1 2
Hors ligne
Anonyme6525 a écrit
Je trouve effectivement ce produit super addictif, pourtant certaines personnes détestent ou trouve ça pas ouf. Pour moi, c'est le produit ultime : psychédélique, c'est une aventure à chaque fois, mais il y a aussi le côté euphorique des drogues habituelles. Ce côté poétique, ce côté méditatif. Et le côté antidépresseur qu'il y avait au début après la prise. Maintenant, je me tape au moins 1 semaine avec un moral dans les chaussettes. 2 semaines pour revenir à peu près à la normale. Les souvenirs (extrêmement positifs) que j'ai avec me hantent. Je suis super triste de pas pouvoir accéder à des trips comme à mes débuts. Je dois passer par une espèce de processus de deuil (bon le mot est un peu fort tout de même, mais comme une relation qui se termine quoi). Mais la tolérance est telle que le produit m'est inaccessible. Ça et le prisme des effets secondaires a totalement changé. Et je ne peux pas me permettre d'en prendre niveau mémoire, ça me défonce, trop incapacitant pour mon taff. Mais dieu sait que putain, qu'est-ce que je donnerai pour retourner dans l'univers de la kétamine.
Par contre, je n'ai jamais switché à une consommation de petites doses quotidiennes. C'était toujours l'effet psychédélique qui était visé. Je ne sais pas à quel point l'accroche peut être plus intense quand ce sont des prises répétées chaque jour. Mais j'imagine que c'est encore plus rude d'en sortir.
Re!
Merci pour ta réponse
Je me retrouve énormément dans ton point de vue aussi.
Pour ma part, cest en premier la recherche d'effet psychédélique et d'expérience qui m'a mené vers ce produit et à en reprendre, puis la découverte de toute les autre facette du produit m'ont donné ces autres raisons d'en consommé, un peu comme de l'automédication mélanger en même temps à la recherche d'état de conscience mélanger aussi avec le côté récréatif sociabilisant et euphorique à petite dose
Bref c'est un passe partout
Et comme tu le dis ce cercle vicieux de perte progressive des effet attendue peu importe lesquelles liée à cette tolérance qui augmente très vite
J'ai ressentis comme toi cette inaccessibilité au produit a cause de cette tolérance
Et pareil une certaine melencholie vis à vis de quand j'avais commencé
On peut dire qu'on se retrouve très vite accoutumé à cette spiral et du coup je ne sais pas si tu partage mon point de vue mais j'ai l'impression que la consommation de ketamine de manière récréative se democratise énormément, dans ma ville à une vitesse folle fin genre c'est presque autant consommé qu'un taz voir plus
Ya une offre et une demande qui grimpe de ouf
Et j'ai trouvé intriguant le contraste avec le nombre de proffessionnel de santé ayant eu affaire à des cas daddiction ou d'accident avec la conso récréative du produit (toujours dans ma ville)
Et je me demande si se serais parce que cette consommation est récente et que par ce que récente pas assez de temps et de recul pour voir les dégâts ou si vraiment le produit est relativement je saurais pas comment le dire mais moins dangereux que ce que je m'imagine et que c'est juste quil yaurai une minorité qui aurait des difficultés avec ?
..
Dernière modification par kazivol (07 mars 2022 à 18:48)
Hors ligne
Hors ligne
nmdar a écrit
Question intéressante et compliquée, tellement elle dépend de l'usager et des effets recherchés.
Mes premiers essais avec la kétamine en sniff n'étaient pas du tout agréables, impression d'avoir la tête dans un étau + nausée incapacitante. Il m'a fallu m'orienter vers l'injection pour y trouver les effets recherchés (anesthésie physique, incapacité d'accéder à sa mémoire, impression de flotter et d'être dans une dimension parallèle).
Il m'arrive encore d'avoir de très mauvais effets secondaires et de rester cloué au lit le lendemain, ce qui freine un peu mon enthousiasme pour le produit.
Je ne pense pas être dépendant, j'en prends seulement une fois toutes les 4 semaines et je me sens OK le reste du temps. En terme d'addiction, je ne sais pas. Je n'ai pas l'impression que ma consommation est une gêne particulière pour les autres aspects de ma vie. Je n'ai pas envie d'arrêter de consommer. Je ne ressens pas de craving irrésistible même si je pense de temps en temps à la prochaine date de shoot. Je ne veux pas augmenter la fréquence, je ne veux pas de "permatolérance" aux dissociatifs, je ne veux pas non plus trop me piquer, ce n'est pas sans risque.
