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Dernière modification par pierre (26 juillet 2024 à 00:04)
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kazivol a écrit
Le but du topic serait d'échanger vis a vis de la prise en charge des effets secondaire de consommation de ketamine chronique, afin de pouvoir partger nos experiences lorsque par exemple
Hum je ne saisi pas vraiment, ce qui te fais penser que la prise en charge n´est pas bonne, bref moi même je ne le sais pas.
Mais déjà toi tu en consomme ?
Car tu ne donnes pas de témoignage personnel et c'est pour cela que j'ai du mal à saisir ta démarche... car faire appel à des témoignages pour aboutir sur quelques choses comme : outils, étude en sociologie ou autres il faut quand même nous le demander par mail
Après Il y a quand même le Psychowiki sur la Kétamine :
https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … 9moignages
Moi je consomme de la keta, mais aussi depuis quelques années des analogues RC 2F-DCK pour en citer un seul et bien je m'en tiens juste à bien espacé mes prises tous les 6mois env.
Et mon avis personnel, c'est que le forums doit surtout être utilisé pour réduire les risques pour la consommation des drogues illicites et licites... et de facto nous sommes plus dans ton paradigme...
Enfin peut-être je me trompe, je vais le signaler à mes collègues de la modération pour avoir leurs avis...
Amicalement
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Dernière modification par kazivol (18 juillet 2024 à 14:53)
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La kétamine est un anesthésique général à forte de dose et un analgésique à faible dose.
L’action de la kétamine sur les récepteurs NMDA aux doses sub-anesthésiques en fait un produit agissant contre la sensibilisation
centrale (c’est un anti-allodynique et anti-hyperalgésique) et contre la tolérance aux opioïdes, plutôt qu’un analgésique d’action
directe.
La kétamine bloque l’action du glutamate par son action antagoniste sur les récepteurs NMDA. Ainsi, elle diminue la transmission
glutamatergique et redémarre les circuits cérébraux de rétrocontrôle de la douleur (remise à zéro) d’où un effet rémanent observé,
permettant des administrations discontinues.
https://www.cadth.ca/sites/default/file … r-NCCP.pdf
Conclusions et implications pour l’élaboration de décisions ou de politiques
Cette revue comprenait 3 revues systematiques et 1 etude randomisé concernant l'efficacité clinique de la kétamine pour traiter les
patients souffrant de douleur chronique non cancéreuse, notamment Douleurs neuropathiques, Syndromes douloureux regionaux complexes, fibromyalgie et divers types de douleur chronique.
Les données probantes provenant de ces 3 revues systematiques et d'une etude randomisée suggèrent que le traitement à la kétamine était associé à des effets de courte durée sur la
réduction de la douleur à terme chez les patients souffrant de douleurs chroniques non cancéreuses.
L'efficacité à long terme de la kétamine contre la douleur reste flou. Concernant les Effets Indesirables, le traitement à la kétamine semble être associé à une augmentation
des effets psychédéliques tels que hallucinations, inconfort, étourdissements, fatigue, maux de tête et nausées.
Ces EI semblaient être de courte durée et gérables.
Les résultats concernant les effets de la kétamine sur la qualité de vie et sur la l'amelioration fonctionnelle sont mitigés.
Le précédent rapport de l'ACMTS publié en 20209 sur l'effet de la kétamine pour le traitement des douleurs chroniques non cancereuses a révélé que la kétamine IV, par rapport au placebo, apportait des effets significatifs à court terme, mais pas à long terme,sur le soulagement de la douleur, avec des risques accrus de certains EI, tels que les nausées, les vomissements et les effets psychotomimétiques.
Les lignes directrices incluses dans le rapport précédent de l’ACMTS9 ne fournissaient pas de recommandations explicites concernant l'utilisation de la perfusion IV de kétamine pour la douleur chronique en raison de preuves insuffisantes.
L'examen actuel n'a identifié aucun nouveau élément sur les lignes directrices fondées sur des données probantes ou ajouter toute nouvelle information aux conclusions du rapport précédent de l’ACMTS.
A l'avenir des études bien contrôlées avec une population plus large et des suivis plus longs sont nécessaires pour déterminer le niveau optimal
de protocole de traitement à la kétamine pour un type spécifique de Douleur chronique.
Des études économiques sont également nécessaires pour déterminer le rapport coût-efficacité de la kétamine pour traiter la douleur chronique non cancéreuse.
L'administration de kétamine à faibles doses semble être une option intéressante pour la prise en charge des douleurs chroniques non cancereuses pendant une courte période.
Le protocole optimal de kétamine pour soulager la douleur à long terme reste à être déterminé. Bien que l’administration de kétamine ne semble pas provoquer d’EI graves, l’augmentation
des effets psychédéliques pendant le traitement à la kétamine sont préoccupants.
Étant donné que la kétamine est une drogue dissociative qui pourrait être associée au développement d'une consommation de substances problematique et qu'elle est devenue populaire en tant que drogue récréative, les décideurs voudront peut-être envisager une mise en garde sur l’utilisation de la kétamine pour le traitement à long terme de la douleur chronique non cancéreuse.
Plusieurs EI ont été observés lors d'une utilisation aiguë (par exemple, effets neuropsychiatriques) et chronique (par exemple, cystite, cholangiopathie). de la kétamine comme drogue récréative.
Ainsi, les effets et les dangers à long terme de la kétamine restent flous.
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03554453/document
Depression
Au depart la Ketamine, qui est efficace très rapidement, etait utilisée en un voire quelques prises répétées. Mais, quand elle est efficace , il y a une forte demande vers un traitement prolongé et cela pose problème.
https://neuromtl.com/fr/la-ketamine-rev … on-severe/
La kétamine révolutionne la prise en charge de la dépression sévère
By Neurothérapie Montreal
Posted novembre 9, 2020 In Anxiété et Dépression, Blogue
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« La résistance au traitement de la dépression est un problème majeur, plus de la moitié des patients ne répondant pas adéquatement au traitement antidépresseur standard et approprié », souligne Maurizio Fava, directeur du Département de psychiatrie du Massachusetts General Hospital (Université Harvard).
Les antidépresseurs classiques agissent en augmentant la concentration de certains neurotransmetteurs dans le cerveau (sérotonine, noradrénaline et dopamine), ce qui stimule la production de nouvelles connexions entre les neurones. La kétamine, quant à elle, augmente la libération de glutamate, un acide aminé dont l’équilibre avec d’autres neurotransmetteurs est nécessaire au bon fonctionnement du cerveau. Grâce à cela, la production de connexions neuronales est aussi stimulée.
La kétamine est un antagoniste des récepteurs N-méthyl-D-aspartate (NMDA). Elle est employée depuis les années 1960 comme anesthésisque chez les enfants et les adultes. Il existe donc un grand recul par rapport à sa sécurité d’utilisation. Il s’agit d’une substance qui s’administre en perfusion intraveineuse (les voies orale, sublinguale et intramusculaire sont en cours d’étude) et intranasal.
Récemment, l’eskétamine, dérivée de la kétamine, a été approuvée pour une administration en spray nasal et commercialisée sous le nom de Spravato®.
Dans le cadre d’une nouvelle étude novatrice publiée en 2019, le Dr Pierre Blier, directeur de l’Unité de recherche sur les troubles de l’humeur à l’IRSM du Royal, et la Dre Phillips ont pu démontrer que la kétamine est non seulement efficace pour traiter rapidement les personnes atteintes de dépression grave ou d’idées suicidaires, mais qu’elle peut également avoir des effets significatifs et prolongés.
« Nous savons que lorsque la kétamine agit, elle agit plus rapidement, produit moins d’effets secondaires et coûte beaucoup moins chère que la thérapie électroconvulsive, qui est actuellement le traitement privilégié pour les personnes atteintes d’une dépression réfractaire aux traitements », explique le Dr Blier.
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Comment se passe la prise d’eskétamine intranasale Spravato® ?
