ivermectine , le bilan de "prescrire"
En même temps l'OMS qui botte en touche et décide de décider... dans 4 semaines.
J'ai le sentiment que tant que pas de traitement décrété au moins un peu efficace par des fact checkers, nous n'en saurons pas plus, et tapis rouge pour les nouveaux vaccins.
Et surtout pas tout de suite même si certaines études laissent penser à de nombreux spécialistes dont ceux de l'OMS que ça mériterait à minima de pousser des études. Ce serait bien, en attendant, de laisser faire les médecins comme au Japon ou ailleurs à condition qu'ils utilisent des vielles molécules dont la toxicité est connue et archie connue.
le prix Nobel de physiologie ou de médecine en 2015. À ce jour, le Pr Omura a mis en lumière plus de cinq cents composés organiques, ce qui a permis de développer de nouveaux médicaments. Le prix Nobel lui a été attribué (son corécipiendaire est William C. Campbell, ancien chercheur à l’Institut Merck pour la recherche thérapeutique) pour la découverte ainsi que la culture de l’avermectine, et sa transformation en médicament antiparasitaire, l’ivermectine. L’avermectine est une molécule produite par des microorganismes, que le Pr Omura est parvenu à isoler dans un échantillon de terre. Le médicament qui en découle est remarquablement efficace, et ce même à petite dose. Il contribue grandement à accroître la production alimentaire lorsqu’il est utilisé comme antiparasite sur le bétail. L’ivermectine s’est avéré être un traitement performant pour soigner des maladies humaines telles que l’onchocercose (communément appelée « cécité des rivières ») causée par des nématodes, et la filariose lymphatique (communément appelée « éléphantiasis »), des maladies auparavant très répandues, notamment en Afrique et en Amérique latine. et de l’Institut Kitasato, l’ivermectine est aujourd’hui distribuée à 400 millions de personnes par an. Ce traitement a permis d’éradiquer les maladies susmentionnées dans certains pays. Il est aussi utilisé contre la strongyloïdose et la gale. En outre, il semblerait qu’il empêche le développement de certains virus tels que le VIH et la dengue. Des expériences in vitro ont démontré que l’ivermectine inhibe la fonction des substances qui véhiculent le virus jusqu’au noyau des cellules du parasite et sont à l’origine de la multiplication virale. Cette dernière découverte suggère que la molécule pourrait avoir un effet similaire sur le nouveau coronavirus en circulation. Comment le Japon a-t-il réalisé d’aussi grandes avancées dans le domaine des maladies infectieuses ? Selon le Pr Omura, « l’esprit altruiste » de son pays en est l’une des raisons. « Les Japonais sont naturellement enclins à venir en aide à autrui. Le Japon a été exposé à plusieurs reprises à des catastrophes naturelles, notamment aux séismes et aux typhons, et je pense que ceux qui ont survécu à de telles épreuves ont compris l’importance de coopérer les uns avec les autres. »
https://www.nikkei.com/article/DGXZQOFB … 1A1000000/
Il faut que la politique de la terreur cesse et surtout qu'on redonne la main aux médecins et plus aux politiques.
« La crainte engendrée par le Covid-19 semble en relation inverse de sa létalité »
Chiffres à l’appui, le démographe Hervé Le Bras examine les conséquences de l’épidémie sur les statistiques de mortalité et d’espérance de vie. Ses calculs nuancent la gravité de l’épidémie.
Tribune. En 2020, le nombre des décès a augmenté de 7,3 % en France. Les personnes les plus âgées ont été particulièrement frappées par l’épidémie de Covid-19. Selon l’Insee, au cours de la deuxième vague, la mortalité a augmenté de 19 % entre septembre 2020 et janvier 2021, pour celles qui sont âgées de plus de 75 ans.
Selon Santé publique France, le site officiel du ministère, de la mi-mars 2020 à la mi-janvier 2021, 59 % des personnes décédées pour cause de Covid-19 étaient âgées de plus de 80 ans alors que cette classe d’âge ne représente que 6 % de la population totale. Ces données ont pesé dans les décisions prises par le gouvernement pour combattre l’épidémie.
Ces chiffres ne prennent cependant de la valeur que lorsqu’on les compare à d’autres données. Prenons par exemple ce pourcentage de 59 % et comparons-le à celui de la mortalité habituelle. Cela est possible grâce à la répartition des décès par âge publiée par l’Insee. En 2018, dernière année disponible, 61 % d’entre eux provenaient de personnes de plus de 80 ans, soit, à 2 % près, la proportion des personnes âgées parmi les décédés du Covid-19 qui vient d’être citée. Le Covid-19 ne discrimine donc pas plus les personnes âgées que ne le font les causes habituelles de mortalité en son absence.
Causes culturelles
On peut penser que ce constat contre-intuitif résulte des mesures prises par le gouvernement pour protéger les personnes âgées. Pour le vérifier, il faudrait comparer la situation française réelle à un groupe contrôle où aucune mesure n’aurait été prise, mais cela est impossible car aucune partie du territoire national n’a été dispensée de ces mesures.
https://www.lemonde.fr/idees/article/20 … _3232.html
Si quelqu'un a accès à l'intégralité de l'article, merci d'avance.
Pour moi, il devient de plus en plus évident que nous avons été terrorisé par les médias et les politiques dans le but de nous rendre plus malléables pour le business plan.
Dernière modification par Mister No (17 février 2021 à 20:21)
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Mister No a écrit
Que dire du remdesivir alors ?
