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Dernière modification par Mister No (04 février 2020 à 07:51)
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Mister No a écrit
Je n'étais pas né mais certaines déclarations au sujet de l'armement font penser à la guerre froide en effet.
Tu as des sources sur cette comm ?
Ce n'est pas un article parue dans la presse mais sans rien annoncer je suis tombé sur des articles et document du département de la défense américain quand je surfais sur les différents sites de littérature scientifique.
Après j'hésite à mettre la source car il pourrait y avoir des lecteurs mal-intentionné
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Mister No a écrit
Les personnes mal intentionnées n'ont pas besoin de ce forum pour fomenter des saloperies... A mon avis.
Hmmm tu as peut-être raison
Je vais quand même demander au poto de la modération si y a pas moyen de mettre ce thread en lecture juste pour les inscrits
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Heashka a écrit
Après j'hésite à mettre la source car il pourrait y avoir des lecteurs mal-intentionné
C'est à dire ?
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Rick a écrit
Vends tongs
Usager ? Ou dans leurs boite ?
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Investigating Disease Outbreaks under a Protocol to the Biological and Toxin Weapons Convention
Source de suspiçion par Wheelis à l'université de Californie USA
résultat d'une attaque biologique secrète par une autre nation, d'une attaque criminelle ou terroriste, d'une attaque secrète par une nation contre un groupe infranational à l'intérieur de ses frontières, ou de l'évasion d'un agent biologique d'une installation développant des armes prohibées.
Si un pays soupçonne qu'il a été attaqué biologiquement par un autre pays, ce sera probablement lui qui demandera une enquête et devrait coopérer pleinement. Cependant, malgré l'attitude coopérative du pays hôte, son intérêt direct pour le résultat de l'enquête exige que l'équipe d'enquête soit attentive à la possibilité que les informations fournies par des sources officielles soient biaisées, incomplètes, voire frauduleuses.
Normalement, une épidémie soupçonnée d'être le résultat d'une attaque criminelle ou terroriste ferait l'objet d'une enquête policière par le pays sur le territoire duquel elle a eu lieu. Cependant, dans certains cas, une assistance au titre du protocole serait demandée, par exemple si le pays touché ne disposait pas de ressources suffisantes pour mener une enquête ou si un terrorisme parrainé par l'État était suspecté. Ces enquêtes seraient également menées dans un climat de coopération.
Les flambées supposées être le résultat d'une attaque par une nation contre l'un de ses propres groupes infranationaux ou le résultat d'une libération accidentelle d'agents nocifs pourraient conduire à une demande d'un État partie pour une enquête sur le territoire d'un autre. Si la nation soupçonnée est innocente des allégations, elle pourrait coopérer pleinement avec l'équipe d'enquête. Cependant, même pour une partie innocente, des considérations de souveraineté nationale ou des préoccupations concernant la divulgation d'informations sensibles sur des questions internes pourraient inciter le gouvernement national à s'opposer à une enquête en vertu d'un protocole conventionnel. Même le simple désir de ne pas compliquer une enquête de santé publique en cours pourrait entraîner des réticences; par exemple, l'épidémie de 1993 de syndrome pulmonaire à hantavirus aux États-Unis avait plusieurs caractéristiques très suspectes (7) . Si le protocole avait été en vigueur à ce moment-là, une demande d'enquête internationale sur place, parallèlement à l'enquête en cours sur les Centers for Disease Control and Prevention, aurait été probable. Les États-Unis n'auraient probablement pas accueilli une telle complication.
Si la communauté internationale procédait à une enquête importune, elle le ferait dans des conditions décidément peu coopératives. Cela pourrait compliquer et même compromettre l'enquête. Le fait de ne pas coopérer à l'enquête constituerait une violation du protocole et pourrait être interprété comme confirmant la culpabilité, une incitation à donner au moins l'apparence d'une coopération. Les grandes difficultés rencontrées par la Commission spéciale des Nations Unies lors de l'inspection des installations en Irak avec un gouvernement peu coopératif nous rappellent que la mise en œuvre d'enquêtes indésirables nécessite une volonté politique et une persévérance décourageantes ( 17-19 ). Cependant, le succès de la Commission spéciale des Nations Unies à déterrer les détails des programmes d'armes irakiens, malgré l'échec du gouvernement irakien à coopérer, montre que de telles enquêtes peuvent être utiles.