Les traitements ont exclusivement lieu dans les locaux du Centre de Psychiatrie Interventionnelle sous surveillance médicale, où le médicament sera délivré. Le spray ne peut pas être emporté à domicile.
L’eskétamine intranasale Spravato®, est administrée 2 x par semaine pendant 1 mois (phase d’induction) puis 1 x par semaine à 2 x par mois pour éviter les rechutes (phase d’entretien). La dose standard est de 56 à 84 mg (2 ou 3 flacons) par séance, administrée en 2 à 3 prises de 28 mg séparées de 5 minutes.
La pression artérielle sera mesurée pour vérifier la compatibilité avec la prise du traitement. Le patient s’administre lui-même le spray nasal en présence d’un médecin, avec une surveillance obligatoire de deux heures au minimum sur place, dans des locaux calmes et confortables.
Pendant la période qui suit le traitement, il est conseillé de prendre avec soi un masque de sommeil, des écouteurs et de prévoir une musique relaxante.
https://presse.inserm.fr/ketamine-et-de … ile/65780/
Des chercheurs et chercheuses de l’Inserm, du CNRS, de Sorbonne Université et médecins de l’AP-HP à l’Institut du Cerveau ont identifié l’un des mécanismes d’action de la kétamine qui permet d’expliquer ses effets antidépresseurs. L’équipe a testé ce traitement innovant, utilisé habituellement comme anesthésique, chez des patients atteints de dépression résistante d’intensité sévère. Grâce à la kétamine, ces derniers présentaient une capacité accrue à dépasser les croyances négatives qu’ils ont sur eux-mêmes et sur le monde – qui constituent un des symptômes de la maladie – lorsque des informations positives leurs étaient présentées. Ces résultats, publiés dans la revue JAMA Psychiatry, ouvrent de nouvelles pistes thérapeutiques dans la prise en charge des troubles de l’humeur résistants aux antidépresseurs.
La dépression est le trouble psychiatrique le plus fréquent : on estime que 5 à 15 % de la population française fera un épisode dépressif caractérisé au cours de sa vie. Toutes les tranches d’âge et tous les milieux sociaux sont touchés.
La maladie se caractérise par une tristesse et une perte des sensations hédoniques ne s’améliorant pas lors de l’expérience d’événements positifs. Les patients déprimés développent progressivement des croyances négatives sur eux-mêmes, le monde et le futur, évoluant parfois vers des idées suicidaires. Ces croyances négatives demeurent même lorsque le patient reçoit des informations positives.
Environ un tiers des personnes souffrant de dépression ne répondent pas aux antidépresseurs les plus couramment prescrits, conduisant au diagnostic de dépression résistante au traitement (TRD). Pour ces personnes, la recherche de nouveaux traitements efficaces une priorité.
La kétamine, un anesthésique couramment utilisé, a montré un effet sur la dépression résistante. Alors que les traitements antidépresseurs classiques mettent du temps avant d’agir (en moyenne trois semaines), la kétamine entraine un effet antidépresseur rapide, seulement quelques heures après son administration. Les mécanismes associés à cet effet antidépresseur d’action rapide sont encore méconnus.
Dans le but d’identifier ces mécanismes, le Dr. Hugo Bottemanne et l’équipe de recherche codirigée à l’Institut du Cerveau par le Pr. Philippe Fossati et la Dr Liane Schmidt, chercheuse Inserm, ont coordonné une étude clinique portant sur 26 patients résistants aux antidépresseurs (TRD) et 30 sujets contrôle.
Dans le protocole proposé, les patients et les sujets sains devaient d’abord estimer la probabilité de survenue dans leur vie de 40 évènements « négatifs » (par exemple, avoir un accident de voiture, être atteint d’un cancer, ou perdre son portefeuille).
Après avoir été informés des risques réels de leur survenue dans la population générale, patients et sujets sains étaient à nouveau interrogés pour estimer la probabilité que ces évènements surviennent dans leur vie. L’équipe de recherche s’est intéressée à la mise à jour des croyances face aux informations que les participants avaient reçues. Elle a montré que les sujets sains avaient tendance à mettre davantage à jour leurs croyances initiales après avoir reçu des informations factuelles et positives, ce qui n’était pas le cas dans la population de patients déprimés.
Dans la suite de l’étude, les patients TRD ont reçu trois administrations de kétamine à une posologie subanesthésique (0.5 mg/kg en 40 minutes) en une semaine. Seulement quatre heures après la première administration, la capacité des patients à mettre à jour leurs croyances face à des informations positives était accrue. Ils devenaient moins sensibles aux informations négatives, et retrouvaient une capacité à mettre à jour leurs connaissances comparable à celle des sujets témoins.
Par ailleurs, l’amélioration des symptômes dépressifs après le traitement par kétamine était prédite par ces changements dans la mise à jour des croyances, suggérant qu’il y aurait un lien entre l’amélioration clinique et les modifications de ce mécanisme cognitif. « Autrement dit, plus la capacité de mise à jour des croyances des patients était augmentée, plus l’amélioration des symptômes était importante », expliquent les chercheurs.
En conclusion, dans cette étude, les patients atteints de dépression résistante aux antidépresseurs présentent une diminution significative de leurs symptômes et deviennent plus réceptifs aux expériences « positives » après une semaine de traitement à la kétamine.
Ces travaux mettent pour la première fois en évidence un mécanisme cognitif potentiellement impliqué dans la temporalité d’action précoce de la kétamine. Ils ouvrent la voie vers de nouvelles recherches de thérapies antidépressives modulant les mécanismes de mise à jour des croyances.
https://www.cadth.ca/fr/la-ketamine-dan … trouble-de
https://www.medecinesciences.org/en/art … 00214.html
Notice du Spravato
https://base-donnees-publique.medicamen … d=67355371
Recréatif
La plupart des usagers recreatifs la prend de façon intermittente et n'ont pas de probleme. Mais certains la prennent de façon quotidienne, le plus souvent en rapport avec son potentiel addictif.
La plupart des effets indesirables au long cours sont constatés dans cette population.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22416998/
Résultats :
• Au total, 3 806 enquêtes ont été complétées, parmi lesquelles 1 285 (33,8 %) participants ont déclaré avoir consommé de la kétamine au cours de la dernière année.
• Parmi les utilisateurs de kétamine, 17 % étaient dépendants de la drogue ; 26,6 % (340) des utilisateurs récents de kétamine ont déclaré avoir ressenti des symptômes urinaires.
• Les symptômes urinaires étaient significativement liés à la dose de kétamine utilisée et à la fréquence de consommation de kétamine.
• Sur 251 utilisateurs signalant avoir ressenti des symptômes au fil du temps en relation avec leur consommation de kétamine, 51 % ont signalé une amélioration des symptômes urinaires à l'arrêt de la consommation, et seulement huit (3,8 %) ont signalé une détérioration après l'arrêt de la consommation.
Le psychowiki et quelques temoignages de Psychoactif
https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … 9moignages
https://www.psychoactif.org/forum/t3676 … eport.html
Je redige ce TR le mieu possible pour vous les psychoActifs j’y ai passé du temps j’espère vous satisfaire bonne lecture ??
Donc situation :
J’ai 18ans, une bonne dixaine de lourd trips a mon actif ( lsd, keta, ecsta... ) ouvert d’esprit AF et disons que j’ai pas froid dans le dos je sait amplement gerer les fortes doses enfin bref set&setting meme si ct pas trop préparé : je suis dans un mobil-home dans un camping en vacance dans ma chambre avec un lit ridicule pour ma taille donc un espace réduit, c’est la nuit fenêtre ouverte bruit extérieur reposant ( cigalles, discussion des mobil-home voisins..) petits details important pour un trip de ketamine, bref j’vais pas vous raconter ma vie donc c’est partit :
J’ai d’abord tapé 2 traces de forains je ne saurait pas dire a combien elles etaient mais due a la resistance engendrée par le fait que je tape depuis 3j sans cesses je les aient encaissés facilement ( j’avais pas tape depuis 12h ) ensuite posé, 20 minutes plus tard je décide de m’en refaire une histoire de bien me caler et d’apprecier le trip avec de la musique seul dans le noir allongé dans mon lit
Bah évidement Le trip ce passe bien malgré le faite qu’il soit peu puissant..
