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Dernière modification par Irene_Adler (25 janvier 2014 à 16:13)
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Dernière modification par mortfine (26 janvier 2014 à 12:59)
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Effectivement, le coup des amis qui sortent difficilement (voire pas du tout) sans prendre quelque chose, j'y reconnais beaucoup de potes, beaucoup de sensations. Il m'est arrivé de m'ennuyer à une soirée, de réaliser que je n'ai rien le lendemain, et de finir par chercher des yeux quelqu'un de défoncé pour trouver de la drogue alors que ce n'était pas du tout prévu et que j'aurais pu faire les deux choses que j'aurais faites avant: aller ailleurs ou rentrer :rallyes:
C'est l'aspect traitre de cette drogue. Elle apparait vite pour ses consommateurs comme un élément essentiel pour passer une bonne soirée.
Hier, j'étais à une soirée hardtek et trance, j'ai bu quelque bière, sans proder, mais j'ai passé une putain de soirée et les artistes ont envoyé du lourd. Par contre, à 5h, c'est clair que je commençais à fatiguer des jambes, mais aucun regret, j'ai passé une bonne soirée!
En tout cas comme tu dis, y'a pas de regret à avoir connu ça, ça a pu te faire découvrir certaines choses, en comprendre d'autre.
Le fait que tu veuilles par toi-même stopper cet usage récréatif et que tu te rendes compte de tout ça t'aidera à apprendre à te maitriser par rapport au produit
je pense sincèrement que le pire problème d'addiction dans la MD n'est pas physique mais psychique
Tout est résumé dans le post de Morfine
N'hésite pas à continuer à en parler ou chercher des conseils si ça peut t'aider, mais tu verras déjà que si tu résistes pendant un mois, ça sera un grand pas pour toi, et ça te permettra de prendre du recul sur ta consommation passée, les gens qui en prennent autours de toi, etc...
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mortfine a écrit
je pense sincèrement que le pire problème d'addiction dans la MD n'est pas physique mais psychique
Comme Paz je suis entièrement d'accord avec toi! J'ajouterai également que j'ai l'impression que cette drogue peut être "sous-estimée" à cause du cadre festif. D'ailleurs je me souviens très bien (comme beaucoup) de mon premier taz, et ce qui m'a le plus marquée, plus encore que le fait d'avoir aimé ça, c'est la puissance du produit. Le fait d'être à côté de mes pompes avec seulement un quart de taz, les litres de transpiration, le goût des clopes, le besoin de danser, l'énorme fatigue après la descente...
ça n'engage que moi, mais entre les crises de parano et tout ce que j'ai déjà décrit, je paie trop cher les quelques heures de magie. J'ai l'émail sensible et je pèse 46kg, je ne sais pas si ça compte réellement mais ça ne doit pas jouer en ma faveur
Je suis contente d'en parler avec vous car mes amis consommateurs accueillent ma décision d'arrêter avec joie mais aussi avec étonnement, étant une de celles à en prendre le moins fréquemment et gérant plutôt bien question pas d'alcool, pas d'autres substances etc.
C'est cool de parler à des gens ayant plus de recul et surtout sans l'aspect sentimental!
Je vous dirai comment je me débrouille :)
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stella a écrit
Je pense qu'il y a des drogues qui ne nous conviennent pas et on le sait, on le sent. Je pense que c'est ce que tu as ressenti. Tu as pris conscience que tu pouvais basculer. Et si tu l'as ressenti et bien je te dirai de bien le garder en mémoire les soirs de fête.
oui, ça me semble bien résumé :)
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Dernière modification par Synapse (19 février 2014 à 22:05)
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