:)
Après lecture, reflexion, des questionnement a pas mal de consommateur, une formation rdr et une analyse sur moi même en discussion avec d'autre consommateur nsi que leur consommation et apres vos message.
j'ai vraiment l'impression que cette drogue est typiquement un exemple justement comm e tu le dit , d'une certaine singularité des effets qui dépendent du consommateur , de son set and setting, de ses troubles, antécédent, raison qui pousse a consommer, effet recherché.
j'ai remarquer que pour la quasi majorité des gens que j'ai interroger, ceux qui n'aime vraiment pas le produit et qui vomisse tres facilement avec le produit seul, sont des personne sujette aux vertige ou au mal de mer.
apparement les sensation de tournis et de pesenteur peuvent rentrer en dissonance avec l'oreil interne et creer le même effet que lorsqu'on a le mal de mer ou des transports.
pour le coup je n'ai pas de source "fiable" j'ai juste interroger le plus de consommateur que je pouvait depuis et je me referent a mes notes et en relisant cela les témoignage ou écoutant les gens parler, cela m'a sembler logique.
Tant le mal de mer est issu d'une dissonance entre plusieur sens, effet étant hyper présent sous kétamine.
Pour revenir a ton témoignage.
je trouve vraiment intéressant de pouvoir questionner la consommation de personne ayant un rapport au produit complètement différent sur ce que leur conso leur à apporter, en problème comme en reflexions !
Tu as l'air d'être très lucide vis a vis de ta consommation il est intéressant de voir que le produit ne t'impact pas tellement psychiquement
As tu toujours eu une consommation occasionnel comme ça de manière gérer ? cette consommation par ton biais, tes raisons, n' t'elle jamis impacter ton quotidiens ?
je m'excusesi la question est indiscrette et n'attends pas forcément de réponse hyper précise.
l'anonymat est important, mais j'adore me posé des question et questionné les gens ..
amicalement
zolivak.
Hors ligne
kazivol a écrit
j'ai remarquer que pour la quasi majorité des gens que j'ai interroger, ceux qui n'aime vraiment pas le produit et qui vomisse tres facilement avec le produit seul, sont des personne sujette aux vertige ou au mal de mer.
apparement les sensation de tournis et de pesenteur peuvent rentrer en dissonance avec l'oreil interne et creer le même effet que lorsqu'on a le mal de mer ou des transports.
Je pense aussi qu'il y a une correlation entre les deux. Je me souviens encore de la fois où j'ai passé la nuit dans un ferry, avec une mer particulièrement agitée, j'étais allongé au ras du sol au milieu du bateau avec un sac en papier toute la nuit…
J'essaie de bouger le moins possible lors de mes descentes de dissos mais ça me fonctionne pas tout le temps.
kazivol a écrit
As tu toujours eu une consommation occasionnel comme ça de manière gérer ? cette consommation par ton biais, tes raisons, n' t'elle jamis impacter ton quotidiens ?
Je pense avoir toujours été capable de gérer. Mais peut-être est-ce parce que je n'ai pas encore trouvé le produit qui me donne les effets recherchés sans effets secondaires néfastes. Même la GBL qui a une descente relativement cool est tellement dégoûtante à avaler que j'ai rarement envie d'en prendre.
Il m'est arrivé de boîter au travail quelques jours après mes premières prises de tryptamines par i.m.; maintenant je n'injecte quasiment plus ces produits, et quand je le fais, c'est à petite dose pendant mes congés.
Sinon, je ne parle à personne de mes usages, sauf de façon anonyme en caarud et ici sur PA.
Hors ligne
Dernière modification par Morning Glory (24 mars 2022 à 19:48)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Morning Glory a écrit
Ca veut dire que non seulement mon aripiprazole diminue les effets des dissos mais augmente leur neurotoxicité?! Depuis tout ce temps je me flingue la cervelle dans le vide en fait, c'est horrible, merci beaucoup pour cette info!!! Wa trop flippant et contre-intuitif... je me pensais protégée moi faute d'effets ToT Je suis deg deg DEG
J'ai du mal à comprendre ta conclusion... Pourquoi ça augmenterait la neurotoxicité des dissos l'aripiprazole ?
