Besoin de témoignages

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StupeTho homme
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Bonjour tous le monde !

Avant tous ceci est mon premier message et je tenais quand même a expliquer le pourquoi de ma venue.

Il ya maintenant a peu près deux mois, lors du Teknival a Cambrai, j'ai prit pour la deuxième fois(je précise bien deuxième fois) de LSD, j'en avais prit pour la première fois je dirais 2mois auparavant, lors de cette première fois, super trip je n'avais jamais connu ça auparavant, vraiment cette impression de redécouvrir le monde sous une vision différente, tout avais une vie, de super hallu vraiment génial, je me suis tous de suite dis quand j'en reprendrais en temps voulu!

Voilà  donc l'arrivez du Teknival(qui étais mon 3ème) début de la soirée, on cherche on cherche mais on trouve rien, on va voir des anglais et oh un peu de keta ça fait pas de mal.. donc j'en prend une trace et je me motive a aller devant un mur, et je croise quelqu'un qui crie

"Goutte, goutte !"

Moi comme un petit lapin j'y cours et je lui en achète donc une.
Pendant la nuit je ne m'étais pas vraiment rendu compte, a vrai dire je ne pensais pas être sous lsd mais plus sous keta vu que le son étais différent mais kiffant! Et c'est a l'arriver du jours que j'ai tous de suite compris que j'étais bel et bien sous lsd, l'herbe au sol je la voyais floue, quand je regardais les gens j'avais l'impression qu'il savait, j'aurais pu discerner qui étais sous lsd comme moi ou pas, je souriais pour tout et n'importe quoi, enfin comme la première fois, les hallu en moin puissant mais le son étais toujours aussi bon, l'impression de faire qu'un avec.
Donc les heures passent tous va bien, je vais prendre une bière a ma voiture et j'y retourne.
Et bien a ma première gorgée, un effet sonore dans ma tête que je n'avais jamais entendu (une sorte de VOUUUUUUMMM) mon coeur s'est mis a s'emballer, j'entendais plus très bien le son ni les gens me parler, comme si on m'avais mis des bouches à  oreilles, je n'allais pas bien, je demande a mon pote si il pouvait me raccompagner a la voiture en prétextant que je voulais dormir, il était lui aussi sous goutte et ne comprenait pas, ça ne me ressemblait pas, je le voyais a sa tête il commencais a s'inquièter et a ce moment là  je me suis dis CALME TOI et je me le suis répétée a haute vois une 15aine de fois sans vraiment le vouloir (comme si je n'avais pas décider le répéter 15fois) des potes qui étais la aussi mais n'en n'avaient pas pris, me rammène, et pendant le trajet, si je ne parlais pas le son se diformer et devenais presque sourd j'entendais juste les basses, et quand je parlais a mes amis, comme un retour a la réalité, le son devenait plus clair, plus aigue, et ça retomber quand je ne parlais plus, un vas et viens constant, flippant. J'entendais les gens "regarde lui il est trop percher""olala il a l'air fonsder lui" bref je partais en bad..
Arriver a la voiture impossible de dormir, je buvais de l'eau pour me faire pisser et essayer d'évacuer, mais pas possible de pisser, tellement de voiture dérrière j'avais peur quond me voit (alors que d'habitude je m'en fiche complètement) je psychotais parce que je n'y arrivais pas, j'ai du rester bien une heure la **** a l'air avant d'arriver a lacher la goutte. Bref je m'endors et le lendemain tous revient dans l'ordre..

Je me suis promis de ne jamais reprendre de LSD afin de ne plus jamais avoir cette sensation, chose que j'ai fais mais voilà  ;

