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Héroïne et opioïdes - Traitements de substitution
Vous n'êtes plus en mesure de contrôler la consommation d'héroïne et d'autres opiacés ? Avez-vous développé une dépendance à ces substances? Dans ces cas, un traitement de substitution peut être utile et important pour retrouver une plus grande stabilité de vie. Les Cliniques psychiatriques universitaires (UPK) de Bâle vous soutiennent avec diverses offres.
UPK Basel est spécialisé dans le traitement de substitution de l'héroïne et d'autres addictions aux opioïdes. Les services ambulatoires proposés par nos deux services, « Service ambulatoire dépendance (ADS) » et « Janus », s'adressent aux patients qui, en plus de leur dépendance aux opioïdes, présentent également des problèmes psychologiques, physiques ou sociaux. Les frais de traitement sont pris en charge par l'assurance maladie.
Nous vous soutenons
Dans l'ADS, l'accent est mis sur le traitement de substitution aux opioïdes. L'UPK Basel propose également des heures de consultation spéciales pour les patients qui ont besoin de conseils et de traitements spécifiques en raison de leur consommation de substances psychoactives.
Le service Janus propose un traitement ambulatoire à l'héroïne pharmaceutique (Diaphin®). Le Janus est l'un des 23 centres de traitement en Suisse qui pratiquent cette thérapie spécifique. Il traite des patients héroïnomanes qui sont à risque en raison de leurs conditions de vie et de leur comportement ou qui ne sont plus intégrés socialement.
Le traitement de substitution comprend un ensemble de soins psychiatriques-psychothérapeutiques, somatiques et sociaux.
Les équipes de traitement sont composées de spécialistes des domaines de la médecine, de la psychologie et de la psychothérapie, des soins infirmiers, des services sociaux et des spécialistes des services médico-thérapeutiques. Chaque traitement est adapté individuellement aux besoins du patient. Les thérapies sont accompagnées d'autres options de traitement .
http://www.gbv.de/dms/bs/toc/230532454.pdf
https://www.revmed.ch/view/512702/41963 … _art12.pdf
https://jeanyvesnau.com/2020/01/27/toxi … ie-nasale/
https://olivierkuhn.wordpress.com/2013/ … vigilance/
Dernière modification par prescripteur (03 janvier 2022 à 18:26)
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Raveski a écrit
s. Comment "soigner" l'addiction lorsque celle ci à parfois des effets "bénéfiques"? (diminution de l'anxiété par les benzo ou baisse des hallucinations sous THC
Merci de votre aide et vos réponses!
Tu peux lire ma publication médicale sur la prise de benzo en contexte de parcours de soin et bilan cognitif (MP pour le lien je veux rester anonyme)
Ma synthèse de la littérature avait souligner des différences notables dans certaines performances cognitivo-comportementales ce qui pourrait amener à diagnostiquer des comorbidités là où les syndromes seraient d'etiologie iatrogene
Dernière modification par Norhydex (09 février 2022 à 12:30)
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Raveski a écrit
Bonjour,
Premier post sur le forum. Je compte sur votre indulgence
Je suis infirmier dans un service médico social accueillant des personnes ayant une pathologie psychiatrique (psychotiques, troubles anxieux généralisés, bordeline...).
Des conduites addictives y sont souvent associées.
Je me trouve bien souvent en difficulté pour accompagner mes patients dans le cas où l'addiction et la pathologie psy sont pour moi bien souvent "imbriqués".
Je travaille en ce moment sur un sujet de mémoire (DU addictologie) dont le thème principal sera (ca parait logique ) : troubles psychiatriques et conduites addictives. Comment "soigner" l'addiction lorsque celle ci à parfois des effets "bénéfiques"? (diminution de l'anxiété par les benzo ou baisse des hallucinations sous THC. Voici par exemple une de mes réflexions.
Je suis à la rechercher d'avis, expériences professionnels travaillant dans le secteur de la psychiatrie ou dans le champ du médico social, usagers,... concernant ce vaste sujet mais dont je trouve peu de réponses. Je souhaite "resserré" mon thème de mémoire autour d'un sujet peut être plus ciblé (mémoire de 20 pages) et pour ca j'ai besoin de pistes de réflexion que vous pourrez j'espère m'apporter...
Merci de votre aide et vos réponses!
