Salut tout le monde,
Je poste très rarement, quelque soit le forum, mais je vous lis de temps en temps.
Voilà mon problème, je suis parti il y a deux ans me sevrer des benzos (entre 500 mg et 750 mg par jour de
seresta) et des
opiacés (héroine et
codéine, qui soit dit en passant reste après moultes débandades dans différents
opiacés mon préféré, même si quand on s'est retrouvé à 180 mg de métha il y a encore pas si longtemps, la codo, ou même la boîte de dihydrocodéine ne font plus grand chose).
En tous les cas, j'ai été mis sans vraiment avoir le choix sous
méthadone à l'autre bout du monde et quasiment sans aucune benzos. En gros méga
sevrage de benzos pendant que ces cons cherchaient le diagnostique psychiatrique le plus apte à définir ma psyché; et j'étais bien incapable de me défendre... Donc je me suis retrouvé aux doses maxi de
concerta (ritaline liberation prolongée) et blindé des
ad les plus forts qu'ils avaient, notamment leur fameux pristik, "dérivé" de l'
effexor, puis pour finir sous 80-100 mg de
prozac, puis encore un autre...
Tout ça pour dire qu'ils ont occulté les symptomes démoniaques de mon
sevrage et je suis pas sûr que leurs "boosters" en alternance ou en associaciant avec des
neuroleptiques qui ne me réussissent décidément pas, mais pas du tout ait aidé lors de mes
dépersonnalisations et peurs craintives qui dépassent tout ce que vous pouvez imaginer....
Du coup, j'ai déconné après pas mal de mois toujours à l'autre bout du monde...
Bref, faisons court, et venons-en à ce qui m'intéresse.
Je reprends des benzos depuis que j'ai fait un
sevrage (commencé il y a environ 4 semaines) de
morphine (700-800 mg par jour, en alternance avec de l'
héroine "blanche" et de la métha. Le tout en injection (sauf la métha). J'ai arrêté sur une dizaine de jours et j'ai reconsommé
héroine et
morphine dès la sortir durant Une bonne semaine.
Ensuite
dicodin en petite dose, sauf samedi soir (600 mg) qui ne m'on pas fait grand chose et m'ont conforté dans mon relativement nouveau dégoût pour cette substance (plus d'euphorie, juste de la défonce comateuse sans intérêt, quelque soit le dose d'ailleurs. Et ce bien sûr sans benzos que j avais arrêtés depuis longtemps)
Donc depuis samedi soir je ne prends plus d'
opiacés mais par contre entre 2.5 et 7.5 de
temesta par jour. Enfin aujourd'hui c'est 5 mg ce matin et 15 mg ce soir. PLus le
catapressan et la
doxylamine que je prend dans l'ordre pour diminuer les effets de
sevrage et dormir. a votre avis, je dois passer à autre chose genre
tranxene, pour avoir besoin de oins grosses doses, ou négocier pour ravoir du rivotril, sutout que j'ai déjà fait des crises d'épilepsie à répétition à cause du
sevrage.
Et sinon, lesquels demander pour pouvoir les injecter, car je finirai par le faire mais autant se passer le soulution avec
alcool. J'ai peur de l'addiction; mais sans ça je rechute... Et sinon pourquoi forcément
IV, l'intramusculaire ne serait pas suffisante ?
désolé pour ces questions délicates, mais je ne veux pas retomber dans l'anihilation des
opiaces et les benzos sans mon seul moyen de lutte pour l'instant. Je n'ai même personne à voir à part mon père et ma mère pour ce quelques semaines