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Merci pour ta réponse.le methadone me fait énormément somnoler. mais il faudrai petre en effet que je reprenne le traitement pendant une periode ou tout es calme pendant mes congés par exemple pour que sa se passe mieux meme si je somnole
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Abracabrantesque a écrit
Salut!
Tu prends 800mg de tramadol par jours alors que la limite recommandée est de 400 mg.
Toute cette confusion est liée à ce dosage trop élevée. Dans un premier temps il faut a absolument que tu passes au maximum à 400 mg par jour.
Si la baisse est trop difficile à supporter alors tu peux t'aider du tso mais ça peut aussi bien se passer sans. Ca vaut le coup d'essayer.
salut,
Merci pour ta reponse. actuellement j'essaie de baisser et m'y tenir meme si c'est difficile. j'ai pu arreter des fois mais j'ai rechuté. je vais me faire un programme pour baisser progressivement. Une fois que j'aurai arreté le tramadol, ca se passe comment pour le TSO? je peux arreter directement ou il y aura une demarche particulière a suivre?
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Dernière modification par Cosmococcyque (01 janvier 2020 à 22:37)
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Cosmococcyque a écrit
En remplaçant le Tramadol par la méthadone, tu échanges certes un problème par un autre, très similaire, mais la méthadone sera quand même plus sûre :
- 800 mg de tramadol par jour est un dosage dangereux, à cause des risques de syndrôme sérotoninergique - duquel tes crises de convulsion ne doivent pas être étrangères. Remplacer cela par un dosage méthadone adapté te permettra d'éviter de risquer ta vie
- la demi-vie longue de la méthadone et les différents dosages qui existes permettent de diminuer en douceur sur plusieurs mois/années, c'est le seul moyen de se sevrer sans trop souffrir, quitte à finir avec des dilutions successives du sirop pour vraiment atterrir en douceur. Ce qui est délicat à réaliser avec les comprimés de tramadol.
- la prescription sera prise en charge par la SS, donc tu ne dépensera presque plus rien.
Franchement, c'est une alternative à vraiment considérer si tu souhaites engager un processus thérapeutique. Cela pourra peut-être t'aider à retrouver un équilibre et reprendre du poil de la bête. C'est sur, c'est pas une potion magique non plus la méthadone, ça reste un opiacé, avec ses inconvénients spécifiques, mais je me répète, le rapport bénéfice/risque est bien supérieur à celui de tes doses de tramadol.
Merci pour ta réponse
En effet utiliser de la méthadone de sera avec le risque de remplacer une addiction par une autre. Je vais baisser par paliers avec le tramadol.
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BABOUBUD a écrit
Bonjour à toi EricCartman,
Je t'apporte mon témoignage pour te dire que ces possible d'arrêté le tramadol...
Mais tout cela ne ce fais pas en un jour c'est long personnellement j'ai mis pratiquement un an à arrêté.
Comme toi ma dose journalière été de 800 mg voir 900mg quand j'avais une nouvelle boîte et ceci pendant plus d'un an.
Je dirais pas que ce médicament a gâcher ma vie car je suis seul responsable de mes actes on ne m'a jamais forcé à en prendre et j'étais bien dans ma vie (Travail, copine, maison...).
Seulement quand tu te cache de ta consommation ça t'amène à mentir à des proches faire des choses pas très honnêtes pour te procurer une boîte de Tramadol.
J'ai clairement creusé mon propre trou en l'espace d'un an...
J'ai pratiquement tout perdu ma copine mon emploi et mon logement.
J'ai du retourné dans ma famille proche.
Et tout ça dans le mensonge car je leur ai caché à eux aussi jusqu'au jour où plus de tramadol.
L'angoisse total comment vais-je faire ???
Allé j' étais parti pour un sevrage à la dure....
Premier jour au lit toute la journée pas besoin de t'expliquer les symptômes obtenu un enfer comme beaucoup de gens le savent.
Deuxième jour craquage les nerf à vif je m'effondre de pleure devant ma mère et ai enfin le courage d'en parler...
Ça fais un bien fou juste d'en parler tu vides ton sac (le faire avec vraiment quelqu'un de proche qui sera vous écouté et non vous jugez)
Du coup ma mère en parle à ma sœur et elles décides de m'aider.
