Généralités sur la c en IV

Après plusieurs années d'iv de c:
- dès débuts incroyables
- en passant par les sessions inutiles et même dangereuses (mal géré; injections pas assez espacé = comportement de ding donc pas agréable = session d'ivc négative au final...; pas assez espacé dans le temps entre deux soirée ivc = pbs financier, mal être, etc... => en gros ne pas savoir se droguer (ici en injection de c), être dépassé par le produit, se mettre en danger (pincement au cœur etc..., et au final regrets car au départ l'acte se veux "positif" dans le sens ou on part pour """se faire du bien""" sur un extra mais cet/ces extra/s tourne/nt mal.
- Jusqu'au moment où l'on se connais vraiment, pareil pour le produit et que l'on trouve le point d'équilibre, du bon sens et donc que l'on arrive/ que j'arrive à passer un bon moment car tous les points obligatoire pour que l'acte se passe bien et re/devient positif sont présents (Espacement conséquent (x semaines) - une vie rempli (au mieux, épanoui, encore une fois au mieux), pas de pbs financier - une bonne approche de l'acte (connaissant les points positifs comme négatifs) - une RDR et un produit de qualité maximal - au bon moment, au bon endroit, dans le bon état d'esprit et si pas seul avec la bonne personne...).
MAIS VOILA, malgré tout ça il reste un point (ou juste deux) qui ne semble pas pouvoir changer: le premier et le plus important/présent : la descente... quoi que je fasse je suis ultra-mal lorsque le demi ou le g est terminé. A boire trop de méta et valium pour me calmer. Ou à prendre d'opi lorsque j'en ai: rarement d'où le fait que mes descentes sont clairement peu supportable. Es ainsi pour tout le monde?
Le deuxième point, moindre impacte que le premier, es clairement l'impossibilité d'arrêter d'enchainer les iv. Exmpl: j'ai un g, je met la moitié au frigo en me disant que cela es mieux pour la RDR, que mentalement je sais qu'il m'en reste, pour n'énumérer que cela: mais ce "pauvre" demi ne restera JAMAIS dans le frigo jusqu'au lendemain... Il est autant impossible que lorsque je suis lancé avec mon g de c et des stéri je ne peux me résoudre à ne pas en refaire jusqu'à ne plus rien avoir, autant qu'il es impossible de ne pas être mal lorsque j'ai fini le tout. Contrairement par exemple à une soirée féstiv ou je vais en prendre en petite trace et que je ne fini pas dans l'état que j'aurai été si j'avais une seringue avec moi. Es que cela es aussi pareil pour tous?
Merci de vos témoignages.

(je me demande si la baser et fumer ne serai pas mieux? ne me rendrais pas comme cela ou largement moins = donc un bon compromis entre la simple petite trace qui réveille et fait parler au flash qui bombarde et fini inexorablement par rendre mal).

Dernière modification par Ask33 (07 octobre 2020 à  19:45)