Bonjour, cela est très intéressant..1
Je suis patient psy et consommateur,
les conduites addicitives ont commencer a l'age de 13 ans, j'ai eu une hospitalisation a 16 ans et j'ai été sous tercian et benzo pendant 3 mois avant d'arreter et de reprendre du cannabis puis de commencer une addiction a la ketamine car mal renseigner et voulant "soigner" moi depression...
Je n'ai pas de diagnostic clair, ma vie s'est enchainer de trauma multiple et de dépandance affective, d'anxiete, de délire un peu paranoiaque.. cela m'enerve de pas savoir ce que j'ai dans la tête ma psy n'a jamais été très clair sur ce qu'elle pense que j'ai ou sur ce qu'elle voit dans mes symptomes,
a vrai dire les addiction brouillent enormement les pistes.. donc normal de pas me dire n'importe quoi sachant que j'ai un gros terrain anxieux et un imaginaire assez developper,
depuis 2 mois je suis sous sertraline et benzo j'ai repris mon suivi psy et je n'arrive pas a arreter les conso,
malheuresment, c'est ps sans risqe.. j'ai l'impression que ce que j'ai evolue et de plus en plus quand je fume et que je suis ketaminer, j'ai des delire, ca me degoute du produit et temps mieux je commence a ressentir un vrai besoin d'arret mais cela reste compliqué, je vais prendre un suivi addicto en plus de mon suivi psy et un suivi psychologique car ma psychiatre va etre absente pendant un moment...
Le probleme quand on melange plein de symptome c'est qu'on a l'impression de pouvoir avoir moulte trouble en meme temps, et si dans mon cas je ne ralentis pas mes conso je pense que ca peut m'atteindre meme quand je ne consomme pas, c'est très dure pour moi de l'admettre
mais je passe d'horrible nuit, et ce qui ressemblait a un TAG et depression, commence a etre n'importe quoi, personnellement ca me fait peur..
Je suis Moniteur Educateur et engagé dans la RdR, dans le Caarud de ma ville, j'ai une bonne culture scientifique, et cela m'aide a garder pieds dans la réalité, mais je parle en toute modestie, je n'ai pas plus de connaissance que ça
j'espere que mon témoignage peut un peu aidé
Norhydex a écrit
Raveski a écrit
s. Comment "soigner" l'addiction lorsque celle ci à parfois des effets "bénéfiques"? (diminution de l'anxiété par les benzo ou baisse des hallucinations sous THC
Merci de votre aide et vos réponses!Tu peux lire ma publication médicale sur la prise de benzo en contexte de parcours de soin et bilan cognitif (MP pour le lien je veux rester anonyme)
Ma synthèse de la littérature avait souligner des différences notables dans certaines performances cognitivo-comportementales ce qui pourrait amener à diagnostiquer des comorbidités là où les syndromes seraient d'etiologie iatrogene
Ton artcile m'interresse si jamais ca ne te derange pas a titre purement personnel je suis interesser de le lire, mais ne te force vraiment pas , ta volonté de rester annyme est clairement comprise, en tant que consommateur et semi professionnel, j'ai le même besoin que toi, mieux vaut pas que le publique avec lequel je bosse ne me trouve sur PA.
Merci a vous
et passez une excellente journee!!
désolé pour les faute, pas vraiment le temps de relire j'espere que ca ne derange pas trop votre lecture!
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Raveski a écrit
Bonjour,
Premier post sur le forum. Je compte sur votre indulgence
Je suis infirmier dans un service médico social accueillant des personnes ayant une pathologie psychiatrique (psychotiques, troubles anxieux généralisés, bordeline...).
Des conduites addictives y sont souvent associées.
Je me trouve bien souvent en difficulté pour accompagner mes patients dans le cas où l'addiction et la pathologie psy sont pour moi bien souvent "imbriqués".
Je travaille en ce moment sur un sujet de mémoire (DU addictologie) dont le thème principal sera (ca parait logique ) : troubles psychiatriques et conduites addictives. Comment "soigner" l'addiction lorsque celle ci à parfois des effets "bénéfiques"? (diminution de l'anxiété par les benzo ou baisse des hallucinations sous THC. Voici par exemple une de mes réflexions.
Je suis à la rechercher d'avis, expériences professionnels travaillant dans le secteur de la psychiatrie ou dans le champ du médico social, usagers,... concernant ce vaste sujet mais dont je trouve peu de réponses. Je souhaite "resserré" mon thème de mémoire autour d'un sujet peut être plus ciblé (mémoire de 20 pages) et pour ca j'ai besoin de pistes de réflexion que vous pourrez j'espère m'apporter...