Prise de rendez-vous au CSAPA le plus proche en plus génial ils sont spécialisés dans les addiction pharmaceutiques et le médecin et très bien noté par ces patients donc elle me rapelle et me pose des question basique du style depuis combien de temps j'ai commencé à quelle dose je tournais...
Malheureusement le fameux médecin renommé partait en retraite du coup énorme attente.
J'ai décidé tout simplement de faire un arrêt palliatif avec l'aide de ma famille.
Je m'y suis tenu tout les mois on baisse de 50mg et au lieu de commencé à 800mg je suis passé direct à 600 et j'ai baissé de 50 tout les mois.
Résultat 2 semaines que je suis clean et j'en garde aucun côté traumatisant et put... Comme c'est bon.
Conclusion de tout ce blabla...
Arrête en progressif mais avant ça trouve un médecin qui t'écoutera et ne te jugera pas et parle en aussi à quelqu'un qui pourra être la et t'épauler si tu rencontres des difficultés.
Vraiment bon courage à toi !
Ps: Désolé pour les nombreuses fautes d'orthographes
Merci pour ce témoignage, sa fais un bien fou d’avoir le témoignage de quelqu’un qui vie la même chose. C’est très difficile et je me sentais vraiment seul. Je suis content que tu ai réussi à arrêter. Et sa me donne l’espoir que je puisse y arriver aussi. Je n’en ai jamais parlé avec mon entourage. J’ai peur de la déception et du fais qu’ils seront par la suite suspicieux tout le temps en ce qui concerne les médicaments. Surtout que j’ai un problème à la hanche qui nécessite souvent des anti douleur (les anti inflammatoires font bien le boulot je n’ai pas vraiment besoin du tramadol).
Mon mode de vie me détruit petit à petit état de fatigue constant donc pas de vie sociale je passe mes week-ends à dormir, ma copine qui me pose tout le temps des questions et commence vraiment à s’agacer de ces week-end enfermé à la maison et les crises convulsives.
Actuellement j’ai réussi à baisser de 150mg, j’ai des répercussions physiques mais c’est surtout mentalement que c’est dur, là sensation de defonce me manque et il faut que j’arrive à me convaincre psychologiquement que c’est nécessaire d’arrêter.
Sa me coûte énormément d’argent aussi vu que je commande sur le darknet , c’est près de 300€/mois que je. Dépense pour sa. Pck je ne veux pas éveiller les soupçons de le sécu en me faisant prescrire tout le temps du tramadol.
Je continue mon sevrage par palier je dirais sur le forum comment sa se passe. J’écarte définitivement la méthode du sevrage à la dur c’est une horreur. Je plains sincèrement les gens qui sont en manque d’autre sans drogues comme la cocaine ou autre.
Je continue de faire le travail de sevrage progressif encore merci pour ton témoignage.
Désolé j’ai été un peu long et je suis parti dans tous les sens ?
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EricCartman a écrit
BABOUBUD a écrit
Bonjour à toi EricCartman,
Je t'apporte mon témoignage pour te dire que ces possible d'arrêté le tramadol...
Mais tout cela ne ce fais pas en un jour c'est long personnellement j'ai mis pratiquement un an à arrêté.
Comme toi ma dose journalière été de 800 mg voir 900mg quand j'avais une nouvelle boîte et ceci pendant plus d'un an.
Je dirais pas que ce médicament a gâcher ma vie car je suis seul responsable de mes actes on ne m'a jamais forcé à en prendre et j'étais bien dans ma vie (Travail, copine, maison...).
Seulement quand tu te cache de ta consommation ça t'amène à mentir à des proches faire des choses pas très honnêtes pour te procurer une boîte de Tramadol.
J'ai clairement creusé mon propre trou en l'espace d'un an...
J'ai pratiquement tout perdu ma copine mon emploi et mon logement.
J'ai du retourné dans ma famille proche.
Et tout ça dans le mensonge car je leur ai caché à eux aussi jusqu'au jour où plus de tramadol.
L'angoisse total comment vais-je faire ???
Allé j' étais parti pour un sevrage à la dure....
Premier jour au lit toute la journée pas besoin de t'expliquer les symptômes obtenu un enfer comme beaucoup de gens le savent.
Deuxième jour craquage les nerf à vif je m'effondre de pleure devant ma mère et ai enfin le courage d'en parler...