Je ne lui prédisais pas un grand avenir, il a eu l'extra ball.
En parlant de traitements, il n'y aurait pas que les élevages de visons qui auraient servi de trampoline mutagène.
Un preprint sort aujourd'hui.
L'étude de montrerait que le remdesivir, en plus de sa grande toxicité et le fait que ce soit un mutagene ait joué un rôle dans la création puis la sélection de mutants résistants.
Le tout sur des sujets immunideprimés.
Les conditions idéales pour créer non plus des mutants mais des variants par sélection.
https://academic.oup.com/jid/article/223/1/23/5934826
https://www.medrxiv.org/content/10.1101 … 21249554v1
Le Remdésivir favorise apparemment une mutation qui rend le virus 2 fois plus contagieux*. Ce médicament a été très vite homologué par l'agence sanitaire européenne, alors que les preuves d'efficacité étaient encore très minces :
http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2020 … urope-avis
L'INSERM a arrêté récemment un essai sur cette molécule faute de preuves de son efficacité (l'OMS avait aussi émis des doutes depuis plus longtemps et même déconseillé son utilisation !)...ça n'empêche que l'Europe à dépensé 63 millions d’euros en juillet pour 180 000 doses et encore plus en octobre en achetant 500 000 doses supplémentaires, et Gilead à empoché plus de 900 millions d'euros dans le monde (à 390 dollars la dose, soit 2 340 dollars le traitement, recommandé en six doses) !
C'est pas le genre de données qui vont augmenter la confiance envers les labos / politiciens...
* https://www.pourquoidocteur.fr/Articles … nefficaces
Sinon, si quelqu'un s'y connaît, ça m'intéresse d'avoir un avis sur le péché originel antigénique et les vaccins :
Wikipédia a écrit
Entre les infections primaires et secondaires, ou après une vaccination, un virus (tout particulièrement les virus à ARN tel que le virus du Sida, de la grippe ou les coronavirus qui mutent très facilement et souvent), peut subir une dérive antigénique, lors de laquelle les protéines de surface virales (les épitopes) sont altérées (par mutation naturelle dues à de mauvaises copies de l’ARN ou dues à des recombinaisons génétiques entre virus plus ou moins proches).
Cette dérive antigénique permet au virus d'échapper au système immunitaire. Lorsque cela se produit, le virus modifié réactive préférentiellement les cellules B de mémoire à haute affinité précédemment activées et stimule la production d'anticorps. Cependant, les anticorps produits par ces cellules B se lient généralement de manière inefficace aux épitopes modifiés. De plus, ces anticorps inhibent l'activation de cellules B naïves (d’affinité plus élevée qui auraient pu sans cela produire des anticorps plus efficaces contre le deuxième virus). Cela conduit à une réponse immunitaire moins efficace, et à des maladies récurrentes, difficiles à contrôler.
Pour les virus concernés, l’effet du « péché originel antigénique » a des implications importantes pour le développement des vaccins.
Par exemple, dans le cas de la dengue pour laquelle existent 4 sérotypes, quand un individu a établi une réponse immunitaire contre un sérotype du virus de la dengue, il est peu probable que la vaccination contre un second sérotype soit efficace chez ce même individu. Le vaccin doit être tétravalent, c'est-à-dire que la première dose de vaccin doit induire des réponses immunitaires équilibrées contre les quatre sérotypes du virus. En 2015, une nouvelle classe d'anticorps neutralisants très puissants a été découverte, qui est efficace contre les quatre sérotypes viraux, ce qui laisse espérer le développement d'un vaccin universel contre la dengue.
Dans le cas de la grippe dont le virus dominant dans un hémisphère change tous les ans, la spécificité et la qualité de la réponse immunitaire face de nouvelles souches de grippe sont souvent diminuées chez les individus qui sont immunisés à plusieurs reprises (par vaccination ou infections récurrentes).
Cependant, l'impact du « péché originel antigénique » sur la protection immunitaire n’est pas clairement établi, et semble différer pour chaque vaccin, et pour chaque agent infectieux, mais aussi selon l'emplacement géographique et l’âge de la personne. Ainsi, a-t-on constaté une moindre réponse en anticorps induite par le vaccin contre la grippe pandémique à H1N1 de 2009 chez les personnes qui avaient antérieurement été vaccinées contre le virus saisonnier A / Brisbane / 59/2007 (H1N1) dans les trois mois précédents.
https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9ch … C3%A9nique
Quelles sont les implications pour les personnes qui auraient fait les 2 premières injections, et qui devraient refaire une nouvelle injection "mise à jour" par rapport aux nouveaux variants ?
Dernière modification par Anonyme2021 (18 février 2021 à 02:10)
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Un phénomène similaire de « péché originel antigénique » a été décrit dans les cellules T cytotoxiques (CTL)[15].
Il a été démontré que lors d'une deuxième infection par une souche différente de virus de la dengue, les LTC « préfèrent » libérer des cytokines plutôt que provoquer la lyse cellulaire. Une production excessive de cytokines (tempête de cytokine) augmente la perméabilité vasculaire et aggrave les dommages aux cellules endothéliales[16].
