Tramadol en sevrage de GBL ?

guygeorges a écrit

Bah comme je comprend le truc, le seuil épileptogène y'a plusieurs paramètres qui le font varier. Le tramadol l'abaisse, et je suspecte qu'en abus de GABAergique ça fasse la même chose. Ducoup je me demandais ça hier soir. Je pense que la mémantine va plutôt dans un sens positif vis-à-vis de ce seuil en calmant l'hyperexitabilité du système glutamergique. Mais mon idée de foutre du valium du trama et du kratom, j'ai laissé tombé pour un truc plus fiable (faut que je sois dispo pour taff aujourd'hui et c'était une idée a la con^^). Je suis passé au GHB sans problème cette nuit (aide de la mémantine? Parce que j'avais eu quelques difficultés les 2 dernières fois ou j'avais tenté de switcher), et ça sera doses fonctionnelles aujourd'hui et juste du valium ce soir ou demain.

La transition GBL vers GHB me paraît effectivement plus fiable que le mélange de ses morts que tu cites plus haut. En tout cas ça fait moins d'inconnues dans l'équation. T'as toujours du GBL en stock ou tu vas tout saponifier?

guygeorges a écrit

Ducoup tu en es ou de ton arrêt ? Y'a le danger de compenser avec de la batte ou d'autres trucs dés que tu arrête. Et si c'est une ou 2 doses d'alcool par jours, j'ai pas l'impression que ça soit si néfaste (malgré que tu connaisse mon dégout pour cette substance haha). J'ai l'impression que t'as un seuil a pas dépasser pour l'alcool. 1 ou 2 verres de vin c'est cool, je crois même a l'argumentaire des effets qui pourraient être positifs au niveau cardiovasculaire. T'as pas blindé de sucre dedans et tu dois avoir certaines substances du raisin qui restent dans le vin. Une, 2, 3, 8.6 le soir c'est déjà pas la même et la tu te déglingue.

Au niveau alcool je m'interdis rien mais j'ai énormément diminué. Cette semaine j'ai bu quatre bières par exemple (pas de 7.2 mais de la bonne). J'ai pas vraiment l'impression de compenser outre mesure par le cannabis pour le moment, de toute façon je fumais déjà un peu plus pendant le confinement. Après c'est sûr que ma conso était pas hardcore, mais je connais ma faiblesse pour les GABAergiques et je préfère continuer avec modération maintenant que de devoir stopper toute conso à 40 balais parce que je me réveille en tremblant.

Je suis de plus extrêmement attaché au vin en tant que matériel culturel et social; cela reste malgré tout un élément clé de notre patrimoine alimentaire et un témoin de notre richesse culturelle qu'il est nécessaire de perpétrer. En soit, pour moi, le vin n'est pas que de l'éthanol quand je le déguste; cela met au jour un constat intéressant: En le considérant ainsi, j'admets en partie qu'il n'est pas qu'un produit toxique et c'est aussi par cette considération que j'ai plus de mal à en stopper toute consommation.

Il me semble que les bienfaits cardioprotecteurs du vin ne concernent que le vin blanc (à vérifier)!