Merci de votre aide et vos réponses!
salut
un lien très utile : Le guide « Addictions et troubles psychiatriques »
bonne recherche !!
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Raveski a écrit
Bonjour,
Premier post sur le forum. Je compte sur votre indulgence
Je suis infirmier dans un service médico social accueillant des personnes ayant une pathologie psychiatrique (psychotiques, troubles anxieux généralisés, bordeline...).
Des conduites addictives y sont souvent associées.
Je me trouve bien souvent en difficulté pour accompagner mes patients dans le cas où l'addiction et la pathologie psy sont pour moi bien souvent "imbriqués".
Je travaille en ce moment sur un sujet de mémoire (DU addictologie) dont le thème principal sera (ca parait logique ) : troubles psychiatriques et conduites addictives. Comment "soigner" l'addiction lorsque celle ci à parfois des effets "bénéfiques"? (diminution de l'anxiété par les benzo ou baisse des hallucinations sous THC. Voici par exemple une de mes réflexions.
Je suis à la rechercher d'avis, expériences professionnels travaillant dans le secteur de la psychiatrie ou dans le champ du médico social, usagers,... concernant ce vaste sujet mais dont je trouve peu de réponses. Je souhaite "resserré" mon thème de mémoire autour d'un sujet peut être plus ciblé (mémoire de 20 pages) et pour ca j'ai besoin de pistes de réflexion que vous pourrez j'espère m'apporter...
Merci de votre aide et vos réponses!
Salut,
Je te conseille la lecture de "L'envers de la toxicomanie" d'E. Vera Ocampo qui décale le point de vue psychiatrique (très DSM) et repense l'usage de substances avec une orientation analytique. Si le trouble addictif est bien souvent corrélé à une pathologie psy, c'est parce que le premier est très souvent une réponse (ingénieuse, rapide et efficace) à un trauma antérieur ou un conflit psychique revécu, répété ou réactualisé. On ne "tombe" pas dans la drogue, le manque-à-être était déjà là, quelque part ; ça n'a pas plus de sens que de dire que l'on "tombe amoureux".
L'usage de substances (dans une démarche inconsciente d'auto-médication le plus souvent) est alors très utile pour écarter une décompensation dépressive ou psychotique qui menacerait à un moment l'intégrité psychique de l'usager, évitant une catastrophe (perte de prise avec la réalité, repli psychique, symptômes invalidants etc.) mais précarisant potentiellement le sujet sur d'autres aspects (professionnel, relationnel etc.). En somme, la drogue est une merveilleuse rustine, adaptée et adaptable à toutes les structures psychiques, ce qui en fait un objet d'études particulièrement glissant (et insaisissable : celui qui prétend y voir clair dans un esprit de système a tort). C'est pour ça qu'il n'y a pas de théorie unifiée de la toxicomanie (en psychiatrie et ailleurs même si on y tend par simplification, cf. DSM), mais bien uniquement que des usagers dans leur singularité.
Avec la multiplication des diagnostics psychiatriques et le recours à des idéologies stigmatisantes (logiques judiciaires, carcérales, politiques, médicales, cf. le livre "Il n'y a pas de drogués heureux" etc.), le trouble addictif est devenu avec le temps une comorbidité (on appréciera l'appellation) associée, par facilité selon moi, à diverses pathologies sans réel travail sur la ou les causalités psychiques concomitantes.
En contrepoint total de ces idéologies répressives ou normatives, la psychanalyse a largement contribué à dépathologiser l'usager de drogues (dans un mouvement anti-psychiatrie), grâce à des travaux récents de clinique analytique (Sylvie Le Poulichet, Anzieu, Vera Ocampo, François Duparc). Outre la substitution (TSO) dont les effets bénéfiques ont été depuis longtemps démontrés & qui offre une solution de type médical, la psychanalyse reste pour moi l'un des rares champs disciplinaires à laisser la parole aux usagers addictés sans en faire des patients diagnostiqués, labellisés, enfermés...
Petite anecdote : un jour en séance, mon psychanalyste a fait une référence à Amy Winehouse. J'ai immédiatement (et idiotement) répondu : "Elle, elle a mal fini". Il m'a répondu : "Elle n'a ni bien ni mal fini, elle a fini sa vie, c'est tout".