Plusieurs groupes et laboratoires ont tenté de concevoir des vaccins contre le VIH et l’hépatite C sur la base de l'induction de la réponse des lymphocytes T cytotoxiques (LTC). La découverte que la réponse LTC peut être « biaisée » par le « péché originel antigénique » peut aider à expliquer l'efficacité limitée de ces vaccins (d’autres explications, complémentaires sont la mauvaise qualité antagonique du candidat vaccin ou la facilitation de l'infection par des anticorps lors de la maladie). Les virus comme le VIH sont extrêmement variables (ils subissent fréquemment des mutations) ; en raison du « péché originel antigénique », l'infection par le VIH induite par des virus qui expriment des épitopes légèrement différents (que ceux d'un vaccin viral) ne serait pas contrôlée par le vaccin. En fait, avec ce type de virus, le vaccin peut parfois aggraver l'infection en "piégeant" la réponse immunitaire dans la première réponse qu'il a faite, inefficace contre un nouveau variant du même virus[5].
Si j'ai bien compris, l'orage de cytokine pourrait être une réaction induite par le fail de notre système immunitaire à cause d'un mutant qui réinfecte ou qui contamine après la vaccination contre un mutant ou des mutants précédents.
Safe, vous avez dit safe ?
Pour en revenir sur l'HCQ et l'impasse pour trancher, une méta analyse paraît avoir écarté les études directement financées par Gilead mais...
Concerning Big Data, this is a new problem. In some Big data studies, data acquisition is directly financed by Gilead, the pharmaceutical industry with a conflict of interest against HCQ (23,24). In another Big data study reporting a beneficial effect of remdesivir and a deleterious effect of HCQ, a direct conflict of interest is declared by several authors (25).
Conclusions
In therapeutic trials on COVID-19, the major biases predicting the conclusions are not methodology nor data analysis, but conflict of interest and absence of medical expertise. The herein proposed criteria should help reviewers to avoid a new scandal of retracted articles and to improve the honesty and medical quality of future clinical therapeutic studies.
Dernière modification par Mister No (18 février 2021 à 22:49)
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Mister No a écrit
Pour moi, il devient de plus en plus évident que nous avons été terrorisé par les médias et les politiques dans le but de nous rendre plus malléables pour le business plan.
Business plan de ce type ?
Qui a vraiment eu la main sur la gestion de la campagne de vaccination contre le Covid-19 en France ? Certains domaines de la stratégie vaccinale mise en place par le gouvernement ont été confiés au cabinet de conseil américain McKinsey, ainsi qu'à plusieurs autres cabinets (Accenture...) selon les révélations faites par Le Canard Enchaîné et le site Politico (en anglais) début janvier.
Ces prestations extérieures s'éleveraient à 2 millions d'euros par mois pour McKinsey selon Le Point, et 1,2 million d'euros pour Accenture, d'après Mediapart.
La première rencontre entre Emmanuel Macron et McKinsey remonte à 2007...
...durant les travaux de cette commission chargée de formuler des propositions pour "libérer" la croissance française. Parmi eux, se trouvent Eric Labaye et Pierre Nanterme, respectivement patrons de McKinsey France et d'Accenture, détaille le quotidien. Emmanuel Macron fait aussi la rencontre de Karim Tadjeddine, alors chef des consultants de McKinsey.
Avec ce dernier, Emmanuel Macron – qui a entre-temps intégré la banque d'affaires Rothschild & Cie – intègre en 2010 le conseil d'administration du think tank En temps réel. Ils y rencontrent Thierry Cazenave, avec lequel ils collaboreront quelques années plus tard sur son livre L'Etat en mode start-up.
Aujourd'hui, Emmanuel Macron est chef de l'Etat. Il a créé après son élection, en novembre 2017, une direction interministérielle à la transformation publique (DITP) et placé à sa tête un certain Thierry Cazenave, qui supervise toutes les missions commandées aux cabinets de conseil privés, comme McKinsey. Quant à Karim Tadjeddine, il est justement chargé de ces missions pour l'Etat au sein du cabinet américain. Un "entre-soi qui dérange", écrit Le Monde. Selon le journal, la DITP, qui dispose d'un budget global de 100 millions d'euros sur le quinquennat, a pour l'instant dépensé 30,2 millions pour les seules prestations de consultants privés.
Le Monde raconte que le 23 décembre lors d'une visioconférence organisée par Olivier Véran avec les directeurs d'hôpitaux choisis pour lancer le plan de vaccination, Maël de Calan, élu du Finistère embauché en 2018 par McKinsey, détaille la stratégie logistique retenue et dresse un état des lieux de la vaccination chez les voisins européens. Une présence qui étonne, alors que "pour le H1N1, en 2010, nous n'avons pas eu besoin d'autres compétences, on a tout géré en interne", remarque une personne haut placée au sein du ministère de la Santé.
"Au moins deux associés et sept consultants de McKinsey travaillent sur la campagne de vaccination", avance l'article...
"D'une manière générale, le recours à des cabinets de conseil ne me choque pas trop", observe Véronique Louwagie auprès de Politico. Mais "la fréquence me gêne, l'accélération (de ces derniers mois) aussi". Elle ajoute : "La question aujourd'hui est de savoir : est-ce qu'il est normal qu'une administration comme celle de la santé ne soit plus en capacité d'assurer un certain nombre de missions ?"
