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Dernière modification par meumeuh (02 septembre 2024 à 18:14)
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Pura vida a écrit
Bonjour, j aimerais savoir si certaine personne on eux des problèmes de santé suite à des abus pas overdose mais comme cancer de la vessie ou de la gorge... je m'interroge sur ma santé future même si maintenant je consomme avec modération mais dans le passé je ne sais .ème pas si d autre on abuser comme moi de substance comme la ketamine prise quotidienne de 1.5 g environ avec 5 speed mes médoc antidépresseur benzo ... et pendant 3 ans gbl en continu allant à 7 ml au 2h .... avec parfois du crack et aussi crystal meth qui me ferait aucun effet fumer quotidiennement avec weed etc bon disons que j'ai perdue la mape souvent
Merci pour vos reponse
Attention quand même, si actuellement tu n'as aucun symptôme, dans la durée après plusieurs années tu as de fortes chances de développer des problèmes de santé irréversible même en quantité modéré.
Prends soin de toi :)
Even
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Even a écrit
Attention quand même, si actuellement tu n'as aucun symptôme, dans la durée après plusieurs années tu as de fortes chances de développer des problèmes de santé irréversible même en quantité modéré.
Salut,
Sur la base de quoi tu affirmés ça ?
Et pour quels prods tu parles ?
Et qu'est ce qu'entends par conso modéré ?
En vrai, il y a très peu de produits qui peuvent enduire des "problemes de santés irréversibles" selon mes recherches...
Même l'alcool qui est un des pires drogues pour moi sur le coté physique, il faut avoir une conso continue pendant un moment avant d'avoir de problèmes "irréversibles"...
Sinon pour ce qui est stims je trouve que les effets plus mauvais viennent de l'épuisement (pas dormir/pas manger) plus que des prods en soit, mais souvent c'est réversible si on en consomme pas en continu
Pour la ketamine, il y a des témoignages de problèmes irréversibles enduits sur le système urinaire mais à 5g/j minimum sur plusieurs mois
Sinon il y a la fumée de tabac, mais pareil c'est souvent après plusieurs années de conso quotidienne...
C'est pas parce que les drogues c'est " mal" dans l'opinion publique que forcément ça enduit des problèmes de santé irréversibles, surtout avec des consos occasionnelles...
Et c'est impossible de faire des généralités à mon avis !
Plutôt que d'inquiéter pour rien, il vaut mieux comprendre quels sont vraiment les risques et essayer de les réduire pour moi !!!
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Even a écrit
Attention quand même, si actuellement tu n'as aucun symptôme, dans la durée après plusieurs années tu as de fortes chances de
Ciao
Suffit de faire un bilan de santé chaque années après 40ans. C'est pas moi qui le dise, mais médecins hospitalieres que j'ai consulté. Perso je le fais et si des valeurs sont pas dans la norme je fais des recherches plus poussès. Heureusement en France on peux le faire rapidement, voilà faison-le.
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Attention quand même, si actuellement tu n'as aucun symptôme, dans la durée après plusieurs années tu as de fortes chances de développer des problèmes de santé irréversible même en quantité modéré.
ça s'appelle le vieilllissement et ça touche tout le monde, hélas !
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (02 septembre 2024 à 08:20)
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Even a écrit
Attention quand même, si actuellement tu n'as aucun symptôme, dans la durée après plusieurs années tu as de fortes chances de développer des problèmes de santé irréversible
NEWSFLASH : il y a de fortes chances que ça arrive même si tu ne consommes aucune substance psychoactive
Dernière modification par Cub3000 (02 septembre 2024 à 17:02)
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Marco 68 a écrit
Even a écrit
Attention quand même, si actuellement tu n'as aucun symptôme, dans la durée après plusieurs années tu as de fortes chances de
Ciao
Suffit de faire un bilan de santé chaque années après 40ans. C'est pas moi qui le dise, mais médecins hospitalieres que j'ai consulté. Perso je le fais et si des valeurs sont pas dans la norme je fais des recherches plus poussès. Heureusement en France on peux le faire rapidement, voilà faison-le.
c'est faux, les 3/4 des trucs que tu chopes a cause des drogues sont indetectables par des analyses classiques, regarde le cas des consomateur de ketamine, jusqu'a ce que la vessie soit detruite les medecins ne voient rien...
les analyses classiques servent a détecter les trucs classiques...
