Donormyl et sommeil

Oui, j'ai remarqué, j'ai du mal a me réveiller mais ça s'arrête la.


Je me demande surtout si cette molécule a un impact sur la qualité du sommeil et si elle modifie les cycles.
Quelqu'un a des infos ?

Dernière modification par Daane-El (16 mai 2020 à  19:46)

pizi a écrit

non elle ne modifie pasles cycles ni n'a un impact sur la qualité du sommeil, elle induit le sommeil mais n'entre en rien dans la possibilité de maintenir le sommeil sur la durée de la nuit, attention à la définition des molécules et à ce que nous en comprenons... un somnifère ne veut pas dire grand chose. ex: le théralène n'est pas un ssomnifère, c'est un antihistaminique,  ms est cependant indiqué dns les troubles du sommeil. le zolpidem est classiquement appelé somnifère dans le langage courant mais il n'en est rien, il est un hypnotique!! il induit le sommeil donc aide à l'endormissement, pas plus. attentioin donc à la terminologie employée, que nous ne nous emmêlions pas lorsque nous parlons de ces soucis de sommeil qui nous minent mais si ns ne sommes pas clairs à l'exposé de nos problèmes/interrogations il sera difficile d'avoir des réponses claires et les + proches de la vérité possibles.

Oui la doxylamine est un antihistaminique, cependant il est vrai que je pensais que les z-drugs etaient des somnifères (ce ne sont donc que des "cousins" des benzo ?)

Le cannabis n'est pas un somnifère et pourtant il a un impact sur les cycles du sommeil (je crois ?) . Du moins il réduit la qualité de ce dernier, ça c'est une certitude.
J'ai même trouvé quelques etudes qui tendent a montrer que la Melatonine a la longue impacte également les cycles du sommeil. D'ou ma question :)

Pour dormir il y a le téralène en gouttes pour enfants et selon le dosage, chacun y trouve son sommeil sans être vaseux.
Alors que le zolpidem ou imovane a un effet réveil comme le stilnox mais au bout de 6 h au lieu de 4..

Bonjour Hardzek ,

J'ai comme tu le précises dans ton premier post des difficultés à l'endormissement depuis l'enfance et on ne peut pas se contacter par mp tant qu'on a pas posté un certain nombre de message sur le forum.

Je serais intéressé de savoir ce que tu as essayé (à part le zolpidem que je connais bien), peut etre des méthode plus "douces" et si parfois elles ont fonctionnées. Je suis preneur de tout conseil.

En effet le zolpidem est un hypnotique ce qui devrait etre top pour nous mais ça marche pas sur tout l emonde (perso j'en ai abusé mais j'ai connu des gens à qui ç afaisait rien à part une grosse dalle), j'ai aussi eu des somnifères désormais interdits, ça marchait pas parce que je dormais mais je mettais des heures à m'endormir.

Bref, si t'as des astuces ue jt'as tentées même si elles ont pas marchées, bah je te liriai avec attention... :)

PS: les autres intervenants, je vous ai lu, merci de vis contributions :)

Récemment je suis passée au noctamide, après 12ans de Imovane.
Ça marchait super bien sûr moi, les premiers effets, je les ressentais en 20minutes.
Il faut savoir que je ne dors plus depuis l’âge de 8ans. Entre 8 et 20ans, je passais vraiment des nuits d’enfer à cause d’une phobie scolaire jamais diagnostiquée.

Bref, j’ai vécu une renaissance avec le imovane. Même si j’ai le droit au petit tacle du pharmacien : va falloir trouver un autre moyen / va falloir finir par vous en passer .... blabla
Moi ça me détend de fou. Je suis bien, libre, légère. Je mets une série, du son asmr ou de la musique sur YouTube. En tout cas, ça fonctionnait super.

Cependant ça fait quelques temps que je me réveille... avec un mal de crâne à ne pas pouvoir ouvrir les yeux. En fait, c’est cet douleur intense, de ma nuque à mes tempes, de mes yeux au somment du crâne.
J’ai comme l’impression de m’être mal couchée, genre le cou bloqué mais j’en doute car ça arrive tous les matins et il faut bien 2-3h pour que ça passe.

Donc lormetazepam pour moi, jusqu’à cet été je pense.
Et ce qui est cool c’est que j’ai baissé la posologie. J’étais à 2 imovane... ou 2 et demi tellement j’appréciais le côté deshinibé.

Avant de penser à un somnifère, aurais tu tenté déjà un benzo relativement basique comme le xanax ?
En psychiatrie, on commence par les benzos : xanax, lexomil, seresta. Avant de passer sur du zopiclone ou zolpidem.

Concernant l’antisthaminique dispo en pharmacie, moi ça n’a jamais fonctionné mais je suis asthmatique donc j’en ai un en traitement de fond déjà !! XD

Bonjour, je me présente : homme 41 ans 65Kg ingénieur informatique.

Je ne sais pas si je suis au bon endroit pour faire part de mes "problèmes" mais en lisant le post de Hardzek je me suis un peu reconnu et je voulais porter ma pièce à l'édifice.

Idem gros problème d'endormissement depuis tout petit.