Aripiprazole is also a partial agonist of the serotonin 5-HT1A receptor (intrinsic activity = 68%).[51][62][63] It is a very weak partial agonist of the 5-HT2A receptor (intrinsic activity = 12.7%),[51] and like other atypical antipsychotics, displays a functional antagonist profile at this receptor.[51] The drug differs from other atypical antipsychotics in having higher affinity for the D2 receptor than for the 5-HT2A receptor.[63] At the 5-HT2B receptor, aripiprazole acts as a potent inverse agonist.[51] Unlike other antipsychotics, aripiprazole is a high-efficacy partial agonist of the 5-HT2C receptor (intrinsic activity = 82%) and with relatively weak affinity;[51] this property may underlie the minimal weight gain seen in the course of therapy.[66] At the 5-HT7 receptor, aripiprazole is a very weak partial agonist with barely measurable intrinsic activity, and hence is a functional antagonist of this receptor.[51][58] Aripiprazole also shows lower but likely clinically insignificant affinity for a number of other sites, such as the histamine H1, α-adrenergic, and dopamine D4 receptors as well as the serotonin transporter, while it has negligible affinity for the muscarinic acetylcholine receptors.[51][56]
De wiki, ce que je comprends, c'est que justement ton aripiprazole a l'action qu'il faut pour avoir cette prévention de la neurotoxicité des dissociatifs. Après a quel niveau d'activation on a une prévention totale, suivant la dose de disso, ça j'en sais fichtre rien.
Anonyme6525 a écrit
Morning Glory a écrit
Ca veut dire que non seulement mon aripiprazole diminue les effets des dissos mais augmente leur neurotoxicité?! Depuis tout ce temps je me flingue la cervelle dans le vide en fait, c'est horrible, merci beaucoup pour cette info!!! Wa trop flippant et contre-intuitif... je me pensais protégée moi faute d'effets ToT Je suis deg deg DEG
J'ai du mal à comprendre ta conclusion... Pourquoi ça augmenterait la neurotoxicité des dissos l'aripiprazole ?
Aripiprazole is also a partial agonist of the serotonin 5-HT1A receptor (intrinsic activity = 68%).[51][62][63] It is a very weak partial agonist of the 5-HT2A receptor (intrinsic activity = 12.7%),[51] and like other atypical antipsychotics, displays a functional antagonist profile at this receptor.[51] The drug differs from other atypical antipsychotics in having higher affinity for the D2 receptor than for the 5-HT2A receptor.[63] At the 5-HT2B receptor, aripiprazole acts as a potent inverse agonist.[51] Unlike other antipsychotics, aripiprazole is a high-efficacy partial agonist of the 5-HT2C receptor (intrinsic activity = 82%) and with relatively weak affinity;[51] this property may underlie the minimal weight gain seen in the course of therapy.[66] At the 5-HT7 receptor, aripiprazole is a very weak partial agonist with barely measurable intrinsic activity, and hence is a functional antagonist of this receptor.[51][58] Aripiprazole also shows lower but likely clinically insignificant affinity for a number of other sites, such as the histamine H1, α-adrenergic, and dopamine D4 receptors as well as the serotonin transporter, while it has negligible affinity for the muscarinic acetylcholine receptors.[51][56]
De wiki, ce que je comprends, c'est que justement ton aripiprazole a l'action qu'il faut pour avoir cette prévention de la neurotoxicité des dissociatifs. Après a quel niveau d'activation on a une prévention totale, suivant la dose de disso, ça j'en sais fichtre rien.
Tu peux le donner la source stp? Sur wikipédia j'ai antagoniste 5ht2a. Ce qui colle avec la quasi absence d'effet des psychés d'ailleurs. Very weak 5ht2a agonist ça veut dire qu'il occupe les sites de vrais agonistes tels que... La sérotonine non? Je sais pas... Après je peux me tromper je suis pas allée plus loin que wikipédia j'avoue c'est un tord. Mais j'aimerais bien examiner ton lien stp
Édit ha oui je l'ai https://www.nature.com/articles/1300203 le tableau de wikipédia comporte sûrement une erreur. Mais faible agoniste je me demande tout de même si ça ferait pas obstacle aux vrais agonistes ? Ça j'en sais rien. Tu peux m'éclairer stp?
Hors ligne
Dernière modification par Morning Glory (25 mars 2022 à 09:50)
Hors ligne
Dernière modification par Mychkine (25 mars 2022 à 11:33)
Hors ligne
Hors ligne
Morning Glory a écrit
C'est vrai. Mais alors pourquoi les psychés marchent paaaas ToT
Salut,
A mon avis, c'est car "agoniste partiel", voici ce que ça semble vouloir signifier :
"Les analogues structuraux des molécules agonistes possèdent souvent des propriétés agonistes et antagonistes; ces substances sont appelées agonistes partiels (à faible-efficacité) ou agonistes-antagonistes.