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regarde le cas des consomateur de ketamine, jusqu'a ce que la vessie soit detruite les medecins ne voient rien...
Lis le lien que je viens de mettre. Il y a moyen de diagnostiquer l'atteinte vesicale avant la destruction de la vessie. Et c'est souvent sur des symptomes (dysurie etc..)
https://www.psychoactif.org/forum/2024/ … 772_1.html
L'un des chapitres cite ce lien avec la traduction en français ci dessous
ttps://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1002/nau.25148
3 Traitement de la cystite induite par la kétamine (KIC) chez les patients
Actuellement, il n’existe aucun traitement standardisé pour la KIC en raison de sa physiopathologie peu claire. Les plans de traitement sont élaborés à travers des essais thérapeutiques avec chaque patient, en fonction de la gravité de la maladie. Dans tous les cas, l’arrêt ou l’abstinence de consommation de kétamine constitue la première intention de traitement et est la plus efficace dans la gestion des KIC. Des études sur l'abstinence de KIC ont démontré une amélioration des symptômes de KIC par rapport à la progression de la maladie chez les patients qui n'arrêtent pas leur consommation de kétamine.11, 30, 31 Par conséquent, l'abstinence de kétamine et un diagnostic précoce restent les deux facteurs les plus importants pour les patients KIC. Une vaste étude menée par Winstock et ses collègues a révélé que parmi 1 285 utilisateurs récents de kétamine, plus d'un quart (340) ont signalé des symptômes des voies urinaires, notamment des douleurs abdominales basses, une fréquence urinaire et des brûlures ou des picotements lors de l'urine. Des doses plus élevées ou une utilisation plus fréquente de kétamine étaient associées à des taux de symptômes significativement plus élevés. Cinquante et un pour cent des utilisateurs symptomatiques ont signalé une amélioration des symptômes urinaires après l'arrêt de l'utilisation.30 De plus, des études menées par Yee et al.32 ont révélé que chez les patients souffrant d'uropathie associée à la kétamine, l'abstinence de consommation de kétamine pendant 4 semaines réduisait considérablement les douleurs abdominales et l'urgence. ou fréquence et augmentation de la capacité fonctionnelle de la vessie par rapport aux utilisateurs actifs de kétamine. De plus, des volumes mictionnels plus importants et moins de symptômes ont également été signalés dans le groupe d'abstinence33, dont l'amélioration s'est améliorée avec l'augmentation de la durée d'abstinence.11, 31
Bien que l’arrêt de la kétamine soit un traitement efficace pour la plupart des patients, il est difficile pour les utilisateurs fréquents, même s’ils comprennent les avantages de l’arrêt. Enfin, l’abstinence ne conduit pas toujours à une guérison immédiate ou complète des symptômes. Winstock et al.30 ont constaté que 43 % des patients atteints de KIC n'ont pas signalé d'amélioration des symptômes après l'abstinence de la kétamine, alors que 3,8 % des patients ont signalé une détérioration après l'arrêt de la kétamine. Par conséquent, un traitement médical est toujours recommandé pour aider à améliorer les symptômes de la KIC. Les études menées par Wu et ses collègues ont été les premières à proposer trois stades cliniques pour le dysfonctionnement des voies urinaires associé à la kétamine. Comme les plans de traitement commencent souvent par des interventions pharmacologiques visant à améliorer la douleur et l’inflammation, Wu et ses collègues décrivent le stade I comme le « stade de stimulation inflammatoire » qui répondait à l’entraînement de la vessie et à la pharmacothérapie. Lorsque les médicaments oraux ne sont pas en mesure de produire les effets souhaités, les cliniciens recommandent souvent des traitements intravésicaux que les auteurs ont qualifiés de stade II, le « stade initial de fibrose vésicale ». Le stade II consiste en des parois vésicales épaissies avec une capacité réduite et les patients sont traités par hydrodistension et traitements intravésicaux. Enfin, le stade III est décrit comme le « stade terminal de la fibrose vésicale, stade de contracture » où les patients sont traités par intervention chirurgicale.34 Ce modèle fournit des conseils utiles sur la façon dont les cliniciens abordent le traitement de la KIC (Figure 1).