Ça fais un bien fou juste d'en parler tu vides ton sac (le faire avec vraiment quelqu'un de proche qui sera vous écouté et non vous jugez)
Du coup ma mère en parle à ma sœur et elles décides de m'aider.
Prise de rendez-vous au CSAPA le plus proche en plus génial ils sont spécialisés dans les addiction pharmaceutiques et le médecin et très bien noté par ces patients donc elle me rapelle et me pose des question basique du style depuis combien de temps j'ai commencé à quelle dose je tournais...
Malheureusement le fameux médecin renommé partait en retraite du coup énorme attente.
J'ai décidé tout simplement de faire un arrêt palliatif avec l'aide de ma famille.
Je m'y suis tenu tout les mois on baisse de 50mg et au lieu de commencé à 800mg je suis passé direct à 600 et j'ai baissé de 50 tout les mois.
Résultat 2 semaines que je suis clean et j'en garde aucun côté traumatisant et put... Comme c'est bon.
Conclusion de tout ce blabla...
Arrête en progressif mais avant ça trouve un médecin qui t'écoutera et ne te jugera pas et parle en aussi à quelqu'un qui pourra être la et t'épauler si tu rencontres des difficultés.
Vraiment bon courage à toi !
Ps: Désolé pour les nombreuses fautes d'orthographesMerci pour ce témoignage, sa fais un bien fou d’avoir le témoignage de quelqu’un qui vie la même chose. C’est très difficile et je me sentais vraiment seul. Je suis content que tu ai réussi à arrêter. Et sa me donne l’espoir que je puisse y arriver aussi. Je n’en ai jamais parlé avec mon entourage. J’ai peur de la déception et du fais qu’ils seront par la suite suspicieux tout le temps en ce qui concerne les médicaments. Surtout que j’ai un problème à la hanche qui nécessite souvent des anti douleur (les anti inflammatoires font bien le boulot je n’ai pas vraiment besoin du tramadol).
Mon mode de vie me détruit petit à petit état de fatigue constant donc pas de vie sociale je passe mes week-ends à dormir, ma copine qui me pose tout le temps des questions et commence vraiment à s’agacer de ces week-end enfermé à la maison et les crises convulsives.
Actuellement j’ai réussi à baisser de 150mg, j’ai des répercussions physiques mais c’est surtout mentalement que c’est dur, là sensation de defonce me manque et il faut que j’arrive à me convaincre psychologiquement que c’est nécessaire d’arrêter.
Sa me coûte énormément d’argent aussi vu que je commande sur le darknet , c’est près de 300€/mois que je. Dépense pour sa. Pck je ne veux pas éveiller les soupçons de le sécu en me faisant prescrire tout le temps du tramadol.
Je continue mon sevrage par palier je dirais sur le forum comment sa se passe. J’écarte définitivement la méthode du sevrage à la dur c’est une horreur. Je plains sincèrement les gens qui sont en manque d’autre sans drogues comme la cocaine ou autre.
Je continue de faire le travail de sevrage progressif encore merci pour ton témoignage.
Désolé j’ai été un peu long et je suis parti dans tous les sens ?
Salut à toi et tout le plaisir est pour moi.
Je viens au nouvelle ou en est tu dans ton sevrage tu tien toujours le cou ??
T'est tu donné une quantité à respecter ?
Si tu a besoins de discuté n'hésite pas ou des conseils pareils n'hésite pas.
Courage courage ????????
Dernière modification par BABOUBUD (05 février 2020 à 12:21)
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BABOUBUD a écrit
EricCartman a écrit
Merci pour ce témoignage, sa fais un bien fou d’avoir le témoignage de quelqu’un qui vie la même chose. C’est très difficile et je me sentais vraiment seul. Je suis content que tu ai réussi à arrêter. Et sa me donne l’espoir que je puisse y arriver aussi. Je n’en ai jamais parlé avec mon entourage. J’ai peur de la déception et du fais qu’ils seront par la suite suspicieux tout le temps en ce qui concerne les médicaments. Surtout que j’ai un problème à la hanche qui nécessite souvent des anti douleur (les anti inflammatoires font bien le boulot je n’ai pas vraiment besoin du tramadol).
Mon mode de vie me détruit petit à petit état de fatigue constant donc pas de vie sociale je passe mes week-ends à dormir, ma copine qui me pose tout le temps des questions et commence vraiment à s’agacer de ces week-end enfermé à la maison et les crises convulsives.
