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Bonsoir,
Avec Les psychédélique il n y a pas de dépendance psy ou physique (ou alors pour de très rares personnes mais c est marginale)
Généralement après un trip tu es plutôt très content de ré atterrir sur le plancher des vaches... ça calme généralement pendant un bon moment. De plus il y a une tolérance quasi immédiate avec pas mal de psychédélique qui t oblige à augmenter très très fortement les doses si tu veux retripper le lendemain par exemple...
Donc c est du bullshit de prohibitionniste primaire cette histoire de dépendance aux psyché... ( je pense surtout à l acide, aux champi, les 2Cx etc)
Ocram
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car on ne peut faire ses courses, aller au travail et ranger sa maison tecla au LSD par exemple.
J'en ai croisés qui n'avaient rien programmé de tout cela, mais qui ne sont pas tombés accrow.
Si on devait arrêter de se droguer uniquement car ces choses ne sont pas envisageable cela ne créérait pas un frein à la dépendance. La raison est principalement liée aux caractéristiques pharma des psychédéliques qui ont peu de chances de se retrouver dans cadre de dépendance à la prise quotidienne.
Même en bourrant sur le dosage, le cerveau n'a pas la capacité de vivre une expérience génératrice de dépendance avec un usage quotidien.
Contrairement à certains stims où l'arrêt de la cession peut faire mal, là atterrissage et la fermeture de la parenthèse intervient quand la phase d'euphorie a cessé et est globalement très attendue.
Avec les psychédéliques, prendre de la drogue et arrêter la prise font du bien^^, c'est aussi ce qui en fait une classe à part.
De nombreuses personnes de ma génération ont testé le LSD dans leur jeunesse, m'ont confirmé avoir vécu des instants merveilleux sans s'être même posé la question de savoir si ils avaient envie d'en reprendre ou pas.
C'est vraiment une classe de molécules à part qui a bien des secrets à nous livrer encore.
Dernière modification par Mister No (09 octobre 2019 à 09:34)
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Dernière modification par Macroscopie (22 octobre 2019 à 14:17)
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Heashka a écrit
Pour qu'une dépendance se développe, la molécule doit permettre de vivre au jour le jour avec. Je rejoins Ocram sur le fait que les hallucinogènes dans une grande majorité de cas ne permet pas l'installation d'une dépendance car on ne peut faire ses courses aller au travail ranger sa maison tecla
Mister No a écrit
Si on devait arrêter de se droguer uniquement car ces choses ne sont pas envisageable cela ne créérait pas un frein à la dépendance.
Même en bourrant sur le dosage, le cerveau n'a pas la capacité de vivre une expérience génératrice de dépendance avec un usage quotidien.
Ce que j'ai dit quoi ahah
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Dernière modification par PaRaLLeL (31 octobre 2019 à 16:14)
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PaRaLLeL a écrit
Vu que tous le monde a l'air d'accord, je vais me permettre de partager un peu mon vécu, qui va a l'encontre de ce qui est dit.
J'ai pensé pendant des années que les psyché ne provoquaient pas de dépendance, aucune. Et puis j'ai constitué une telle habitude de ces drogues, que j'ai commencé à les banaliser de plus en plus.
Lors d'une sortie au bar entre copain, je n'y allais même plus pour tiser, mais pour "m'amuser" à me coller un para de 60mg de 2C-C par exemple. Et tout se passait bien. J'étais donc capable de gérer un psyché en société en ayant l'air moins con que ceux qui ont tisé de l'alcool. Tout bénef'
Je pars petit à petit de plus en plus en couille, et commence a consommer de plus en plus souvent de la Proscaline pour allé au taff. Et tout se passe bien.
Et puis j'en arrive à une consommation totalement dingue de psyché, au quotidien. Déjà, je tiens à préciser que s'il y a une tolérance élevée aux effets hallucinogène, les effets stimulants/réhaussement d'humeur sont toujours d'actualité. Et c'est ce que j'ai fini par rechercher. Notamment avec la classe des phénéthylamines, -Proscaline/Escaline/3C-P/3C-E/2C-iP/2C-E/2C-C/2C-D/2C-B-FLY pour les principaux-, les lysergamides sont également intéressant au quotidien, en particulier ALD-52/ETH-LAD/1P-ETH-LAD/LSM-775, mais aussi des tryptamines comme la DPT/4-HO-DPT/EPT/5-MEO-MiPT et j'en passe. Côté dissociatifs, j'ai beaucoup consommé de 3-MEO-PCP/3-MEO-PCE/3-HO-PCP/3-HO-PCE/2-FDCK/Deschloroketamine/O-PCE... Dans mon niveau de tolérance le plus haut, je pouvais combiner pas mal de ces produits ensemble. Et si ça partais en "trop psyché" un coup de Diazepam/Alprazolam et on repartait de plus belle.
