C'est plutôt une hallucinose car tu as conscience que ce n'est pas réel.
Il doit bien y avoir pire que les asticots... Par exemple le sentiment de mort imminente, mais tu avais probablement dépassé ce stade. Cadavéré le trip.
20 mg de
THC est une dose orale active.
Forcément avec 0.5 à 20 % de
THC, cela fait la dose active de 5 personnes.
Sans compter qu'il s'agit d'une alchimie mal connue qui peut encore potentialiser l'affinité de ce 5 fois la dose sur tes récepteurs.
Un gros dosage peut ressembler aux vagues du
LSD, c'est très différent de la plupart des expériences du
cannabis fumé ou vaporisé.
C'est pour cela que je mets en garde sur la decarb, bien la réaliser, pour partir sur une
base de dosage pour éviter des dosages massifs surtout si c'est pas voulu.
J'ai beau bien encaisser les dosages massifs, c'est le genre de trucs que je pratique rarement sans que cela me manque.
La plupart des indiens ne pratiquent qu'une fois par an en dose cérémoniale.
Les plus grosses claques c'est 48 heures de durée d'effets même si le plus gros se concentre sur les premières heures.
Ça catapulte fort et c'est mal connu du grand publique.
Des fois pour s'en rendre compte faut expérimenter.
L'expérience n'est qu'une lanterne qui éclaire vers l'arrière.
Mais à partir du moment où tu es prévenu, c'est plus facile de lâcher prise même avec la sensation de mort imminente.
Cela m'est arrivé seulement en fumant des herbes bio mais avec des propriétés très désagréables, une invitation à la catalepsie momentanée.
Pourtant j'ai pris des claques maousse en ingestion, mais ces herbes sont rares et heureusement.
Je sais que les effets sont variables d'une personne à l'autre, mais certaines
weed sont insupportables à désagréables pour un max de personnes.
Cela faisait des années que dans ces cas là, je pensais aux effets d'un alcaloïde, un champignon neuro toxique, mais à chaque fois, c'était des plantes soigneusement cultivées en bio dont je connaissais l'origine.
Il semblerait que le
THCP permette de comprendre ces variations d'effets quand l'herbe va vers le
dissociatif, le psychédélique tout en exacerbant le moindre ressenti négatif.
Le
cannabis peut sur le papier donner une impression de surdosage et ou d'inconfort de certains
noids.
Je l'ai constaté avec le sentiment qu'il faut un seuil infime pour voire débouler les effets les plus destructeurs.
2 ou 3 bouffées suffisent avec ce type d'herbes.
Tu as beau charger nettement moins le second en espérant du confort, tu prends cher quand même.
Ces variations d'alchimie doivent aussi exister en dehors de la quantité de
THC ingérée.
Un trip sitter peut être un plus pour ceux qui ressentent la sensation imminente de mort sans pouvoir en rire et à la dépasser à un moment donné, même si le retour à un voyage agréable peut prendre du temps.
C'est une façon d'affronter ou d'apprendre à affronter une
crise de panique même si on n'en avait jamais vécu.
L'usage cérémonial différent de l'intention récréative doit aussi porter en son sein une forme d'apprentissage sur soi même.
En Inde, les surdosage sont bien connus, seul le repos est prescrit dans ces cas là.
Mais l'usage du Bhang, c'est être sitté par une communauté entière.
Je crois que dans certaines communautés, cela se consomme des ados aux old timers, hommes et femmes confondus au cours de différentes cérémonies.
Dernière modification par Mister No (15 juillet 2020 à 09:06)