McKinsey intervient aussi auprès du ministère des Armées, qui échappe au contrôle de la DITP et dispose de sa propre enveloppe de 87 millions d'euros pour acheter des conseils, assure le quotidien. Le cabinet conseille le ministère sur sa transformation.
https://www.francetvinfo.fr/sante/malad … 91131.html
McKinsey travaillait déjà sur la campagne du futur président en 2016 :
En avril 2016, il crée En marche. Au cours de l'été, des groupes de travail sont déjà sur pied. Une dizaine de salariés de McKinsey réfléchissent à des propositions sur l'économie ou les grands dossiers régaliens, raconte Le Monde. Dans le même temps, Emmanuel Macron organise une "grande marche" en France pour recueillir les doléances des Français. Un ex de McKinsey, Guillaume Liegey, est chargé de collecter et de traiter les data. McKinsey a ensuite mis en forme le rapport. La candidature officielle d'Emmanuel Macron à la présidentielle sera annoncée le 16 novembre 2016.
Les salariés de McKinsey sont-ils intervenus sur le temps libre ou à titre bénévole ? La société n'a pas répondu au Monde. Aucune trace ne figure, en tout cas, dans les factures du candidat Macron déposées à la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques.
Une fois Emmanuel Macron élu en 2017, de jeunes consultants de McKinsey rejoignent le pouvoir : directeur adjoint du cabinet du secrétaire d'Etat au Numérique, chef du "pôle projets" de la République en Marche, directeur général de la République en Marche. Éric Labaye, le dirigeant de McKinsey qu'Emmanuel Macron avait rencontré en 2007, a été nommé président de Polytechnique par Emmanuel Macron en août 2018. De son côté, l'ancien patron des Jeunes avec Macron, Martin Bohmert, a rejoint le cabinet McKinsey en 2020.
Les appels d'offres centralisés
Avant l'élection d'Emmanuel Macron, chaque ministère passait ses appels d'offres de son côté. Les règles ont changé depuis 2017. Emmanuel Macron lance sa réforme de l'Etat et créé une direction interministérielle à la transformation publique (DITP). Son rôle : superviser toutes les missions commandées par l'Etat aux cabinets privés afin d'empêcher toute position dominante d'un cabinet de conseil. C'est dans ce cadre que le marché de la logistique du plan de vaccination a été attribué.
https://www.ladepeche.fr/2021/02/05/qui … 355298.php
On apprend par ailleurs, que ce "fameux" cabinet américain serait impliqué dans la crise des opioïdes outre atlantique :
La procureure de l'Etat de New York, Letitia James, a révélé ce jeudi que le prestigieux cabinet de conseil en stratégie a signé un accord pour solder les poursuites engagées par 49 Etats américains l'accusant d'avoir contribué à la mortelle crise des opioïdes aux Etats-Unis. McKinsey a accepté de verser 573 millions de dollars.
https://www.lesechos.fr/industrie-servi … ns-1287508
Dernière modification par Anonyme2021 (19 février 2021 à 01:09)
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Dernière modification par Mister No (19 février 2021 à 20:04)
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Respectivement professeur de psychologie à l’université de Pennsylvanie et journaliste-conférencier, Philip Tetlock et Dan Gardner font preuve d’une certaine autodérision et d’une humilité à toute épreuve à propos de ceux qu’ils qualifient de « super prévisionnistes ». Certes, plusieurs ratés gigantesques en matière d’anticipation expliquent logiquement la très grande défiance du grand public vis à vis des experts les plus médiatiques. Mais les auteurs rappellent que les attentats du 11 septembre 2001, événement extraordinaire, n’étaient pas pour autant imprévisibles : trois ans plus tôt, un complot visant à faire s’écraser un avion sur la Tour Eiffel avait été déjoué, et une opération similaire avait également été envisagée à Londres en 1999. Des signaux faibles pointaient. Sans compter l’absence de communication entre FBI et CIA (magistralement relatée dans la mini-série The looming Tower).
En somme, pour qui sait où regarder, les événements les plus imprévisibles sont décelables. Et leur livre nous montre qu’une certaine catégorie, « les super prévisionnistes », se trompent moins que les autres. Forts en maths, très curieux et très investis dans l’actualité, ces experts du futur ne sont pas pour autant les wunderkinder que la presse présente très souvent. Les auteurs insistent sur le côté un peu racoleur des « super experts » parlant 6 langues, diplômés de Harvard et avec un PHD en science dure. En réalité, parmi les profils de celles et ceux qui se montrent habiles dans l’exercice de la prédiction, on trouve certes des gens dotés de diplômes du supérieur, mais rien de très supérieur à la moyenne. En revanche, les « super prévisionnistes » ont quelque chose en plus : la curiosité. Ils lisent beaucoup d’opinions divergentes des leurs, de titres politiquement opposés à leurs convictions. Bibliquement simple, diablement efficace et suffisant pour sortir du lot des prévisionnistes, qui souvent se gourent.
L'auteur constate que sur les centaines d'experts qui interviennent dans le débat public, il est rarissime qu'on teste la validité de leurs predictions passées. Lui l'a fait pendant 20 ans avec des milliers d'experts et a pu constater qu'ils ne faisaient pas mieux que du 50/50% pour des questions binaires. Il a proposé l'image du chimpanze armé de flechettes qui fait un peu mieux que les experts mais le regrette maintenant (l'image lui semble trop simpliste).
Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de vrais experts mais ils sont en général moins "médiatiques" et les medias n'aiment pas ça.
Autre point de vue, qui montre que nos sociétés occidentales ont tendance à se comporter de façon cartésienne, alors que les société orientales analysent le probleme de façon plus globale , ce qui expliquerait leur meilleure reussite (notamment tout le monde se demande pourquoi le COVID regresse en Inde).
https://www.linkedin.com/pulse/leadersh … 4698272768
Comme l'OMS l'a suggéré:
«Si vous devez avoir raison (nb= tout comprendre) avant d'agir, vous ne gagnerez jamais. La perfection est l'ennemi du bien en matière de gestion des urgences. La vitesse l'emporte sur la perfection. Le problème actuellement, c'est que tout le monde a peur de se tromper.
