Ras le bol de la métha, témoignage, je veux m'en sortir

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fafefifofu homme
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Bonjour à tous,

J'aimerai vous faire part de ma situation, et avoir des avis ou témoignages de personne à qui ça parle, ou qui s'en sont sorties.

Alors j'ai 23 ans (24 d'ici 1 mois) et je suis sous méthadone depuis 2 ans maintenant.
Je vais vous faire un petit récapitulatif de ces 5 dernières années pour que vous compreniez le contexte (désolé c'est long et pourtant j'ai essayé de faire cours les choses on été en realité plus complexe que ça surtout avec mon ex...)

J'ai commencé à m'intéresser aux états de consciences modifiés lors de mes premières soirées au lycée, à l'alcool (et oui ...), pour ensuite commencer à fumer, puis j'ai découvert le DXM (dissociatif en vente libre à l’époque). Je me suis taper direct un gros gros trip (plateau 3) ou j'ai été arraché de la réalité avec une puissance que je n'aurai jamais soupçonnée et ce jour-là ce fut une révélation ... un nouveau monde s'est ouvert à moi, et depuis ce jour-là j'ai toujours voulu y retourner. J'étais en quête vers une sorte de graal de défonce, de conscience, de vérité ...
J'ai découvert la codéine au même moment mais ce n'est pas ce que je recherchais mais de temps en temps je me faisais un petit trip car c'était agréable, jusqu'a que je comprenne qu’il ne fallait pas dispatcher les prises à cause de la métabolisation particulière de la codé en morphine, et en montant les doses progressivement, j'ai capté cette vague de chaleur et de bien-être, de calme et de sérénité m'envahir.
Mais c'était quand même au second plan, j'étais plus intéressé par les choses qui font voyager, et j'ai découvert les teufs les exta, le lsd, la keta, le speed, les champignons.

Puis j'ai rencontré mon ex avec qui je suis resté 4 ans, et qui n'étais pas très stable mentalement, moi je l'étais plus mais j'avais soif de défonce, j'étais en pleine découverte, on s'est tout de suite super bien trouvé, et super bien entendu on s’est complétement enfermé dans notre bulle et on s’est couper du monde et on s’est tous les 2 entrainé dans des consos quasi quotidiennes.
Ce qui n'avais jamais été mon cas jusqu'a là ; toujours par période car je me renseignais bcp sur psychoactif déjà et j'étais au courant des danger potentiels et d'addictions de certaines drogues.
On a eu des périodes de conso quotidiennes de cannabis, et presque quotidienne de codéine, speed surtout.

Jusqu'a là pas trop de pb, appart que 1 jours j'ai commencé à avoir mal aux jambes et c'est que plus tard que j'ai compris que c'était un début de manque, mais rien d'important. C'est aussi à ce moment-là que j'ai commencé à aller demandé les 2e50 du paderyl (codéine donc) aux gens dans la rue quand j'avais plus de sous ...

Puis un beau jour, une maman qui a perdu sa fille (j’ai oublié son nom je pense que vous voyez très bien de quoi je parle …) suite à un cocktail d'opiacé (et pas que de codéine mais bon… d'un cotés elle a perdu sa fille qui sait ce que on aurait fait à sa place ...) à tout fait pour mettre la codéine, et le DXM sur ordonnance.
N'ayant plus rien à se mettre sous la dent et n'ayant pas de contact bah on s'est mis à la coke vu que on trouvait que ça .... Au début on n’aimais pas trop et elle été pas bonne jusqu'a qu’on tombe sur un bon contact, et que on tombe sur la patate de notre vie (vraiment un truc de ouf) jusqu'à 1000 euros par mois pendant 5 ou 6 mois.
Puis entre le taff, les nuits blanches, les jours ou je pausais un lapin au taff, les descentes sur descentes, la culpabilité, et le fait d'être en descente psychologique en pleine monté, et ne sentir que la monté sur le plan physique j'ai pété un câble ... et on a arrêté presque du jour au lendemain.

A ce moment-là je venais de faire la connaissance d'un fumeur d'héro, et d'un injecteur de morphine. Donc on s’est mis à l'héro tout doucement (que on avait déjà commencé à prendre en descente de C de temps en temps).
L'héro ne me faisait pas peur, c'était juste un opiacé comme un autre pour moi vu que je connaissais déjà la codéine. Surtout qu’au final rien ne m'aura jamais mis aussi bien que ma boite de codéine en pleine montée, ni la meilleure des héro que on a chopé, ni des grosses quantités d'opium à me faire piquez du nez, ni 250 mg de morphine qui me faisait aussi piquer du nez.
On m'a montré comment le fumé, et je m'attendais à quelque chose de bcp plus fort, donc on la sniffé, on la fumé, et on l'a pluggé on se faisait des speedball (vu que c'était pas en iv je sais pas si on peut appeler ça comme ça) de temps en temps.
Puis n'ayant pas tout le temps accès à de l'héro ni les sous, on a eu des périodes méthadones en mode récréatif ( et ça l'été), jusqu'a que je me tape un mini manque qui a duré 1 semaine, ou je me suis dit que je n'en reconsommerai plus jamais. Jusqu'a que je craque pour de la morphine de pharmacie, donné ou presque ... Donc s'est ai suivis une grosse période de morphine ou les dosages sont monté en flèche jusqu'a que un beau jour je me lève en manque ... sauf que je devais aller taffer (bon c'était un service civique avec du recul j'aurai fait les choses autrement ...) donc je suis allé voir mon pote et je lui ai demandé de la métha, que j'ai commencé à sniffé tous les jours, ma copine qui n'avais pas de pb de manque à commencer à faire pareil, et petit à petit on s’est mis complétement dedans, on a monté les dosages (on prenais des miettes au début .... Ce n’était vraiment pas un gros manque que j'avais).
Jusqu'a que le pote nous dise qu’il fallait que on aille dans un centre d'addiction pour se faire prescrire de la métha car ça allait commencer à être chaud pour nous fournir a tous les 2 ...