Pour info je viens d'une famille où la drogue faut pas toucher c'est mal ; du coup aucune éducation sur les drogues à part quelques préventions à l'école sous forme de BD, mais c'était de la prévention pour les drogues dures en poudre (cocaïne, héroïne) et ça a plutôt bien marché d'ailleurs xD
Jamais entendu parler du cannabis, je ne savais pas du tout ce que c'était la première fois que des potes m'en ont proposé.
J’ai commencé à fumer du cannabis vers 17 ans, jamais rien ne touché avant à part un peu d'alcool (bière), même pas la clope.
Ça a été la révélation : première fois que j'ai fumé j'ai eu droit à une "soufflette" et j'ai trouvé ça magique. Je fumais toujours avec mes potes bien expérimenté, ça y allait à coup de bang et de lait magique. Leurs parents fumaient aussi et du coup c'était pas du tout diabolisé comme chez moi, j'ai découvert un nouveau monde.

Ensuite j'ai commencé à en fumer seul chez moi le soir dans ma chambre quand je ne faisais pas de soirées, et là j'ai pu trouver le sommeil facilement.

Après c'est l'escalade classique je pense ; beaucoup de soirée entre potes avec bcp d'alcool, de joints et de bangs, à la limite du coma éthylique et cannabique, j'adorais ça et en rentrant de soirée trop facile de dormir du coup lol.
Ça a durée comme ça des années, de quoi bien monté la tolérance.
J'en suis arrivé à fumer que des bangs, et le meilleur c'était celui du soir juste avant de me coucher. Je partais dans l'espace complet et je retombais dans les bras de morphée, un vrai bonheur.

Donc ça a durée comme ça jusqu'à mes 24 ans environs.

Pendant mes études je me suis lié d'amitié avec un pote aussi fou que moi (sans limite pour le cannabis), on s’est mis à faire pousser de la bonne beuh de chez sensi****, toujours plus fortes et toujours en bang (jusque-là on fumait du shit de cité...).
Nouvelle découverte donc, un level au-dessus quoi.

Cela ne nous a pas empêché de poursuivre nos études et de finir ensemble notre BTS informatique.
Dans la foulé avec ce pote on s'est associé pour monter une boite d'informatique et ça a bien marché.
Cependant quelques années après on s’est séparé cause divergence professionnelle et on a fermé la boite.
Je me suis remis à mon compte par la suite toujours dans l'informatique et ça perdure jusqu'à maintenant.
(Voilà c'était la petite parenthèse de mise en situation professionnelle).

Je n'ai jamais arrêté de fumé, j'avais full monnaie et ma plantation a la maison.
A partir de mes 36 ans environ ma tolérance au canna est devenu folle. Ma conso c'était à partir de 18h jusqu'au couché, une douille par heure, voir par demi-heure,
Et obligé de tirer 2-3 douilles le soir pour pouvoir dormir. il m'en fallait toujours plus et aussi ça commençai à me faire chier de devoir fumer autant pour avoir seulement un peu d'effet.
Ensuite est arrivé le moment ou même avec 3-4 douilles avant le couché ben c'était dur de trouver le sommeil...

C'est là que j'ai découvert PA et les RC. J’ai commandé quelques Cannabinoïdes synthétiques par 1g voire plus. Je m'envoyais ça en douille et dosé à la pointe du couteau. (Pas du tout RDR ne PAS FAIRE CA)
Des fois je partais tellement loin, ça me rappelai mes premiers bang en bien plus fort. Tellement fort des fois même que j'avais peur de l'OD, mais finalement c'était juste très très fort.
Ma femme n'a pas supporté de me voir comme ça et d'un commun accord on a tout jeter ce qui me restai aux chiottes.
C'est vrai que je me suis fait un peu peur sur le coup. Mais j'y suis retourné quelques mois après, et grosse engueulade à nouveau avec ma femme.
J’ai laissé tomber les RC et je me suis remis par dépit a la beuh (qui ne faisait quasiment plus rien).

J’ai 41 ans maintenant et j'ai décidé de faire un T-break pour baisser (enlever ?) ma tolérance.
J'ai tout arrêté depuis 2 semaines maintenant.
Après réflexion et recherches je pense être Asperger également. (Je vais consulter pour en être sur).

WOA comment j'ai raconté ma vie moi c’était pas prévu ; j'espère ne pas avoir saoulé tlm avec mon histoire.

Pour en revenir au sujet du coup, Le donormyl fonctionne bien sur moi également.
Après mure réflexion j'en suis venu à l'idée d'essayer le LSD et autre psychédéliques synthé pour me "guérir".
J’ai commandé :
1CP-LSD

5-MeO-DMT

5-MeO-MiPT HCL Powder

Je reçois ça demain normalement et je suis encore dans l'expectative de l'utilisation de ces produits.
J’en ai parlé avec ma femme qui est totalement contre, elle pense que vu mon passif c'est la pire chose que je pourrai faire...

Que pensez-vous de tout ça ?

Félicitation et merci si vous avez eu le courage de me lire jusqu'au bout.

PS : et j'ai aussi trouvé un truc tout con, je lis dans mon lit. Après 30min-1h je me sens comme hypnotisé et j'ai le sommeil qui viens comme si j'étais défoncé.
J’adore la SF d'anticipation et je me suis mis à fond dans Stephan Baxter.
Voici une petite liste de lecture pour les intéressés :

Lumière des jours enfuis - 1 tome
Cycle des Xeelees - 4 tomes
Les enfants de la destinée - 3 tomes
Les univers multiples - 3 tomes