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (02 septembre 2024 à 18:18)
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anoD3721 a écrit
regarde le cas des consomateur de ketamine, jusqu'a ce que la vessie soit detruite les medecins ne voient rien...
avant d'arriver à ce stade , les gros consommateurs de k ont des signes qui déjà peuvent alerter sur un problème .... donc ce que tu dis n'a pas vraiment de sens
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meumeuh a écrit
anoD3721 a écrit
regarde le cas des consomateur de ketamine, jusqu'a ce que la vessie soit detruite les medecins ne voient rien...
avant d'arriver à ce stade , les gros consommateurs de k ont des signes qui déjà peuvent alerter sur un problème .... donc ce que tu dis n'a pas vraiment de sens
certes, mais quand tu vas te faire analyser a l'hopital ils voient rien, jusqu'a ce que ce soit trop tard (au sens ou de gros degats ont deja eu lieu, assez pour que on te detecte le soucis via les symptomes qu'il induit, et non pas via des analyses) et que la vessie soit tellement niqué qu'on puisse pas ne pas le voir... la ils voient... bah ouai forcément...
Dernière modification par anoD3721 (02 septembre 2024 à 18:42)
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anoD3721 a écrit
les 3/4 des trucs que tu chopes a cause des drogues sont indetectables par des analyses classiques
Sources ?
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Cub3000 a écrit
anoD3721 a écrit
les 3/4 des trucs que tu chopes a cause des drogues sont indetectables par des analyses classiques
Sources ?
moi
les mécanismes des drogues qui modifient l'homeostasie sont subtils et passent par des voies peu connus, par exemple pour des reins abimés ou hypersensibles suite a un sevrage opioïde, ça ne se voit pas au début
quand ton corps a fonctionné des années en métabolisant des produits, il a du mal a metaboliser sans, et a terme ça induit des soucis, c'est pour ça que les consomateurs au long cours qui arrêtent les opiacés sont nombreux a développer des hepatites après l'arrêt, mais tant que tu as pas développé l'hépatite de façon assez forte ça reste indétectable car on cherche pas ou il faut chercher
je parle de consomateurs a long terme qui arrêtent et commencent a développer des tas de soucis, mais quand ils vont chez le doc on ne trouve rien
c'est pas comme les consomateurs a court terme, pour eux les degats viendront des excès ou de la coupe, pas d'une mauvaise homéostasie et la ça se verra bien mieux et c'est une toute autre affaire
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anoD3721 a écrit
Cub3000 a écrit
Sources ?moi
les mécanismes des drogues qui modifient l'homeostasie sont subtils et passent par des voies peu connus, par exemple pour des reins abimés ou hypersensibles suite a un sevrage opioïde, ça ne se voit pas au début
quand ton corps a fonctionné des années en métabolisant des produits, il a du mal a metaboliser sans, et a terme ça induit des soucis, c'est pour ça que les consomateurs au long cours qui arrêtent les opiacés sont nombreux a développer des hepatites après l'arrêt, mais tant que tu as pas développé l'hépatite de façon assez forte ça reste indétectable car on cherche pas ou il faut chercher
je parle de consomateurs a long terme qui arrêtent et commencent a développer des tas de soucis, mais quand ils vont chez le doc on ne trouve rien
c'est pas comme les consomateurs a court terme, pour eux les degats viendront des excès ou de la coupe, pas d'une mauvaise homéostasie et la ça se verra bien mieux et c'est une toute autre affaire
Je ne sais pas si c'est vérifiable et généralisable médicalement (j'ai pas les qualifications pour ) mais c'est intéressant que ça vienne de ton expérience personnelle !