Chose que on a fait, sauf que on est tombé sur un médecin qui n’en avait rien à foutre, qui m'a demandé en gros "combien de metha tu veux ? 10?20?30?40? (Je pense que moins de 10 m'aurai large suffit), je lui ai répondu "40 !".
Au début j'étais super contant j'ai passé une bonne semaine ....puis les effets positifs se sont arrêter là ...

A ce moment-là je venais de reprendre mes études, je somnoler du matin au soir en cours, je ne pouvais rien y faire, mais vu que il n'y avait aucune euphorie je me suis dit mais non c'est pas ça piquez du nez je dois juste être fatigué, (mes nuits étaient très courte et je fumais, je prenais des rc, cathninone, dissociatif, psychedelics assez régulièrement) ma copine me demandais de l'attention h24, elle me réveillais dès que je m'endormais le soir pour que je reste avec elle jusqu’à 2/3/4h du matin alors que je me levais tôt, j'étais amorphe h24 ....
Plus aucune libido, mais genre pire qu’un vieux, même si ma copine me montais dessus, ce qui a causé de gros problèmes entre nous 2 ...
Au final j'ai foutu en l'air mes études, car forcément somnoler toute la journée, partir en premier avant tout le monde car ma copine ne voulait pas attendre plus longtemps à la débauche car « elle m'attendais toute la journée", elle été dépendante affective, elle n'avait pas d'amis dans la région et ne faisait rien de ces journées ....
J'ai quand même eu mon diplôme, mais je devais poursuivre mes études en alternance dans cette école, on m’avait promis de me laisser ma chance si il y avait un désistement, sauf que j'ai appris que il y en a eu, et bien sûr on ne m'a jamais rappelé, ce que j'ai extremement mal pris.
C’était un échec, mais avec du recul je comprends que je ne respirai pas la motivation ...

S'en ai suivis sans que je m'en rende compte une mini dépression, je n'avais jamais été face a un échec car même si j'avais pas entrepris grand-chose, bah j'avais toujours réussis (j'avais eu mon bac sans travailler ayant quelques facilités), et je n'avais pas voulu faire d'étude car j'étais perdu et ne savais pas ce que je voulais faire de ma vie (ma passion étant la musique que je pratique depuis que j'ai 8 ans).
S'en ai suivis des grosses binges de Rc notamment d'O-PCE (dissociatif que j'ai surkiffé) j'ai retrouvé ce que j'aimais tant avec le dxm, et j'ai binge pendant plus de 1 mois d'affilé, sans arrêt et je prenais du lSD ou du LSA dès que ma tolérance redescendais un peu...

La relation avec ma copine été sur une pente glissante depuis le début de la métha, c'est comme si quelque chose s'était éteint ce jour-là ... les seules lueurs d'espoir que on avait c’est quand on se défoncé, c'était là que la journée commençait.  Puis elle a décidé de changer de ville pour aller faire ces études, chose qui me plaisait pas trop (de changer de ville pas que elle fasse des études), mais j'étais prêt à la suivre, et elle a trouvé une collocation la bas.  Moi je suis resté dans l'ancienne ville, a consommé de ouf et à faire des aller-retour pour aller la voir me suis tant bien que mal occupé de rendre  l'appart que on avait pris tous les 2 et je suis retourné chez ma mère en attendant car j'avais des choses à réglé avant de partir.

Petite musique qui pour moi représente vraiment bien notre relation à ce moment là ...



Et à partir de là tout est parti en couilles ... je me suis fait agressé violement par 2 gitans pour 40e de beuh (qui n'avais de beuh que le nom), un des 2 m'a tapé par derrière et ma cassé la mâchoire en 2 (mais genre vraiment elle s’est disloqué du reste de mon visage et été décalé de 5 cm), donc forcément intervention chirurgicale, plusieurs mois pour pouvoir reparlé et remangé normalement, Je connaissais les agresseurs mais vu que je n'avais pas de preuves bah la police n'a rien fait et l'affaire à été classé ... ma copine m'a quitté super violement en mettant tout son malheur sur mon dos et en me descendant plus bas que terre (je ne dirai pas tout ce qui lui ai arrivé mais ça a été une descente aux enfer pour elle dans la nouvelle ville sans moi, ça l'a regarde mais au final je pense que elle a plus souffert que moi, elle avait déjà fait de l'hp plusieurs fois, elle y ai retourné une 3 ieme fois et bien 4 mois minimum…)