1mois plus tard je retourne en free party, avec la ferme intention de ne pas prendre de drogues tous court, finalement je craque et je prend de la MDMA en trace (j'en avais déjà  prit a mainte reprise avant) elle monte, elle monte pas, bref la  soirée commencais mal, et tous d'un coup là  encore je ne sais absolument pas pourquoi, la même sensation que sous le bad trip de LSD, le son qui se voile, des hallucination alors que j'étais sous MDMA (jamais eu ça auparavant) le coeur qui s'emballe, bafouillage, je repartais en bad et je psychotais comme pas possible. Un de mes pote me rammène chez moi sur ma demande(la teuf étais a 10mn) bref je m'endors, et le lendemain je me sentais encore flasque, mais bon après la prise de drogue c'étais normal, je me décide de sortir prendre l'air, je passe devant une église, et c'étais une heure pile, et je l'entendais résonner sans fin, je l'entendais constamment dans ma tête, j'ai même courru loin tellement ça me faisais peur, et mon coeur qui se remettais a s'emballer, dans ma tête je me suis tous de suite dis "il m'arrive quoi là ?" et depuis ce jours, une impression de ne pas être vraiment descendu, sensation d'irréealité, vision floutée, tremblement, angoisses, psychose, difficulté a sortir dehors (le décor m'opresse) cela fait maintenant 1 mois que c'est comme ça et aujourd'hui même ou je post je reviens d'un rdv chez un psy spécialisé, qui ma donner un prospectus de votre site, et ma conseiller d'en parler avec vous, de voir les témoignages et les expériences des autres, et surtout de parler et ne pas rester seul..

Alors voilà  vous savez tous sur le pourquoi du comment, je voudrais donc savoir qui a un peu près ressentis les même choses que moi, et surtout comment a t'il fait pour se sentir mieux et guérir

PS ; désolé pour le "Fabrication" en haut de mon post, erreur de ma part!

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filousky homme
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Bienvenue, tu as bien été conseillé. Bon endroit pour partager ses expériences et vécus et surtout y trouver des solutions parfois jamais imaginées auparavant.

Sinon, pour ton erreur de "catégorie" je peux changer pour toi et choisir : "expériences" ou "effets".
Réponds simple et je le fais.

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Si tu pisses contre le vent, tu vas mouiller tes sandales !

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StupeTho homme
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Bien sur tu peux le faire ^^

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sphax
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Salut stupe tho , je ne vais pas vraiment pouvoir t'aider car je  n'ai jamais ressentit ce que tu racontes sous LSD...

peut être à  ta dernière teuf tu a fait une remonté d'acide , autrement pour le reste cela me fait penser a cette discutions

>>>MDMA effet permanent<<<



j’espère que cela pourra t'aider en attendant des info des autre forumeur

;p sphax

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prescripteur homme
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Bonjour,
Je pense que c'est apparenté aux flashback typique du LSD  (voir collé en fin de message)
Ce sont des expériences hallucinatoires à  distance de la conso de LSD, en général dans les jours qui suivent mais aussi à  distance temporelle plus lointaine.
Ils peuvent etre déclenchés par l'alcool, le cannabis, le stress, la caféine ou le manque de sommeil (je cite le texte) , donc par la MDMA ce ne serait pas étonnant.

Toutefois le caractère permanent n'est pas typique du flashback. Mais il y a un témoignage sur un effet prolongé (voir adresse ci dessous). Je recherche plus..
http://www.erowid.org/experiences/exp.php?ID=70126
Par contre cela ressemblerait aaez à  un syndrome serotoninergique, prends tu des Antidepresseurs, du Tramadol, du DXM, des antimigraineux ?? Tu peux essayer la periactine qui n'est pas très violente mais qui est indiquée dans ce cas. Parles en à  ton médecin.
Voila d'autres références la dessus.
http://www.ecstasy.org/info/karl.html
http://www.bluelight.ru/vb/archive/inde … 0ea106524f

je rappelle sur le syndrome serotoninergique (c'est en français)
http://www.psychoactif.org/forum/viewtopic.php?id=7216

Enfin l'article ci dessous suggère que certains dealers mettent des produits de coupe très serotoninergiques avec le MDMA, pour simuler l'effet du MDMA ou autre
http://www.erowid.org/references/refs_v … artID=6424
Amicalement


http://en.wikipedia.org/wiki/Lysergic_acid_diethylamide
Flashbacks and HPPD
See also: Flashback (psychology)

"Flashbacks" are a reported psychological phenomenon in which an individual experiences an episode of some of LSD's subjective effects long after the drug has worn off, usually in the days after typical doses. In some rarer cases, flashbacks have lasted longer, but are generally short-lived and mild compared to the actual LSD "trip". Flashbacks can incorporate both positive and negative aspects of LSD trips, and are typically elicited by triggers such as alcohol or cannabis use, stress, caffeine, or sleepiness. Flashbacks have proven difficult to study and are no longer officially recognized as a psychiatric syndrome. However, colloquial usage of the term persists and usually refers to any drug-free experience reminiscent of psychedelic drug effects, with the typical connotation that the episodes are of short duration.