Actuellement j’ai réussi à baisser de 150mg, j’ai des répercussions physiques mais c’est surtout mentalement que c’est dur, là sensation de defonce me manque et il faut que j’arrive à me convaincre psychologiquement que c’est nécessaire d’arrêter.
Sa me coûte énormément d’argent aussi vu que je commande sur le darknet , c’est près de 300€/mois que je. Dépense pour sa. Pck je ne veux pas éveiller les soupçons de le sécu en me faisant prescrire tout le temps du tramadol.
Je continue mon sevrage par palier je dirais sur le forum comment sa se passe. J’écarte définitivement la méthode du sevrage à la dur c’est une horreur. Je plains sincèrement les gens qui sont en manque d’autre sans drogues comme la cocaine ou autre.
Je continue de faire le travail de sevrage progressif encore merci pour ton témoignage.
Désolé j’ai été un peu long et je suis parti dans tous les sens ?Salut à toi et tout le plaisir est pour moi.
Je viens au nouvelle ou en est tu dans ton sevrage tu tien toujours le cou ??
T'est tu donné une quantité à respecter ?
Si tu a besoins de discuté n'hésite pas ou des conseils pareils n'hésite pas.
Courage courage ????????
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BABOUBUD a écrit
Salut ?.
Ça fait plaisir de voir que tu te prenne en main réellement.
Alors tout d'abord ne sois pas pressé, tu dois descendre à ton rythme.
Comme j'ai pu te l'expliqué mon sevrage a était asser long un tout petit peu plus d'un an.
J'ai procédé ainsi 50 mg en moins tout les mois.
C'est sur à certain moment c'est pas facile donc dans ces moment il faut te posé les bonnes question et surtout trouvé la réponse adapté.
Si à un moment tu a vraiment du mal à faire la transition par Exemple passé de 300 mg à 250 mg et que tu sais que tu dois te préparé un peu plus psychologiquement rallonge de une semaine là baisse des doses.
Par contre après la semaine où tu t'est préparé à baissé et que tu n'est toujours pas près mentalement, il faudra que tu le baisse quand même.
Ne t'inquiète pas si tu est un peu étirable et tu te sent pas en super forme c'est tout à fait normal ton corps s'adapte à la baisse de produit ça dure 1 jour voir 2 et après ça ton corp s'habitue.
Moi personnellement j'ai arrêté à 100 mg j'ai pas fait la transition de 100 mg à 50mg car déjà 100 mg ça ne faisait strictement rien enfin pour moi je ne ressentais plus rien donc je me suis dis oublions le 50 mg et à la fin du moi de décembre j'arrive sur mes derniers cachets et au début une certaines appréhension est la.
Le jour où plus de cachet je m'attendais à des petit signe de manque des symptômes quoi.
RIIIIEN WELOUUU NADA QUEDAL
J'étais clean au tramadol et ça c'était super satisfaisant de se dire j'y suis arrivé quand tu a déjà essayé le sevrage à la dur bah tu te dis pourquoi certain oses se faire du mal comme ça alors que la méthode dites CHINOISES marche à merveilles et ne laisse aucune séquelles style dépression baisse de moral ou autre.
Si la seul chose de négative j'ai une diarrhée ça depuis mon arrêt total.
Je dois voir un gastro et faire des prélèvements intestinaux pour voir un peu l'état de tout ça.
En ce qui concerne la defonce alors non elle ne me manque pas à vrai dire je me dis que d'être perché au point de piqué du nez à certain moment c'était pas un truc qui me plaisait.
Mais comme il y en a toujours mais, je suis consommateur de cannabis et je pense que ça aussi m'a aidé en quelque sorte...
Je fume mon petit bob le soir avant d'allé au dodo
Ce qui n'est pas une consommation excecives.
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apaws a écrit
Bonjour tout le monde,
bonjour EricCartman,
Je publie pour la première fois sur ce forum.
J'ai arrêté le tramadol (2*200mg LP) en environ 3 semaines. Après plus de cinq années de consommation journalière. Pendant une période de chomage. Environ 25-30 mg en moins tous les trois-quatres jours, je cassais les comprimés. C'était un enfer. Pour palier je fumais beaucoup de cannabis, dont j'étais accrocs aussi.
Il n'y a pas de méthodes "miracles", tu dois essayer de trouver la tienne.