C'était pile au début du confinement en revenant chez moi après mon hospitalisation je n'avais toujours pas refumé de clope ni pris quoi que ce soit appart mes tramadol prescrit pour la douleur (bof quand on a déjà de la métha ...),

Et de manière inconsciente ma vision des choses surtout de la drogue avait changé. Je me rendais compte à quel point a avait eu des répercussion négative alors que jusqu’à là je faisais l’autruche inconsciemment. Je me suis quand même laissé tenter par la pipe de beuh qui me restais de mon dernier achat, que j'ai fumé quelques jours après une fois que j'allais un peu mieux, j'ai eu une défonce super clean vu que j'avais rien consommé depuis un moment, mais c'était claire comme de l'eau de roche je ne voulais plus de ça ... j'ai l'impression d'avoir senti les effets sans aucuns biais, et j'ai vu à quel point ça embrumais mon esprit, et surtout ma vision à moyen/long terme et m'enfermais dans un cercle de court terme. Impossible de se projeter dans cet état (pour moi en tout cas).
Du coup c'est la dernière fois que j'ai consommé quelque chose (appart de l'alcool en soirée avec mes potes et encore ultra occasionnellement vu que ça ne fais pas super ménage avec la metha en plus)

Je n'ai pas ressenti de manque de cigarette, ni de cannabis, ni de quoi que ce soit.
J'étais déjà dans une optique de baisse de méthadone, vu que je ne consommais plus d'opiacés en extra depuis un moment vu que à cause de la métha j'ai fini par me résoudre au fait que c'était gaché.

Avant l'agression j'étais a 20 mg, j'ai réussis à descendre jusqu'à 12.5 après mon opération mais il faut savoir que j'étais à 57 kg pour 1m74 ...
Les problèmes de thunes, et la drogues ont fait que j'étais vraiment très très maigre ...surtout que fut une époque ou plus jeune je faisais du sport et de la muscu et ou j'étais bien plus lourd que ça ...

Je fais de la guitare (de la basse et de la batterie également) depuis que j'ai 8 ans (pour la guitare qui est mon instrument principal), je me suis replongé à fond dedans (presque tout mon temps libre) et petit à petit quand j'ai pu bien remangé et reprendre des forces je me suis remis à la muscu et à partir de là j'ai recommencé à retrouver une envie d'évoluer chaque jours, d'apprendre chaque jours, de m'améliorer au quotidien, et j'étais contant de savoir que je pouvais enfin le faire sur une base saine, et non pas tout remettre a zéro à chaque conso (c'est un peu comme ça que je voyais les choses, surtout les gros trips répétés ou on apprends des choses sur soi, et sans avoir le temps d'intégré quoi que ce soit j'étais reparti dans un autre trip).

Au final je suis monté a 75 kg (mémoire musculaire vu que j'avais déjà pratiqué pendant 1 ans de la musculation + passé sportif) et bonne alimentation, mais je n'ai pas réussis a resté a 12.5 mg de metha, entre la prise de poids et les quelques soirée que j'ai fait (l'alcool augmentant la vitesse de  métabolisation de la métha j'étais obligé de redrop le soir même sinon je me sentais mal en soirée au bout d'un moment où je n'arrivais pas à dormir ce qui me déréglait  sur les jours qui suivaient ...) pour finir à doucement remonter à 30 mg ....

Je ne me suis pas aperçu tout de suite mais j'ai recommencé à devenir somnolent alors que je faisais des grosses nuits de sommeil (mais pas réparateur du tout, entrecoupé de pleins de réveil car mon sommeil n'était pas profond du tout),j’ai de nouveau reperdu complètement  ma libido.

J'ai demandé à ce que on test ma testostérone car j'ai fait des recherches sur internet, et j'ai trouvé pas mal d'études parlant d'un lien entre les doses de méthadone et la baisse "assez conséquentes de la testostérone", et dans la liste des symptômes de manque de testostérone me correspondaient tous...

Résultat ? je n’étais même pas dans la fourchette tellement ma testo était basse ... et la fourchette prend en compte des gens bien plus âgés que moi ...donc a 24 ans (Age ou elle est censé être au max) à cause de la méthadone j'ai la testo d'un vieux de 80 balais, et ce n'est même pas une exagération, un vieux en forme mais c'est vraiment possible.
Pourtant le médecin ne me croyait pas, j'ai de la barbe, je suis actuellement à 71 kg pour 1m74, j'ai l'air en forme mais les résultats ne mentent pas,puis je le sens au quotidien ...
J'ai pété un câble quand j'ai su ça ... ça va faire 1 ans dans 1 mois et demi maintenant que je n'ai touché à aucun prod, que je ne fume plus du tout de tabac, que je me suis remis au sport à fond, que je fais super gaffe à mon alimentation, je prends des complément alimentaire pour optimiser au mieux mes hormones, éviter les carences ect, pour que une petite dose de méthadone vienne tout niquer ?