No definitive explanation is currently available for these experiences. Any attempt at explanation must reflect several observations: first, over 70 percent of LSD users claim never to have "flashed back"; second, the phenomenon does appear linked with LSD use, though a causal connection has not been established; and third, a higher proportion of psychiatric patients report flashbacks than other users.[57] Several studies have tried to determine how likely a user of LSD, not suffering from known psychiatric conditions, is to experience flashbacks. The larger studies include Blumenfeld's in 1971[58] and Naditch and Fenwick's in 1977,[59] which arrived at figures of 20% and 28%, respectively.

Although flashbacks themselves are not recognized as a medical syndrome, there is a recognized syndrome called Hallucinogen Persisting Perception Disorder (HPPD) in which LSD-like visual changes are not temporary and brief, as they are in flashbacks, but instead are persistent, and cause clinically significant impairment or distress. The syndrome is a DSM-IV diagnosis. Several scientific journal articles have described the disorder.[60]

HPPD differs from flashbacks in that it is persistent and apparently entirely visual (although mood and anxiety disorders are sometimes diagnosed in the same individuals). A recent review suggests that HPPD (as defined in the DSM-IV) is rare and affects only a distinctly vulnerable subpopulation of users.[61] However, it is possible that the prevalence of HPPD is underestimated because most of the diagnoses are applied to people who are willing to admit to their health care practitioner that they have previously used psychotropics, and presumably many people are reluctant to admit this.[62]

There is no consensus regarding the nature and causes of HPPD (or flashbacks). A study of 44 HPPD subjects who had previously ingested LSD showed EEG abnormalities.[63] Given that some symptoms have environmental triggers, it may represent a failure to adjust visual processing to changing environmental conditions. There are no explanations for why only some individuals develop HPPD. Explanations in terms of LSD physically remaining in the body for months or years after consumption have been discounted by experimental evidence.[57] Some say HPPD is a manifestation of post-traumatic stress disorder, not related to the direct action of LSD on brain chemistry, and varies according to the susceptibility of the individual to the disorder. Many emotionally intense experiences can lead to flashbacks when a person is reminded acutely of the original experience. However, not all published case reports of HPPD appear to describe an anxious hyper-vigilant state reminiscent of post-traumatic stress disorder. Instead, some cases appear to involve only visual symptoms.[57]

Dernière modification par prescripteur (04 juillet 2013 à  09:03)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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prescripteur homme
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La traduction en français d'un texte de drugs-forum (faite par un utilisateur francophone du forum).
Est ce que cela te dit quelques chose ??
Amicalement

Trouble de la perception : Persistance des Hallucinations.

Le Syndrome Post Hallucinatoire Persistant ( HPPD en anglais.) est un trouble de la perception caractérisez par la présence continuelle de perturbations visuelles similaires à  celles produites par l’ingestion de substances hallucinogènes. L’utilisations d’hallucinogènes avant le déclenchement du désordre est nécessaire au diagnostique quoique non suffisant pour le validé.
Aucun autre trouble mental ne peut être assimilé au diagnostique du SPHP. Le SPHP est distinct des phénomènes de flashback par sa relative permanence, alors que les flashback sont éphémères, le SPHP est persistant. Le code diagnostique DSM-IV du SPHP est le 292.89.

Symptômes :

Ils y a de nombreux changement de la perception qui accompagne le SPHP. Les symptômes typiques sont : halo entourant les objets, trainées lumineuse suivant les objets en mouvement, difficultés à  distinguer les couleurs, changements de texture des objets, illusion du mouvement dans un cadre statique, neige visuelle, altérations dans les dimensions et une conscience indécises renforcé.
Les altérations visuelles expérimentées par les patients atteint de SPHP ne sont pas homogènes, tant par leurs teneurs, intensité, et leurs nombres.
Les aberrations visuelles sont courante chez les individus « sains », par exemple, persistance rétinienne après avoir fixé le soleil, tache de lumières dans une pièce obscure. Cependant chez les patient atteint de SPHP les symptômes sont si prononcés que l’individu ne peut les ignorer.
Le SPHP crée de nouvelles altérations visuelles, il n’augmente pas uniquement celles déjà  présentes.

Il est important de préciser que ces visuels ne constitue pas de réelles hallucinations dans le sens clinique du terme, puisque les patients les reconnaissent en tant qu’illusion, elles sont non psychotique et ils sont habilités à  déterminer ce qui est réel ou non ( contrairement au patient atteint de schizophrénie ).