1h15 apres cette trace donc, a peu pret 1h45 apres le début de tout c’a voir plus je sait pas vraiment tout etait tellement distordu ? je trouve le courage de m’en refaire une ( 15minutes pour la faire vous dire le carnage )
Une bonne dose du genre a me refaire dissocier et me mettre ko afin de dormir. Je me met un album ou toutes les musiques se suivent ( igorrr - savage sinusoid ) que je vous conseil vivement par ailleur
Et la le commencement de l’impossible j’vais essayer d’expliquer c’a le plus clairement possible ?
J’etait deja clairement éteint entrain de me remettre tant bien que mal de l’ancien trip, je me suis allongé j’ai fermé les yeux, mes oreilles on commencés a siffler j’ai sentit mon corp disparaître comme de la poussière ou des cendres qu’on jettes d’un pont, mon esprit telle un nuage tombé à l’horizontal comme un cocon descendant lentement de mètres en mètres
Une longue chute amenant les visuels sombre de la keta a s’intensifiés par un tas de tunnels magnifiques et indescriptible je ressentais un espace infini autour de moi je parvenais a bouger mes bras tout autour de moi sans obstacles ( or je suis en mobil-home )
Une osmose total un bien etre magestueux m’envahit en meme temps qu’une peur de coma ( k-hole ) tant le debut etait puissant et envahissant sans suit un long délire sur la musique les hallucinations bougent en fonction de celles-ci je ressent et je voie alors l’esprit et l’ambience du camping et de l’amusement comme si c’etait un objet ou comme un élément que je pouvais m’approprier, le bruit des cigales des grillons des enfants qui s’amusent dehors etaient comme dans ma tête, si parfait si synchronisé que c’a semblait venir d’un film voir du paradis
Aussi Des longs moment de voyage astrale ou je volé littéralement dans un monde imaginaire libre comme l’air parfois meme (j’ouvrais ?) les yeux mais j’avais une sensation d’avoir un tas de paupières différantes menant a chaque essaie a un autre aspect presque a chaque fois plus violent en terme de précision de l’hallucinations du monde dans ma tête au fur et a mesure que j’essayais d’ouvrir les yeux ( oui ct tres tres compliqué ) enfin bref le pied total ( je rapelle qu’a la base je voulait juste dormir mdrr )
Et donc Arrivant sur les musiques les plus trippy et reposante de l’abum s’en suit une sensation indescriptible un neant comme une sphère infini complète d’hallucinations
J’etait comme « mort »complètement inconscient n’ayant pu aucun aspect de la réalité ne pouvant plus psychologiquement animer mon corp, aucun courage aucune envie je me suis abandonnée dans la surpuissance des effets comme condamnés a admirer et me laisser faire, d’une musique a l’autre plus aucune résistance je tien a forcer sur le faite que j’etait totalement conscient il ne restait que la lueur de mon esprit et ma conscience totalement dominée par la ketamine dans un monde imaginaire d’une beauté incroyable aussi présente que réaliste voir full 4D 4K
C’a devait faire 45min que la trace avait etait prise ( 8h pour mon esprit ) encore j’etait dans un voyage infini ou j’etait transporter par la musique ( je pése met mots ) car je veut dire par la que je flottais tellement dans tout les sens que littéralement c’a me transportait c’a me contrôler et me forcer a bouger dans des axe de rotation infini et majestueux
Dans l’harmonie la paix et la synesthésie la plus pur qu’il soit j’etait partagé entre le paradis ( je pese encore mes mots ) et la sensation de mort iminante ou parfois je me demendais même si j’etait pas dans une ambulance et que je ne le savait pas
Plus rien ne m’importé que je meurt ou pas, j’etait matrixé a un point que tout ce qu’il pouvait m’arriver était légitime
Je n’avais jamais ressentis une tel sensation m’envahir, tant de bonheur et de magie etant en moi, aussi l’impression tout le long d’ouvrir des portes de mon esprit et decouvrir des monde parallèle toujours plus poussé. un moment d’évoluer tel un pokemon lvl35 sur une periode de 15min
Malheureusement les mots ne seront jamais assez fort pour decrire le réel ressentit mais croyez moi le potentiel de la ketamine est infini et bien plus puissant que toutes les drogues connues(ormis DMT??)
Bon pour la fin je la fait courte deja le trip a durée 1h45, en tout j’ai tripé de 22h45 a 2h du mat je crois ( en retapant comme expliqué au dessus )
J’ai fini ma nuit sans dormir sans ressentir vrmt de descente tant j’etait heureux de l’avoir fait tellement ravi, j’etait oblige d’en parler et de rediger ce TR par la suite meme si il ne decrira jamais le ressentit comme il faut je veut juste que vous sachiez que la ketamine devrait être prescrite a tout le monde et que l’alcool c’est un cancer du sida assuré je ne voie donc pas pourquoi il est légal alors qu’il tue bien plus de gens que la ( bonne ) drogue meme si elle est dur ( j’enleve l’heroine et la cocaine qui sont eux aussi des cancers sur pattes )
J’espère vous avoir marqué un temps soit peu et je vous souhaite des bons futurs trips n’hesitaient pas à commenter je repond a tout sans exceptions.
https://www.psychoactif.org/forum/2022/ … 429_1.html
Hello, je prends de la ketamine depuis 5 ans, j’y etais accro à l’epoque où je prenais environs un demi gramme tous les jours ou 2 jours pendant 1 ans, je me tapais des bons trips type « rollercoster » puis ensuite j’en ai pris en teuf, soirée techno ou avec des potes, mais pour moi la kétamine doit etre pris seul ou alors avec quelqu’un mais en petit groupe, dans le noir et surtout avec de la musique.
Depuis 1 an je prend de la ké une fois par mois mais avec des dosages bien plus fort (toujours en sniff).
Allongé dans mon lit je voyage dans l’espace, dans une multitude d’univers differents, je vis des boucles et j’ai des pensées nouvelles; sur la mort, le grand, le petit, dieu, l’introspection.
L'Addiction
https://www.psychoactif.org/forum/2024/ … 584_1.html
Bonsoir psychoactif!
Je viens vers vous dans l'idée de référencer sur ce topic : des témoignage, des échanges et/ou des des conseils autour de la kétamine lorsque l'on subis un trouble de l'usage lié a cette molécule et a ses effets.
De par mon parcours en tant que consommateur de cette dernière et par des lectures variées en terme de point de vue sur son sujet, j'ai cru comprendre que son craving était singulier.. Comme pour chaques molécules en soit, mais je trouve qu'on a encore trop peu d'écrit a son sujet, par rapport aux autres molécules.
C'est pour quoi je fait appel a vous.
Petite note et quelque questionnements vis a vis de ma situation :
je suis concerné par le sujet. je suis consomateur du produit depuis 4 ans et suis addict depuis 3 ans.
Je suis passé progressivement d'un rapport spirituel et festif du produit a une consommation quotidienne. avec des haut et des bas. mon problême avec ce produit. c'est de réussir a gérer le craving que celui-ci me provoque.
Ce qui est assez ambivalent dans mon rapport avec, est que certaines prises me servent et sont éfficaces pour soit, passer un moment de crise émotionnel intense. faire une experience méditative d'introspection etc.
Au début, l'essentiel de mes prises ne se résumait qu'a cela, mais progressivement comme je l'ai dit, suite a des pertes de controles, des choses qui ont bousillez l rigueur que je pouvait avoir avec le produit comme l'influence d'un groupe faisant la fête sur plusieurs jours d'affiler avec, explosant la tolérance au produit et entammant un processus d'accoutumance n'ayant pas les ressources nécessaire a ce moment la pour résister aux tentations.