Et le pire c'est qu’en plus d'être somnolent, mauvais sommeil la nuit, anxiété etc, c'est que j'ai l'impression que elle me fait même pas 24h, et tous les matins je me lève à moitié en manque.
Franchement c'est trop pour moi ... que ça m'enlève du confort de vie c'est une chose mais que ça m'enlève mes couilles a 24 ans s'en est encore une autre ...

Surtout que quand j'en parle au médecin (j'en ai eu 2 différent depuis que je suis sous metha), soit les patients ne parlent pas au médecins (et ça ne m’étonnerai pas parce que j'ai connu quelques usagers et ils étaient pas du genre à raconter leur vie aux médecins) soit ils ne s'en rendent pas compte, soit je suis vraiment très sensible à la métha, car le médecin faisait que me dire que c'était bizarre tous ces effets secondaire à un dosage si "petit".

Du coup je me suis décidé à baisser un petit peu tous les jours j'ai commencé par des paliers assez grands puis de plus en plus petit pour arriverde 30mg  a 15mg , en 1 mois à peu prés.
Je suis en train de faire une petite pause à 15 mg histoire de me restabilisé avant de recommencé ma méthode ou je baisse un tout petit peu mais tous les jours (je pense partir sur du 0.25 en moins chaque jours).
La baisse c'est très bien passé, vu que j'ai de gros problèmes pour m'endormir et que le manque se déclare souvent le soir pour moi, j'ai reculé ma prise en début d'aprem, car j'ai remarqué que si j'ai bien dormi, une fois que je me lève je suis capable d'attendre longtemps avant de prendre ma métha.
Ce qui me limite vraiment c'est le soir, je pourrai réussir a passer la journée sans trop de pb avec une dose encore plus petite, mais il me serait impossible de dormir la nuit ....
C'est ce qu'il m'est arrivé les 4 ou 5 derniers jours, ça fait 2 nuits ou je commence à vraiment bien m'habitué au 15mg, je ne m'endors plus la journée, je me sens plus énergique, mais surtout je dors comme un bébé en comparaison à avant, même si l'endormissement est relativement compliqué des fois ...

Entre temps quand j’étais à 20mg de méta j'ai refait testé ma testostérone, celle-ci avait déjà doublé en baissant donc de 30 à20 mg... et je  sentais vraiment la diff dans la vie de tous les jours ....

Tout ça pour dire que je suis dans un état d'esprit ou je veux m'en sortir, et commencer à construire ma vie pour de vrai... je dois recommencé des études au mois de septembre je vais passé mon permis au mois de février, commencé des stages aussi d'ici peu, et je suis pressé d'en finir avec cette méthadone pour moi ce n'est que du négatif à présent, et dans l'ensemble (peut être que je ne vois pas les chose avec assez de recul mais ça a été la pire galère niveau drogue que il me soit arrivé ...)
Je recapitule les galères :
- anihilation de ma testostérone donc de ma libido, donc de ma vie sexuelle, et est en assez grande partie responsable de la fin de ma relation de 4 ans avec mon ex qui de toute façon était une relation toxique et n’aurai pas pu durer et qui je pense à été aussi une des cause de toutes ces consos je ne voulais pas voir que ça allait plus.
- somnolence, et passivité face à la vie qui ont grandement contribué à l'échec de la formation que j'ai effectué il y a 1 an et demi.
-Jusqu'a là je n'étais jamais été confortable 24h, et tous les matins été horrible, avec des nuits avec un sommeil bcp trop légé, réveillé pleins de fois pendant la nuit avec des grosse difficulté à me rendormir.
-je suis de base très anxieux, mais depuis je le suis encore plus j’ai l’impression …
- j'ai remarqué que depuis que je suis en tentative de baisse de dosage, étant plus sensible que d’habitude (en mode pré-manque dans une certaine mesure) ça m'a rendu à moitié précoce (pas au point où c'est vraiment une "maladie" si je puis-dire mais y a clairement un contre coup comparé à quand tu as une grosse dose dans le sang et que ça peut durer à l'infini, donc je ne me sens pas apte à avoir de relation et ça joue bcp sur ma confiance en moi ...
-je suis motivé pour reprendre mes études, mais j’ai très peur par rapport à mon précédent echec et je veux absolument ne plus avoir de méthadone dans le sang, pour assumé cette nouvelle opportunité …
-Je ne m'en rendais pas compte jusqu'à maintenant mais vu que j'ai baissé  très rapidement, j'ai des souvenirs qui reviennent comme si la metha m'avait fait oublié des parties de ma vie , j’ai l’impression de me retrouver comme si j’avais été coupé de moi-même...
-jusqu'a que je soit a 0mg, je ne peux pas me permettre une seule goutte d'alcool, donc cet à dire refusé toute les soirée que on me propose, et tout mes amies ne sont pas dans ce délire et ne sont pas aucourant, donc ça serait bien que ça s'eternise pas ...

Pour moi aujourd’hui la metha est un gros fardeau actuellement, je rêve du jour où j'en aurai plus besoin ... je suis déterminé, dans ma tête je me dis que d'ici 2/3 mois je veux en avoir fini avec.

