Salut à toi, pratosphère.
Ton étude me fait sensiblement echo.
J'ai vécu de mes 15 ans à mes 19 ans une addiction aux
benzodiazépines, soin médicamenteux qui a échoué et m'a provoqué un comportement addicte aux drogues casiment dès la sortie de cette addiction mais je saurais dire si je l'avais avant ou si ca l'a aggravé, les deux je crois.
En effet, je ne souhaite pas développer la cause de ces soins mais ce que je peux dire, c'est que j'ai eu un très très fort symptome d'anxiété, de mal etre en général, de dépression et d'addiction mais ce n'était une addiction lié à un produit, mais plutot avec les gens, la nourriture et d'autres choses. J'ai compris aujourd'hui que il s'agissait d'un problème très profond, familial.
J'ai était suivi par de très mauvais médecins pour adolescent qui ne m'ont pas du tout écouté, ni compris.pendant 4 ans, je ne savais pas ce que j'avais, j'allais de plus en plus mal et je me suis faite détruire par mon psychiatre, qui a fini par me suivre après moult changement d'interne, en unité spécial pour adolescent, pendant 3 ans. il s'appelait Ted*. (ouai je balance ... tant pis.).
Puis vient le moment de l'addiction ou j'ai commencé à demandé des prescription à mon grand père, car je ne voyais plus voir mon psychiatre, que pour les rendez vous de precription medicale, (il prenait très peu de nouvelles pendant les séances), mon papy retraité ancien medecin (pas psychiatre, mais médecin traitant) , qui m'avait proposé, si j'avais besoin, de me prescrire des ordonnances de benzos. JE suis à l'heure actuelle en grand conflit avec lui, cette periode n'y est pas totalement pour rien.Il m'a lui aussi enfoncé, vouait juste que je sois un zombie, et il me prescrivait parfois 5 boites que finissais en moins d'un mois.
je suis passé par à peu près 3 benzos différents,
lysanxia,
xanax,
seresta.
MAis celui que je prenais pendant l'addiction sévère c'était le
xanaxA la fin, je les prenais par 5 mais j'ai vite réduis car je savais que je déraillée et que c'était dangereux. y'avait des soirs ou je finissais dans des états pas possibles, en black out total, sans
alcool, je faisais n'importe quoi quoi... je prenais ça dès que j'avais une frustration, une déprime, c'était ma solution à tout.
J'ai finis par réduire les doses toute seule vu que j'ai envoyé chié ce psychiatre. et arreté de demander à mon grand père pour les ordos, ça a été long mais ça à marcher... j'ai vraiment pas trop de souvenir de cette période, j'ai limite réalisé après coup que j'étais addicte et je ne savais pas que ca provoqué des symptome physique, mon grand père ne m'a pas du tout prévenu, ni même réfléchis à ce qu'il faisait, je demandais, il se levait et me la faisait. j'avais jamais besoin de beaucoup insister.
Mon psychiatre, il me prescrivait moins de boite, mais il en avait autant quelque chose à faire que de m'aider à aller mieux. une fois il avait oublié quel était mon traitement "vous prenez toujours votre
quétiapine ? heu.. j'ai jamais pris de
quétiapine...."Non vraiment à mes yeux c'est un mauvais psychiatre, j'espère que l'odre des médecins a pu le retenir....
Le
sevrage m'a provoqué des colères qui n'en finissait pas, des tremblements bien sur; de sueurs froide, une dépression, aggravé mon anxiété,
J'avais aussi une conso de
cannabis, environ 2
joints par jour, parfois plus ça m'a surement aidé à surmonter ce
sevrage, en fait y'en a eu plusieurs. j'ai du mal à me souvenir, mais je m'en suis sorti ! enfin de l'addiction aux benzos,
je ne sais pas quel lien il peut y avoir dans mon cas, car je crois que je suis une addicte depuis toujours ! toujours eu un pendant pour les substances, mais j'ai eu une addiction aux drogues illégales uniquement bien après l'épisode benzo, 4 ans environs enfin, c'est pas si éloigné que ça
(mais je fumais clope,
cannabis,
alcool) Pour moi le
cannabis à l'époque je le considérais pas comme une drogues dites dures, donc voilà, là je parle de
cocaine, stim en général et un peu opiacé très légèrement.
Dernière modification par Amevagabonde (04 octobre 2022 à 12:19)