Mais depuis un peu plus d'un an j'ai essayer moultes methode pour arrêter car ma consommation est devenu quotidienne et les effets bénéfiques/thérapeutique ne sont plus du tout palpable
j'ai essyer sevrage plus ou moins long, des dégraissions des quantitées etc etc
TCC et compgnie
Aujourdhui j'ai envie de continuer a essayer de faire évoluer ma consommation, mais ma tolérance rends le produit inaccessible.
J'aimerais tenté une stratégie un peu différente que de limiter mes quantité lorsque je reconsomme après une prise, car pour moi cela s'est a chaque fois finis en perte de controle et reprise des comportements addictifs avec.
j'ai les moyens pour me stopper pendant la durer qu'il faudra comme je l'ai deja fait toujours dans cette optique, mais j'aimerais que lorsque je reconsomme ponctuellement avec sitter et rituel ces fois ci que je puisse de nouveau ressentir des effets psychédélique me permettant de travailler sur moi... Le probleme : l tolérance que j'ai développer.
En combien de temps après un arrêt et avec quel quantité suis-sensé pouvoir ressentir des effets psychédélique?
sachant que pour l'instant je pense devoir prendre au moins 1g en sniff pour décorporer. Perso c'est les états un peu en dessous qui m'interesse. je n'ai jamais trop aimé les doses anésthésiques.
https://www.psychoactif.org/forum/2023/ … 405_1.html
Bonjour à tous, voilà j ai 37 ans et un long passer de toxicomanie, j ai commencer très jeune par le cannabis à l'âge de 13 ans, puis l héroïne à 15ans, j ai traîner ça longtemps, je me fixais 5g par jour a la fin. je suis mtn debarasser de tout ca, heroine depuis 10 ans mtn plus de traitement, plus d opiace, et le cannabis obligé d arrêter depuis septembre dernier, suite à un syndrome SHC. j en suis totalement debarrasser, et aucune envie de refumer, alors que je fumais quasiment 100g en 3 semaine.
mais parallèlement je consomme de la ketamine depuis bientôt 2 ans, et depuis février 2023, quasiment quotidiennement. je suis à 2 voir 3 g par jour en sniff.
Je la cuisine au bain marie, et eau déminéralisée, je sais que la ketamine d aujourd'hui n'est plus celle d antan.
j ai du mal à m en séparer, car ça m aide pas mal bizarrement a calmer mes TDAH je trouve dans la ketamine bcp (d ""aide"" ) je suis suivi dans un csapa ils sont au courant de ma conso, et de la façon dont elle agit sur mon psyché.
j essai de faire gaffe à ma santé, j boit bcp d eau, j ai pas de souci urinaire ou au reins,
j ai récemment fait bcp d examen suite à mon SHC il non rien trouver d anormal niveau reins ou autre, mais la récemment j ai des douleur au niveau de l estomac plus coter droit j vais demander un scanner pour savoir de quoi il en retourne. Si vous aviez des conseil ou connu une expériences similaires je suis curieux de savoir ce qu il en est pour d autre personne pouvant être dans mon cas.
Les effets indésirables de la consommation à long terme
https://www.infodrog.ch/files/content/f … rof_fr.pdf
Kétamine – Fiche d’information • 4
Risques à long terme
À très forte dose, la kétamine est susceptible de provoquer une dépendance avec des symptômes psychiques (dépression, anxiété, nervosité, troubles du sommeil, etc.). Elle atténue aussi temporairement les douleurs, ce qui augmente son potentiel addictif. Sa consommation chronique endommage le foie, les reins et la vessie : c’est ce qu’on appelle, en anglais, le « Ketamin bladder syndrome ».
Ce syndrome très douloureux s’accompagne d’incontinence, d’une obstruction de la voie excrétrice supérieure, d’hématurie (sang dans l’urine) et d ’une nécrose papillaire (forte inflammation entraînant la mort du tissu des reins). Si la consommation de kétamine à haute dose se poursuit, des dommages importants peuvent survenir de manière irréversible, car la substance détruit la couche cellulaire supérieure de la vessie (urothélium).
Étant donné que le lien entre ces symptômes et la consommation de kétamine est ignoré par nombre de professionnel ·le·s, les patient·e·s ne sont pas directement envoyé·e·s vers les services d’urologie, mais reçoivent d’abord des traitements antibiotiques. Si le syndrome se trouve à un stade avancé, un traitement
médicamenteux peut n’être que partiellement efficace. Pour une partie des patient·e·s, le seul traitement possible est la chirurgie reconstructive (p. ex. reconstruction ou ablation chirurgicale de la vessie)6.
La consommation de kétamine cause aussi des crampes abdominales, appelées les « K-cramps »7.
En outre, certain·e·s consommateur·rice·s de kétamine admis·e·s aux urgences font état de symptômes, comme des palpitations, de la tachycardie, des douleurs thoraciques et de l’hypertension.
Par ailleurs, la kétamine peut perturber le fonctionnement de certaines parties du cerveau responsables de la mémoire, de l’apprentissage et de la perception , même à petite dose.
À long terme, elle entraîne une réduction du volume de la matière grise (l’épaisseur du cortex cérébral) et dégrade la connectivité entre les régions du cerveau.
Les troubles sont plus prononcés en cas de consommation à répétition et de doses élevées8. Les personnes qui consomment fréquemment de la kétamine connaissent des troubles, p. ex. dissociatifs, dépressifs ou proches de la schizophrénie, qui disparaissent la plupart du temps en cas d’abstinence.
Les ancien·ne·s consommateur·rice·s sont souvent sujet·te·s aux délires.
https://www.inspq.qc.ca/toxicologie-cli … a-ketamine
Atteintes urinaires
Elles sont les plus connues
https://www.em-consulte.com/article/156 … atteintes-
Résultats
Pour la première fois, le CEIP-Addictovigilance de Nancy a reçu 7 cas graves traitant de la kétamine dont 4 sont issues d’un même cluster de jeunes consommateurs réguliers. Tous ces cas concernent des consommateurs réguliers, en recherche d’effets récréatifs. Parmi les patients, 66 % sont des femmes, avec un âge moyen de 25 ans ; les hommes eux, sont plus jeunes avec une moyenne d’âge de 19 ans. Tous les consommateurs ont été pris en charge pour des douleurs vésicales importantes, une polyurie, une dysurie, voire une hématurie, persistantes depuis plusieurs semaines. Sur les 7 cas, tous les examens cytoscopiques sont douloureux et révèlent une rétractation de la vessie avec pour conséquence une cystite interstitielle avec pyélonéphrite, urétrite et néphromégalie. Les examens montrent des lésions diffuses ou des zones ulcérées dans la vessie avec des calcifications et saignements au moindre remplissage. Ces conséquences sont a priori irréversibles malgré un arrêt de la consommation et un traitement par corticothérapie. Après traitement, on note une amélioration avec une petite récupération de la capacité vésicale mais une persistance des calcifications et séquelles handicapant les patients, les obligeant à uriner toutes les 1 à 2heures. Aussi, deux cas rapportent en plus une insuffisance rénale aiguë obstructive sur sténose rénale. Enfin, pour un cas, une altération de l’état général avec une perte de poids de 10kg et une perforation de la cloison nasale (sniffée) est rapportée et dans un autre, une rhabdomyolyse.
Conclusion
L’usage régulier de la kétamine expose les usagers à un risque d’addiction et à des conséquences urologiques graves, dont le diagnostic et la prise en charge sont complexes, avec une récupération longue et sans réversibilité complète.