Je me dis que je n’ai jamais été un gros consommateur d'opiacés, ni en dosage ni en fréquence, et que ça fait "2" ans tout juste que je suis sous métha, et je n'ai jamais dépassé 40 mg comme traitement, et je suis resté en moyenne dans les 30mg.
Je compte beaucoup sur le sport, qui est ma nouvelle addiction (je me sens vraiment défoncé après des grosses séances), que je pratique tous les jours ou presque, je me sens en super forme physiquement en dehors des problèmes d’endorphine … j’ai acquis un physique que je n’ai pas envie de reperdre également. J’ai pris conscience que respecter mon corps, c’est me respecter moi-même et je ne vois plus les choses autrement.

Le médecin fais que me dire que je baisse trop vite que je fais n'importe quoi, que j'abuse que j'en rajoute que la méthadone à bon dos, que je risque de rechuté, alors que en plus de ça, j'ai déménager dans une nouvelle ville depuis, je n'ai aucun contact, et par rapport à ce qu'il m'est arrivé je n'ai aucune envie d'en avoir de nouveau, et je n'ai absolument aucune envie de tout reniquer, alors que ça fait 1 ans que je suis dans une optique différente ...
Je me suis déjà retrouvé en soirée avec des prods sous le nez sans en consommé, ni même en avoir envie (enfin si mais 1 minute30 et c’était pas longtemps après mon arrêt).

Qu'en pensez-vous ? Avez-vous déjà été dans ce cas ? Avez-vous des conseils ? suis-je si sensible que ça à la méthadone pour avoir tous ces effets secondaire ?
Je ne vois pas l’interêt de m’étérnisé avec la métha, dans la situation ou je suis aujourd’hui … je ne pourrais pas aller plus vite que ce que mon corps me permet, je ne veux pas non plus d’un sevrage brutal, (pas à ce dosage en tout cas) ptetre a 5 mg à la limite mais ça j’en sais rien j’y suis pas encore.
Car je redoute l’effet de sevrage psychologique prolongé, car je me rend bien compte que la métha à un effet antideprésseur également.

Dernière modification par fafefifofu (24 janvier 2021 à  23:07)

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fafefifofu a écrit

Pour moi aujourd’hui la metha est un gros fardeau actuellement, je rêve du jour où j'en aurai plus besoin ... je suis déterminé, dans ma tête je me dis que d'ici 2/3 mois je veux en avoir fini avec.

D'ici 2 ou ,3 mois,?

Je suis  ( pour une fois ^___^ ) du même avis que tes médecins.
Tu vas trop vite et amha c'est la meilleure façon de se planter.

Tu dit que tu te lève le matin en chien et tu as donc décaler ta prise de métha .
As-tu fait une méthadonémie résiduelle ?

Bien à toi

MM

Dernière modification par Meumeuh (25 janvier 2021 à  07:34)

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Après quand je dis 2/3 mois c'est ce que j'aimerai dans l'idéal, mais je comprend pas ou est le problème de baisser vite si j'y arrive... je ne consomme absolument plus aucun toxique depuis 1 ans, je n'ai absolument plus aucune envie de consommé, j'ai vécu des choses vraiment très forte qui m'ont remis les idée en places en quelques sortes ...
Sachant que je suis déjà descendu a 12.5, il y a 9 mois je dirai, mais avec 14 kg de moins certes.

je ne descendrai pas plus vite que je ne peux le supporter de toute façon, mais en gros c'est une sorte de méthode chinoise a 15mg, rien de fou non plus, là je suis entrain d'attendre de mieux me stabilisé a 15 pour pouvoir recommencer a baisser plus sereinement.

C'est vraiment plus que un fardeau la métha au point ou j'en suis ...
Et oui 2/3 mois dans l'idéal si ça prend plus de temps je ferai avec, je n'ai pas envie de souffrir inutilement non plus, mais je vais recommencé à avoir une vie active, et je ne veux plus avoir de métha dans le sang, maintenant que j'ai bien baissé je me rend compte à quel point c'est une camisole chimique sur moi ...Cela m'obsède presque, mais déjà je me sens mieux à 15mg.
j'estime avoir mis m'a vie en stand-by assez longtemps et pour tout les raisons que j'ai cité dans mon premier post, ça me freine de ouf ...

Et non je n'ai jamais fais de methadonimie, et mon médecin avait pas l'air de me croire quand je lui disait que je la metabolisait vite, mais il est vrai que c'est bizarre, car à 30mg,  je la prenais direct au levé, et oui je me levé pas complétement en chien, mais vraiment mal, je me ruais dessus (c'est ça qui me reveillais du coups).
Et depuis que j'ai baissé et decalé ma prise l'après-midi même a 15mg, je me lève sans être mal... desfois quand je suis occupé dans l'aprem j'oublie même de la prendre et la prend 30m 1h plus tard. (actuellement, pas a 30).
Mais en vrai j'ai l'impression que mon corps à déjà commencé à s'habitué et a relancé une certaines quantité d'endorphine naturel plus le sport etc, vu que la baisse c'est vraiment fais presque sans accroc, je pense aussi avoir été surdosé pendant mes 2 ans, je n'ai jamais consommé de grandes quantité d'opiacés, et surtout au vue des effets secondaire que j'ai eu, pour "juste" 30/40 mg de metha.