Amicalement,
Jéri
Dernière modification par joel92 (13 avril 2022 à 22:39)
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Sombre73 a écrit
Bonjour, c'est un repost de ma présentation car de mon point de vue il aurait plus ca place ici , donc merci de déplacer ou suprimer si je me trompe .... merci pour votre indulgence , j'ai besoin d'aide.
Je suis un humains de 38 ans, polydépendant depuis de nombreuse années.
J'ai commencé le shit vers l'age de 11 ans et fumer des bang ( jusqu'a 40 douilles/jours) jusqu'a mes 20 ans. Un jour j'en ai eu marre j'ai tou viré puis stop la bang.
J'ai pris mes premiers psylo vers 16 ans...
La suite pas étonnante, vers 20 ans, Exta, LSD, cactus... CC/Crack ...
Bref, ma conso ne c'est jamais vraiment arrêtée et c'était plutot une position assumée que je met facilement sur le dos de troubles émotionnels, difficulté scolaire depuis le début ( même avant de savoir parler), cocufiage de mon pére envers ma mère, position de soufre douleur avec les enfants de mon age ... Bref quand j'ai enfin réussi à avoir un peu confiance, j'ai instinctivement dit bon il faut que je soit accepter et que j'ai une situation, quoi qu'il en coute comme dirais l'autre.
Donc : speed > coke > soirée > organisateur de soiree + un peu de crack en after ... pétard en quasi continu jusqu'a 30 ans ...
à 30 ans, Le boulot marche bien, Conso assumé avec ma cheri, achat d'une maison.
(1g par we avec parfois des dérapages avec 1g de plus dans crack plus ou moins controlés que j'ai toujours dit à ma cherie meme si je me prenais des brasses monumentales).
32 ans ça burn au boulot perte de controle sur la conso ( je commence a cacher mes dérapages au crack).... ça part en couille J'arrete tous du jour au lendemain pendant plus d'un an...
34 rechute dans la cc mais plus de crack ( si l'envi me prend, grosse trace, soivenir du crash et ça passe ).
Ensuite, J'ai eu une petite fille qui a aujourd'huis 5 ans. donc arret totale qui durera encore 1 ans.
35 arret du thc vive le cbd.
Depuis mes 35 jusqu'a maintenant ma conso de cc et presque quotidienne defois 4 jours sans mais jamais bien plus .. ( oui ça craint ..) et il y a deux ans j'ai repris le shit (oui nul mais il va si bien avec CéCile). mais bon j'était bien comme ça..
au moment ou je vous écrit ( et c'est surement la raison pour laquelle je le fais ). On peut dire que je suis au font du trou avant que le masque tombe ...
depuis septembre au lendemain de grand succés proffesionnelles, la descente, mon anxietées, je me suis replié sur moi et j'ai consommé de plus en plus, j'ai trouvé un super plan cc, j'en ai fourguer un peu pour amortir ma conso, donc je payais plus et grosse erreur fatale j'ai voulu baser juste une fois pour la gouter ... depuis tous les deux jours, je me fais deux fume ... ( je me tend des piege en prenant qu'un demi g quand je sais que vais passer à l'acte, en m'éloignant du point de vente, ça marche pour éviter que les crash me mène à consommer des fumes qui ne feront pas d'effets et augumenterons la frustration).
J'ai virer les contacts qui me permettais une conso plus ou moins a l'oeil ( parce que c''est du boulot quand même, surtout quand on ve pas etre trop connu )...
Je vous écrit parce que je prend conscience maintenant que ce qui m'a aidé a ne pas resté accroché au caillou, c'est la snif et que vue que dernierement, je voulais stopper la snif parce que j'en avais marre de mon milieu sociale rempli de cocainomane comme moi ... je me suis mi a fumer tous seul comme un con, be n ouai je snif plus, j'ai plus le nez irrité ... mais a quel prix, je ment, je me détruit mais je veu pas tomber le masque je veux pas prendre le role du tox que tou le monde* surveille ( *tous les autre tox qui s'assume pas) ...... on en a un dans le cercle d'ami et depuis qu'il à ce role c'est de pire en pire ( maintenant c'est trace de marron à tous va pour lui en plus de la cc... triste).
bref je sais plus, trop j'ai utilisé la cc comme un anti dépresseur ou de la ritaline ( j'ai jamais testé mais d'aprés les témoignages c'est un peu l'usage que j'en ai fait ) j'ai souvent évoquer mes problèmes de concentration et d'organisations et que la cc m'aide pour ça .. mais les médecin m'on toujour dit que vue que je m'en sortais comme ça on allait pas me rajouter de produits...