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/ful … /nau.25148
.3 Traitement de la cystite induite par la kétamine (KIC) chez les patients
Actuellement, il n’existe aucun traitement standardisé pour la KIC en raison de sa physiopathologie peu claire. Les plans de traitement sont élaborés à travers des essais thérapeutiques avec chaque patient, en fonction de la gravité de la maladie. Dans tous les cas, l’arrêt ou l’abstinence de consommation de kétamine constitue la première intention de traitement et est la plus efficace dans la gestion des KIC. Des études sur l'abstinence de KIC ont démontré une amélioration des symptômes de KIC par rapport à la progression de la maladie chez les patients qui n'arrêtent pas leur consommation de kétamine.11, 30, 31 Par conséquent, l'abstinence de kétamine et un diagnostic précoce restent les deux facteurs les plus importants pour les patients KIC. Une vaste étude menée par Winstock et ses collègues a révélé que parmi 1 285 utilisateurs récents de kétamine, plus d'un quart (340) ont signalé des symptômes des voies urinaires, notamment des douleurs abdominales basses, une fréquence urinaire et des brûlures ou des picotements lors de l'urine. Des doses plus élevées ou une utilisation plus fréquente de kétamine étaient associées à des taux de symptômes significativement plus élevés. Cinquante et un pour cent des utilisateurs symptomatiques ont signalé une amélioration des symptômes urinaires après l'arrêt de l'utilisation.30 De plus, des études menées par Yee et al.32 ont révélé que chez les patients souffrant d'uropathie associée à la kétamine, l'abstinence de consommation de kétamine pendant 4 semaines réduisait considérablement les douleurs abdominales et l'urgence. ou fréquence et augmentation de la capacité fonctionnelle de la vessie par rapport aux utilisateurs actifs de kétamine. De plus, des volumes mictionnels plus importants et moins de symptômes ont également été signalés dans le groupe d'abstinence33, dont l'amélioration s'est améliorée avec l'augmentation de la durée d'abstinence.11, 31
Bien que l’arrêt de la kétamine soit un traitement efficace pour la plupart des patients, il est difficile pour les utilisateurs fréquents, même s’ils comprennent les avantages de l’arrêt. Enfin, l’abstinence ne conduit pas toujours à une guérison immédiate ou complète des symptômes. Winstock et al.30 ont constaté que 43 % des patients atteints de KIC n'ont pas signalé d'amélioration des symptômes après l'abstinence de la kétamine, alors que 3,8 % des patients ont signalé une détérioration après l'arrêt de la kétamine. Par conséquent, un traitement médical est toujours recommandé pour aider à améliorer les symptômes de la KIC. Les études menées par Wu et ses collègues ont été les premières à proposer trois stades cliniques pour le dysfonctionnement des voies urinaires associé à la kétamine. Comme les plans de traitement commencent souvent par des interventions pharmacologiques visant à améliorer la douleur et l’inflammation, Wu et ses collègues décrivent le stade I comme le « stade de stimulation inflammatoire » qui répondait à l’entraînement de la vessie et à la pharmacothérapie. Lorsque les médicaments oraux ne sont pas en mesure de produire les effets souhaités, les cliniciens recommandent souvent des traitements intravésicaux que les auteurs ont qualifiés de stade II, le « stade initial de fibrose vésicale ». Le stade II consiste en des parois vésicales épaissies avec une capacité réduite et les patients sont traités par hydrodistension et traitements intravésicaux. Enfin, le stade III est décrit comme le « stade terminal de la fibrose vésicale, stade de contracture » où les patients sont traités par intervention chirurgicale.34 Ce modèle fournit des conseils utiles sur la façon dont les cliniciens abordent le traitement de la KIC (Figure 1).
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9476224/
Présentation clinique/diagnostic de KIC (Cystite induite par la Ketamine)
L’un des principaux résultats d’une suspicion de KIC chez les patients est la presnce de signes urinaires bas (dysurie, brulurs à la miction, douleurs pelviennes).
Il a été démontré que la gravité des KIC dépend de la dose.
Les indicateurs courants lors de la présentation clinique comprennent l'hématurie, l'hydronéphrose, la douleur sus-pubienne, la dysurie, la pyurie stérile, la nycturie et la présence accrue d'éosinophiles.
Les outils de diagnostic comprennent l'analyse d'urine, la cystoscopie et tests d'imagerie tels que les rayons X. Lors de la cystoscopie, les résultats peuvent inclure un épithélium urothélial avec des glomérulations, une néovascularisation, une congestion érythémateuse et une ulcération.
Une étude a montré que 75 % des utilisateurs chroniques de kétamine présentaient une dénudation urothéliale, un œdème et des mastocytes, comme en témoigne la biopsie de la vessie.
Problemes hepatiques et biliaires
https://www.orpha.net/en/disease/detail/293807
Dilatation biliaire induite par la kétamine
Définition de la maladie
La dilatation biliaire induite par la kétamine est une maladie acquise des voies biliaires provoquée par la consommation abusive de kétamine, qui se traduit par une dilatation fusiforme des voies biliaires principales (CBD) sans lésions obstructives ni dilatation des voies biliaires intrahépatiques. Les manifestations possibles de la cholangiopathie sous-jacente comprennent des douleurs épigastriques et une altération de la fonction hépatique. La gravité de la dilatation du CBD semble être en corrélation avec la durée de la consommation de kétamine et il a été rapporté que cette affection est réversible chez les patients abstinents.
https://www.catie.ca/fr/catie-news/luti … ua-dautres
Les K cramps
Dans certains cas les douleurs ne sont pas sus pubiennes mais epigastriques, on parle de K cramps.
https://www.psychoactif.org/forum/2021/ … 093_1.html
Bonjour à tous,
Après de longues recherches j’ai encore du mal à trouver des réponses concernant les douleurs extrêmes liées à de grosses quantités de kétamine.
En effet je consomme depuis plusieurs années maintenant de la ké ; au début en faible dose bien sûr, et depuis environ 1 an au minimum une fois par semaine, et au maximum pouvant monter jusqu’à 5 g/jour.
Après des grosses sessions (par exemple pendant 1-2 semaines à plusieurs g par jour) il peut arriver ce que je pense être la « k pain » en anglais, autrement dit des douleurs abdominales extrêmes pouvant durer jusqu’à plusieurs jours d’affilée. La douleur s’estompe avec des anti-inflammatoires (Ponstyl, Kétoprofène...) mais revient si la crise est longue.
J’hésite entre des douleurs au foie, la vésicule biliaire ou l’estomac.
Ma question est donc de savoir d’où provient cette douleur concrètement (de la conso évidemment mais je voudrais des détails médicaux si vous en avez), comment la soigner (en attendant de pouvoir cesser la conso) ?
Mes recherches sur internet + demandes au médecin généralistes ou à l’hôpital ne donnent rien : en effet tous les tests à l’hôpital ne donnent rien. Les médecins m’accuserait presque de mentir, moi et mes amis (en effet nous sommes plusieurs (au moins une dizaine) à connaitre ou avoir connu ces douleurs qui proviennent de ké différentes)
Salut,
Alors étant un énorme consommateurs de k depuis bientôt 2 ans hmm, j'ai récemment eu à faire à ses horribles douleurs qui sont littéralement la pire chose à laquelle j'ai été confronté dans ma vie. Bref ça m'est arrivé 2 fois la première j'ai fini à l'hosto et le seconde j'ai du faire face à cette crise tout seul chez un pote a me rouler par terre et vomir de douleur
Bref je fais en ce moment face à une nouvelle période d'abus de ketamine et je crois avoir trouvé la solution après avoir épluché des centaines de fils sur Reddit.
Du moins ceci fonctionne pour l'instant après 2 semaines de conso où j'ai tapé au total 16g aucune nouvelle crise de douleur.