Lorsque tu as des douleurs (ex: crampes musculaires, prends une douche, un bain).
Pense à déplacer "psychologiquement" ta douleur(ex: j'ai mal aux pieds, non en fait, c'est le bras, puis la tête ..).
Avant de prendre une dose, force toi à aller comme un zombie dehors, va marcher.
Il peut être "utile" de pousser le manque à l'extrême les premiers temps, pour ensuite mieux suporter, accepter le sevrage. Trouve ton point de "rupture", là où la douleur est intollérable.
Essaye d'utiliser les effets du manque comme les effets d'un acide ou autres.
Cherche de la musique qui correspond à ces effets de manque.
Pour moi :
Si j'y suis arrivé, alors tu peux le faire aussi.
Pense à manger, boire(pas d'alcool).
Lorsque tu arrives à la fin de ce sevrage, il y a ensuite une autre période de 3 à 6 mois, où ton cerveau doit retrouver son équilibre chimique (sérotonine ...).
C'est un combat difficile, ne te décourage pas en cas de rechute, au contraire, ça fait parti de tous les sevrages.
Bon courage à toi.
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Dernière modification par Faust08 (11 février 2020 à 14:43)
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EricCartman a écrit
Salut apaws
Merci pour cette réponse. Oui en effet il faut trouver son propre rythme. J’arrive à supporter pas mal la baisse progressive et à gérer les effet secondaires. Le travail que j’ai à faire est beaucoup plus psychologique pck les effets me manquent ce qui me fait rechuter.
D’ailleurs sa m’amène à la question que je posais à BABOUBUD un autre intervenant plus haut: tu as gérer le sevrage tout en travaillant? Comment tu as fait pour tenir.
Non, je ne travaillais pas du tout ...
En fait, j'ai commencé à avoir des gros problèmes au travail et dans ma vie privé..
Alors j'ai tout envoyé chier, et je me suis enfermé quasiment 3-4 semaines.
J'étais mal du matin au soir, constamment en manque, à alterner repos, joints et marche. Mon sevrage aurait été impossible, si j'avais du travailler ou suporter mon milieu professionnel.
Je ne sais même plus si j'arrivais à dormir plus de 3-4 heures par nuit.
C'était comme une grosse fièvre, sans une seconde de répit.
Comme je l'ai dit, j'ai enlever 25-30 mg par prise, soit 50 à 60 mg tout les 3-4 jours.
Je pense que je n'aurais jamais réussi à me sevrer si j'avais du aller bosser, et réduire progressivement..
Bon courage à toi.
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Dernière modification par EricCartman (13 février 2020 à 08:24)
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Faust08 a écrit
Coucou a tous !
Je suis exactement dans la même phase que toi EricCartman (avec 3,4 mois en plus je dirais). Si je pouvais donner un conseil à mon mois d'il y a 5,6 mois ca serait de pas rester "stabiliser" trop longtemps car après avoir passé 3 voir 4 mois stabilisé à 400mg je me retrouve aujourd'hui a de nouveau consommer 600mg/j .. (ayant baisser de 600 à 400 en 6 semaine environs). Je dirais donc par retour d'expérience qu'il faut embrasser la motivation du "je veux moi et pour moi arrêter" et ne pas la lâcher jusqu'à un dosage bien plus bas que la dose de départ.
Après mon échec n'est pas définitif (comme aucun d'ailleurs), depuis 3 semaine j'ai un gros boost au moral grâce à un travail ou je me plaît plutôt (du moins j'arrive à ne voir casiment que les coté positif .. le point de vue fait beaucoup ) et je compte repartir bientôt (le mot de trop) dans mon sevrage.
Par contre moi je ne ressent plus les effets opiacés depuis longtemps avec mon tramadol, auquel j'ajoute pas mal de valium (et prend des quantités un peu trop excessive proche des 1,5 g en moyenne) pour pouvoir piquer un peu du nez .. comme toi cette défonce me manque trop et me pousse a ce comportement a haut risque pour la retrouver . Vous ressentez vous toujours cet effet opiacés apres quelques années de conso quotidienne ?
