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-Comment faire une culture bio sans aucun pesticide ?
il faut déja s'y connaitre en culture en pleinne terre dans ton cas, apres les invasions par exemples d'insectes, pucerons en particulier se font quand il y en à des volant qui passe par là et surtout pour une invasion la plantes doit etre en detresse:
trop soif trop d'eau, les deux alternativement, trop d'engrais etc.....
donc se sont les mauvaise conditions de culture surtout l'arrosage qui font que la plantes emmet des signaux de detresse lue par les inssecte
pour répondre exactement à la question , il existe de "nouvelles " technique comme construire une butte, c'est "compliquer" ou la technique du non faire, que je ne connais pas.
-Existe t il des associations naturelles qui pourraient repousser ces ravageurs ?
je ne connais pas du tout! mais oui ça existes
de ce que je sais certainne plantes s'aime d'autre se repousse
il est consseillé de faire une rotation des cultures ça se fais avec un roullement sur 3 ans, diviser le terreain en 3 partie
-Vu qu’il y a de l’espace entre chaque plant je pourrais peut-être y planter autre chose au pied pour justement éviter ces invasions et en même temps optimiser d’autres cultures ?
franchement j'en sais rien je cultive uniquement en pots.
-la nicotine éloigne les insectes mais du coup en attire d’autres ?
la nicotine n'atire pas les insectes qui s'adapte en plusieurs génneration tres rapidement aux poison, chimique ou naturel.
ce qu'il te faut c'est des livres sur la culture bio:
le poireaux préfère les fraises, guide des association aux jardin
le guide du jardin bio, potager verger hornement.
il existe un livre sur la culture du tabac : Cultiver son propre tabac - De la graine à la feuille séchée
tous trouvable d'occase!
je suis sur que ces livres répondront à tes questions mieux que moi
au passage faire une selection! c'est pas un luxe, je viens de lancer 2 varièté, 7 pots chauq'un, j'ai plus que 4 plantes... dons 2 vraiment moche....
ils te faudras acheter des terrinnes de semis et repiquer pour pas te faire chier avec des centainnes de pots
pour semer tu fais comme si tu à Parkinson, tu trenble de la mains, faut pas que les plants pousse trop pres les un des autres.
petit rapelle si c'est pour taz consso ok mais si c'est pour vendre c'est pas permis.
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De nombreux insectes auxiliaires naturels ("beneficial insects") fréquentent les cultures de tabac et contribuent à réduire les populations de ravageurs. Certains présentent une réelle spécificité, d'autres sont beaucoup plus polyphages. En France, l'inventaire précis est en cours de réalisation afin de mieux les connaître et de permettre de valoriser leurs potentialités de parasitisme ou de prédation. Comme nous l'avons précisé précédemment, la liste exhaustive des auxiliaires présents dans les cultures de tabac n'est pas connue avec précision. Pourtant, il est assez aisé, lors de visite de parcelles, de constater la présence des plus fréquents et des plus visibles d'entre eux. On peut citer par exemple plusieurs espèces de coccinelles (figure 1), de cécidomyies (figure 2), d'hyménoptères parasitoïdes (figure 3), de syrphes (figure 4), de chrysopes... Certains de ces insectes sont capables de s'attaquer à d'autres ravageurs comme les aleurodes, les thrips, les cicadelles... L'efficacité de ces auxiliaires est encore mal connue. A titre d'exemple, sur la figure 5 on peut observer une chenille défoliatrice parasitée par Apanteles congregatus. La chenille parasitée a été envahie par plusieurs larves qui ont, à un moment donné, filé leurs cocons blancs et ovales, bien visibles à l'extérieur de cette dernière. Aux USA, il n'est pas rare de trouver plus de 90 % de ces chenilles parasitées en fin de saison.
Les difficultés rencontrées pour contrôler chimiquement certains ravageurs, et tout particulièrement les pucerons, doivent nous inciter à changer de mentalité, notamment à adopter une approche de la phytoprotection davantage basée sur l'observation, la détection précoce des premiers foyers, leur traitement local et donc à respecter les auxiliaires naturels. La lutte biologique est encore peu développée dans les cultures de plein champ. Commencer à reconnaître et à respecter les auxiliaires, c'est déjà se préparer à adopter plus facilement les solutions biologiques qui seront probablement proposées dans l'avenir.
Dernière modification : 06/12/13
Auteur : D Blancard (INRA)
donc rassure toi!
d'ailleurs, j'ai eu entre autre 1 unique chenilles verte enorme qui à due etre manger par un oiseaux, disparut avant d'avoir fais des deguats, pareille avec une sauterelle.
bref c'est pas les ravageurs qu'il faut craindres, plutot le mauvais rinçage et mauvais sèchage.
voir le pire du pire!!!!!!!!!!!!!!!
......un écimage trop tard , ça donne un tabac pauvre en nicotine, la vrais horeur, clope sur clope!!!!!
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FafaTabac a écrit
J’aime bien la culture sur butte
faut aimer , y'a pas de bechage mais faut creuser.
même si ça foire un peu ne te decourage pas!
et tu à mal compris, ce que je voulais dire;
dans une vrais culture bio les plantes sont melanger emssemble de façon logique.
instructive la video, merci
par contre , il à totalement foiré les graines, il faut absolument recouvrir la hampe floral d'un voil d'hivernage dispo en hiver en jardinnerie, pour eviter les inssect polinisateur qui metrait du pollène d'un autre tabac dedans.
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