Alors la solution serait le Curcuma. Oui oui vous avez bien lu vous savez cette épice que vous avez tous dans vos placards et bien une simple cuillère de ce truc pris tous les soirs en prévention ma évité pour l'instant de revivre ces putains de crises de douleurs. Je prend aussi avec ça du miel et parfois un peu de ketoprofene dans le doute pour être sûr de jamais revivre ça, mais depuis 3j je n'ai plus de ketoprofene et je prend que du curcuma et pour l'instant ça à l'air de fonctionner je n'encourage personnes à prendre de la k quotidiennement et en grosse quantité mais je sais à quel point ça peut être difficile de lutter... Bref je me sentais obligé de partager tout ça car j'aurais aimé apparendre ça plutôt
Prenez soin de vous rien n'est meilleur qu'une bonne hygiène de vie et l'abstinence
Peace
Le mecanisme est discuté mais pourrait etre lié à des problemes gastriques
https://www.researchgate.net/publicatio … ne_abusers
Les problemes de memoire
https://www.inspq.qc.ca/toxicologie-cli … a-ketamine
Déficit cognitif
L’impact de la kétamine sur le système nerveux central et sur les performances cognitives fait l’objet de nombreuses recherches et d’une certaine controverse. Plusieurs études animales et des modèles in vitro suggèrent effectivement que la kétamine pourrait avoir des effets délétères significatifs sur le cerveau en développement, notamment en favorisant une cytotoxicité apoptotique et excitotoxique et en affectant la neurogénèse par un effet sur les cellules souches neuronales, tant au stade de prolifération que de différentiation.(16) La transposition clinique de ces résultats, souvent obtenus dans des conditions très particulières (notamment avec une exposition prolongée et à très hautes doses de kétamine), demeure l’objet de débats dans la littérature.(17) Au-delà de l’impact de la kétamine sur le système nerveux central en développement, l’effet d’un usage répété ou chronique chez l’humain suscite également énormément d’intérêt. Dans une étude publiée en 2005, on démontrait que l’utilisation chronique de kétamine à des fins récréatives chez des adultes entrainait des modifications dans la transmission dopaminergique du cortex préfrontal en augmentant la disponibilité des récepteurs D1. Ce système est intimement lié à la mémoire et aux fonctions exécutives dans cette région du cerveau.(18) Des tests cognitifs appliqués chez des consommateurs de kétamine abusant aussi d’autres drogues ont révélé des déficits de la mémoire verbale et visuelle par rapport à des non-utilisateurs, déficits qui demeuraient détectables malgré l’arrêt de la consommation.(19) Cette persistance d’effets cognitifs au-delà de la phase aiguë de toxicité avait déjà été rapportée.(20) D’autres auteurs n’ont par contre pas observé un tel phénomène après une période d’abstinence prolongée, mais ont observé des déficits cognitifs persistants et des symptômes dépressifs d’intensité variable chez les utilisateurs réguliers.(21) D’autres études notent également une perturbation du traitement de l’information verbale ainsi que de la mémoire verbale et visuelle chez les utilisateurs chroniques, perturbation dont l’intensité corrèle avec le degré cumulatif de consommation.(22) Encore une fois, plusieurs facteurs confondants (utilisation concomitante d’autres substances psychoactives, impact d’une maladie psychiatrique sous-jacente sur les fonctions cognitives, caractéristiques de base des consommateurs et des non consommateurs, etc.) forcent une analyse prudente de ces résultats, mais plusieurs études distinctes rapportent des résultats concordants, et ce, même en contrôlant pour l’impact de symptômes dépressifs chez cette population.
https://www.frontiersin.org/journals/ne … 95231/full
Malgré ses effets prometteurs à court terme, la kétamine est récemment devenue une drogue faisant l’objet d’abus. La prévalence de l’abus de kétamine était de 1,7 % au Royaume-Uni en 2008/2009 (4 % au cours de la vie) (Murphy et Roe, 2010 ; Zou et Tan, 2016) et d’environ 1 % chez les étudiants américains (Maxwell, 2005). L'abus chronique de kétamine dans ces pays était associé à des troubles cognitifs à long terme, à des troubles de l'humeur, à des symptômes psychotiques et dissociatifs, ce qui suggère qu'une consommation prolongée de kétamine peut effectivement affecter négativement la structure et le fonctionnement du cerveau. Une autre explication est que les symptômes dépressifs primaires, psychotiques ou dissociatifs sont des raisons d’automédication à la kétamine plutôt que des effets secondaires à long terme. Il convient de noter que les dosages récréatifs sont bien supérieurs aux dosages cliniques, tant par dose que cumulativement.
À ce jour, la sécurité de l’administration prolongée de kétamine a été peu étudiée de manière prospective chez l’homme. Les études qui ont été réalisées l'ont été en milieu clinique, avec une dose beaucoup plus faible que les doses utilisées à des fins récréatives. Toutefois, compte tenu du peu de recherches sur le sujet, ces résultats méritent d’être mentionnés. Les effets secondaires les plus fréquemment rapportés de la kétamine à court terme (heures/jours) sont liés au système nerveux, tels que la dissociation, la sédation, les maux de tête, les étourdissements, la vision floue et les troubles de la mémoire (Short et al., 2017). De petites séries de cas d'administration de kétamine à diverses doses pendant jusqu'à un an chez des patients souffrant de TDM ou de douleur chronique suggèrent que certains de ces effets secondaires neuronaux peuvent persister en cas d'utilisation prolongée de kétamine (Cvrcek, 2008 ; Szymkowicz et al., 2013). En revanche, une autre étude suggère qu'un traitement d'appoint prolongé à l'eskétamine intranasale, qui a récemment été approuvé pour le traitement de la dépression résistante au traitement (TRD) deux ou trois fois par semaine, n'a pas détérioré les performances cognitives après 44 semaines de traitement d'entretien par rapport à la valeur initiale chez les patients avec dépression résistante au traitement (TRD) (EMA, 2019 ; FDA, 2019 ; Wajs et al., 2020)
Dernière modification par prescripteur (20 juillet 2024 à 16:26)
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pierre a écrit
Merci prescripteur pour ce travail de compilation et de témoignage. Il y a effectivement beaucoup de personnes consommateurs chronique de kétamine qui arrive sur PA ces dernier mois.
Quelques reflexions :
La études sur la "perte de mémoire " sont du bullshit ! Pour moi c'est du scientisme à nouveau. Deja elle ne prouve rien, et en plus, ca arrive avec la kétamine mais surtout pas avec le médicament l'esketamine qui est ... un isomère de la kétamine.... chercher l'erreur...
Pour la CIK, la seule chose que recommande les médecins, c'est l'arret... Ca fait pas beaucoup de RDR possible.
Mes questions pour aller plus loin :
- Quels sont les symptômes à l'arret ? Y a t'il un moyen de les atténuer ?
- Est ce qu'on sait au bout de combien de temps la CIK ou les K pain apparaissent quand on est dépendant ?
- Est ce qu'il y a une différence de toxicité entre les isomères de la kétamine ?
- Est ce que le curcuma ca marche pour ne pas avoir de douleurs ?
Pierre
étant personnellement concerné, et ayant aussi été engager dans la rdr festif de ma ville pendant 2 ans + connaissant beaucoup de consommateurs chronique, tout ca depuis un moment , ayant été témoin actif du a ma dépandance de l'évolution de la consommation récréative de la substance des prix qui ne cessent de baissé car la demande est de plus en plus forte.
les gens qui se plaignent sur PA ne sont qu'une infime parti de ce qu'il doit se passer dans bcp de ville, et je pense vraiment que au final si, ce travails qui vient d'étre fait et pouvant être partager a beaucoup, pour que les personnes puissent accélerer leur prise en charge quand elles vont se plaindre auprès de medecin qui ne sont pas encore au fait de ces données la , ca réduits les risques pour moi
le sentiment de solitude et d'incompréhension quand a la suite de plusieurs analyse, on ne trouve rien sur les prise de sang ou dans les urines alors que les symptome perciste, qu'on te remet le truc sur un soit disant symptome de sevrage par méconnaissance, ou qu'on te dis que c'est le stresse (vécu, et beaucoup entend)
de pouvoir partager ces infos, légitimer sa souffrance et s'encourager a continuer a consulter malgé une mauvaise experience voir de pouvoir contredire un professionnel de santé grace a des ressources sur lesquels s'appuyer c'est cool.
1000 mercis a vous.
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pierre a écrit
and on est dépendant ?