Fréquence des SPHP.

On ne sait pas réellement comment les patient développe ce trouble.
Dans leurs articles, J.Halper et P.Harrison écrivent : « les données ne nous permettent pas d’évaluer, même approximativement, la fréquence des SPHP. » Ils ont notés qu’ils ne l’avaient pas rencontré dans leurs évaluations de 500 membres de l’Eglise Santo Daïme qui avaient consommés au moins 100 fois du cactus peytol.

Dans une présentation de résultats préliminaires Matthieu Baggott et ses collaborateurs de Berkeley ont constaté que des symptômes de SPHP-like sont arrivés à  4,1% des participants ( 107 sur 2679 ) dans une enquête basée sur le web d’utilisateurs d’hallucinogènes.
Ces personnes ont reportés des problèmes visuels après l’utilisations de drogues qui étaient assez sérieux pour qu’ils envisagent l’aide du corps médical.

Ce chiffre surestime surement la fréquence des SPHP puisque les auteurs pourraient avoir été intéressés par l’achèvements du questionnaire. Les auteurs ont mentionné que 16,192 personnes ont vu le questionnaire sans le compléter entièrement.
Si toutes ces personnes ont utilisées des hallucinogènes sans développer de SPHP, le chiffre tombe a 0,66%. Ces personnes n’ont pas été formellement diagnostiqué physiquement par un professionnel ( leurs troubles visuels pourraient avoir diverses origines ) mais ce nombre peut fournir un seuil plus raisonnable de fréquence des SPHP.

Il est possible que la fréquence des SPHP est été sous-estimée par les autorités car beaucoup des personnes ayant des problèmes visuels se rapportant a l’utilisations de drogue ne sont pas traiter ou ne reconnaissent pas l’utilisations des hallucinogènes.
Dans l’étude de Baggott, seul 16 des 107 personnes avec SPHP possible avaient cherchés de l’aide, et 2 avaient été diagnostiquer SPHP.
Ainsi il se peut que ces troubles soit rarement détectés par le système de santé.

Causes :

On ne connaît pas encore la cause des SPHP. Il est très clair que la plupart des utilisateurs d’hallucinogène ne développent pas de SPHP. Cela suggère qu’il puisse y avoir un petit sous-ensemble d’individu avec un terrain favorable à  facteur inconnu.
Il est possible que le trouble puisse avoir des composantes tant neurologique que psychologique avec les contributions des deux aspects au cas par cas.
Les dernières recherche montre que les symptômes de SPHP sont causées par des anomalies dans la fonction CNS et n’ont aucune origine rétinienne.

Certains ont suggéré que le SPHP peut être semblable à  un désordre de stress post traumatique qui implique la reviviscence d’expérience désagréable vécu par le passé. Cependant plusieurs cas de SPHP ne mentionne pas de « bad trip » avant le début des symptômes. De plus un certains nombres de médicament psychiatrique se sont relevés causer des symptômes similaire, cela semble suggérer que le SPHP n’est pas relaté a une mauvaise expérience mais à  un mécanisme pharmacologique ou neurologique inconnu.

Une autre théorie est que le SPHP induit une hyper sensibilité aux phénomènes visuels ordinaire qui existent chez tous le monde, mais qui sont normalement ignoré. Sous cette interprétations le trouble transforme les effets de la perception du monde en détresse. [Pas sûr de la trad. !!!] C’est pourquoi certains ont soutenu qu’il fallait considérer le SPHP comme une « désinhibition du traitement visuel ».
Cependant cette théorie n’explique pas les simili-symptômes chez les sujets sains ( trainé de lumières, etc…).
Beaucoup de patient indique qu’ils n’avaient vécu aucun phénomènes visuel avant le déclenchement de la SPHP.
Dans quelques cas , il semble que le trouble est eu un début soudain après une expérience d’utilisations de drogues, suggérant que la substance ai joué un rôle direct dans le déclenchement des symptômes. Dans d’autres cas, l’augmentation des symptômes est graduelle a la suite d’une consommation.
Les substances qui y ont été associés incluent : LSD, 2C-I, 5-meo-DIPT, MDMA, psilocybine, mescaline ; scopolamine, et l’utilisation de haute dose de DXM.