Dernière modification par fafefifofu (25 janvier 2021 à  00:58)

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J75004 homme
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Je ne suis pas dans les opiacés donc je ne peux pas te donner d’avis ni te parler de moi.
Mais tu as tout mon soutien, tu as le feu sacré, la motivation, donc je te souhaite de la garder pour toujours.
Cet accident avec les gitans t’a permis dans ce malheur de prendre conscience de beaucoup de chose. Ça aurait été mieux que ça se passe autrement mais bon d’un drame naissent parfois d’autres chemins.
Tu peux t’en sortir, t’es bon en introspection, t’as du caractère à ce que je vois, continue à fond dans les passions et les plaisirs perso et vis ta vie !

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fafefifofu homme
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Merci J75004, pour ton message de soutient.
Oui desfois on a besoin de se prendre le mur avant de changer de chemin (ça aurait pu être pire mais partant de ce principe ça peut toujours l'être...)
Je n'aurai jamais pensé changer aussi vite et de manière aussi franche d'état d'esprit par rapport à la drogue, ça c'est vraiment fait inconsciemment limite, en rentrant de l'hopital. Je voyais les choses avec du recul, comme elles le sont vraiment, autant dans le présent que dans le passé, j'ai eu des comportement que je regrette beaucoup du à la drogue en particulier et dont je ne me rendais pas vraiment compte.
J'ai tout pris dans la gueule d'un coups, en plus de tout ce qu'il c'est passé avec mon ex et tout ce que elle m'a reproché et qui était beaucoup en lien avec la drogue.
La seul façon d'accepté tout ça c'était de laissé tombé la drogue qui m'a aveuglé, et avec laquelle je suis devenu quelqu’un que je ne voulais pas être.
Il m'est arrivé d'avoir des petites envies mais directement je pense aux effets négatifs et il n'y a pas photo pour moi. Et je sais très bien que juste 1 prise peut changé énormément de chose dans la façon de voir la vie (pour moi en tout cas).
Je sais que je ne fais pas parti de ces personnes qui peuvent se permettre un petit extra de temps en temps avec des potes ou quoi.
La seul chose (hors pb de metabolisation avec la metha) que je peu me permettre c'est l'alcool, je n'ai vraiment jamais eu de pb avec, je sais le gardé pour les soirée entre pote, je pourrai avoir tout l'alcool du monde sous le nez en semaine que je ne boirai pas une goutte.
J'ai besoin d'avancé, et la drogue ne fais pas bon ménage avec moi pour ça.

Dernière modification par fafefifofu (25 janvier 2021 à  11:21)

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Zazou2A homme
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Yop,

En te lisant, en plus de la difficulté que tu as à vivre avec la metha (et je comprends, perso je réagit très mal à cette molécule dès que je passe 30mg ; alors que je n’ai aucun soucis en étant sous morphine)

Je me suis de suite dis, que peut être il serait interessant pour toi de fractionner ta dose dans un premiers temps
Plutôt que de prendre 15 au réveil, 10 puis 5 vers 18h par exemple
Si tu l’as métabolise vite ça te permettra d’avoir un taux sanguin plus constant, sans monter pour autant

Et s’il n’est pas recommandé de baisser trop vite, c’est souvent parce qu’au moment de l’arrêt complet; ça rends les choses plus compliqué, et augmente énormément le risque de rechute
Il y’a aussi le problème du PAWS qui peut se poser, même si ça n’arrive pas toujours

Perso je te conseillerais, d’abord de tester si une prise en 2 fois par jour peut t’aider

Et en suite, si ça le fait, et que tu te sens un peu mieux, là methode chinoise est sans doute ce qu’il y’a de plus adapté pour baisser petit à petit, tu pourras la commencer je dirais en étant entre 5 et 10mg, avant les baisses par pallier se font sans trop de difficultés pour toi apparement, donc pas de raison de changer.

Mais c’est sûr que si plutôt que 3 mois, tu te fixais 6, ça te permettrais de faire ça a un rythme plus cool, moins traumatisant pour le corps, et donc qui a d’avantages de chance de te mener là où tu veux
Puis ça évite le côté « déception » d’un objectif non atteint, quand bien même il a été fixé par soit même, de manière un peu arbitraire.

En tout cas Jspr que ça le fera pour toi, prends ton temps, et il n y’a pas de raison que ça n’soit pas le cas ! Puis quite a me répéter, je pense que tu devrais vmt essayer de fractionner un peu ton dosage, voir c que ça donne

drogue-peace

Zaz

Dans un monde qui va si mal, ce serait de ne rien prendre que d être malade..

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fafefifofu homme
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716 messages
Salut Zazou2A,

Merci pour ta réponse.

Oui je pense que je réagis pas trop bien à la métha, et surtout que je suis assez sensible en général, et que mes consos d'opiacés ne "méritaient" pas 40mg de metha, (mais j'avoue c'est moi qui ai demandé autant).

