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Dernière modification par Sociophrenic (14 octobre 2020 à 23:57)
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Dernière modification par Snap2 (16 octobre 2020 à 08:37)
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Sociophrenic a écrit
'ai trouvé cela utile de synthétiser cela dans un schéma, je m'y suis donc essayé, mais avec mes connaissances limitées somme toute.
Merci à vous d’avance !
Même si ce n'est pas "aux normes" en terme de langage scientifique etc
Pour les lecteurs, je vais tenté de donné quelques observations basiques que j'avais faites lors de ma """lune de miel""" avec les opiacés et que je découvrais un petit peu la pharmaco :
Pour la plupart des opiacés et des opioïdes , la sensation de "chaleur" / plaisir / "coton" vient de la stimulation des récepteurs µ
qui sont prononcés "mu" à ma connaissance ; on utilise le sigle " M O R " pour mu recepteur opioïde . Parmis les opioïdes que j'ai consommé, l'U47700 ; et le kratom (mitagyna speciosa), a des alcaloïdes qui stimule d'autres récepteurs que les "MOR". Même si ces derniers sont mobilisés de manière conséquente. Et je profite d'avoir la parole pour vous faire remarquer que dans mon expérience personnelle, j'ai eu la bonne surprise de voir que je pouvais diminuer mes dosages beaucoup plus vite. La rapidité de diminution évolue en fonction des dosages, pour chaque molécule, avec une diminution de plus en plus dur que je pouvais diminuer les dosages 2 à 3 fois plus vite qu'un opiacé classique lors d'une phase de diminution de la posologie en vue de diminuer sa tolérance ou d'être "sobre".
(mitraginyne/7homitraginyne avec éventuellement un i à la place du y sur le mot mitraginine)
Ce sont ces mêmes recepteurs MOR où l'on utilise le principe AGONISTE/ANTAGONISTE pour utiliser un antidote : LE NALOXONE.
La buprénorphine est partiellement ago/antago sur ces recepteurs, d'où les crises de manque lorsque mal employé ou le témoignage d'usager utilisant la bupré pour diminuer les effets d'un opioïdes stimulant les MOR.
Enfin et là c'est un avis très subjectif :
a propos du rapport "PLAISIR / MANQUE / QUAND LE PLAISIR ATTEIND SON PAROXYSME AVEC LES OPI par intraveineuse ou non"
j'ai remarqué qu'être en MANQUE augmente beaucoup le plaisir des opioïdes.
D'où le fait quand je pratiquais l'intraveineuse qui a systematiquement une demi vie très courte, le manque apparait donc vite et il est soulagé par l'injection IV. Qui est très efficace (100%biodispo voir tableau ci dessous). Le passage d'un état de début de manque à l'injection est très satisfaisant "amha". C'est aussi pourquoi j'ai mis du temps à apprécier l'u47700 : au début peu d'intérêt et de plaisir. Mais en développant une dépendance puis le manque, j'ai découvert par le passé une molécule extrêmement EUPHORIQUE dans ce cas précis par exemple. Elle était courte en terme d'effets (2h? plateau au moins 30mn) en rectal pour éviter perforation barrière cutanée et risque infectieux, tout en ayant un très bon "rendement" (biodisponibilité) très élevée en rectal - l'une des meilleures après l'I.V.
Enfin pour revneir sur le sympa petit schéma de notre pair :
en bas à gauche vous avez un enzyme , noté " CYP chiffre lettre chiffre " etc.
C'est un élément ultra important pour certaine molécule comme la codéine. Notre abilité personelle à mobiliser ces enzymes "CYPxxx" étant très inégale, certains sont des métaboliseurs ultrarapide et ont +de risque de faire des overdose, même avec de la codéine (Naloxone+ allo 112 appelez les avec position latérale securité si la personne respire et est inconsciente)
Dernière modification par Rick (16 octobre 2020 à 02:59)
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