
parachuteLe ciel qui paraissait si beau s’est soudain obscurcit, et laisse place aux sombres nuages laissant s’échapper un éclair qui s’abat sur l’avion et le fissure, c’est le scratch assuré
Et surpris, pris de panique par ce son sourd j’ai sursauté
Seul je sillonne les cieux, je passe le sas sous peu, et je me décide à sauter,
Mais qu’est ce qui se passe, je me sens comme assommer, j’allais presque atteindre le sommet.
L’effet n’est pas comparable aux derniers
paras, je parais comme un paraplégique à deux doigt du paradis, dommage que j’y arrive pas, paralyser je vacille, et je tombe au ralentis.
Putin de merde, qu’est-ce que j’ai fait, j’ai déconné, moi qui voulais juste m’amuser, AAHHH, Putin de merde, qu’est-ce que j’ai fait, j’ai déconné, moi qui voulais juste m’amuser, AAHHH,
J’aurais dû écouter les hôtesses de l’air, je fous tout en l’air, ma tête touche par terre.
Mais qu’est ce qui m’a pris, je pense à mes amis ma famille, mes proches, je sens que ma chute est proche.
J’entends au loin l’ambulance, dans mon corps je ressens des turbulences et une douleur qui me lance. Tout est finis.
Sans ce dernier
parachute, j’aurais pu amortir la chute MERDE
Sans ce dernier
parachute, j’aurais pu amortir la chute MERDE
REFRAIN : J’ai pris des
paras mais chhuutt
J’étais paré à la chute,
Je m’étais préparer Mais ZUUTT
C’était mon dernier
parachute