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Dernière modification par Max09 (05 septembre 2020 à 15:18)
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Dernière modification par Max09 (04 septembre 2020 à 14:14)
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Zazou2A a écrit
j ai avec un accompagnement adapté, commencer par baisser jusqu’à 200, pour switcher vers du valium (25/30mg) et baisser petit à petit pendant un an et demi environ pour arriver à 0
Mais ça n’a été possible que lorsque j’ai accepté que je ne pouvais plus retirer de bénéfice des benzo;
Yop Mr Zsasz
(au fait, MP bien reçu à ce soir derrière la section Chemsex du fofo )
Je n'avais jamais concrètement posé ce que tu viens de mettre à l'écrit, mais c'est tout à fait l'état d'esprit qu'il m'a fallut pour passer au Valium, et baisser tout doucement jusqu'à arriver à une dosage aujourd'hui quasi-homéopathique de diazepam, alors qu'il y a 2 ans j'en prenais environ 80mg par jour =/
Il m'a fallut faire le deuil des benzos, et accepter que cette béquille qui me permettait d'être ultra sociable devenait trop envahissante...
En baissant de 2mg par 2 mg
(puis 1mg par 1mg une fois arrivé à une certaine dose, merci les Valium© 2mg sécables officiels ^^ enfin vous tu connais le tappering des benzos quoi, méthode chinoise style)
ça n'a pas été trop difficile, je m'attendais un peu à pire vu tout ce que j'avais lu sur Bluelight et Drugs-Forum au fil des années...
Faut dire que je me suis un peu aidé du lyrica (pregabalin) au début du switch + diminution, tout en faisant attention à ne pas devenir accro à ça à la place (mission accomplie de ce côté). Et il faut encore que je me débarrasse du tout dernier mg de diazepam.
C'est là en général, lorsqu'on fait le dernier grand saut, que les médecins ont recours à la clonidine pour aider les patients alcooliques ou accros aux benzos/opiacés, mais ça se fait plutôt à l’hôpital si je dis pas de bêtises.
Ça fait longtemps que je n'avais pas pensé à la clonidine, si ça se trouve y'a mieux aujourd'hui, mais dans l'temps c'était un classique pour cette utilisation spécifique! ça nous rajeunit point tout ça...
:smiley-papy:
Ça me fait penser, en ce moment y'a 2 threads qui traitent presque du même sujet, l'autre ayant été lancé par l'ami guerison1100
J'ai posté quelques pavés là-bas, et y'a des posts intéressants de divers autres intervenants: https://www.psychoactif.org/forum/2020/ … .html#divx
Ils sont presque assez similaires pour joindre les 2 topics, donc hésitez pas à lire les deux si vous êtes concernés par celui-ci
MT
Dernière modification par Mammon Tobin (05 septembre 2020 à 15:47)
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Concernant le nom du Benzo, je ne saurais te dire par contre. Il y en a tellement que les psychiatres ou médecins Avec lesquels on travaillent nous ne disent pas vraiment lequel il privilégient dans la mesure où ils font une évaluation globale de ta personne. Si tu vas voir un médecin, il t’aidera en fonction de ta situation notamment si tu prends de la méthadone en plus certains Benzo ou autres peuvent être contre-indiqués à cause des effets secondaires négatifs pour ton corps.
C’est possible de demander à ton médecin pour un sevrage en ambulatoire ou bien t’as vraiment pas envie ?
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Max09 a écrit
Pas trop envie d'un sevrage en ambulatoire je préférerais faire ça avec mon psychiatre après peut-être que lui pourra le tourner vers une demi vie plus longue que le tranxene ou le lexomil mais le valium et le seresta ne me font rien hier j'ai du prendre 20 cachet de lysanxia pour ressentir un petit quelque chose et c'est ça qui me fait peur car je suis tellement habitué aux gros dosage avec des benzos fort sur passé à des trucs moins fort j'ai peur de pas dormir d'avoir des crises d'angoisse de manques de panique et tout donc ça me fait vraiment très peur ce sevrage
Justement le sevrage En dégressif en ambulatoire ça veut dire que tu fais ça chez toi à l’aide d’un psychiatre (comme t’en a en effet c’est bien)et lui te prescrit Les médocs. C’est ce que tu recherches non?
Justement s’ils te donnent une demi vie longue ça va vraiment réduire les symptômes désagréables et il se peut également qu’ils te donnent genre des anti dépresseurs qui traitent les troubles anxieux ! T’inquiètes pas ils savent Faire, ils ont tout un protocole selon la gravité de la dépendance et les médicaments à donner en fonction de cela.