Après leurs "investigations", ll ne se cachent même plus derrière les syntaxes pour évoquer timidement ce qu'ils nomment des opérations
Ces procédures comporteront certains éléments, tels que les normes médico-légales pour le traitement des preuves, qui ne sont généralement pas familiers aux épidémiologistes de terrain. Cependant, les procédures très formelles aideront à isoler les scientifiques des dimensions politiques de telles enquêtes. Néanmoins, plusieurs aspects des négociations en cours méritent un examen attentif des organisations et des praticiens de la santé publique, par exemple, les moyens par lesquels les informations épidémiologiques recueillies au cours d'une enquête de santé publique peuvent être utilisées pour justifier une enquête sur le contrôle des armes ou pour appuyer ou réfuter les conclusions. d'une telle enquête. En outre, il est nécessaire d'examiner plus avant les implications du partage du personnel des enquêtes de santé publique avec des enquêtes de contrôle des armements hautement politisées, conséquence du petit nombre de professionnels possédant une expertise dans les disciplines pertinentes.
Le protocole négocié de la convention sur les armes améliorera la sécurité contre les attaques biologiques. Cependant, les coûts des mesures de santé publique de routine devraient être minimisés dans toute la mesure du possible. Cela exigera une attention continue de la part des autorités chargées de la maîtrise des armements et de la santé publique. Les négociations sur le protocole approchent des étapes finales à Genève, et il n'y a plus de possibilité pour une considération technique d'avoir beaucoup d'influence sur la langue finale. Cependant, les conseils des professionnels de la santé publique seront nécessaires à mesure que les procédures opérationnelles détaillées seront élaborées pour mettre en œuvre le langage diplomatique nécessairement général du nouveau protocole.
Pour avoir bouffer de la déontologie au cours de mes études j'ai appris à décotiquer et ressortir le fond de l'idée derrière des tournures de phrase qui veulent vous rassurer ou éviter d'éveiller une curiosité.En résumé le département de la défense aux états-unis (à moins que ça vienne des politiques) contourne l'interdiction d'utilisation d'arme biochimique en la modifiant sous couvert d'offrir la possibilité d'enquêter (en réalité c'est un espionnage technologique inter-pays tout simplement).Par la suite, ils disent clairement, une fois obtenu le droit "d'enquêter" qu'ils vont aussi pour "comprendre" savoir la procédure détaillée et la mettre en oeuvre...
"Enfin, quelle que soit l'importance de la résolution des soupçons de non-respect des conventions, il est essentiel de protéger les interventions de santé publique en cours en cas d'épidémie. La maîtrise de l'épidémie et le traitement rapide des patients ne peuvent être compromis par une enquête simultanée sur la maîtrise des armements."
Et hop ça y'est le verrou de la convention des armes biochimiques a sauter ! Alors oui tout les pays s'intéresse à cela depuis quelque temps mais sur un certain site bien connu des épidémiologistes et toxicologues, quelques molécules dites incapacitantes en réalité clairement opioïde sont apparu...
Les références expréssemment coupé de moitié
Convention sur l'interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et sur leur destruction, ouverte à la signature à Washington, Londres et Moscou le 10 avril 1972; entré en vigueur le 26 mars 1975 .
Chevrier MI . De la vérification au renforcement du respect: perspectives et défis de la Convention sur les armes biologiques. Politique Life Sci . 1995 ; 14 : 209 - 19 .
Kadlec RP , Zelicoff AP , Vrtis AM . Contrôle des armes biologiques: perspectives et implications pour l'avenir. JAMA . 1997 ; 278 : 351 - 6
Biosurveillance de la FDA et du CDC
J'essaye au maximum de brouiller les pistes tout en préservant ma rigueur scientifique pour mes sources. Je finirais, je pense, de vous convaincre du sérieux de mon annonce à la prudence avec ceci :
Now in Emergency Response Safety and Health Database
[...]
