[ Descente ]

Les antihistaminique durant la descente d’un stimulant

Yo les psychos!

J’arpente Les rues de ce forum depuis un bon moment, je suis resté discret en tant que lecteur (très) intéressé.

Je ne me présenterai pas dans l’immédiat, sous ce pseudonyme, ainsi que pour ce sujet.

Je voulais vous faire par de mon expérience anonyme avec les stimulants, leurs descentes et les antihistaminique de première génération. Vous devez pour la plupart, et sinon je vous en fait part, savoir que les AH de première génération sont détournés de leurs fonctions primaire pour leurs effets sédatifs.
J’ai eu dans ma vie d’UD une bonne (ou mauvaise?) accumulations d’expériences avec cette famille de molécule, principalement la doxylamine. J’ai pu expérimenter différents dosages. Je suis passé de la facilité à trouver sommeil de par un dosage thérapeutique, à un délire hallucinatoire avec tout les désagréments liés aux effets secondaires de ce genre de produit, avec des doses allant de « l’abus thérapeutique » au manque de discernement sur la quantité ingérés.

J’ai maintenant une petite addiction aux AH. Je trouve dans cet empoisonnement une certaine recréativité, de part la façon de gérer le trip et d’en maximiser son potentiel.

On en arrive à ma question! Sur les sujets du forum qui donnent des conseils sur la façon de gérer là descente de stimulant, il n’est dit nul part (ou bien j’ai pas cherche le bon mot clef) que l’utilisation d’un antihistaminique peu conduire à un endormissement plus rapide.

Or, j’ai essayé pendant une descente de cocaïne l’utilisation d’un antihistaminique. Celui ci atténue (pour ma part) l’anxiété du au craving et m'emmène beaucoup plus rapidement dans les bras de Morphée.

Je voulais vous faire part de mon expérience, triste de voir qu’on conseille par exemple les opiacés comme downer pour les descentes difficiles. Loin de dire que les AH sont plus propres à la consommation. J’ai fait l’expérience des deux, je préfère de loin m’endormir sans euphorie exacerbée que me taper un sevrage physique une nouvelle fois.

Paix à votre foie, dans l’attente de vos avis et commentaires.