[ Santé ]

Le bien-être, une notion indispensable?

Bonjour,bonsoir a ceux qui me liront.

Je me pose une question,celle du bien-être (dans tous ses aspects).

Je vais vous donner mon avis,ça permettra de commencer quelque part,en prenant mes expériences de vie,surtout celle de la créativité et de la recherche de l'inspiration qui me permet de poser mes idées,ainsi que de l'aspect de mes relations sociales et de ma vision de moi-même.

Pour commencer,je vous pose le décor. Je suis un homme de 22 ans,de nature angoissé et déprimé. Pour palier à ces deux "problèmes " je suis sous traitement a la quetiapine (désormais a 300mg/j) avec un suivi a peu près 4 à 6 fois par an avec ma psychiatre( que j'apprécie beaucoup de par son âge qui lui apporte une vision moins braquer sur les théories de la psychiatrie)

Mon interrogation se porte donc sur la recherche du bien-être, ce que cela apporte et ce que cela peu retirer à une personne.

De mon côté, jai passer une enfance et une adolescence plutôt compliquées,surtout au niveau de mes relations avec l'autre. On le sais,les enfants entre eux sont pleins de préjugés (je sais pas si ya vraiment de différence avec les "adultes").
De base,sans traitement médicamenteux, j'étais de introvertie,mais d'un autre côté, jai toujours aimé "jouer" avec ma personnalité, me créant par la suite des personnalités que j'adaptais en fonction des personnes.
En gros ,je fais l'acteur mais dans ma vie de tout les jours.
Cela me permettait d'accepter plus facilement la réalité de ce monde,tout en restant dans mon mal-être intérieur.

De ce mal-être, jai créer beaucoup de choses, des images,des amis,des musiques tournant dans ma tête. Bien sûr , ce mal m'a mener aux drogues,qui au début étaient un nouveau moyen de me distancer de la vérité dans laquelle nous vivons tous.
Ca m'a apporter des problèmes vis à vis de moi-même, au niveau de ma famille. A ce moment j'avais à peine 18 ans.

Puis les années passant, je suis passer du spliff à vouloir tester d'autres artifices de détente, de bonheur. J'ai donc tester la mdma à plusieurs reprises et une fois du lsd(il y a 2 ans pour cette dernière). Et durant ces années de nouvelles expériences, j'ai eu des frayeurs mais également des moments uniques,introuvable pour moi dans un bien-être entier.

Maintenant je me retrouve donc sous traitement(ma fiancée m'amenant à me faire soigner de ces sentiments "mauvais")

Arrivons donc à l'aspect du bien-être.

Avec ces traitements,de nouvelles émotions se sont découvertes à moi. Le bien-être (attention pas un bonheur complet,mais plus de zenitude dirais je)
Mais également une émotion qui ne m'était pas connu quand j'étais dans le mal de mes émotions : la colère.
De ces substances médicamenteuses qui pour moi
(et beaucoup d'autres je pense après de longues heures de recherches d'expériences d'autres patients) sont bien plus hard que un simple pétard
(même si je ne dirais pas à chacun de se fumer un boz si cela est pour se réfugier des horreurs de tous les jours)
je me retrouve à me sentir beaucoup moins vivant que quand toutes cette tristesse et tout ce stress s'imposait à moi.
Et de ces dernières émotions,je retirais beaucoup de positifs.

Il me manquait certes de confiance en moi et de sérénité, mais une chose m'apparaissait chaque jour.

Comment faire pour ne plus me concentrer sur ce mal qui me rongeait ?

De là, sans vraiment me poser la question,je retirais de ces mauvais moments de l'inspiration, des messages prenants, des images claquantes, et bien que beaucoup n'acceptent pas mes messages morbides et déprimant, j'avais retirer une confiance personelle vis à vis de ces idées créatives.

Je faisais tellement, passant des heures à sortir de mon esprit toute ces choses enfouies au fin fond de mon esprit.

Pour la seconde partie de mon interrogation,je vous fais part de mes relations avec l'autres.
Il ne m'a jamais vraiment été difficile (avant) de créer des relations avec les autres,me créant des amis(mais jamais trop car j'angoisse de l'abandon de autres)

Mais vis à vis d'eux, j'écoutais ce qu'ils avaient à dire,ne jugeant jamais l'autre seulement vis à vis de mes valeurs(bref j'étais très ouvert d'esprit car seul ma réalité pouvait me faire un peu de bien)

Mais désormais, je me retrouve à me concentrer sur autre chose que le bien de mes proches. Je suis devenue égoïste, rageux, quelques peu défaitistes vis à vis de ce monde.
Je ne veux plus rencontrer de nouvelles personnes,car maintenant jai développé (a cause des infos surtout et se ce monde qui part en couille, ou les gens ne se font plus confiance et détestent leur prochains pour des raisons parfois futiles) une haine du genre humain,généralisant le moins à chaque être de ce monde.

Et une dernière chose vis à vis de tout ça.
Ces medocs de merde comme j'aime les appeler m'empêche depuis ce jour qui aurait du me détruire le coeur de faire mon deuil. Celui de ma grand-mère, décédé il y a quelques mois,ne sachant même plus me positionner vis a vis du temps qui passe,cela pourrait être hier ou il y a des années dans mon esprit.

J'espèrerait faire beaucoup pour lui porter hommage,ne serait ce que pleurer sa mort,ou encore ne pas me défiler d'aller au obsèques de cette femme tellement remplit d'amour de son prochain,s'oubliant tel qu'elle me l'a appris pour le bien des êtres qui lui étaient chers.

Merci d'avoir lu jusqu'à la fin de ce long monologue, n'hésiter pas à partager votre vision de votre bien-être ou mal-être.

A ciao ^^