Problèmes coexistant :

Les problèmes visuels induit par les SPHP peuvent être le résultat d’autres maladies mentales.
De ceux ci les plus en vus sont l’anxiété, les attaques de panique, la dépersonnalisation, la dépression.
Dans l’échantillon de Baggott, les utilisateurs d’hallucinogènes avec persistance des problèmes visuels majeurs allaient plus probablement annoncer des diagnostique de dépression que chez les utilisateurs d’hallucinogènes sans problèmes visuels sérieux.
Par exemple, 25,9% d’utilisateurs d’hallucinogène avec des problèmes visuels ont annoncé le diagnostique présent ou passé de dépression. Alors qu’il est difficile ( voir impossible ) d’établir une relation claire entre les symptômes visuels et mentaux, les patients atteint eux témoignent souvent qu’une connexion existe. L’anxiété renforcer la persistance des images, et vice versa.
Cependant il y aurait des cas de SPHP ou aucun autre désordre ne coexiste.

Traitement :

Il n’y a aucun remède disponible pour les SPHP.
Les traitement principaux cherchent à  réduire les symptômes et la détresse sans traiter les causes sous jacentes. Benzodiazepines, incluant clonazepam, diazepam, alprazolam sont prescrit avec un certains succès.
Certains médicament ont été contre indiquées sur la base de leurs effets sur les SPHP.
Le neuroleptique Risperidone est connu pour induire des symptômes proches des SPHP lors du traitement chez certaines personnes.

On conseille souvent aux patient atteint de cesser toute utilisations de drogues, qui augmente souvent les visions sur le court terme. Il y a aussi des facteurs moins concrets qui peuvent augmenter les symptômes, comme la privation de sommeil et le stress. Cependant aucune études sérieuse n’a été publié a ce sujet.

Il n’y a aucun temps universel de rétablissement. Les effets psychologiques défavorable des SPHP ( désordre, conscience indécise ) diminuent plus rapidement que les altérations visuels. Le rétablissement peut être facilité par une accoutumance psychologique aux visuels. Le patient ne réagissant plus négativement à  leurs égards.
Les conséquences délétères des visuels peuvent donc être réduit sans pour autant guérir le SPHP.

Il n’y a actuellement que peu d’informations fiable sur les personnes ayant récupérer complètement de SPHP . Il n’y aucun rapport de retour complet a une perception « normale ». Le petit nombre de cas étudiés et détaillé rendent difficile l’analyse sur les conditions de guérisons.

Autres désordres avec symptômes similaires :

Il faut souligner que des individus sans SPHP noteront parfois des anomalies visuelles. Celles ci incluent des objets flottant dans le champ visuel, en tant qu’objet foncé, particulièrement évident en regardant le soleil, ou un mur blanc. De même, les lumières dans un environnement sombre peuvent se munir d’un halo, ou de trainées. La plupart des personnes ne noteront pas ces effets car ils y sont habitués.
Une personne craintive d’avoir une SPHP sera surement beaucoup plus sensible a n’importe qu’elle perturbation visuelle, même si elle n’est pas atteinte.
En outre, des problèmes visuels peuvent être provoqués par des infections ou des lésions du cerveau ( par ex : démence, schizophrénie, maladie de Parkinson…). Pour qu’un individu soit diagnostiquer SPHP, ces causes potentielles doivent être écartés.

Read more: http://www.drugs-forum.com/forum/group. … z2Y3gp4Y1n

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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StupeTho homme
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Bonjour,

Non je ne prend pas de médicaments, et j'aimerais m'en sortir sans, par peur de ne me sentir bien qu'avec et du coup en prendre constament, ce que tu décris me ressemble un peu, en effet quand je regarde les arbres par exemple, les feuilles brillent aux soleil, alors que la nuit non, donc ça me parait normal, mais en pleine journée il est vrai que je vois le décor floue, et certain objet illuminés (sans pour autant que ce soit flippant) j'ai été chez l'ophtalmo et il ma diagnosticé un défaut de convergence qui peuvent provoquer cette vision floue, vertiges et maux de tête, chose que je ne faisais peut être pas attention auparavant. Mentalement je me sens bien, je discerne tous à  fait ce qui est réel ou non, je n'ai pas d'hallucinations, parfois une sensation de vision double surment du a mon problèmes aux niveau des yeux cités plus haut. J'ai été un centre de soin et de prévention, leur disant que j'avais la sensation de tremblement et coeur qui bat vite constament, après prise de tension et du pou, il s'est averrer que tous est normal plus ça va plus je me dis que tous ça est dans ma tête, que je me faisais du soucis pour rien, que le bad trip ma marquer mais au prenant du recul, ce qui me faisait peur c'est de retrouver cette sensation du décor qui se renferme sur moi, mais en me disant que je n'ai rien pris, que je ne fume plus, il n'y a pas de raisons que ça arrive..

