Selon la commission européenne, les pays membres devraient prendre en comptes dans leurs calcul du PIB, l'argent généré par la prostitution et les drogues.
En effet, même si les drogues restent illégales, et que la prostitution n'est pas encore considéré comme un emploi, il gênèrent du flux monétaire qui rentre dans les caisses de l’État.
Avec l'argent que se font les prostituéEs, ils/elles paient leurs loyer, achètent des vêtement de travail, achètent des préservatifs, lubrifiants et autre sex-toys. CertainEs paient même un impôt sur le revenu.
Les dealers s’achètent des fringues, à manger, paie aussi pour certainEs leurs loyer...
Enfin c'est tout autant d'argent qui est réinjecter dans les finances de l’État car elles sont taxé (TVA et autres taxes et impôts direct ou indirect).
Certains pays voisins le pratique déjà , comme le Pays-Bas. En 2010, ces activités souterraine ont rapporté 2,6 milliards d'euro, soit 0,4% du PIB.
L’Italie compte aussi adopter ce système, ce qui pourrait faire grimper son PIB de 10%.
Au Royaume-Unis, cela représente 1% du PIB, soit 12,3 milliards d'euro.
En France, le travail clandestin est déjà compté. Il représente 40,7 milliards €, et la contrebande de
tabac 600 millions €.
Voici les
recommandations de la commission européenne