- Est ce qu'il y a une différence de toxicité entre les isomères de la kétamine ?
je ne sais pas si ca peux aider
https://www.psychoactif.org/forum/2022/ … eq_message
CaptainCrox' a écrit
Hello
Il s'agit d'une molécule relativement récente et trop peu étudiée pour donner une réponse définitive.
Chimiquement parlant, elle est très similaire à la ketamine. Il n'y a qu'une légère différence. Elle semble durer plus longtemps.
Ce que j'ai pu trouvé implique des risques pour les reins, vessie, et on l'oublie souvent, le foie (ketamine aussi).
Selon cette source, ce dissociatif rc semblerait plus addictif que la ketamine, qui l'est déjà assez.
https://trippywiki.com/2-fdck/#longterm … de-effects
Sachant que les dissociatifs de la même famille (pcp, k, etc.) Ont les mêmes effets secondaires généralement, je ne sais pas si c'est une bonne idée de remplacer de la ketamine par un rc pouvant disparaître à tout moment du marché et causant autant d'effets secondaires si ce n'est plus.
La ketamine n'est certes pas une vitamine sans danger mais elle a le mérite d'être connue et avoir été étudiée.
Ma réponse reste à prendre avec des pincettes. Les études sont quasi inexistante. Mais une règle que je me donne, c'est personnel, c'est d'éviter les RCs peu connus et qui peuvent disparaître à tout instant sans certitude d'un possible avantage par rapport à la substance de base.
Bon courage.
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pierre a écrit
Est ce qu'il y a une différence de toxicité entre les isomères de la kétamine ?
kazivol a écrit
je ne sais pas si ca peux aider
Non cela n'a rien à voir, la 2FDCK est un analogue de la kétamine dont le groupe chlore a été remplacé par du fluor.
Suivant sa provenance il existe aux marché noir, donc impossible de savoir réellement sans une analyse mais surtout un énantiometre pour les molécules stereoisomères, même si certains disent qu'il s'agit de tel ou tel isomère, quelques fois il ne savent pas vraiment.
Et cela dépend d'où vient la Kétamine soit c'est un mix racemique à 50/50 de R-kétamine et S-Kétamine soit c'est une ou l'autre
Une est plus analgésique/anesthésique , l'autre est je dirais plus Hallucinogène,dissociative.
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linec13 a écrit
Ces douleurs ont commencé au bout de deux ans de consommation régulière, quand j’ai commencé à consommer tous les jours, du réveil jusqu’au coucher
Merci ! Et as tu gardé des séquelles ? Est ce que les douleurs se sont arrétés jutse après le début du sevrage ?
Je t'ai mis un champi vert pour ton témoignage tres utils, mais ton témoignage indirect n'est pas terrible. Il est suggéré que c'est a cause de la kétamine que ton pote est mort, alors que ca peut etre a cause de la déshydratation... Il faut pas tout mettre sur la kétamine.
Pierre
Dernière modification par pierre (21 juillet 2024 à 21:24)
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Quelques reflexions :
La études sur la "perte de mémoire " sont du bullshit ! Pour moi c'est du scientisme à nouveau. Deja elle ne prouve rien, et en plus, ca arrive avec la kétamine mais surtout pas avec le médicament l'esketamine qui est ... un isomère de la kétamine.... chercher l'erreur...
Pour la CIK, la seule chose que recommande les médecins, c'est l'arret... Ca fait pas beaucoup de RDR possible.
Mes questions pour aller plus loin :
- Quels sont les symptômes à l'arret ? Y a t'il un moyen de les atténuer ?
- Est ce qu'on sait au bout de combien de temps la CIK ou les K pain apparaissent quand on est dépendant ?
- Est ce qu'il y a une différence de toxicité entre les isomères de la kétamine ?
- Est ce que le curcuma ca marche pour ne pas avoir de douleurs ?
Pour les troubles de memoire etc.. ils sont signalés assez souvent. Mais comme le dit l'article que je cite
Une autre explication est que les symptômes dépressifs primaires, psychotiques ou dissociatifs sont des raisons d’automédication à la kétamine plutôt que des effets secondaires à long terme.
Pour le fait que le spravato n'entraine aucun effet c'est un article, qui demande donc à etre confirmé.
Pour l'arret en cas de syndrome urinaire ça semble en effet essentiel. Même si on prefererait d'autres conseils de RdR.
Pour le sevrage il semble surtout se presenter avec du craving, comme la coke mais pas de syndrome physique.
https://americanaddictioncenters.org/wi … s/ketamine
Pour le temps de survenue des symptomes je n'ai rien vu. Linec a temoigne.
idem pour les isomeres de la K pas de renseignement à ma connaissance.
Enfin pour le curcuma on sait qu'il a des effets. Mais son absorption est limitée donc il faut probablement prendre des gelules plutot que d'en mettre dans son riz.
Il est possible qu'il soit efficace mais je n'en ai aucune idée. C'est un temoignage, à tester si possible.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Curcuma
A signaler que des neo zelandais ont mis au point une forme LP qui serait plus maniable.
https://www.nature.com/articles/s41591-024-03063-x
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (21 juillet 2024 à 20:27)
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meumeuh a écrit
pierre a écrit
Est ce qu'il y a une différence de toxicité entre les isomères de la kétamine ?
kazivol a écrit
je ne sais pas si ca peux aider
Non cela n'a rien à voir, la 2FDCK est un analogue de la kétamine dont le groupe chlore a été remplacé par du fluor.
Suivant sa provenance il existe aux marché noir, donc impossible de savoir réellement sans une analyse mais surtout un énantiometre pour les molécules stereoisomères, même si certains disent qu'il s'agit de tel ou tel isomère, quelques fois il ne savent pas vraiment.
Et cela dépend d'où vient la Kétamine soit c'est un mix racemique à 50/50 de R-kétamine et S-Kétamine soit c'est une ou l'autre
Une est plus analgésique/anesthésique , l'autre est je dirais plus Hallucinogène,dissociative.
Autant pour moi,je me suis demandé sans connaitre la différence entre les analogue RC et les isomere R/S
pour en reveni aux isomère, la ketamine que les gens se procure par chez moi et dans tout le nord de france/europe c'est la meme.
Sugar/needle/rock/paillette qui sur toute les analyse que jai vu passé en 3 ans tombe tjr entre 90 et 100% de pureté de ketamine
Je ne sais absolument pas si les analyse que tu fait au caarud te permette de savoir si cest R ou S
Au vu de ce que tu mentionne ca demande des outils specifiques
J'ai toujours cru comprendre que c'etait toujours des melange racémique du au cout que ca a d'isolé une isomère.
Enfin pour moi ca fait parti des legendes urbaine des vendeurs de teuf ou du coin qui te raconte qu'ils ont celle la ou celle ci ou c de l'indienne ou que sais-je en tant qu'argument commercial.
Toute les personnes que j'ai rencontrer dans le monde de la free font le même type de chemin pour acheminer le produit en grosse quantité
Je suis pas hyper callé en chimie tu as pu le comprendre
Mais le but du marché noir c'est le profit et la rentabilité.
Pour la majorité des consommateurs c'est a la ketamine de rue qu'ils ont affaire
Avoir des donnée sur la difference de toxicité entre les deux me parait invraisemblable?
Quelqu'un connait quelqu'un qui peux affirmer s'en procurer et en consommer depuis X temps?
Et si il semble que l'une des deux s'elimine mieux que l'autre, par exemple la S.
Si une piste en conseil RDR serait de passer sur celle la ou sur l'autre, comment l'appliquer concretement quand tu es consommateur?
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kazivol a écrit
Je ne sais absolument pas si les analyse que tu fait au caarud te permette de savoir
Alors meme ATP-IDF ne le peut pas non plus, car cet outils coûte 10 ou 15k mais sur un site de vente il y en aurait des pas cher, qui peuvent différencier la S et la R.
Il y a un témoignage sur le forum sur ce point.