Il est vrai que quand je fumais du cannabis, cette sensation revenait immédiatement (vu qu'avant de couler une douille ou de fumer un joint je me demander si ça allait me le refaire, evidemment a y penser ça arrivais.) Après tout j'a fais un premier bad sous LSD et je m'en suis remis le lendemain, c'est le fait d'en faire un deuxième qui ma surment dérenger, mon psy ma demander de faire une liste de choses a faire sur deux semaines, avec comme conditions de sortir tous les jours avec une personne qui m'est cher, que cela m'aiderait beaucoup, qu'en pensez vous ?

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prescripteur homme
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Bonjour,
En effet, beaucoup d'articles semblent indiquer que les effets que tu décris sont en partie dus aux effets durables du produit et en partie dus à  une déstabilisation produite à  un moment par le produit.
Tu as donc bien fait de consulter et ton psychiatre semble très compétent (ne serait ce que le conseil de te renseigner sur ce site au lieu de prétendre tout savoir), donc tu peux suivre ses instructions sans inquietude.
Amicalement

Dernière modification par prescripteur (04 juillet 2013 à  16:40)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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bighorsse femme
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le texte trouble de la perception me parait très indécis, parfois même incompréhensible ! qu'est ce qu"une conscience indécise"???
il dit que le syndrome est indépendant de tout autre trouble, mais plus loin dit le contraire...
ce texte est vraiment pas scientifique et ne permet pas de bien comprendre de quoi il s'agit!

que les hallucinogènes apportent dans un second temps des expériences de réalités modifiées parait être assez logique; quand on ouvre les portes de la perception, celle ci se trouve par la suite enrichie de nouvelles données non présentes chez les gens n'ayant jamais pris ce genre de produit

l angoisse est le vertige de la liberté

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bighorsse femme
Banni
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stuptho
il me semble que ta deuxieme prise ne correspond pas à  du LSD; les effets décrits ne collent pas du tout avec ça mais plutot avec une sorte de MDMA ; le LSD est bcp plus visuel que ce que tu décris
les effets à  plus long terme des RC sont plus prégnants; plus longs que ceux du vrai LSD

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StupeTho homme
Nouveau membre
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Je t'assure que j'étais bel et bien sous LSD, simple raison ; Lors de ma première prises je voyais les particules sonores que dégageais les caissons "A chaque boum boum" je voyais des particules que je ne pourrais pas vraiment décrire, c'étais des hallu. Deuxième prises, exactement pareille! Au loin dans les décors des sound systems, il y avait une machoire, sous LSD je la voyais se ferme et se réeouvrir, le lendemain elle ne bougeait plus, j'avais des hallu, moin puissantes mais présentes. (Et surtout cette sensation que le visage des gens est déformer x))

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1joker homme
Nouveau Psycho
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Salut je ne pense vraiment pas que c'était du lsd as tu eu des forte hallucinations genre le baffle qui te parle des copain qui ce transforme en monstre ou animal ? Car des particule sortir des baffle c'est très léger pour du lsd par contre le boum dans ta tête certainement un brainzapp mais je ne pense vraiment pas au lsd surtout ta première fois dans un festival c'est un peu dangereux pour une première enfin c'est ce que moi je pense ! Bien à  toi

Le temps est un grand maître mais dommage qu'il fini toujours par tuer c'est élèves !