Par exemple, la pentazocine active les récepteurs opiacés mais bloque leur activation par d'autres opiacés. Ainsi, la pentazocine induit les effets d'un opiacé mais réduit les effets d'un autre opiacé s'il est administré alors que la pentazocine est encore liée. Un médicament qui agit comme un agoniste partiel sur un tissu peut agir comme un agoniste complet sur un autre tissu."
Source : https://www.msdmanuals.com/fr/professio … 9;agoniste
Donc apparemment, un "agoniste partiel" ça semble être l'équivalent d'un agoniste-antagoniste ; donc il active légèrement le recepteur, mais empêche les agoniste plus important d'agir, dans notre cas les psychés :)
Par exemple :
"Interaction agoniste complet - agoniste partiel
En présence d’un agoniste complet , un agoniste partiel se comporte comme un antagoniste compétitif, la courbe concentration-réponse est déplacée vers la droite (figure 4)."
Source :
https://pharmacomedicale.org/pharmacolo … ntagoniste
Voilà pourquoi les psychés ne peuvent agir AMHA avec l'abilify :)
Et oui, je pense, comme évoqué par mychkine, qu'on ne peut tirer la conclusion, à partir du fait que l'agonisme d'un récepteur soit neuroprotecteur, que son antagonisme soit neurotoxique ou amplifie une telle neurotoxicité...
Et comme guygeorges, vu que c'est tout de même un agoniste de 5ht2a, bien que faible, il y a bien un effet neuro-protecteur, si l'on en croit les resultat de l'étude publiée par mychkine.
Car même si il empêche les agoniste fort d'agir, il est un agoniste léger, donc moins neuro-protecteur que les forts, mais tout de même plus que rien du tout :)
Après je peux toujours me tromper dans mon raisonnement mais voilà ce qui me paraît personnellement le plus probable !
Prend soin de toi :)
Dernière modification par AnonLect (25 mars 2022 à 20:39)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Après je peux toujours me tromper dans mon raisonnement mais voilà ce qui me paraît personnellement le plus probable !
J'arrive avec un peu de retard, mais non tu ne te trompes pas, c'est exactement ça. MG ton antipsychotique agit comme un agoniste partiel lorsqu'il est le seul en compétition avec la sérotonine. Par contre, si tu rajoutes quelque chose de plus fort comme un psychédélique, comme l'affinité de l'antipsychotique pour le site actif du récepteur est généralement plus forte que le psychédélique (il faut dissocier la capacité d'activation d'une molécule avec son affinité avec le site actif en question, c'est 2 choses différentes), tu ne ressens pas les effets du psychédélique en question.
À noter qu'il faut mettre 2 précisions. À une certaine concentration, un agoniste ayant une affinité plus faible qu'un agoniste partiel très affin peut faire sauter l'agoniste partiel. Théoriquement, si tu augmentes très fortement la dose de psychédélique, à un moment l'antipsychotique sera dépassé. C'est bien évidemment pas du tout à faire, puisque l'antipsychotique peut bloquer une partie de l'action du psychédélique, mais pas l'entièreté. J'imagine du 2CB par exemple, avec une certaine action stimulante en parallèle de l'action psychédélique. La 2ième précision, c'est qu'il doit peut-être exister des psychédéliques qui ont une affinité supérieure pour les récepteurs en question, qui pourraient être capables de bypass l'action bloquante de l'antipsychotique. Cela dit, un antipsychotique ne se limite pas à son action sur les 5HTRs.
Hors ligne
Soulfurik a écrit
Salut,
D'un point de vue biologique et neurochimique, il n'y a pas de potentiel d'additction physique, la ketamine etant un antagoniste des recepteurs NDMA.
L'addiction peut etre psychologique par contre, car l utilisation soulage des traumas, coupe de la réalite, permet de fuir qq chose d'inconscient.
Une addiction psy est tout autant douleureuse que phy. Les symptomes physiques en moins
Ca a été d'ailleurs souvent un argument pour me dire que c'etait juste de mon ressort (mon addiction journalière) et qu'on ne pouvais rien faire pour moi, a la limite certains les moins formé sur le RDR, m'ont juste dis arrête tout simplement et que je ne devrais pas voir de symptome de sevrage, physique oui, psychologique par contre, quand je sais que je suis capable de faire du craving pendant plusieurs semaine voir mois sans mentir c'est quand même assez réducteur niveau solution.
