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Dernière modification par Escape (05 mars 2020 à 11:54)
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Anonyme1136 a écrit
Magnifique poème adresser à l’éthanol
Tu vas le pecho à coup sûr, je vous dit bonheur à l’avance hein
Si je n’ai pas le bon traitement à la bonne posologie je pense que c’est plutôt lui qui finira par me pecho, et à la vie à la mort
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Rick a écrit
Tu te considères alcoolique ou pas?
tu consommes chaque jour? semaine? combien
Je ne me considère pas alcoolique « grave » car je ne bois pas chaque jour mais chaque semaine après effectivement quand soit j’arrive à court de médocs traitant du GABA, soit quand même avec ces médocs là + l’antidépresseur je me sens mal alors pour éviter de prendre de l’alcool et de bousiller mon foie parfois je prend de la doxylamine plusieurs comprimés ou bien un peu de tramadol 80mg que mon père a dans ses nombreuses boites antidouleurs.. mais sinon le truc c’est que les pharmacies dans ma ville il y en a 5 et elles commencent à me connaître toute vu que ça fait 1 an et quelques bientôt que je fais ça, donc elles deviennent très chiante quand je leur demande de la doxylamine elles me disent « mais c’est toujours pas passé votre insomnie ? » ou encore « vous en avez déjà eu il y a 10 jours monsieur on ne peut pas vous en redonner comme ça » donc je n’ai pas envie non plus de piquer trop de tramadol à mon père qui en a besoin pour ses douleurs physiques.. du coup ces dernières semaines je me suis remis à boire « un peu » de vodka pour une bouteille de 70cl j’en bois 10cl par exemple.. même si parfois je déborde car mon cerveau là aussi s’est habitué vu que c’est un gabaerique maintenant j’ai compris ce mécanisme, et du coup j’en bois 20/25cl Max dans des périodes où vraiment je suis pas bien du tout.. un mélange de pleur notamment, en désespoir, solitude colère, peur
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Escape a écrit
Anonyme1136 a écrit
Magnifique poème adresser à l’éthanol
Tu vas le pecho à coup sûr, je vous dit bonheur à l’avance heinSi je n’ai pas le bon traitement à la bonne posologie je pense que c’est plutôt lui qui finira par me pecho, et à la vie à la mort
Quoiqu’il en sois je te souhaite tout le courage et la motivation du monde, c’est très difficile à vivre comme situation, et surtout encore plus difficile pour s’en libérer, je te fais confiance pour le recale si il essaie de te pecho, tu mérites de rencontrer quelqu’un de plus saint que mr éthanol, ça fait combien de temps que tu considère ça comme un réel soucis ?
Anonyme1136 a écrit
Escape a écrit
Si je n’ai pas le bon traitement à la bonne posologie je pense que c’est plutôt lui qui finira par me pecho, et à la vie à la mortQuoiqu’il en sois je te souhaite tout le courage et la motivation du monde, c’est très difficile à vivre comme situation, et surtout encore plus difficile pour s’en libérer, je te fais confiance pour le recale si il essaie de te pecho, tu mérites de rencontrer quelqu’un de plus saint que mr éthanol, ça fait combien de temps que tu considère ça comme un réel soucis ?
Depuis 6 mois à peu près il m'est arrivé de consommer chaque mois, (jusqu'à 2019 je n'avais jamais bu d'alcool, j'ai commencé à 19 ans)
puis vers septembre 2019 il y a eu mon père de 82 ans qui s'est fait hospitalisé.. pour une opération lourde du cœur, je vie avec lui depuis que j'ai quitté le lycée pour des problèmes psychologiques et du harcèlement (grosse erreur en y repensant puisque je n'ai pas le BAC à cause de cela, mais je ne vais pas + m’épancher sur le sujet ce qui est fait est fait, je me suis assez lamenté sur ce fait depuis assez longtemps maintenant), mes parents sont divorcés et je ne m'entends pas bien avec ma mère qui est froide avec moi et son nouveau compagnon, donc je n'avais (et je n'ai) réellement que lui pour me soutenir vraiment moralement vu que je n'ai pas d'amis, donc j'ai commencé à boire réellement plus à ce moment là, de 1 à 2 verres par mois c'est passé de 1 à 2 bouteilles de 50cl de Vodka..
Mon addiction vient de mon isolement, de mon stress, de ma grande difficulté à gérer mes émotions, qui sont de plus en plus négative au vue de mon contexte actuel de solitude et de problèmes psychiatrique, d'isolement qui s'accumule et qui complexifie, en + du manque de formation, la futur recherche d'emploi que j'aurais à faire quand ça ira (un peu) mieux car pour l'instant, je ne suis capable de rien
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