FENTANYL : Incapacitating Agent
https://www.cdc.gov/niosh/ershdb/emerge … 50022.html
https://www.cdc.gov/drugoverdose/data/fentanyl.html
Dernière modification par Heashka (05 février 2020 à 05:05)
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Dernière modification par Mister No (05 février 2020 à 06:19)
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Heashka a écrit
Après leurs "investigations", ll ne se cachent même plus derrière les syntaxes pour évoquer timidement ce qu'ils nomment des opérations
il n’y a pas le mot "opérations" dans le texte :
"Cependant, les conseils des professionnels de la santé publique seront nécessaires à mesure que les procédures opérationnelles détaillées seront élaborées pour mettre en œuvre le langage diplomatique nécessairement général du nouveau protocole."
Ce passage nous dit simplement que la mise en œuvre des procédure opérationnelles [d'enquête] détaillées, destinée à "mettre en oeuvre le language diplomatique (...)" (c'est à dire simplement à appliquer concrètement le protocole prévue en des termes généraux par la convention) nécessitera les conseils des pros de la santé publique.
Puis plus loin :
"Enfin, quelle que soit l'importance de la résolution des soupçons de non-respect des conventions, il est essentiel de protéger les interventions de santé publique en cours en cas d'épidémie. La maîtrise de l'épidémie et le traitement rapide des patients ne peuvent être compromis par une enquête simultanée sur la maîtrise des armements."
Et tu en conclu que "les verrous de la convention ont sautés"
Oui et non , ça veut surtout dire que une enquête peut être empêchée ou retardée compte tenu des interventions de santé publique nécessaire.
Bon la on est d'accord un pays pourrait utiliser ce prétexte pour empêcher l'enquête sous un prétexte bidon. Mais quid dans les faits ?
Les passages au dessus de ce que je cite nous disent simplement, en substance que: d'une part, une enquête peut être diligentée à la demande d'un Etat sujet à une "épidémie suspecte", ou un Etat tiers si l'Etat en question est défaillant sur ce point ou est suspecté de couvrir les auteur d'une potentielle attaque chimique.
D'autre part, qu'un pays pourrait être réticent à coopérer lors de cette enquête même si innocent, par peur de révélations d'informations intéressant la sécurité publique.
Enfin, que les praticiens de la santé publique doivent être attentif à certains point: "par exemple les moyens par lesquels les informations épidémiologiques recueillies au cours d'une enquête de santé publique peuvent être utilisées pour justifier une enquête sur le contrôle des armes ou pour appuyer ou réfuter les conclusions d'une telle enquête."
Il me semble que ce passage et la fin du paragraphe vise notamment les prétextes utilisé par les US pour mener la guerre contre l'Irak. En gros il faut faire gaffe à comment les infos transmises peuvent être dévoyée et utilisées...
Quant à tes deux liens sensés nous convaincre: le premier est un rapport sur la potentielle utilisation du fentanyl comme arme chimique,ses caractéristiques en tant que telle et les mesures à prendre en cas de telles attaques...
De telles recherches peuvent être menées dans le but de se protéger d'une attaque comme d'en commettre une bien sur, mais bon... C'est comme si un rapport anticipait une attaque terroriste par 100 hommes armés de kalash dans un métro. Ca ne signifie pas que l'Etat ayant établi le rapport compte mener une telle attaque...
le second un rapport sur les overdoses d'opioïde...
Après évidement que les Etats mènent encore des recherches sur les potentiels armes chimique, notamment des opioïde mais ne t'inquiète pas ils n'ont pas attendu 2020 pour s'y mettre...
Mais de la à en conclure qu'ils l'utilisent déjà à grande échelle, au mépris total de la convention ( cf ton passage sur les russes) permet moi d'émettre de sérieuses réserve tout de même, à moins de sources concrètes et solides... Je sais bien que c'est possible dans des cas d'opérations spéciale très ciblées par exemple, ou dans le cadre d'assassinat mais c'est tout je penses.
D'ailleurs les drones m'ont l'air plus efficaces pour ça
Sinon ça se saurait depuis, les complots impliquant des milliers/dizaines de millier/ centaines de millier de personnes sont souvent vite découverts ...
Ca pourrait arriver dans le cadre d'une 3e guerre mondiale peut être et encore...
Donc pas de raison de paniquer outre mesure je penses pour l'instant
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