Hooo oui^^
Et les expériences de chacun.es sont tellement variées, qu'on pourrait parler d'innombrables vies qui sont de sacrées expériences. Sûrement autant que d'êtres vivants existent sur Terre.
Baaaa quand je pense aux opérations à venir je flippe ma race ouai... J'essaye d'arrêter mais si j'arrête les opis par exemple ba je me jette sur autre chose comme les dissos...
Je me vois en manque d'opis ce qui me fait encore plus flipper même si ça reste vague dans ma tête comme je ne l'ai jamais vécu... pour l'instant....
Sinon je me rends pas trop compte ça reste fun, donc voilà...
Quand je sais que les traces toujours dans mon sang (je ne consomme évidemment pas avant de conduire! mais les consos de la veille au soir se voient toujours le lendemain voire plusieurs jours après au contrôle routier) peuvent me faire perdre mon permis et donc mon emploi, sachant que c'est tout ce que j'ai mon emploi, c'est ce qui me maintient en vie, me permet d'être à Paris, d'avoir une vie sociale etc, ba je flippe ma race... Mais là tout de suite je n'arrive pas à arrêter c'est simple. Du coup je croise juste très très fort les doigts pour ne pas tomber dans ce piège merdique anti-PUDs déguisé en sécurité routière.....
Et oui je tente d'arrêter, déjà avec mon addicto à Lyon (que je ne peux plus voir, j'espère que la relève sur Paris sera à la hauteur) on a réussi à me faire arrêter d'abuser complètement de l'
etizolam en me mettant sous
valium, et le
valium j'arrive à le gérer c'est bon, je baisse tout doucement les doses, je suis passée de 1mg à 0.5mg pour dormir le soir c'est super ma mémoire va me remercier.
Sinon les addictos sont un peu autant bras ballants que moi. Ils savent pas trop quoi faire pour me sortir de ces consos excessives pour que je puisse reconsommer de façon raisonnée.
Je pourrais réentammer des séances de psychothérapie par TCC pour apprendre à gérer mes consos ça ce serait vraiment intéressant mais à Paris la séance va me revenir vraiment cher je pense, et sachant que je vais déjà avoir des séances de sexologie pour tenter de pallier à mon PSSD (Post SSRI Sexual Disorder), ou au moins apprendre à vivre avec, je peux pas tout faire en même temps.
Mais justement en parlant de PSSD, ba ça aussi ça m'enfonce car faute de plaisir suffisant avec le sexe, ba j'en cherche ailleurs du plaisir, par pure frustration. Donc si j'arrive à un peu mieux le gérer lui ce sera déjà un pas vers une conso plus raisonnée je me dis, bien que l'addiction se soit enracinée plus profondément que ça en fait là je pense.
J'ai voulu entamer une cure de désintox mais finalement un job s'est libéré pile à ce moment et je suis partie sur Paris, j'ai dû choisir mes priorités. Un job pareil dans THE ville que je voulais c'est juste trop beau pour être manqué, un rêve devenu réalité!! *_*
Du coup mouai je suis moyennement optimiste mais je garde de l'espoir^^ on va dire.
Et puis je n'en suis pas encore à une phase où elles ne m'apportent plus rien et me détruisent non plus, j'espère ne jamais y arriver d'ailleurs, mais bon j'ai l'impression d'y glisser lentement... Après je peux aussi m'en sortir avant ça aussi. Tout reste possible, je n'ai plus qu'à me battre. La vie est un combat.
Dernière modification par Morning Glory (06 avril 2022 à 19:33)