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StupeTho homme
Nouveau membre
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15 messages
Je ne pense pas que ce soit un brainzap ; je ne ressens pas de décharge au moment du coucher ou quoi que ce soit, ni d'ailleur au moment de la perche, quand je te dis un VOUUMM c'est qu'a ce moment là  le décor se renfermer sur moi, mes yeux divaguais (ne savaient plus ou regarder, je louchais sans le vouloir) quand j'essayais de parler ma bouche avait du mal a s'ouvrir et je bafouillais/bavais et j'avais des bug (le fait de me repéter 15 fois "calme toi" a voix haute avec un geste de main qui faisait un va vien, ca fait flipper) mais si ce n'étais pas de LSD (je suis persuader que si, j'avais les meme sensation que lors de ma première prise qui elle étais très visuel, tag en 3d, sur le visu une tornade qui s'avancais vers moi, un dragon psyché qui crachais du feu, et une tonne que j'ai oublier) alors qu'est ce que c'étais ? Un dériver ? Ceci explique peut etre mon bad trip? Car j'ai tester dans ma vie plus d'une drogue (md a la coke, coke a la keta, la cc basé les exta le pcp) et je n'avais jamais eu de bad trip, pareil sur la fumette, aucun bad trip, il m'est deja arriver d'avoir de mauvaise perche (énervé, fatigué, ou meme plus me souvenir de la soirée) mais en aucun cas j'avais eu une sensation de perdre le controle et de vide ou meme de bafouiller et d'avoir le coeur qui bat puissance 1000. Plusieurs témoignages de bad trip a lsd montre les meme symptomes que moi, Psychoses, angoisses, peur de l'extérieur, dépression et parfois la sensation de ne pas être moi même (de me parler a la troisieme personne en gros) et je me pose beaucoup plus de questions qu'avant.

Quel drogues peuvent provoquer ces sequelles après un mauvais trip?

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mikykeupon homme
Modérateur à la retraite
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9631 messages

StupeTho a écrit

Quel drogues peuvent provoquer ces sequelles après un mauvais trip?

Bien déjà  tous les hallucinogènes : keta, lsd, certains rc... ; du bon MD aussi.

Et ce n'est pas parce-que ça ne t'ai jamais arrivé auparavant, que ça ne peut pas être un produit que t as souvent consommer.

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StupeTho homme
Nouveau membre
Inscrit le 03 Jul 2013
15 messages
Bonsoir je reviens encore pour vous posez une petites question encore ;

Mon Psy m'a dit que si je n'arrivais pas a m'en remettre (de mon bad-trip) il m'enmmènerais voir un Psy plus spécialisé dans ce domaine, et qui me donnerais un traitement qui m'aiderais a "redescendre" savez vous de quel traitement il parle? J'ai toujours été très suspicieux face aux médocs, j'ai peur enfaite que si je m'en sors avec je n'arriverais pas a m'en passer peur de retomber dans le mal. Et une question a la quel on ne ma pas vraiment répondu, comment faites vous pour vous sortir d'un bad trip? Je vais mieux certes, je n'ai pas fait de crises d'angoisses depuis un bon moment, mais je reste assez anxieu, et quand je suis dehors je ne me sens pas vraiment alaise et j'ai surtout peur de ne pas être remis pour le commencement d'un nouveau bac pro en septembre. Merci de votre aide

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sphax
modérateur à la retraite
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3806 messages
sortir d un bad sous LSD ne doit pas forcément être facil  (j en ai jamais eu ) mais on ma toujours dis, c est peut être une légende, que le contacte physique et très important pour aider quelqu'un en bad sous LSD ça aide a lui faire prendre conscience de la réalité d'après ce que l on m as expliqué ...

Autrement je me suis deja fait mordre par un pote alors qu il était totalement en bad sous champis , on l a attrapé secouer un bon coup et ensuite mis sous une douche tiède (a l origine il était sous une douche froide), puis on est résté avec lui en lui parlant et le forcent a nous répondre jusqu'a ce que ce soit passé . On lui parlais de bon tripe souvenir que l'on a en commun pour le faire penser a autre chose que son bad et ca fonction assez bien.

c'est dans ce genre de situation que l on apprécie d avoir des personnes qui ne prennent rien autour de nous

;p sphax

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ZombyWoof homme
Psycho sénior
Inscrit le 30 May 2013
685 messages
Faut absolument que je teste un acide du XXIème siècle, ça a l'air bien différent de ceux que j'ai pris pendant 35 ans.
Des centaines de trips, et jamais de bad; Je vais dire quelque chose de stupide mais vérifié: Pas de meilleur moyen d'avoir le vertige ou le mal de mer que d'en avoir entendu parler ou savoir que ça existe.

J'ai toujours pris du LSD pour m'éclater, même seul, et je n'ai que de bonnes expériences!

Papy buvard.