Bon voila, elle m'a inspirée cette page blanche ... 4 jours sans snif, 2 fume il y a 3 jours, deux fume hier.... ça pu ! j'ai besoin d'aide, de conseilles... je sais pas .
un peu de positif dans tous ça, ma femme snif beaucoup moins, j'ai eu une vie de fou, autant dan les expériences un peu punk , que dans la construction de quelque chose de perene, j'ai beaucoup voyagé , créer des vocations... j'ai eu beaucoup de chance, on m'a remis en place quand j'avais trop confiance.. ça m'a aidé ...mais pas que ...je pense que les critique des jaloux, des manipulateur et des audacieux mon aussi profondément blessés et menées au repli...
Je m'étale , va peut etre falloir déplacer le sujet..
Salut !!!
Moi aussi je viens de lâcher ma prose peut être pas au bon endroit. Je t'ai bien lu et tu ne parles pas de prise en charge ??? Je pense que ça vaudrait le coup de refaire un post car j'ai l'impression que tu as besoin de soutien, tu es en manque et il ne faut pas t'isoler!! On laissera les modérateurs nous déplacer si nécessaire. Le mucomyst pourrait t'aider à passer la pilule mais rapproche toi avant tout d'un CSAPA. Peut être n'arrête pas juste avant les fêtes c'est le week-end ça va être compliqué. Les médecins t'ont dit que la coc ct cool si tu gérais ??? Waouh quand même. Bref si j'étais toi je me mettrais pas la pression tu as ta pitchoune mets la bien pour Noël et tu verras la semaine prochaine ce que tu peux faire. Bon courage à toi
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prescripteur a écrit
Bonjour, j'ai visité la clinique psychiatrique de Bâle qui propose un traitement à l'heroine médicalisée (Diaphin) associée à une prise en charge ambulatoire, notamment la prise du traitement psychiatrique en salle de consommation d'heroine (2 fois/jour, 7 jours sur 7). Clairement la prise en charge des troubles psychotiques y est bien supérieure à ce qui se fait en France notamment. Mais cela impose une vision pragmatique et non ideologique, et une attention bienveillante aux méthodes qui donnent des résultats éprouvés, mais tout cela semble malheureusement interdit en France. On ne change pas une équipe qui perd ! Amicalement
https://www.upk.ch/erwachsene/hilfe-bei … ioide.html
Traduction google.Héroïne et opioïdes - Traitements de substitution
Vous n'êtes plus en mesure de contrôler la consommation d'héroïne et d'autres opiacés ? Avez-vous développé une dépendance à ces substances? Dans ces cas, un traitement de substitution peut être utile et important pour retrouver une plus grande stabilité de vie. Les Cliniques psychiatriques universitaires (UPK) de Bâle vous soutiennent avec diverses offres.
UPK Basel est spécialisé dans le traitement de substitution de l'héroïne et d'autres addictions aux opioïdes. Les services ambulatoires proposés par nos deux services, « Service ambulatoire dépendance (ADS) » et « Janus », s'adressent aux patients qui, en plus de leur dépendance aux opioïdes, présentent également des problèmes psychologiques, physiques ou sociaux. Les frais de traitement sont pris en charge par l'assurance maladie.
Nous vous soutenons
Dans l'ADS, l'accent est mis sur le traitement de substitution aux opioïdes. L'UPK Basel propose également des heures de consultation spéciales pour les patients qui ont besoin de conseils et de traitements spécifiques en raison de leur consommation de substances psychoactives.
Le service Janus propose un traitement ambulatoire à l'héroïne pharmaceutique (Diaphin®). Le Janus est l'un des 23 centres de traitement en Suisse qui pratiquent cette thérapie spécifique. Il traite des patients héroïnomanes qui sont à risque en raison de leurs conditions de vie et de leur comportement ou qui ne sont plus intégrés socialement.
Le traitement de substitution comprend un ensemble de soins psychiatriques-psychothérapeutiques, somatiques et sociaux.