En résumé, la Chine a traité cela comme un défi chaotique puis est passée à un défi complexe. Les pays asiatiques apprenant de la Chine se sont lancés dans un défi complexe. Les pays européens et anglo-saxons ont traité cela comme un défi compliqué. Mon avis est que nous verrons les résultats en fonction de nos modèles mentaux.
Nous devons changer nos modèles mentaux, travailler avec moins d'informations et bouger sans toutes les informations.
Un système compliqué est un système "compliqué" mais décomposable en éléments plus simples (méthode de Descartes)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_ … C3%A9thode
Descartes se prépare donc à remettre en question tous les concepts qu'il connaît, afin que rien de fantaisiste ne vienne polluer sa pensée, au profit de la raison inconditionnelle ; pour ce faire, il s'impose quatre préceptes :
Ne recevoir aucune chose pour vraie tant que son esprit ne l'aura clairement et distinctement assimilée préalablement.
Diviser chacune des difficultés afin de mieux les examiner et les résoudre.
Établir un ordre de pensées, en commençant par les objets les plus simples jusqu'aux plus complexes et divers, et ainsi de les retenir toutes et en ordre.
Passer toutes les choses en revue afin de ne rien omettre.
Descartes l'appliqua d'abord à l'arithmétique avant de l'appliquer à la philosophie.
Un système complexe est un problème qui n'est pas décomposable en éléments simples. Il doit être traité comme un tout.
La plupart des êtres vivants sont des systèmes complexes. Si vous êtes attaqués par un chien méchant, la connaissance fine de l'anatomie du chien ne vous servira à rien. Pour se proteger du chien il faut gerer la situation comme un tout (chien, environnement, autres personnes présentes etc..).
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (22 février 2021 à 11:02)
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Dernière modification par prescripteur (22 février 2021 à 20:18)
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ça ne change rien à l'efficacité vaccinale
Que l'on ne connaît toujours pas, il faudra attendre pour tirer des conclusions.
Pour que les vaccins soient efficaces, il doivent protéger :
- les plus anciens, ce qui donne un sens à cette-
vaccination en urgence
- des mutants en circulation et ou à venir
Ensuite on pourra débattre de l'efficacité.
Gardons sous le coude les annonces des labos et les chiffres donnés sur une phase 3 en population globale.
On verra ensuite... Ou pas comme le vaccin Astra zeneca jugé inefficace en Afrique du Sud.
La plupart des vaccins ont tout misé sur Spike.
Pasteur qui abandonne la course alors qu'il annonçait un vaccin fin 2021.
Imaginez le scandale si d'ici quelques mois voire quelques semaines, les vaccinés chopent un mutant.
Pire encore, après un vaccin, l'arrivée d'un mutant perturbe le système immunitaire qui induit un orage de cytokine.
Ce n'est pas de la science fiction, le phénomène est connu pour les virus à ARN, comme zika, le Covid, la dengue et d'autres.
Par contre penser que le ou les vaccins allaient éradiquer le virus est de la science fiction et surtout une magnifique story telling.
Nous en sommes encore à examiner si l'utilisation des fichiers informatiques est possible, sur quels points elle doit porter ...
Au delà des fichiers, nous n'avons pas encore trouvé le moyen d'isoler physiquement les malades qui font tourne à la maison.
Maintenant qu'on a des tests et des masques, il faut isoler.
Pas isoler à l'aveugle avec un confinement ou un couvre feu.
Ce n'est pas un souci de molécule ou d'efficacité vaccinale dont il est question.
Isoler les malades paraît être la mesure incontestable. C'est ce qui pour moi à permis à certains pays de briser réellement les chaînes de contamination et d'avoir un impact sur la mortalité. Japon et Corée n'ont pas abandonné leurs malades.
A la maison avec du paracétamol, c'est ce qui est responsable à mon avis de la mortalité particulièrement élevée de la France.
Dernière modification par Mister No (22 février 2021 à 20:55)
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Selon les témoignages disponibles, les premiers symptômes sont un essoufflement, une toux, de la fatigue, des courbatures et de la fièvre, puis symptômes gastro-intestinaux (nausées, vomissements et la diarrhée, 3 symptômes qui chez certains patient précèdent les symptômes respiratoires[18])[3].
Sont parfois aussi signalées des douleurs thoraciques et/ou abdominales, des frissons et une perte de poids[19].
Les symptômes évoquent d'abord un syndrome grippal, puis une pneumonie, mais les individus ne répondent généralement pas à une antibiothérapie[3].
Les symptômes apparaissent généralement en quelques jours à quelques semaines[3]. Lors de sa présentation à l'hôpital, le patient est souvent hypoxique et répond aux critères du syndrome de réponse inflammatoire systémique (SRIS), fièvre y compris[3]. éventuellement avec une fréquence cardiaque et une respiration anormalement rapides[20]
Wikipedia sur les symptômes de cette épidémie diffuse liée au... vapotage.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Pneumop … 20certains
Dernière modification par Mister No (01 mars 2021 à 20:59)
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Covid-19 : MedinCell publie une analyse approfondie sur la sécurité de l'ivermectine
BOURSORAMA CP•05/03/2021 à 17:45
Aucun problème de sécurité identifié n'empêche les autorités sanitaires d'évaluer l'utilisation de l'ivermectine contre la Covid-19 en nouvelle indication
Cette expertise rédigée par un éminent toxicologiste est une évaluation du profil de sécurité médicale de l'ivermectine
Cette expertise est basée sur une analyse approfondie de plus de 350 articles et d'informations disponibles sur Internet dont les origines sont clairement identifiées
L'analyse sera prochainement soumise par son auteur pour revue et publication dans un journal reconnu au niveau international
L'étude est disponible dès à présent sur le site de MedinCell : www.medincell.com/ivermectin
1000 à 2000 € la dose.