J'aurais aimé tombé directement sur des personne qui n'ont pas cette vu sur la chose " pas d'addiction physique veut dire que c'est facile d'arrêter du jour au lendemain car il en est capable"
KZ
Hors ligne
Hors ligne
kazivol a écrit
Bonjour,
Je poste cette question par simple initiative de curiosité.
Sur une échelle donné et en argumentant
A quelle niveau vous placez le potentiel addictif de la ketamine?
Vis à vis d'un avis que je me suis fait par rapport à mon expérience et des événement auxquels j'ai pu assister ces 5 dernières années
J'aimerais donc savoir votre avis sur le sujet
Comment vous voyez la ketamine par rapport à son addictivité
Cela peu être très subjectif comme question mais cela est sûrement liée à d'autre question que je me pose.
J'ai l'impression que laddiction a la ketamine est présente et vraiment significative quand on observe un certain profile psychologique/psychiatrique derrière qui je pense est assez large mais assez friendly des effets relaxant de la keta
Et quand cette dépendance est installé
J'ai l'impression qu'elle est vraiment bien plus puissante que le curseur que j'ai vu sur certaine source que je n'ai plus sous la mains ou ça expliquais avec argument un potentiel addictif plutôt faible
Maos ne prenant pas un compte la singularité psychique du consommateur..
Et je crois aussi qu'au vu de l'ampleur du phénomène ces derniers temps et de la proportion de gens ayant des antécédent psy parmis les consommateurs plus ou moins régulier de drogue se serait interressant d'informer
(Sur 5 professionnelle de santé, médecin psychiatre, généraliste, addicto, infirmier) yavais vraiment pas grand monde d'informer et bien que pas informer le peu d'information qu'il detenais minimisait ls risque du produits
Je trouve cela dangereux
Tout mes écris n'engage que moi
Je ne prêtant pas avoir quoi que se soit comme compétence, ce sont de simple réflexion et hypothèse ayant pour objectif de questionné et de débattre sur le sujet.
Bonne journée à vous !
personnellement je prends de la keta 1 a 2 fois par mois car mon dealo habite assez loin de chez moi.
à chaque prise je vise le k-hole donc je prend un gramme ou un demi gramme en une fois et je trouve cette utilisation tres addictive, si mon dealeur habitait dans ma villr comme il y a 5 ans, j’en prendrais toutes les semaines.
A savoir que j’ai un addictif ++, je suis addictict à plusieurs substances donc c’est pas un avis objectif du tout…
Mais non clairement la keta est tres addictive selon moi
Hors ligne
Dernière modification par Nekrossfire (31 mai 2022 à 04:55)
Hors ligne
Nekrossfire a écrit
Bonjour à tous,
Pour commencer il faut savoir que je suis consommateur journalier (1 à 7/8 g - Jour)
Me concernant je vais donner deux échelles
La première est la dépendance physique 2/5
La seconde est la dépendance psychologique 4/5
Total 6/10
Concernant la dépendance physique je lui met un 2 car mise à part une boulle à l'estomac et quelques tremblement avec la possibilité d'une fatigue intense je n'ai jamais ressenti réellement d'effet de dépendance physique lors de mes arrêts.
Mai cependant la dépendance psychologique est bien plus intense surtout quand comme moi on en prend seul chez soi devant un film pour se relaxer… Lors de mes arrêts j'étais tombé en dépression, j'avais des sauts d'humeur constant, l'impression de devoir aller me chercher ma dose sinon il me manquait c'est effet de planage…
En conclusion je dirai que la Kétamine n'est pas la pire des drogues et ne convient pas à tout le monde, mais qu'une fois tombé dedans il est facile de plongé plutôt que de s'en sortir…
Salut depuis combien de temps consomme tu 8g par jour ? As tu develloppé des problèmes physique de vessie, reins ou autres ?
Hors ligne
Dernière modification par Nitupzar (02 juin 2022 à 14:44)
Hors ligne
Nitupzar a écrit
De ce que je lis sur la Ké, j'ai l'impression d'avoir avec le produit et son addictivité un rapport assez singulier.
Déjà à la base je n'ai pas l'impression d'avoir un rapport addictif avec les substances en général.
Je prends du LSD tous les 2-3 mois, ce qui peut être considéré comme assez voire trop fréquent par pas mal de gens, mais j'ai l'impression (pour le moment en tout cas) de garder le contrôle sur ma consommation. D'ailleurs mon rythme de prise jusqu'à présent s'espace de plus en plus dans le temps.