La mise sous métha m'intéresse énormément mais ayant parler (dans ma filouterie) à mon médecin de passer sous codeine/ dihydro (malheureusement pas disponible en Belgique) ou en incitant le passage à la morphine, il avait l'air très très retissant de passer à un opiacés de palier supérieur du coup j'ai abandonner ce combat, il me prescrit donc du valium avec pour gérer les effets secondaires assez violent du tramadol à ce dosage.
Personnellement toutes ma famille proche est au courant et ça a fais énormément de bien a ma consommation et a mon bien-être. Ils ont été super, très compréhensif, "un peu" a l'écoute (venant deux c'est pas banal) le proscrivant; tout en me laissant tenir les rênes et en m'apportant de l'aide lors de situation difficile (problème avec le médecin, trop mal gérer le stock, bref en tombant. à cours). Je ne saurais conseiller d'en parler ou pas a ses proches de ma seule expérience car elle est unique et mes parents sont très compréhensif.
Je rajouterais un dernier mot pour dire que j'ai vu sur le net, plusieurs fois (et probablement sur le forum), que la kétamine pouvais aider lors d'un sevrage opiacés, après avoir fait l'expérience lorsque je baisse drastiquement le dosage (pour diminuer un peu la tolérance ou pour retomber un peu à zéro pour que la prochaine prise frappe un peu ..) ou lors de dèche, j'ai trouver le résultats satisfaisant ! (Faites en ce que vous voulez je pose ça la ! )
Heureusement que je suis au boulot et que je la fais courte ..
Sur ce, prenez soin de vous avant tout !
Faust
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apaws a écrit
EricCartman a écrit
Salut apaws
Merci pour cette réponse. Oui en effet il faut trouver son propre rythme. J’arrive à supporter pas mal la baisse progressive et à gérer les effet secondaires. Le travail que j’ai à faire est beaucoup plus psychologique pck les effets me manquent ce qui me fait rechuter.
D’ailleurs sa m’amène à la question que je posais à BABOUBUD un autre intervenant plus haut: tu as gérer le sevrage tout en travaillant? Comment tu as fait pour tenir.Non, je ne travaillais pas du tout ...
En fait, j'ai commencé à avoir des gros problèmes au travail et dans ma vie privé..
Alors j'ai tout envoyé chier, et je me suis enfermé quasiment 3-4 semaines.
J'étais mal du matin au soir, constamment en manque, à alterner repos, joints et marche. Mon sevrage aurait été impossible, si j'avais du travailler ou suporter mon milieu professionnel.
Je ne sais même plus si j'arrivais à dormir plus de 3-4 heures par nuit.
C'était comme une grosse fièvre, sans une seconde de répit.
Comme je l'ai dit, j'ai enlever 25-30 mg par prise, soit 50 à 60 mg tout les 3-4 jours.
Je pense que je n'aurais jamais réussi à me sevrer si j'avais du aller bosser, et réduire progressivement..
Bon courage à toi.
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WStark a écrit
Bonjour à tous,
C'est aussi ma première participation sur le forum, je vous avoue que je suis bizarrement rassurée de voir que cette dépendance est (malheureusement) partagée par d'autres personnes.
Pour résumer: j'ai eu un gros accident il y a bientôt 9 ans. "tu es chanceuse, c'est un miracle" on m'a dit... Pas une fractures, mais des séquelles que j'aurais préférée éviter, un problème persisteant au genou et l'addiction au tramadol en font partie !
Pendant 3 ans je n'en prenais que pour les épisodes tres douloureux, j'ai même reproché à mon médecin de m'avoir prescrit ce truc qui me fait me dormir dessus... Puis mon genou me faisait souffrir de plus en plus, le docteurs me disent d'attendre, qu'ils ne peuvent rien faire, et je finis par me reposer sur cette solution qui calme douleur et angoisse d'avoir mal.
Je suis très très anxieuse de nature, au début je ne me rend pas compte des effets autres que calmer ma douleur, ça devient une obsession de ne plus avoir mal.
Il y a deux ans j'en ai marre, je surprime le tramadol pendant 8 mois, c'est pénible mais ça va, beaucoup de sport dans la limite de ce que mon genou supporte et je gère. Puis, nouvelle dégradation le stade de mon problème s'est aggravé , mon genou me fait horriblement souffrir, rien ne fait... "attends qu'on t'opere un jour"... Rien ne fait sauf le tramadol... C'est reparti...