La même qu'avec le remdesivir en plus grand.
L'arrivée en France du bamlanivimab, un traitement par anticorps pour lutter contre le Covid-19, fait débat au sein de la communauté scientifique, qui pointe l'absence de preuves réelles de son efficacité.
Publicité
Le 12 février, l'Agence de sécurité du médicament (ANSM) a délivré une autorisation temporaire d'utilisation à un traitement contre le Covid-19, le bamlanivimab, basé sur un anticorps de synthèse du laboratoire américain Eli Lilly. Vanté par le gouvernement, il soulève pourtant des vagues de critiques dans la communauté médicale, faute d'études définitives sur son efficacité.
Dernière modification par Mister No (05 mars 2021 à 22:53)
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il faut aussi evaluer si ça diminue les formes graves
Difficile d'évaluer les effets d'un vaccin qu'on ne connaît pas sur des variants que l'on ne connaît pas et pour lesquels il n'a pas été évalué. C'est mal barré, il va falloir certainement attendre les données brutes et le données de l'insee l'an prochain pour se faire une idée de l'impact réel de la maladie sur la mortalité et l'espérance de vie.
C'est aujourd'hui grâce à ces statistiques que nous savons que la peur a été distillée depuis le début.
Rien ne dit que le variant sudaf ou les autres comme l'anglais provoquent autant ou davantage de formes graves que ce qui circulait lors de l'épidémie de 2020 qui a eu une forme d'hyperbole.
Comme savoir ?
Sans compter que les SARS-CoV-2 peuvent retourner dans l'anonymat très vite,il reste cette lueur d'espoir... mais ces saloperies s'adaptent rapidement et on les a aussi un peu aidés entre les élevages de vison et la sélection de variants grâce au remdesivir.
Je n'ai clairement plus envie de me faire vacciner, sauf que cela conditionne ma future liberté encadrée.
Liberté, façon de parler, n'oublions pas que nous sommes encore baillonés dans la rue et assignés à résidence.
Les soignants n'ont pas tous envie aussi et on les comprend... entre la réaction vaccinale souvent épuisante et le fait que le vaccin n'est pas efficace, il ne reste que l'obligation et le passeport pour écouler les stocks.
Ah, si ça et de la pub, qui est pourtant formellement interdite ou très encadrée pour les médicaments et vaccins.
https://ansm.sante.fr/Activites/Publici … ic/Vaccins
Pub illégale de la part de communes ou communautés de communes.
Il faut signaler les affiches illégales dans chaque commune et demander leur retrait, certains comme des avocats s'en chargent.
A part la pub illégale pour les vaccins ici, on teste en Afrique un carnet de vaccination infalsifiable car injecté sous la peau.
Ha oui, au fait, merci Bill Gates !
https://www.lemonde.fr/afrique/article/ … _3212.html
Dernière modification par Mister No (08 mars 2021 à 20:12)
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Q: Qu’entend-on par poliovirus dérivé d’une souche vaccinale?
R: Le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO) contient une forme atténuée (affaiblie) du poliovirus qui active une réponse immunitaire de l’organisme. Quand le VPO est administré à un enfant, la souche vaccinale affaiblie se réplique dans l’intestin pendant une période limitée, ce qui lui permet de développer son immunité en synthétisant des anticorps. Pendant ce temps, la souche vaccinale est également excrétée. Dans les zones où l’assainissement est insuffisant, ces virus vaccinaux excrétés peuvent se propager dans la communauté locale (ce qui peut conférer la protection à d’autres enfants par le biais de l’immunisation «passive») avant de finir par s’éteindre.
Il arrive de temps en temps, dans les populations ayant une très faible immunité, que la souche vaccinale excrétée puisse continuer de circuler sur une durée prolongée. Plus elle survit longtemps, plus elle peut subir de mutations génétiques. Dans de très rares cas, le virus acquiert, par mutation, la capacité de provoquer une paralysie et il est devenu ce que l’on appelle un poliovirus circulant dérivé d’une souche vaccinale (PVDVc).
Cela prend du temps pour qu’un PVDVc apparaisse. En général, il faut que la souche ait pu circuler dans une population peu ou pas immunisée pendant au moins 12 mois. Les PVDV circulants émergent quand la vaccination systématique ou les activités de vaccination supplémentaires (AVS) sont mal exécutées, la population restant alors sensible au poliovirus, qu’il dérive de la souche vaccinale ou qu’il soit sauvage. Le problème ne vient donc pas du vaccin lui-même, mais de la faible couverture vaccinale. Lorsqu’une population est bien immunisée, elle est protégée contre ces deux types de virus.
https://www.who.int/features/qa/64/fr/
La population mondiale est peu immunisée, voire pas si les mutants ne provoquent pas des maladies immunitaires et le vaccin circule depuis au moins un an.
Mais bon, selon l'OMS, le problème n'est pas le vaccin mais l'absence de vaccination.