Sinon il m'arrive de combiner le LSD avec la Ké (j'y reviendrai) ou occasionnellement de prendre de la MD dans un cadre festif (et même si le produit comporte a priori des risques pour le corps, je trouve sur moi les effets de la MD bien plus safe que ceux de l'alcool à haute dose)
Mais je n'ai jamais consommé hebdomadairement ou quotidiennement. D'ailleurs je ne fume pas (ni tabac ni weed/shit) et ma conso d'alcool qui est toujours dans un cadre social ou festif est assez faible s'est même réduite depuis que le prends du LSD régulièrement (2 ans).
Pour en revenir à la Ké, je sais que pas mal de personnes deviennent malheureusement accro avec des prises quotidiennes. Pour ma part, je ne pense pas que ce produit ait cet effet sur moi :
- j'ai pris des petites doses de Ké seule et j'ai trouvé ça surtout chelou, désorientant et pas spécialement agréable donc ça ne me donne pas envie de renouveler l'expérience
- j'ai pris de la Ké en plus forte quantité et j'ai trouvé ça hyper puissant, mais hyper étrange avec plus l'impression d'une expérience de mort imminente que d'un trip et sans aucune euphorie au contraire du LSD donc ça ne me donne pas envie de renouveler l'expérience non plus
- et après il y a la Ké avec le LSD et là je sais un peu moins me positionner. Le combo est tellement dingue avec juste un peu de Ké et ça donne des trips tellement WTF que ça me fait un peu flipper de retenter, mais en même temps c'est tellement dingue qu'une part de moi est quand même tenté de m'y réessayer après avoir pris pas mal de temps pour digérer.
Donc j'ai pas l'impression de ressentir d'addictivité envers le produit en lui-même par contre il y a une relation mêlée d'attrait et de peur en même temps envers ses effets alliés à ceux du LSD. Mais par rapport à ça je n'ai pas peur d'arriver un jour à une réelle addictivité du fait de la fréquence des prises, mais juste de partir trop loin un jour (même si les quantités de Ké que je prends avec du LSD sont assez "faibles" de l'ordre de 30-40 mg réparties en plusieurs traces car oui je sniffe, l'injection ne m'attirant pas)
Salut, voulais juste te proposer d'ouvrir un peu ton esprit à la K.
Pour bien connaître cette substance très éclectique, il faut au moins 20-30 expériences, je te dis pas d'aller jusque la avant de te faire un avis.
Mais de mon expérience, je sais que la K peut offrir une panoplie infinie d'expérience, selon le set&setting, l'état d'esprit d'une personne.
Mes plus belles expériences étaient sous K, j'ai eu accès a une joie infinie qui m'a fait pleurer de rire comme jamais, c'est comme si j'avais percé l'émotion de la joie jusqu'a son fond! (et que c'est infini haha)
J'ai aussi eu pareil mais avec l'amour et ça se fut la plus belle expérience de toute ma vie.
La dernière que j'ai eu c'était une soirée seule chez moi, 3 traces de 30mg sur 3h... J'ai passé la soirée de ma vie a danser comme jamais, pleins d'euphorie, ressentir de l'amour pour moi, ne faire que un avec le moment présent, les mouvements de mon corps etc...
Selon moi c'est une drogue à prendre seul et avec des doses légères et moyennes, on peux vraiment avoir des truc fort! Je n'ai jamais pris plus de 40mg en une trace, je n'ose pas aller trop loin...
Voila c'était pour te partager ça. Pour que éventuellement, tu t'ouvres à la possibilité que si en reprend quelques fois dans le futur, tu verras que ça n'est pas que sans aucune euphorie ou chelou etc... Du moins je te le souhaite!
Hors ligne
Dernière modification par Nitupzar (02 juin 2022 à 17:00)
Hors ligne
Dernière modification par Idéquat (04 juin 2022 à 12:27)
Hors ligne
Idéquat a écrit
e c'est différent, les sensations qu'elle procure sont uniques et la redescente quasi inexistante (quoique je commence à ressentir un manque de plus en plus fréquent). Je pense que l'addiction à la kétamine est m
hey depuis quand tu sors avec ma copine toi ?
Hors ligne
[ Forum ] Drogue info - Envie de découvrir la ketamine et son potentiel antidépresseur.
|
13 | |
[ Forum ] Première fois - Première fois Ketamine, vraie Ketamine?
|
2 | |
10 | ||
[ PsychoWIKI ] Kétamine, effets, risques, témoignages |