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Dernière modification par Plotchiplocth (05 septembre 2020 à 22:42)
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1. C'est justement le but. Détacher la prise de la sensation de plaisir. C'est un choix à faire. Mais il y a un moment où il faut le prendre. Ne pas savoir ce qu'est une tasse de café avant qq secondes de réflexion, chercher le nom de sa nièce, mettre un temps fou à apprendre un truc con, voir même les souvenirs de son enfance disparaître... Je en suis pas sûr que tu souhaites cela.
2. Quelque soit la benzo, toutes finiront pas ne plus te procurer d'effet psychoactifs, tout en continuant son action neurotoxique
Bon, je suis désolée d'avance, je vais pourrir un peu ton post. Et ça va crescendo.
@Anouk, je voudrais avec une très grande gentillesse parler de tes interventions. J'ai lu tes posts, j'ai vu que toi aussi tu venais chercher de l'aide et que tu apportais des conseils ici et là, tout en travaillant dans une association Suisse reconnue et respectée. Ce que tu mets en avant dans ton pseudo et parfois dans tes interventions.
Du coup, il y a un sentiment de légitimité, de savoir et d'autorité qui est normal.
Quand Prescripteur débarque, toute la classe se lève
Sauf que. Associer cette autorité implicite, sans sources. Ca peut mener loin
Tu dis ici :
Nuit blanche Anouk a écrit
Hello, personnellement je travaille dans une institution pour des personnes qui présentent une consommation problématique ou dépendance à l’alcool et d’autres substances.
Je connais les Benzo et les effets de manque qui induisent.
Dans le même post tu indiques :
Nuit blanche Anouk a écrit
Tu n’es en effet pas obligé d’aller en cure
En effet, 2 régimes s'opposent ou se complètent, bref. Les soins en ambulatoire et ceux au sein d'un établissement. Mais, et surtout dans le cas des bzd, c'est pas aussi simple. En cas de hautes doses ou de prise prolongée, il faut y aller en pleine conscience de ce qui peut arriver.
Une cure c'est 4 à 6 semaines, c'est une sorte de sevrage à sec avec petit déjeuner offert... et conséquences neurologiques inconnues. Et encore! si on décide de réduire graduellement. On relève, - par des usagers, des pratiques de sevrage brutal (surtout chez les personnes atteintes de troubles psychiques - les prescripteurs doivent se dire que les autres molécules vont aider - ou juste parce que nous les fou/olle.s sont hélas une fois de plus maltraité.e.s)
Il est du coup très important de connaître ses droits (je peux fournir les articles de loi si vous voulez noter.) :
- Choix du traitement et du médecin
- Droit à l'information
- Droit à participer à la décision médicale
- Droit au respect (dignité, vie privée, religion, soulagement de la douleur, etc)
- Et le plus important, c'est que si vous avez décidé de rentrer volontairement, vous pouvez partir à n'importe quel moment. Libre circulation.
Par contre si vous êtes dans un endroit vraiment, vraiment malsain, prenez contact avec des assoces pour vous aider.
J'ai été attachée pendant 5 jours parce que je demandais instamment le traitement qui m'étais administré (aucun signe de délire, j'étais... normal?)
Et bien sûr... des F*****g BZD, et puis raaaaaah du tranxene, c'est con, mais c'est une des rares que j'apprécie!
En équivalence, ces empaffés m'avait doublé ma dose....... des mois entiers de gâché.
J'ai fais valoir mon droit de partir immédiatement.
La chef de service m'a dit : Allez-y je lance une procédure d'Hospi sous contrainte. Suis parti. Jamais eu de news, mais j'avais des mois et des mois à rattraper.
Ensuite Anouk, tu montres clairement que tu ne maîtrise pas totalement le sujet, ce qui n'a rien de problématique en soi, mais écrit sous pseudo d'une assoce RDR peut le devenir :
Nuit blanche Anouk a écrit
Les sevrages de benzos se font généralement par une substitution d’un Benzo par un autre ( ils regardent me semble-t’il la demi vie)
Ne pas savoir ce qu'est une demi-vie.... enfin, ne pas savoir le protocole de substitution dans la gestion des bzd, alors que c'est le point central (et le plus sujet à controverse), c'est avoir de mauvaises bases sur cette molécule. Je me doute que tu sais ce qu'est une demi-vie, mais visiblement pas la place centrale su'elle joue dans les BZD.
Mais on ne dit pas ça comme ça!! Et puis c'est souvent - sauf erreur de ma part - pour des chirurgies. Un sevrage abrupt peut mener à la mort.