"SOLA DOSIS FACIT VENENUM." Paracelse
(Seule la quantité fait le poison).
--------------------------------------------
Ex "hard-droguiste"  wink

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sphax
modérateur à la retraite
Inscrit le 07 Nov 2011
3806 messages
pareil pour moi avec le LSD , mais le bad existe et si tu y pense lord de ta monté je pense que tu va y avoir le droit ...
après du LSD ça reste du LSD que ce soit maintenant ou au siècle précédent

;p sphax

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ZombyWoof homme
Psycho sénior
Inscrit le 30 May 2013
685 messages
Va falloir que je fasse un test comparatif, si je trouve quelqu'un branché là  dedans..

"SOLA DOSIS FACIT VENENUM." Paracelse
(Seule la quantité fait le poison).
--------------------------------------------
Ex "hard-droguiste"  wink

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StupeTho homme
Nouveau membre
Inscrit le 03 Jul 2013
15 messages
Merci de vos réponses mais je ne parle du bad pendant mais après, entre nous, en gros, j'ai des séquelles psychologique, rien au niveau physique, je me sens super mal quand je vais dehors, quand je regarde autour de moi j'ai l'impression que ça bouge constamment, et a force d'y penser j'ai parfois le coeur qui commence a s'accélerer, j'ai la peur de retomber dans une crises d'angoisses et là  boum ça revient... quand je parle de crises d'angoisses c'est que je ressens la meme sensation que le bad trip que j'ai fais, enfaite j'ai peur constamment que ça revienne, je sais que si je n'y penserais pas ça n'arriverais pas, mais j'y pense tous le temps .. et en me disant d'arrêter d'y penser, et bah c'est que j'y pense. c'est vraiment complèxe comme situation. Je ne sors plus ou très peu, m'acheter des clopes,rdv chez le psy et voir des amis occasionnellement il n'y que quand je suis chez moi que je me sens alaise le décor ne "m'opresse pas" je me dis que je devrais vaincre le mal par le mal, c'est à  dire sortir mais c''est vraiment pas chose facile

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Ricoson homme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 28 Jun 2012
1820 messages
Bonjour DtupeTho.

Je ne saurai quoi te dire ni quoi te conseiller, a part changer peut etre de Thérapeute.

Le Bad trip a toujours été pour ma part (je parle d'il y a 40an) le risque du LSD et la rumeur du "ceux qui ne redescendait jamais" planait sans que nous n'en ayons jamais vu la nature.
Les LSD était pour nous unique, (nous ne connaissions que le cannabis), extraordinaire, et nous avions inventé la réalité déformée.... On s'amusait comme des "fous" et le grand jeux était de faire flipper l'autre.

Il y a eu quelque Bad trip, mais ce n'a jamais duré très longtemps pour ma part et pas tellement plus pour les copains.

Nous avons arrêté d'en prendre, car le produit disparaissait, et nous nous branchions sur d'autres horizons.
Seul restait l'alcool et le cannabis. J'en ais garder un très bon souvenir, mais moi aussi, j'avais l'impression de mettre "grisé" genre le périphérique en moto a fond les balais la nuit et d'avoir eu un peu de chance, car c'était risqué" de trop y jouer.

Après, j'ai vu des reportages qui montraient des vieux Hippies qui parlaient aux feux rouges des heure et qui n'étaient jamais redescendu. De la rumeur au reportage, ce n'"est apparemment pas ton cas. Et c'est tant mieux.

La question maintenant, comme avec tous les produits, le cannabis y compris, c'est que quand on ressent ce que tu ressent et qui semble venir de ce BadTrip, on ne sait plus qui a fait l’œuf ou la poule.

Désolé pour mon discours a 100 balles, mais, je ne sais pas quoi te répondre de mieux. Je le fait parce que j'aimerai bien arriver a te donner des idées, et que remonte aussi a la surface du passé lointain des souvenirs juvéniles, mais la Thérapie est nécessaire, et je ne suis pas thérapeute. J'en ai juste consommé beaucoup.
Il faut peut être aller au de la du Badtrip et chercher le pourquoi d'une angoisse que le Badtrip aurait révélé.

Je me doute que ma réponse n'est pas satisfaisante, mais les articles et propos de "prescripteur" semblent une réponse bien plus factuelle que ma phsycho a deux balles.

RicoSon.

Dernière modification par Ricoson (03 août 2013 à  07:35)


Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!

La majorité des imbéciles reste invincible et satisfaite en toute circonstance. La terreur provoquée par leur tyrannie se dissipe simplement par leur divertissement et leur inconséquence.

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