Mais oui je te rejoins que la majeure partie c'est de la racemique,mais d'autres pays commen l'Allemagne produit de le S-Kétamine , pour l'indienne oui je suis en partie d'accord mais tu sais bien que l'inde produit des tas de molécules, médicaments et de principes actifs et que certainement il y a un côté marketing et il existe néanmoins des usines qui produisent également pour le marché noir et sur ce point que je disais que lorsque tu achète de la Kétamine sous forme sèche tu n'est pas certain d'avoir de la racemique.
Amicalement
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Dernière modification par Gaeshea (23 juillet 2024 à 16:19)
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pierre a écrit
Merci Gaecha ça donne pas mal de piste :
Curcuma, hydratation et complément , bicarbonate de soude
J’ajoute isomère : pourquoi le médicament à la ketamine c’est de la s-ketamine ? Pourquoi ont il pris la peine de ne prendre que celle la ?
Il faut faire un psychowiki sur le sujet de la consommation chronique de ketamine avec des termes médicaux abordables ! Car il y a plein de mots que je ne comprends pas dans les études citées plus haut….
J’essaierais de l’avancer avant de partir en vacances. Et si des personnes veulent m’aider faites moi signe que je vous ouvre un compte psychowiki.
Nous attendons
Hello, en fouillant j'ai trouver plusieurs endroit ou ils mentionnent qu'elle s'éliminerai plus rapidement que l'arketamine et que le mélange racémique, il faut que je retrouve ces liens la mais c'etait dans dans recherche avec mot clefs " esketamine , spravato effet secondaire "
Je les rajouterais
Apres le truc c'est qu'ils ont choisi cette isomere certe mais vu comment elle est délivré, c'est a dire tres ponctuellement et bien loin d'exposition prolongé au prod il n'ya meme pas mention de problematique urinaire sur la fiche vidal il me semble
J'imagine aucune documentation officiel sur cela, alors quebse serait interessant de creuser.
Mais comme je disais a meumeuh plus tot
Si un conseil rdr serait de passer au moins de racemique a esketamine. Comment l'appliquer concretement quand t'es consommateur.
Gaeshea a écrit
ALORS
Déjà je suis ravie que ce topic existe....Avec, comme cela a été rapporté : des douleurs aigues de la vésicule biliaire (comparable voire pire que des douleurs de colique hépatique) + spasmes au niveau du sphincter d'Oddi. Puis c'est l'estomac qui prend (j'imagine consécutif au dysfonctionnement de la vésicule), avec des manifestations de type gastrite. Tout ce dérèglement finit par conduire à un syndrome de malabsorption des nutriments et après c'est l'effet domino (dénutrition, perte de cheveux, faiblesse générale, tachycardie car plus de minéraux etc.).
Et effectivement sur les marqueurs biologiques il n'y a rien du tout !
Donc oui la prise en charge est nulle du coup ... C'est du traitement symptomatique style antispasmodiques et anti-acides. Et si t'es sympa et que tu mentionnes ta conso aux urgences t'auras droit à un bonus stigmatisation lol...
Merci gaesha pour ta particpatipn
Je me reconnais egalement dans les symptome type gastrite, reflux gastrique, et cette année j'ai du faire de cure a base d'oméprazole par rapport a ca,mais dans mon cas étant quelqu'ul de tres anxieux qui a toujours somatisé, meme avant cette addiction, je ne sais pas si le liens etait direct car l'oméprazole mais aussi par la reprise en charge niveau psy : un traitement par benzo + je suis aussi traiter par antipsychotique a cause de trouble panique et tsa et trouble posttraumatique a coté et bientot reintroduction antidepresseur isrs vis a vis de ca. Mais je pense bien que la ketamine + le stresse a du etre les deux element declanchant les gastrite / =reflux gastrique.
Ou a ce moment la, gaviscon oméprazole et donc pr ma part reduction du stresse et de mes symtpime psy on jouer grandement.
Et il est aussi vrai que depuis que bien m'alimenté, boire assez d'eau de 2L par jours mais pas 3L
(Jus de cramberry antioxidant aussi)
M'okt aider a ne pas avoir de symptime malgré ma consommation quotidienne mais stable cette année niveau RIC (cystite)
D'ailleurs par rapport a cystite, je ne sais pas du tout si c'est ouf de conseiller ca,
Mais a une soiree ou d'un coup ma vessie sest mis a avoir tres mal en mode cystite, j'ai bu un peu moins de 0,5l de biere pas tres forte a 4/,5% et l'effet dyuritique fin de te faire pisser m'avais fait passer les douleurs au bout de deux heure.
Alors que douleurs ric cystite peuvent durer plusieurs jours.
J'ai limpression que la douleurs ric systitesurvient quand on a pas penser a assez s'hydrater en proportion a notre conso et du coup
Mais aussi vis a vis tjr de mon experience perso
Les douleurs k-cramps / gastrite , reflux gastique sont arrivé independament de moment ou jetait bien hydrater ou jarrivais a faure attention. Apres chez moi il y'a un factzur stresse tres important du coup
Mais bon la poule et l'oeuf des fois dans le stresse et la conso, les deux s'autoalimente j'ai l'impressipn des fois.
Pour le curcuma en pillule complement, franchement j'aimerais bien essayer,
Est ce que c'est un antioxidant comme par exemple le jus de cranberry que jai cité (vitamine C )
Et que du coup les antioxidant serait vraiment aidant vis avis de ca ?
Dernière modification par kazivol (23 juillet 2024 à 22:48)
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Dernière modification par Gaeshea (24 juillet 2024 à 00:11)
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Dernière modification par BarbuFist (30 juillet 2024 à 15:20)
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Dernière modification par Gaeshea (07 août 2024 à 07:54)
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Gaeshea a écrit
En antispasmodique j'ai testé spasfon et trimébutine (Débridat, sur prescription). Les deux associés fonctionnent bien mais les effets sont vite plafonnés. Anti-acides fonctionnent mais je n'ai pas des acidités à chaque fois. La fois où j'en ai vraiment eu c'était après une soirée où j'ai consommé alcool + kéta alors que j'étais déjà en crise de K cramps (oui pas futée la meuf).
Les antidouleurs pallier I franchement bof. Le paracétamol n'agit pas sur les crampes chez moi et ibuprophène marche mais empire la gastrite au final.
La phyto + antispasmodiques + bouillotte et boissons chaudes c'est le mieux je trouve.
Je sors d'une sessions crampes de plusieurs jours, c'est la plus longue que j'ai eu pour le moment mais pas la plus intense. Après un binge de 25g encore. Par contre cette fois-ci les douleurs étaient beaucoup plus diffuses et se sont étendues au foie et au pancréas et j'étais vraiment dans le mal : faible, pâle, transpiration etc.
J'ai bien flippé je vais faire un check-up car mes organes ont bien morflé de ces années d'abus de vitamine K. Je crois que cette fois-ci j'ai fait le tour, je vais retourner aux vrais psychédéliques
De toute façon mon corps ne veut plus entendre parler de K.
Hello, dure je comprends le délire.. courage !
Si jamais tu t'sens chaude de nous donné des nouvelles de ton check up avec ce que tu estime avec pris comme quantité par jour se serais top pour se faire une idée !
Personnellement
reprise de mes conso.depuis 3 mois j'avais pas arreter bien longtemps mais bon.. , je tourne a environ 10g par semaine pris quotidiennenement et je vais faire aussi un bilan generale fin du mois d'aout,
Grosse gastrite, avec des reflux des douleurs thoraciqus mais comme j'ai dis plus haut chez moi deja avant conso javais plein de probleme a cauqe du stresse et la juillet etait un mois super stressant, ca sest calmé apres la disparition des sources de stresse.
J'avais des douleurs thoraciques surement du au stresse aussi
Jai deja du faire une radio thorax, + prise de sang
Aucun probleme,
Taux de creatinine pour les reins normaux
Et vais du coup faire des echographie pr abdomen
Bonne soirée
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Dernière modification par Gaeshea (14 août 2024 à 09:55)
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