Certes, tu indiques d'aller voir le doc. Mais imagine ce qui peut se passer dans la tête d'un UD.
Quand j'ai fait ma cold turkey en Avril, après toutes mes années d'accompagnement de personnes en sevrage (toutes substances) et maintenant surtout benzo : je l'ai fait quand même, je savais, mais le ras-le-bol avait gagné, c'était la réussite ou le dernier sommeil. Résultat : un cerveau en bouillie.
Pour compléter puisque ça va avec ce qu'il y a au dessus, et ensuite promis j'te laisse Anouk. En plus, je suis sûre que tu seras utile aux autres UD, et j'espère que tu trouveras l'aide que tu cherches.
Donne-nous les noms des molécules magiques dont tu parles bordel!
Nuit blanche Anouk a écrit
Pendant le sevrage il y a un grand risque d’attaques de paniques et il existe maintenant des molécules adaptées pour pas ressentir trop d’effets désagréables,
Qui fait quoi avec ça sans info? Il va voir son généraliste qui n'y connait rien? Il va dans un CSAPA? Les CSAPA manquent cruellement d'inos sur les bzd.
La seule chose c'est qu'on va tout essayer du coup, phenobarbital, AD, carmabazepine (j'ai fait ma crise épileptique sous ce médicament) etc etc.
Si c'est la charte qui t'inquiétait : elle est simple : pas de plan drogue ou médicament dans le but de s'en servir de manière récréative. Et pas d'apologie de cette consommation récréative.
Vraiment Anouk, j'ai dit ces choses là car elles me paraissaient importante, et qu'étant donné ta position, je sais que j'ai très peu de chances à ce que cela dérive en un TROLLiogue. Juste faire avancer la bouzin!
Je te souhaite bonne nuit si tu es encore debout, bon réveil sinon, et à tous.tes les autre
EDIT : je suis pas du tout un endoctriné d'Ashton, elle a contribué, du temps à passé, et les directions prises par ses successeur me gave largement.
(On pourra même revenir sur la nécessité de passer au valium, voire même à une substitution, ce sera passionnant...)
Dernière modification par Melie (09 septembre 2020 à 02:20)
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Mais on ne dit pas ça comme ça!! Et puis c'est souvent - sauf erreur de ma part - pour des chirurgies. Un sevrage abrupt peut mener à la mort.
Il y a un abaissement certain du seuil épileptique si je ne m'abuse.
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Dernière modification par Melie (09 septembre 2020 à 06:25)
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guygeorges a écrit
C'est la que la neurotoxicité des GABAergiques apparaît. D'ou l'intérêt de faire ces sevrages de la manière la plus douce possible afin que les neurones ne prennent pas cher à cause de ce mécanisme rebond, et réduire voir éliminer totalement les risques d'exitotoxicité.
C'est bien clairement là que j'ai merdé.
Si tu as des refs que j'aurais ratées ou autre.
Faut absolument que je prenne le temps de faire ce gros post GABA, avec toi et Mammon.
Je caresse toujours ce rêve doux d'un substitut non destructeur et permettant une vie normale, plutôt qu'un tapering à se taper la tête contre les murs.
A vite!
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Nuit blanche Anouk a écrit
Salut Melie,
Merci pour tes commentaires mais je crois que tu t’emballes sans comprendre le sens de mes propos.
De 1. Mes propos sont étayés scientifiquement, se sont des sources scientifiques. Je travaille depuis 10 ans dans les addictions, ( institutions rtc )je suis des personnes qui sont dans ces cas et je leur donne ce type de médicaments. Je suis tous les jours en contact avec des médecins et psychiatres, puisque je travaille directement en collaboration avec eux.
Tu peux aller toi même vérifier l’info si tu ne me crois pas. Toutes les revues en parlent.
De plus je suis formée dans le domaine.
De 2. Je ne dis pas de faire un sevrage à sec sans médecin. Je donne quelques infos sur les moyens dont disposent les médecins pour choisir l’option sur la manière d’effectuer le sevrage. Je ne parle pas du cas de qqn qui consomment trop.
De 3. Je sais exactement ce qu’est une demi-vie.
De 4. Je ne recherche pas d’aide, vérifie tes infos à disposition avant de faire des suppositions non-fondées.
Belle journée à toi
Je te présente mes excuses, je croyais que tu venais également en tant qu'UD. Dommage! (pas pour toi, pour nous ), j'ai dû mixer un conseil que tu donnais et le prendre pour une demande.
Nuit blanche Anouk a écrit
Tu peux aller toi même vérifier l’info si tu ne me crois pas. Toutes les revues en parlent.