J'ai pensé pendant un moment à passé sous subu car j'ai vu que souvent si on ne supporte pas l'un on supporte mieux l'autre surtout au niveau de la testostérone et donc de la libido il y aurait moins de problème avec le subutex.

Mais ayant pas mal baissé et ayant lu que les derniers paliers étaient en général plus dur au subu, plus la potentiel perte de temps à switch proprement j'ai laissé tombé cette idée ...

Sinon oui ça paraitrai logique d'essayer de prendre le traitement en 2 fois, mais j'avoue avoir peur de passé un mauvais moment ou de me déréglé si ça ne marche pas ...

Car à chaques fois que j'ai essayé de reprendre une miette quand le manque se pointais un peu au lieu de calmer, ça l'accentuais, (mais genre à chaques fois ...) du coups obligé de prendre une dose bcp plus grande que ce qu'il m'aurait manqué si j'avais pris la dose en 1 fois (je sais pas si je me fais bien comprendre.)

Pour l'instant je vais rester comme ça temps que ça marche, mais si les nuits commencent à devenir plus compliqué je tanterai ça, en croisant les doigts pour que ça fasse pas l'effet contraire ...

Et oui je sais que c'est le risque de rechute qui fais que tout le monde me dit d'y aller molo, ce que je comprend, mais honnêtement tout ça est loin dérrière moi maitenant, en tout cas c'est comme ça que je le ressens, j'ai déjà ressenti une baisse de l'effet anti-déprésseur de la métha, mais c'est pas pour ça que j'ai envie de retourner à la case depart ...
Enfaite ça fait peut être pas si longtemps que je suis sobre, mais cqui me rend confiant c'est la constance et la solidité de mon état d'esprit vis a vis de la drogue, j'en ai jamais demordu depuis cqui m'est arrivé.

Si j'ai temoigné et demander des avies c'est parce que je n'ai pas (encore) trouvé de témoignage d'une personne qui m'avais l'air dans le même état d'esprit et voulant arreter la métha.

J'avoue redouter un peu la dépréssion post sevrage, mais comme j'ai dit je suis dans une toute nouvelle énérgie ou je vais rentrée dans la vie active, j'ai des passions et dequoi me defoulé avec le sport qui a fait partie de ma vie plus longtemps que la défonce, une mère qui me soutiens, des potes qui ne sont pas dans ce cercle ...
Etpuis je veux aller vite, mais pas trop brutalement non plus, je comprend bien que plus ça sera brutal, plus ça aura de chance de foiré ... mais j'ai pas envie de prendre mon temps non plus j'ai l'impression d'en avoir trop perdu déjà ...

Dernière modification par fafefifofu (25 janvier 2021 à  14:08)

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Acideman homme
Banni
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Inscrit le 30 Dec 2020
23 messages
Salut,

Tu dois être bien musclé pour faire ce poids pour ta taille (si c'est que du muscle), je suis étonné que ton taux de testostérone soit très bas.
Parce que l'hypertrophie musculaire est grandement lié à ton taux de testostérone.

J'ai un membre de ma famille qui était accro à l'héroïne de ses 20 a 30 ans. Aujourd'hui à 45 ans, il est toujours sous metha et n'a plus aucune motivation pour rien. Il ne travaille pas, vit assisté par ses parents.. a presque 50 ans.

Sinon bon courage pour t'en sortir, je me demandais si troquer la metha pour du cannabis pourrais t'aider ?
Je sais que le manque d'héroïne est terrible physiquement et psychiquement.

Peut-être qu'arrêter drastiquement les médocs, affronter la douleur due au manque pour arrêter une bonne fois pour toute, quelqu'en soit l'intensité, pour faire une croix dessus. Même si ça dure des semaines, tu finiras par être sevré de toutes substances, nan?
Ça peut paraître naïf ce que je dis, je ne l'ai jamais vécu, et d'après certaines d'études, les anciens héroïnomanes ont besoin de dérivés opiates toute leur vie pour la majorité.

Tu te sens capable de contrecarrer ses dires? Physiologiquement parlant.

Amicalement
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remplacer la méthadone par le cannabis ? WTF - MM

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Mychkine homme
Artichaut dans une caisse d'oranges
champi vert1champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 22 Dec 2020
392 messages
Yo,
Je ne conseillerais pas un arrêt brutal. D'après pas mal de monde ici c'est un bon moyen de majorer un PAWS.
Surtout à la métha qui a la réputation d'être l'une des pires niveau symptômes de sevrage.

Après ça dépend des gens, certains préféreront soufir une bonne fois et être "débarrassé" du truc, mais il faut garder à l'esprit que la méthode est risquée.

Troquer la métha pour du canna ? Hum... Les 2 n'ont rien à voir tant au niveau physiologique que psychlogique, ce n'est pas la beuh qui empêchera le manque d'opiacés (même si elle peut peut-être (?) aider à baisser les dosages chez certains).

Pour les problèmes au niveau de la sexualité, ça revient progressivement à la normale une fois que le corps recommence à synthétiser ses propres endorphines.