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anoD3721 a écrit
pour ça que les consomateurs au long cours qui arrêtent les opiacés sont nombreux a développer des hepatites après l'arrêt, mais tant que tu as pas développé l'hépatite de façon assez forte ça reste indétectable car on cherche pas ou il faut chercher
Arret stp ces discours qui n'ont pas de sense,ni des references scientifiques: je suis consommateur depuis 35/40ans d'opiaces, j'ai developpé après 5 et 15ans deux epatite (C et G)et putain si ils l'ont vu!! J'avais les GPT à 4800,presque coma epatique...
Je me suis bien remis avec aucune sequelles avec du glucose et arret complet de l'alcool pendant 1an et demi. Les deux epatite sont maintenant negativisées.
C'est evident que si J'avais laisse tomber sans m'en occuper, maintenant je serai mort ou si chance greffé du foie.
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anoD3721 a écrit
quand ton corps a fonctionné des années en métabolisant des produits, il a du mal a metaboliser sans, et a terme ça induit des soucis
Du coup, ton raisonnement est valable pour tous les types d'aliments ou de compléments alimentaires, pas seulement pour les drogues...
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Marco 68 a écrit
anoD3721 a écrit
pour ça que les consomateurs au long cours qui arrêtent les opiacés sont nombreux a développer des hepatites après l'arrêt, mais tant que tu as pas développé l'hépatite de façon assez forte ça reste indétectable car on cherche pas ou il faut chercher
Arret stp ces discours qui n'ont pas de sense,ni des references scientifiques: je suis consommateur depuis 35/40ans d'opiaces, j'ai developpé après 5 et 15ans deux epatite (C et G)et putain si ils l'ont vu!! J'avais les GPT à 4800,presque coma epatique...
Je me suis bien remis avec aucune sequelles avec du glucose et arret complet de l'alcool pendant 1an et demi. Les deux epatite sont maintenant negativisées.
C'est evident que si J'avais laisse tomber sans m'en occuper, maintenant je serai mort ou si chance greffé du foie.
ok mais tu n'as jamais arrêté les opiacés donc tu ne sais pas ce que leur arrêt provoquerait chez toi après quelques mois/années.
donc c'est hors sujet en fait, bien sur qu'en buvant tu peux choper une hepatite même sous opiacés mais c'est pas le sujet la
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Pesteux a écrit
anoD3721 a écrit
quand ton corps a fonctionné des années en métabolisant des produits, il a du mal a metaboliser sans, et a terme ça induit des soucis
Du coup, ton raisonnement est valable pour tous les types d'aliments ou de compléments alimentaires, pas seulement pour les drogues...
tous ceux qui modifient la metabolisation des reins, des sucres et de divers autres éléments j'imagine
c'est pas tous les aliments qui font ça, en fait quasi aucun aliment ne fait ça
mais mettons que tu passes ta vie a manger du radis noir a tous les repas pendant des années, et que tes reins se reposent dessus pendant 20 ans, ben quand tu arrêtes le radis noir y'a de bonnes chances que tes reins galèrent un peu plus oui en théorie, ce serait logique, mais la on est vraiment dans la pure théorie, et ce serait surement pas du tout le meme level qu'un usager de drogue
les opiacés eux modifient profondément l'homéostasie, surtout a très long terme, et de diverses façons différentes (jusqu'a l'expression des gênes!), et en particulier la methadone qui est selon moi celui qui la modifie le plus
vous remarquerez que beaucoup d'usager de methadone ont tendance a avoir une "dent sucrée" et a aimer beaucoup tabac et café, c'est a cause du fait que la metha boost la conso de glucose par le corps, et c'est aussi la raison qui fait que tu as chaud sous methadone et que tu transpires, car tu brules trop d'energie même en etant inerte, donc ton energie part sous forme de chaleur
Dernière modification par anoD3721 (02 septembre 2024 à 19:51)
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anoD3721 a écrit
tous ceux qui modifient la metabolisation des reins, des sucres et de divers autres éléments j'imagine
c'est pas tous les aliments qui font ça, en fait quasi aucun aliment ne fait ça
J'avais peut-être mal compris, mais au départ, tu disais que c'était simplement parce que ton corps était habitué à métaboliser un truc qu'il galérait à métaboliser sans. Comme dans ton exemple des radis noirs.