Tout ça pour dire que quand on en a beaucoup trop pris depuis des années, et qu'on sait comment hacker son cerveau en maniant une tolérance adaptée, il devient possible de "binger" des psyché comme on le ferait avec des stimulants ou opiacés.
Et j'ai démarré mes conneries avec le micro-dosing, m'apercevant du bien être que ça m'apportais au quotidien, j'ai continué et les doses sont montées petit à petit sans jamais me retrouver totalement perdu en société.
Et je ne conseille à personne de se lancer là-dedans, je viens de passer presque une année à me remettre de ces abus.
Mais mdr vraiment tous les psychonauts ont migrer ici en faite ! La dernière fois qu'on se MP tu étais plutot branché 3-FMA ahah
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PaRaLLeL a écrit
Tu es le frère caché Bogdanov ?
Non non non mon petit fumeur de teushi. Si je te dit plan à trois entre une des membres de l'époque avec ma meuf de l'époque ça te rappelera peut être des conversations IRC ahah
Dernière modification par Heashka (01 novembre 2019 à 13:04)
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Dernière modification par Agartha (01 novembre 2019 à 16:27)
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Rick a écrit
Les psychonautes devraient être stérilisés, ils se multiplient. Je vais les attirer avec un nouveau RC et de la tektonik.
Ahah bande de p'tit salopio
Hugodelia a écrit
Il y a un truc que je ne comprends pas dans cette discussion.
Pourquoi dire que pour qu'il y ait addiction il faut qu'on puisse le faire au quotidien?
Si quelqu'un consomme un truc un jour sur deux par exemple, le soir au lieu de dormir, et qu'il ne peut pas diminuer sa consommation, alors je suppose qu'on peut déjà parler d'addiction. Pourtant c'est hors de son quotidien.
J'ai tort?
C'est très résumé mais l'idée sous-jaccente c'est qu'un des facteurs de risque pour le potentiel d'addiction d'une molécule c'est sa capacité à être consommer tout en te permettant de continuer ton train de vie, sans que celui-ci en soit trop impacté.
Je vais prendre deux exemples : la prise de DOM et la prise de cocaïne. Je prend exprès des extrêmes. L'idée c'est qu'il sera plus compliqué d'adapter ton quotidien si tu prends tous les jours du DOM plutôt que de la cocaïne. Le premier va tellement altérer ta perception du monde que l'expérience est difficilement ajustable à tes obligations professionnelles, affectives, sociales, etc.
De manière insidieuse, il te sera plus facile de tomber dans l'addiction à la cocaïne qui elle te permet au jour le jour de faire ce que ton entourage et tes propres routines te demandent.
Je sais pas si c'est très claire ce que je souhaites dire ?
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Hugodelia a écrit
Très clair, merci pour la réponse!
Super alors je suis content :)
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OfMn a écrit
Salut,
Pour le coup je ne suis pas vraiment d'accord avec les réponses du dessus.
Certe tu n'aura jamais une dépendance psychique aussi forte que pour certaines autres drogue, mais tu peux en développer une quand même si tu aimes ça.
De mon expérience, j'ai était complétement obsédé par le LSD sur une période de trois ans. J'en ai pris presques chaques semaines ( parfois plusieurs fois dans la même semaine, mais vu que les effets sont diminué si les prises sont trop rapproché ça m'a vite calmé et poussé à attendre minimum 5jours entre chaques prises ). J'y ai pensé tous les jours pendant 3ans, et ça m'a pris du temps pour m'en détacher. Et pour le coup, comme avec le weed, le LSD aura était pour moi la drogue qui m'aura le plus accroché psychologiquement.
Du coup je dirai que ouai tu peux avoir une dépendence psychique, mais c'est différent, peut-être pas de l'ordre du "craving" lié à l'état de manque à proprement parlé, mais plutôt d'une quête de sensation forte sans fin ( enfin c'est ce que j'ai analysé pour moi ).
Après chacun est différent :)
Totalement d'accord avec toi
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