Bonjour.
J'aimerais vous présenter un peux mon train de vie, le pourquoi du comment, ou j'en suis maintenant, etc..Je pense qu'en parler et avoir des avis/conseils extérieur pourront peut-être m'aider.
2011-2012
-Année fin 2011 début 2012, tout aller bien, les cours, les amis enfin tout, la vie avait encore c'est éclat que je me tue à chercher en vain chaque jours.
J'ai fumer mon premier
joint avec ma meilleur ami et c'est ami, rien ressentis de particules. Je décide de re-tenter l'expérience chez moi quelques jours plus tard le soir. J'étais au balcon, j'allume, tire une taff et la.. le sol prends la place du ciel et le ciel celle du sol tout en ayant un effet comme si les deux ce mélangés.
J'arrête là ne connaissant pas encore le produit.
Après avoir expérimenter plusieurs fois, j'en fais "profiter" a un ami. ( *Malheureusement* c'est grâce à ça qu'il est devenu mon meilleur ami )
Lui à adorer ça, forcément après 1
joint il hallu complet pendant 2 heures. Ce qui m'a frappé c'est que les premières fois il étais étonné en sortant de ces hallus, il n'arrivais pas a rester 30 secs avec moi.
Enfin bref je m'égare.
Jusqu'a ce que cet ami doive déménager au Portugal il y a de cela quelques mois la vie étais splendide.
Le travail, la semaine on ne fumait pas, on se gardais le vendredi soir pour ça.
En rentrant chez lui une fois, il c'est fait attrapé par c'est parents ( C'est en autre a cause de cela qui a du déménager...)
Comme on pouvait ce voir uniquement quand c'est parents n'étais pas là , j'ai fumer seul chez moi un soir.Ce que je ne faisait jamais.
J'ai découvert une nouvelle facette des effet que cela pouvait avoir sur moi au niveau du psychisme.
La "descente" commença à partir du jour ou il est partis.
Je fumais ( chez moi seul ) le vendredi, rapidement le samedi. ( Toujours uniquement le soir. )
Mon apprentissage d'installateur sanitaire ne me plaisait plus du tout, le week-end j'ai donc vite ajouter le dimanche soir fumette a cause de *Demain c'est lundi on vas se faire chier de toute façon)
J'ai tenu comme ça jusqu’à février-mars si ce n'est pas avant..
J'étais mal au travail, je rentrais chez moi je fondais quasiment tous les soirs en larme pour divers raison, le fait que cet ami n’étais pas ne faisait que aggraver les choses.
La aussi sens vraiment m'en rendre compte j'ai commencé à fumais tous les soirs.
Tous les matins c'est la même chose... les yeux qui partent en couille, qui se ferment tous seul, je sais pas vraiment ou je suis. Tous les matins je me dis aller, se soir j'arrête, j'ai plus envie de fumer.
C'est arriver 3-4 fois que je ne fume pas le temps d'un soir.
Je voulais stopper mon apprentissage ( Que j'ai finis par stopper dieu merci )
Je mettais dis * si je fume autant il y a bien une raison..je suis pas bien, c'est certainement du fait que je fait pas le travail que je veux. ( Je voulais réellement arrêter mon apprentissage, le
cannabis n'y est pour rien.) Donc je pensais qu'une fois que j'aurais arrêter le problème se règlerais de lui même.
Mais aujourd'hui je crois qu'il est trop tard pour dire que le simple fait de ne plus travailler puisse le réglé, il étais déjà trop tard. Je ne fais que me dire j'arrête et puis le temps passe et je me dis que finalement se soir on vas s'en faire un petit...rigoler, reposer le filtrer de beauté que la vie à perdu.
Les jours se ressemble, je passe mon temps à m'emmerder, que se soit avec des amis ou chez moi...
Même eux le disent, la vie a perdu quelque chose, * on faisait quoi quand on fumais pas* ?
Eux fumais très peux, lorsque j'ai commencé à fumer ils ne fumais pas, on étais juste moi et mon meilleur ami. J'ai appris 1 ans après qu'il fumait de temps en temps.
Ces derniers temps j'ai pu voir que le consommation à bien bien augmenter, je ne suis pas h24 avec eux, mais j'écoute tous ce qu'ils peuvent dire lorsqu'on est ensemble, mais je vois bien qu'ils fument beaucoup et de plus en plus souvent.
Quand je suis avec eux et qu'il font tournais un
joint de temps en temps, je m'emmerde 9 fois sur 10, eux sont complètement déchirer et moi rien et très peux.
J'ai l'impression d'avoir une sorte de schizophrénie, je m'explique.
C'est vraiment très subtile, il n'y a que moi qui puisse le remarquer c'est vraiment à l'intérieur.
Certaines situations font ressortir leur propre personnalité, je peux "sentir" le plaisir de l'instant présent que lorsque qu'il est passé et que je m'en souviens. Autrement c'est cette entité qui est la sur le coup qui le ressent, qui prend les décision. Je le sent mais je ne peux rien y faire car elle est ou bien je suis tellement présent que ça point. Sa va pas chercher plus loin.
Je sais pas pourquoi je vous racontes tous ça... en ai-je seulement besoin?
Je pense pas être dans le meilleur environnement familiale non plus. Mes deux parents vivent ensemble bien qu'ils soient divorcé, tout deux cultivent du
cannabis et en fument depuis bel et bel lurette. Mon frère quant à lui a un réel problème avec le
cannabis il me l'as dit lui même, il ne supporte pas ça. Il jour il m'as dis "J'ai déjà perdu papa et maman, je te perdrais pas toi" Dans m'as tête j'ai entendu "C'est trop tard...*
En principe j'arrive très très facilement a me mettre a la place de quelqu'un ( un exemple bidon genre dans un débat, je suis pour mon idée mais je comprends tout a fait ton idée, j'irais même jusqu'a la défendre) J'ai l'impression de subir en quelque sorte, je vis l'instant de tel ou tel façon si je suis sous tel ou tel facette de mon esprit voilà . J'ai aussi remarquer que je m'énerve de plus en plus rapidement.
Il m'est également arriver 2 soirs, de ne pas avoir pu fumer alors que je m’étais justement dis que je fumerais. Je tournais en rond, n'arrivais pas a dormir, retourner toute la maison pour trouver un fond?..
Par contre le matin, tu te lèves bien tu pars *léger* au boulot tu penses positive t'es bien etc.
Vous voyez un peux mieux le coté du je sens mieux sous l'instant?
Je me vois pas vraiment arrêter complètement de fumer plus tard, mais je sais aussi que si je laisse les choses coulée et me dire que ça finira par ce tasser et prendre tous seul une sorte de bonne tournure c'est pas possible.
Je sais pas non plus si je suis vraiment accro, du fais que j'arrive a me dire ( quand je fume avec mes amis ) non ou a * passer mon tour *. Mais quand je vois comment j'ai réagis les 2 fameux soirs...
*Dans ton miroir tu vois parfois ton pire ennemis* L'expression prend tout son sens non?
Voilà voilà ..je crois avoir fait le tour, merci d'avoir pris le temps de tout lire.
Dernière modification par choctote (01 juin 2013 à 18:40)