C'est escroquerie intellectuelle cette assertion de l'OMS.
Le problème ne vient donc pas du vaccin lui-même, mais de la faible couverture vaccinale. Lorsqu’une population est bien immunisée, elle est protégée contre ces deux types de virus.
C'est le point de vue de l'OMS.
Il est raisonnable d'en avoir un autre quand on décrypte ce qui s'est passé au Soudan quand Bill gates a financé un nouveau vaccin fortement dosé car oral...
Bref, toujours pas ou peu d'études sur l'ivermectine, d'un point de vue logique en terme de mesure des risques, il eût été plus profitable de commencer par tester des vielles molécules avant de jouer à l'apprenti sorcier avec des vaccins qui n'ont pas été testés dans les règles de l'art.
Note système économique a tué la notion de principe de précaution dans notre société, au moins sur ce coup.
Dernière modification par Mister No (11 mars 2021 à 21:31)
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Dernière modification par Mister No (12 mars 2021 à 21:23)
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Il va faire quoi ce pauvre ARNm dans la cellule ? Il va se faire traduire et c'est tout. Il ne possède rien de ce qu'il faut pour rejoindre le noyau et s'y intégrer surtout.
Ce n'est pas un virus qui peut modifier notre ADN, c'est la réaction immunitaire qui ordonne des changements.
Je ne parle pas de science fiction, d'un procédé capable directement de graver directement du data sur la spirale, c'est peut être aussi notre système immunitaire qui s'en charge indirectement.
Le modèle experimental simple sur les renards de Sibérie à démontré depuis 50 ans maintenant je crois que le process biologique endicrino à un impact sur le data de la morphologie. La disparité de la production d'hormones et le comportement est en lien direct avec l'aspect et la couleur de la fourrure et même la morphologie de la descendance des renards.
C'est le système hormonal des mammifères qui a permis que l'on passe très rapidement du loup au caniche par exemple.
Quid de l'impact d'une réaction immunitaire généralisée et dans un temps très court ?
Cela laisse juste un peu plus de place à l'incertitude.
A partir de là et surtout que les mécanismes sont mal connus, même si les rétrovirus et les virus à ADN paraissent plus aptes à provoquer ces modifications, rien n'est établi pour les réactions immunitaire aux sars covid ou à ses vaccins.
Même si ces nouveaux vaccins ne sont qu'un stratagème sur une protéine de pointe et pas la structure complète.
Il y a pour moi très peu de risques, relativisé par le très grand nombre de vaccins.
Sans compter qu'on ne connaît pas les interactions entre les différents virus.
En ce moment, les sars covid ont exactement le même profil de courbe que les rhinovirus et d'autres.
Tous les covid montrent une courbe en cloche.
La c'est nouveau, ce virus trace une nouvelle courbe, avec un ou des plateaux.
A un moment donné, dire qu'il n'y a aucun risque face à l'inconnu devient une option contraire au principe de précaution.
Perso, je n'ai aucune certitude ou juste celle que je vais devoir me faire vacciner même si je ne veux pas.
Certains universitaires n'écartent aucune hypothèse, et en ce moment de nombreuses pistes suggèrent des interactions possible entre les virus.
Je n'aborde même pas la possibilité d'un accident de labo en parlant de recombinaison.
Noam Chomsky, le cannabis récréatif et thérapeutique et une longueur d'avance.
La stratégie vaccinale sur Spike semble vaine, inutile ou à revoir en tenant compte de ces nouvelles mutations.
Les fabriquants de vaccins sont déjà en train de rectifier le tir pour proposer des compléments ou un nouveau type de vaccin.
Les nouveaux variants ont à présent 7 mutations sur Spike.
C'est pas que je ne crois en rien, mais je doute fortement.
La fabrication du consentement. Souriez, vous êtres manipulés.
Dernière modification par Mister No (13 mars 2021 à 09:10)
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Ploping a écrit
@Biscuit ne cherche pas, mon père est comme @Mister No, il n'y a rien à faire. À partir du moment qu'une personne c'est fait retourné le cerveau et qu'elle résonne plus de manière logique mais raisonne de par la croyance, c'est fini. Malheureusement ils ont été dépourvus de toute confiance envers la science qui ne va pas dans leur sens.
C'est succulent de voir ce message car pour se faire retourner le cerveau en ce moment, il suffit d'allumer la télé et c'est 24/24
Ne pas avoir de certitudes me parait être saint, surtout quand on sait qu'aujourd'hui, ce qui mène le monde, c'est le fric et non la science
Donc vidéo du monde qui appartient à Pigasse (banque Lazare) et Xavier Niel, 2 smicards dont les traits principaux sont l'honnêteté et la compassion, j'adore
Dernière modification par Yopski (14 mars 2021 à 18:15)
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Dernière modification par Morning Glory (14 mars 2021 à 20:20)
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Mister No a écrit
Ce n'est pas un virus qui peut modifier notre ADN, c'est la réaction immunitaire qui ordonne des changements.
Excuse moi mais les virus n'ont pas besoin du système immunitaire pour intégrer leur génome à notre ADN génomique. Ce n'est pas le système immunitaire qui est responsable de l'intégration de leur ADN dans le notre. Les virus ont ce qu'il faut pour le faire tout seul, les retrovirus ont leur propre transcriptase inverse pour former l'ADN ensuite ils ont une integrase pour l'intégrer à l'ADN du noyau c'est tout !