Si ton argument c'est que la méthadone modifie la métabolisation comme aucun autre produit ne le fait, ça doit pouvoir se constater scientifiquement et biologiquement, non ? (c'est peut-être le cas, je n'en sais rien).
Je trouve ça étrange de mêler un "selon moi" à une affirmation qui se prétend aussi concrète et scientifique. C'est bienvenu quand il s'agit de faire un témoignage perso et tout à fait subjectif (le coeur du forum), mais si tu veux t'avancer sur le terrain scientifique en parlant d'homéostasie et de métabolisation, des sources seraient plus adaptées.
De ce que je comprends à l'épigénétique, il y a des tas d'autres choses qui sont susceptibles de modifier l'expression des gènes, ça n'a pas l'air d'être une propriété exceptionnelle de la Méthadone, ni quelque chose de négatif en soit : tout dépend de la modification ! Tu en parles comme si tout ce qui modifiait l'expression des gènes était mauvais pour la santé...
Tu voudrais diaboliser la Méthadone que tu ne t'y prendrais pas autrement !
anoD3721 a écrit
la metha boost la conso de glucose par le corps, et c'est aussi la raison qui fait que tu as chaud sous methadone et que tu transpires, car tu brules trop d'energie même en etant inerte, donc ton energie part sous forme de chaleur
Si cette assertion est vraie, alors la Métha fait maigrir : augmentation du métabolisme de base = je maigris si je ne mange pas plus qu'avant (le rêve des personnes en surpoids et le Graal des vendeurs de compléments alimentaires !). J'ai l'impression que c'est plus compliqué que ça...
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Pesteux a écrit
anoD3721 a écrit
tous ceux qui modifient la metabolisation des reins, des sucres et de divers autres éléments j'imagine
c'est pas tous les aliments qui font ça, en fait quasi aucun aliment ne fait çaJ'avais peut-être mal compris, mais au départ, tu disais que c'était simplement parce que ton corps était habitué à métaboliser un truc qu'il galérait à métaboliser sans. Comme dans ton exemple des radis noirs.
Si ton argument c'est que la méthadone modifie la métabolisation comme aucun autre produit ne le fait, ça doit pouvoir se constater scientifiquement et biologiquement, non ? (c'est peut-être le cas, je n'en sais rien).
Je trouve ça étrange de mêler un "selon moi" à une affirmation qui se prétend aussi concrète et scientifique. C'est bienvenu quand il s'agit de faire un témoignage perso et tout à fait subjectif (le coeur du forum), mais si tu veux t'avancer sur le terrain scientifique en parlant d'homéostasie et de métabolisation, des sources seraient plus adaptées.
De ce que je comprends à l'épigénétique, il y a des tas d'autres choses qui sont susceptibles de modifier l'expression des gènes, ça n'a pas l'air d'être une propriété exceptionnelle de la Méthadone, ni quelque chose de négatif en soit : tout dépend de la modification ! Tu en parles comme si tout ce qui modifiait l'expression des gènes était mauvais pour la santé...