Mais là j'en ai assez...je prenais les ixprim, je ne suis jamais allée au delà de 6 par jour (généralement 3 suffisaient). J'ai diminué petit à petit ces 2 dernières semaines et et arrêté totalement depuis seulement 24h. Je sais ce qui m'attend, j'ai déjà faits des arrêts plusieurs fois, mais évidemment j'ai mal... J'ai mal au genou et j'ai mal de savoir ce que j'ai bien pu infligé à mon organisme pendant autant d'années...
Merci à vous tous pour vos témoignages, on n'est pas seuls et on arrivera à faire en sorte que ça passe. Courage à nous ??
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Dernière modification par Faust08 (17 février 2020 à 07:16)
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Faust08 a écrit
Re coucou !
C'est pas vraiment mon post mais vu qu'on est tous dans le même cas (le tramadol a haut dosage) je me permets de témoigner !
Cette semaine j'ai baisser d'un coup a 500 Mg (j'étais à 600mg pour rappel) et je me sens très bien, un peu fatigué en fin de journée, parfois un peu en mode "ennui/il manque quelques choses" de la journée au boulot quand le travail est pénible ou que je me tourne les pouces (ahlala etre fonctionnaire ). Je pop tout le matins, ça dois jouer pour la fatigue du début de soirée.
Et mes plaisirs de ce week-end se sont passé à 1400 mg, ce qui en soit est une baisse de 600 voir 800 mg lors de mes derniers excès à 2g+ ! (Par contre jai bu deux bon verre de pamplemousse qui, chez moi, favorise énormément ma transformation en O-desymethiltramadol (la molécule qui fais vraiment l'effet opiacés ). Donc très satisfait de ma défonce et très très satisfait d'avoir baisser les dosages
Objectif passer à 400 mg par jour ! Je vais attendre une semaine voir deux mais je stagnerais pas des mois cette fois ! (Et puis si possible passer à 1g lors de récréatif meme si jai bien peur de pas avoir beaucoup d'effet, mais peut-être moyen de m'y contenter ? Ou de rajouter deux petit valium dessus .. ?)
Concernant la culpabilité au fait de consommer je pense que c'est vraiment très néfaste, même dans le but d'arrêter la substance. C'est une substance comme une autre, et en plus a des dosages légers les effets secondaires sont plutôt légers. Avant de se sentir bien dans sa consommation (pour ensuite pouvoir diminuer sereinement) je te conseille d'accepter, d'accepter avoir eu besoin d'un produit une certaines périodes (et ce n'est pas un mal !). Et ensuite de voir bien plus loin, oui on est des gens accroc, mais derrière nous sommes de bonnes personne, pas des voleurs, ni des gens violent, serviable, honnête (enfin je l'espère pour vous ahah). Le tramadol ne nous a pas du tout changer en monstres, il nous a juste aider à traverser une période difficile, et une fois quelle est passée on mets tout en œuvre pour se sevrer. Apres je suis d'accord que cest cher payé pour une béquille émotionnelle, mais si nous avons accroché c'est que nous en avions besoin a ce moment précis (car disons le nous, le tramadol donne pas de mega rush ni d'extase, cest surtout qu'il nous met en état de plénitude alors que ça va potentiellement pas dans nos vie ou dans notre tête). Donc no culpabilité ! On le mérite pas du tout ! Et quand on aura plus besoin on arrivera à se séparer produit, j'en suis certains. (Meme si ça peut prendre un certains temps en fonction de l'intoxication).
Bon courage à vous les gars/filles, et bon courage aussi au lecteur silencieux qui sont occupé de se sevrer (de toutes molécules d'ailleurs) tout est toujours possible pour celui qui trouve la volonté. Même si souvent l'appel du produit est plus fort, mais profitez tant qu'elle est la pour faire un ou deux petits pas vers le sevrage !
N'hésitez pas à partager aussi le déroulement de votre sevrage, si vous en avez envie, ça permettras de se motiver ensemble, et je suis curieux de ton avancée Eric
Du moins chez moi ça a marché, c'est grâce à ton post que je me suis dis que je devais reprendre le sevrage ne fût ce que pour me débarrasser de quelques mg quotidien, même si après je refais une pause de 6 mois au moins ça aura encore un peu avancer
Prenez soin de vous, et pour les lecteurs qui sont de nouveau consommateur lisez bien ce thread pour bien comprendre jusqu'où peut mener une consommation non contrôlée de trama !
Faust
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