Les cellules du système immunitaire modifient peut être elles leur adn mais elles ne sont pas en la capacité de faire changer les sequences de l'ADN génomique, surtout que le but des cellules immunitaire c'est de zigouiller les cellules qui seraient mutante, donc si lui même créé des mutants on est pas dans la merde. Ou alors je veux savoir par quelle voie les cellules immunitaires ordonnent à une cellule d'intégrer le génome d'un virus qui l'a infecté (et en l'occurence qui ne possède aucune des enzymes nécessaires ET compatible pour transcrire l'ARN er l'integrer à l'ADN du noyau) ou encore pire ici d'un ARNm parmis des tonnes et des tonnes d'ARNm déjà present dans chaque cellule et qui sont traduits par les ribosomes.
Dernière modification par Biscuit (14 mars 2021 à 20:42)
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Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » à plus de 1 000 euros le traitement.
Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé :
Il n’a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ;
Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ;
Il doit être prescrit à l’hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu’il n’a de chances d’être efficace qu’au début de l’infection ;
Ou ceux d'un Professeur en pharmacologie :
« Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu » a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux à propos du bamlanivimab.
Je ne sais pas, je ne suis pas médecin ni scientifique, je m'interroge juste ...
On continue ?
Figurez-vous que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly qui commercialise le bamlanivimab, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve.
Or, tenez-vous bien :
Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d’Emmanuel Macron ;
Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l’Elysée ;
Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.
Comme cela a été résumé sur twitter :
« Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France est l’épouse d’un député LREM, la mère de l’adjoint au chef de cabinet de l’Élysée et de sa conseillère santé. »
Et comme si cela ne suffisait pas, le mari de la fille, Marguerite Cazeneuve, est le très influent patron de l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France !!
Et voilà comment un médicament à 1 000 euros, inefficace et risqué a été approuvé par nos autorités.
Tout ceci est vérifiable dans les liens postés ci-dessus alors je veux bien croire à la science mais uniquement quand ce sera des scientifiques sans conflits d'intérêts.
C’est honteux.
Mais ce qui est beaucoup plus grave, c’est que ce sont les mêmes autorités qui bloquent un traitement pas cher, qui sauve des vies d'après pas mal de médecins de terrain.
Et « en même temps », le gouvernement refuse l’efficace ivermectine à 8 euros !
Plus de 40 études scientifiques ont prouvé son efficacité au-delà de tout soupçon, à tous les stades de la maladie : en prévention, dès le début de l’infection, et même à l’hôpital.
Des médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur :
- L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’ivermectine devant le Sénat américain ;
- Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’ivermectine ;
- Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 % ;
Au Japon, l’association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament.
En France, c’est le courageux Dr Gérard Maudrux qui a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine.
Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d’excellents résultats :
- L’État indien Uttar Pradesh, qui a distribué un « kit » anti-Covid-19 à base d’ivermectine et de zinc ;
- Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l’épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l’ivermectine ;
- Tout récemment, dans l’Union européenne, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement.
Mais dans la plupart de pays occidentaux, sous influence de Big Pharma, RIEN.
Il y a quelques semaines, à l’Assemblée nationale, le ministre Olivier Véran s’est même cru permis de ridiculiser la députée Martine Wonner à ce sujet.
La député Wonner avait courageusement interpellé le Ministre sur l’ivermectine… et Olivier Véran lui a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l’eau de javel, en référence à Trump !
Il a fallu que des associations traînent l’Agence du Médicament devant les tribunaux pour qu’elle daigne accepter d’examiner le dossier de l’ivermectine ...
Bref si vous trouvez tout cela normal, libre à vous, perso, ça sent le fric à plein nez ...
Il faudrait aussi à l'occase qu'on m'explique pourquoi 40% des soignants refusent de se faire vacciner et ce sont les chiffres officiels, donc très surement minoré ...
Et le gouvernement dit quoi ? Qu'il faut qu'ils montrent l'exemple sinon, il y aura obligation s'ils ne sont pas volontaire. C'est magique l'obligation volontaire
Voilà, merci de m'avoir lu
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Morning Glory a écrit
Non d'accord c'est pas normal, mais ça n'a rien à voir avec les connaissances scientifiques sur la génétique thinking qui elles sont juste établies depuis longtemps, comme ton expérience sur le conformisme un peu, tu vois?
Mais je ne parle pas de ça du tout ...
Je parlais de l'ivermectine et du bamlanivimab dans mon post.
Oulala, c'est reparti sur les quiproquo, c'est dingue, je me relis et ça me semble clair ...
Je dis ce que je dis depuis le début, qu'on ne peut plus faire confiance aux études scientifiques (à fortiori sur le covid) car elles sont orienté par les labos ...
J'avais déjà dit la même chose sur le remdesivir et il s'est passé quoi ?
Et bien rappelle toi bien ceci : Je te prédis maintenant que ça va être le même fiasco avec le bamlanivimab ...
Et je ne suis ni devin, ni scientifique mais je vois la mécanique du conflit d'intérêt et du fric se remettre en marche ...
Ce qui me sidère pour être honnête avec toi, c'est la capacité de l'humain à oublier si vite, à ne pas voir les similitudes et à se reprendre les mêmes portes dans la tronche encore et encore ...
Dernière modification par Yopski (14 mars 2021 à 22:09)
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Yopski a écrit
Il y a quelques semaines, à l’Assemblée nationale, le ministre Olivier Véran s’est même cru permis de ridiculiser la députée Martine Wonner à ce sujet.)
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Dernière modification par Biscuit (14 mars 2021 à 22:51)
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