Tu voudrais diaboliser la Méthadone que tu ne t'y prendrais pas autrement !
anoD3721 a écrit
la metha boost la conso de glucose par le corps, et c'est aussi la raison qui fait que tu as chaud sous methadone et que tu transpires, car tu brules trop d'energie même en etant inerte, donc ton energie part sous forme de chaleur
Si cette assertion est vraie, alors la Métha fait maigrir : augmentation du métabolisme de base = je maigris si je ne mange pas plus qu'avant (le rêve des personnes en surpoids et le Graal des vendeurs de compléments alimentaires !). J'ai l'impression que c'est plus compliqué que ça...
la meta fait maigir mais la meta donne faim car elle brule plus d'energie, toute cette chaleur c'est de l'energie, il n'existe pas de dégagement de chaleur sans source d'énergie. donc si tu degages plus de chaleurs c'est que tu brules de l'energie meme immobile
chez moi ce symptome a disparu depuis longtemps, car mon corps est si habitué que je suis normal sous methadone maintenant...
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anoD3721 a écrit
Cub3000 a écrit
Sources ?moi
les mécanismes des drogues qui modifient l'homeostasie sont subtils et passent par des voies peu connus, par exemple pour des reins abimés ou hypersensibles suite a un sevrage opioïde, ça ne se voit pas au début
quand ton corps a fonctionné des années en métabolisant des produits, il a du mal a metaboliser sans, et a terme ça induit des soucis, c'est pour ça que les consomateurs au long cours qui arrêtent les opiacés sont nombreux a développer des hepatites après l'arrêt, mais tant que tu as pas développé l'hépatite de façon assez forte ça reste indétectable car on cherche pas ou il faut chercher
je parle de consomateurs a long terme qui arrêtent et commencent a développer des tas de soucis, mais quand ils vont chez le doc on ne trouve rien
c'est pas comme les consomateurs a court terme, pour eux les degats viendront des excès ou de la coupe, pas d'une mauvaise homéostasie et la ça se verra bien mieux et c'est une toute autre affaire
anoD3721 a écrit
Pesteux a écrit
Du coup, ton raisonnement est valable pour tous les types d'aliments ou de compléments alimentaires, pas seulement pour les drogues...
tous ceux qui modifient la metabolisation des reins, des sucres et de divers autres éléments j'imagine
c'est pas tous les aliments qui font ça, en fait quasi aucun aliment ne fait ça
mais mettons que tu passes ta vie a manger du radis noir a tous les repas pendant des années, et que tes reins se reposent dessus pendant 20 ans, ben quand tu arrêtes le radis noir y'a de bonnes chances que tes reins galèrent un peu plus oui en théorie, ce serait logique, mais la on est vraiment dans la pure théorie, et ce serait surement pas du tout le meme level qu'un usager de drogue
les opiacés eux modifient profondément l'homéostasie, surtout a très long terme, et de diverses façons différentes (jusqu'a l'expression des gênes!), et en particulier la methadone qui est selon moi celui qui la modifie le plus
vous remarquerez que beaucoup d'usager de methadone ont tendance a avoir une "dent sucrée" et a aimer beaucoup tabac et café, c'est a cause du fait que la metha boost la conso de glucose par le corps, et c'est aussi la raison qui fait que tu as chaud sous methadone et que tu transpires, car tu brules trop d'energie même en etant inerte, donc ton energie part sous forme de chaleur
Bonsoir.
20ans de metha et une tasse de café le matin et un peu de tabac avec mes joints le soir. Je mange tres peu de sucre et je n'ai pas de carie.
Je trouve que tu generalise bien de trop. Je me demande où tu as vu qu'arrêter les opi donnait une hépatique. Tu peux nous dire laquelle d'ailleurs?
Amicalement
Dernière modification par Eric 44 (02 septembre 2024 à 21:27)
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Marco 68 a écrit
anoD3721 a écrit
ok mais tu n'as jamais arrêté les opiacés donc tu ne sais pas ce que leur arrêt provoquerait chez toi
Tu te trompe. J'ai arreté 3ans
tu prenais plus rien a coté ?
après j'ai pas dis que tous les gens qui arretaient les opiacés apres de longues années tombaient malades, mais une partie plus significative que la pop normale, et particulièrement les hepatites
Dernière modification par anoD3721 (02 septembre 2024 à 22:39)
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anoD3721 a écrit
tu prenais plus rien a coté ?
No,jai fait 3ans de rien. Un ou deux Verrès de bon vin de temps en temps
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