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fafefifofu homme
Psycho sénior
champi vert1champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 23 Jul 2016
716 messages

Tu dois être bien musclé pour faire ce poids pour ta taille (si c'est que du muscle), je suis étonné que ton taux de testostérone soit très bas.
Parce que l'hypertrophie musculaire est grandement lié à ton taux de testostérone.

Oui moi aussi d'un cotés j'étais surpris d'avoir pu gagné quand même pas mal de muscle, mais ceci dit, juste avec de halteres de 25 kg chacunes, et le poids du corps vu que les salles sont fermés ça fait un petit moment que je stagne maintenant ...
Après ma testostérone est revenu à la normal depuis que j'ai diminué par 2 les dosages. (heureusement putain), mais la libido est toujours pas ouf, mais ça c'est du au fonctionnement de la métha je pense ...
Sinon je suis pas très sec non plus, on voit mes abdos, mais avec un peu de gras dessus.

Sinon bon courage pour t'en sortir, je me demandais si troquer la metha pour du cannabis pourrais t'aider ?

Alors déjà quand je fumais encore (j'ai vraiment tout arreter que ce soit la clope et le cannabi compris) moi le cannabis accelerais le manque chez moi plutot que de le calmer. Mais en plus oui il n'y a aucune rapport entre les 2 molécules, mais en plus le cannabis ne me correspond pas trop (anxiété, j'ai pris bcp de psyché, donc limite je trip quand je fume, et ça me donne la flemme).

Sinon je sais très bien que ce n'est pas conseillé du tout un sevrage brutal, mais le truc c'est que il me reste à peu prés 6 mois sans que j'ai encore trop de responsabilité, et j'aimerai beaucoup pouvoir me debarassé de ce fardeau temps que j'ai pas trop de résponsabilités ...

Surtout que là j'ai recommencé une formation, et les 15 mg que j'avais ne me suffisent plus, et moi il suffit que je me dérégle 1 ou 2 fois en prenant 1 ou 2 mg le soir pour pouvoir dormir quand je sens que le début de manque est trop developpé, pour que ce soit l'escalade de nouveau .... donc là je suis a 16 et même pas confortable .... j'en peux plus de ces conneries, que je sois surdosé ou sous dosé dan les 2 cas je me sens pas bien, je suis même entrain de pensé à des mesures assez extremes ...
Parce que enfaite j'ai déjà réussis a baissé jusqu'a 12.5, mais exactement de la même manière ça a escaladé et ça à mis beaucoup de temps à se régulé.
En attendant je ne peux avoir aucune relation amoureuse avec une femme (la libido dans les chaussettes j'ai déjà vu ce que ça donne en relation ...), je ne peux pas aller boir ne serait-ce que 1 bière avec des amies, car la moindre gouttes d'alcool me met en manque prematuré, je viens d'avoir mon permis en plus j'aurai bien aimé le fêté avec mes amies et ma famille ...
Sachant que j'ai arreter toutes les consommations depuis 1 ans, j'ai même pas droit à 1 goutte d'alcool, en soi je m'en fou mais le cotés social me manque avec mes potes, etpuis ils sont pas au courant, donc j'en ai marre de devoir esquiver et de "mentir" ....

Dans un premier temps je vais demandé du dxm au doc pour au moins d'essayé de régulé la tolérance (pour ceux qui le savent pas les antagonistes nmda comme le dxm et la ketamine, ont une action positive sur la tolérance, et peuvent même la baissé, si on l'utilie de maniere réguliere à dosage thérapeutique).

Si ça ne marche pas je pense que je vais profité de la fin de ma formation (avant de faire des stages) pour faire un sevrage degressif  accéléré (en 1 ou 2 semaines) avec l'aide de dissociatif pour anhestesié la douleur une bonne fois pour toute ...
Je me souviens à plusieurs reprises sous disso, avoir oublié de prendre ma métha comme on peut le lire pas mals de personne sont d'accord sur ça, c'est sur que les disso peuvent aidé, si seulement je pouvais le faire en milieu hospitalié je le ferai, je vais en parlé au doc, mais je sais déjà que il va pas me prendre au serieux en plus du fait que ça à l'air hyper rare ces hospitalisations...
Je sais que c'est pas une bonne idée, mais le manque physique est le dernier truc qui me tien prisonnier .... donc de pouvor m'en débarassé ça sera vraiment pas mal, certes y aura le psychologique mai j'ai prévu d'aller voir un psy pour travaillé sur pourquoi j'ai consommé, et comme j'ai dit je vais commencé à avoir des résponsabilité donc je pense que ça va m'occupé l'esprit.

Je sais que c'est l'après sevrage physiqyue le plus dur souvent, mais je pense avoir quand même pas mal d'outil à disposition :
- le sport que je pratique quotidiennement, qui fait que je mange bien etc
- la musique qui est ma pation qui m'a déjà bcp aidé pour l'arret de toutes le autres drogues
- mes nouvelles études que je doit commencé d'ici la rentrée prochaine si tout vas bien, et en attendant je veux faire des stages.
- ma mère me soutiens
- je vais essayé de trouvé un bon psychologue
- et je suis dans une énérgie vraiment différente depuis 1 ans.

Dernière modification par fafefifofu (15 février 2021 à  12:49)

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