Les équipes de traitement sont composées de spécialistes des domaines de la médecine, de la psychologie et de la psychothérapie, des soins infirmiers, des services sociaux et des spécialistes des services médico-thérapeutiques. Chaque traitement est adapté individuellement aux besoins du patient. Les thérapies sont accompagnées d'autres options de traitement .http://www.gbv.de/dms/bs/toc/230532454.pdf
https://www.revmed.ch/view/512702/41963 … _art12.pdf
https://jeanyvesnau.com/2020/01/27/toxi … ie-nasale/
https://olivierkuhn.wordpress.com/2013/ … vigilance/
Bonjour Prescripteur,
Aurais-tu des informations complémentaire sur l'accès a ce type de therapie/protocole/thérapeutique pour ceux qui voudraient éventuellement se rapprocher d'eux mais qui ne vivent pas en Suisse ?
J'avais de mon côté, par automédication, trouver une solution qui me permettait de me soigner et de quitter ma polyconsommation de substances toxiques et addictive.
Je suis entré par une voie classique d'accès aux soins par la suite afin d'enclencher la phase suivante de sortie définitive de l'addiction, qui, in fine, s'est avérée chaotique et qui est beaucoup moins concluante que le protocole que j'avais mis en place par moi-même.
Le,problème, c'est que ma méthode entretien de garder contact avec un réseau de fournisseurs qui restent un frein à une sortie définitive de mon addiction, sans parler de tous les risquent associés à ne pas avoir une équipe médicale en complément. Et, de plus, pouvait créer des situations de mise en danger quand il fallait en trouver des nouveaux et que je n'y avais plus accès au moment nécessaire.
Je pense et trouve dommage que la prose en charge en addictologie n'est pas assez personnalisé et ne prend pas en compte les solitions misent en place par les PUD et qui fonctionnent pour eux.
On commence a faire des thérapies de qualité mais unique pour chacun dans le cas de cancer, pourquoi pas dans le cas d'addictions ?
merci
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Raveski a écrit
Bonjour,
Premier post sur le forum. Je compte sur votre indulgence
Je suis infirmier dans un service médico social accueillant des personnes ayant une pathologie psychiatrique (psychotiques, troubles anxieux généralisés, bordeline...).
Des conduites addictives y sont souvent associées.
Je me trouve bien souvent en difficulté pour accompagner mes patients dans le cas où l'addiction et la pathologie psy sont pour moi bien souvent "imbriqués".
Je travaille en ce moment sur un sujet de mémoire (DU addictologie) dont le thème principal sera (ca parait logique ) : troubles psychiatriques et conduites addictives. Comment "soigner" l'addiction lorsque celle ci à parfois des effets "bénéfiques"? (diminution de l'anxiété par les benzo ou baisse des hallucinations sous THC. Voici par exemple une de mes réflexions.
Je suis à la rechercher d'avis, expériences professionnels travaillant dans le secteur de la psychiatrie ou dans le champ du médico social, usagers,... concernant ce vaste sujet mais dont je trouve peu de réponses. Je souhaite "resserré" mon thème de mémoire autour d'un sujet peut être plus ciblé (mémoire de 20 pages) et pour ca j'ai besoin de pistes de réflexion que vous pourrez j'espère m'apporter...
Merci de votre aide et vos réponses!
Chez les TDAH non diagnoqtiqué, l'existance du méthylphenidate a permis a beaucoup l'arret d'une automédications par l'usage de drogues illégale.
Chez certains introverties, timides et ayant du mal a exprimer leurs émotions ou à créer des relations sociales, l'utilisation de MDMA, dès la première prise, leur a permis de débloquer des verrous.
Tu as sur le forum, le témoignage d'une femme, qui à l'aide d'une consommation de cocaine prisé, est sortie de sa dépression et à pu reprendre une activité artitistique qui la passionnait, le dessein. D'apès son témoignage, elle devait faire face à une forme de dépression.
C'est pas grand chsoe mais si ça peut aider
take care
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Je pense et trouve dommage que la prise en charge en addictologie n'est pas assez personnalisé et ne prend pas en compte les solutions misent en place par les PUD et qui fonctionnent pour eux.
Bonjour, tout à fait d'accord avec toi. J'ai d'ailleurs recemment participé à une formation dans un DU d'Addictologie (Grand Est) et c'est l'idée que j'ai défendue.
Sinon, pour la Suisse il faut etre résident.
Amicalement
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