Sources?! Tu n'as fait que redonner des arguments d'autorités. Gaston Lagaffe a bossé 63 ans au Journal De Spirou...
On est là pour s'aider pas pour se regarder le savoir!
Où sont les molécules!!!
Tu veux savoir?!
Je vends tout ce que j'ai, je donne un rein, un oeil un bras même pour être sevré des BZD grâce à cette
J'ai été super gentille, j'ai pointé des biais, des p'tits trucs, qui ne seraient pas grand chose s'il n'était ton étiquette...
A tcho', sauve tes UD et laisse nous crever!
Dernière modification par Melie (09 septembre 2020 à 11:25)
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Melie a écrit
Nuit blanche Anouk a écrit
Salut Melie,
Merci pour tes commentaires mais je crois que tu t’emballes sans comprendre le sens de mes propos.
De 1. Mes propos sont étayés scientifiquement, se sont des sources scientifiques. Je travaille depuis 10 ans dans les addictions, ( institutions rtc )je suis des personnes qui sont dans ces cas et je leur donne ce type de médicaments. Je suis tous les jours en contact avec des médecins et psychiatres, puisque je travaille directement
en collaboration avec eux.
Tu peux aller toi même vérifier l’info si tu ne me crois pas. Toutes les revues en parlent.
De plus je suis formée dans le domaine.
De 2. Je ne dis pas de faire un sevrage à sec sans médecin. Je donne quelques infos sur les moyens dont disposent les médecins pour choisir l’option sur la manière d’effectuer le sevrage. Je ne parle pas du cas de qqn qui consomment trop.
De 3. Je sais exactement ce qu’est une demi-vie.
De 4. Je ne recherche pas d’aide, vérifie tes infos à disposition avant de faire des suppositions non-fondées.
Belle journée à toiJe te présente mes excuses, je croyais que tu venais également en tant qu'UD. Dommage! (pas pour toi, pour nous ), j'ai dû mixer un conseil que tu donnais et le prendre pour une demande.
Nuit blanche Anouk a écrit
Tu peux aller toi même vérifier l’info si tu ne me crois pas. Toutes les revues en parlent.
Sources?! Tu n'as fait que redonner des arguments d'autorités. Gaston Lagaffe a bossé 63 ans au Journal De Spirou...
On est là pour s'aider pas pour se regarder le savoir!
Où sont les molécules!!!
Tu veux savoir?!
Je vends tout ce que j'ai, je donne un rein, un oeil un bras même pour être sevré des BZD grâce à cetteJ'ai été super gentille, j'ai pointé des biais, des p'tits trucs, qui ne seraient pas grand chose s'il n'était ton étiquette...
A tcho', sauve tes UD et laisse nous crever!
Ahh je vais pas vous laisser crever !!!
Écoute ce ne sont pas des arguments d’autorités; ce sont des résultats d’études longitudinales qui ne décrivent que des faits, j’évite dans tous les cas de colporter le message des autorités qui est totalement fondé sur la diabolisation des drogues.
mon point de vue sur la chose est différent : je ne suis pas forcément pour les benzos et je ne crois pas forcément que de shooter des gens soient qch de bien, pire il augmente la dépendance. Quand je vois toutes ses personnes médiques je me dis que c’est du gâchis !!! Je suis un peu contre ces méthodes médicales et je sais bien à quel point le corps médical maltraite les personnes en essayant tout et n’importe quoi ! L’usage de ces molécules devraient se faire de façon limitée, sur une durée de temps limitée et pas à long terme comme on le voit en institution! Et en effet, bcp de personnes sont pharma persistantes car le médicament ne fait pas tout, il est juste une béquille; le problème de l’addiction bien plus complexe Et le niveau psy, environnemental doit être intégré au travail. Il y a une part qui est déterminée par d’autres facteurs. C’est pour ça qu’on associe tjs plusieurs traitements psy ou alternatifs
Ensuite,
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&
Pendant le sevrage il y a un grand risque d’attaques de paniques et il existe maintenant des molécules adaptées pour ne pas ressentir trop d’effets désagréables,
Je sais pas ce que c'est mais
@Anouk
Je ne pense pas que Mélie soit pro-benzo-tout-le-temps-pour-tout-le-monde-à-doses-monstrueuses
D'ailleurs personne ici ne fait l'apologie des benzodiazépines, ou même suggère que ces molécules ne sont pas sur-prescrites en France. Ça a toujours plus ou moins été le consensus.
Mais on est sur un thread "sevrage" là... donc si t'as des bons tuyaux, fait tourner
Amicalement
MT
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Dernière modification par Nuit blanche Anouk (09 septembre 2020 à 12:51)
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