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- suicidefestif
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- Inscrit le 09 May 2015
- 12 messages
salut
J'ai déjà lu pas mal de témoignages datant, pour la plupart, des débuts du Suboxone sur le marché.
Les avis des injecteurs étaient partagés, parfois ils n'avaient pas d'effets du tout, d'autres assuraient ne pas sentir de différence, ou presque, à leur habituel (et tant chéri!) shoot de Subutex...
Je n'ai pas encore testé , cependant j'en ai pris quelques jours en traces, en petites quantités, pour me sevrer rapidement, et mis à part le goût peu attrayant de citron, l'effet m'avait semblé assez proche de celui du Sub sniffé...
En ayant oublié quelques cachetons au fond d'un tiroir, et encore une fois légérement "accrochée" (ah....Opiaciés.....opiacés...), je me retape des traces depuis quelques jours, en quantités plus que raisonnables (1,5mg/jour environ) et j'ai comme de sales sensations par moments: bouffées de chaleur, maux de têtes, vagues nausées.
Je doute surdoser car j'attends toujours le début de chien pour retaper, je me demande donc si je dois attribuer ces symptômes à un bon vieux syndrôme ["de la pauv' pomme qui passe son hiver dans l'nord"] grippal et j'aimerais savoir si quelqu'un a la réponse scientifique claire et compréhensible à cette question:
"La Naloxone a-t-elle possibilité d'agir par voie nasale comme elle est sensée le faire en iv?"
Et comme depuis sa mise en circulation, le Suboxone a désormais dû être testé par un grand nombre d'UD, par voie sublinguale, nasale, anale, veineuse... j'aimerais des témoignages:
"Pouvez-vous nous faire part de vos expériences en détaillant tout ce qui a pu incider sur votre ressenti (antécédents, accoutumance, mélanges... etc) la voie utilisée et surtout les effets obtenus, bons ou mauvais? comme le sub, différent, moindre?"
merci, tchô
J'ai déjà lu pas mal de témoignages datant, pour la plupart, des débuts du Suboxone sur le marché.
Les avis des injecteurs étaient partagés, parfois ils n'avaient pas d'effets du tout, d'autres assuraient ne pas sentir de différence, ou presque, à leur habituel (et tant chéri!) shoot de Subutex...
Je n'ai pas encore testé , cependant j'en ai pris quelques jours en traces, en petites quantités, pour me sevrer rapidement, et mis à part le goût peu attrayant de citron, l'effet m'avait semblé assez proche de celui du Sub sniffé...
En ayant oublié quelques cachetons au fond d'un tiroir, et encore une fois légérement "accrochée" (ah....Opiaciés.....opiacés...), je me retape des traces depuis quelques jours, en quantités plus que raisonnables (1,5mg/jour environ) et j'ai comme de sales sensations par moments: bouffées de chaleur, maux de têtes, vagues nausées.
Je doute surdoser car j'attends toujours le début de chien pour retaper, je me demande donc si je dois attribuer ces symptômes à un bon vieux syndrôme ["de la pauv' pomme qui passe son hiver dans l'nord"] grippal et j'aimerais savoir si quelqu'un a la réponse scientifique claire et compréhensible à cette question:
"La Naloxone a-t-elle possibilité d'agir par voie nasale comme elle est sensée le faire en iv?"
Et comme depuis sa mise en circulation, le Suboxone a désormais dû être testé par un grand nombre d'UD, par voie sublinguale, nasale, anale, veineuse... j'aimerais des témoignages:
"Pouvez-vous nous faire part de vos expériences en détaillant tout ce qui a pu incider sur votre ressenti (antécédents, accoutumance, mélanges... etc) la voie utilisée et surtout les effets obtenus, bons ou mauvais? comme le sub, différent, moindre?"
merci, tchô
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- pierre
- Web-Administrateur
- Inscrit le 15 Sep 2006
- 17505 messages
La Naloxone n'agit pas plus en nasale qu'en IV pour la Buprenorphine. Car contrairement à l'héroïne, la Buprenorphine est attaché beaucoup plus fortement aux récepteurs opiacés que la Naloxone.
Dit autrement Tu ne peux pas avoir de manque en snifant le suboxone si tu es dépendant de la BHD.
La preuve : pour les OD à la Buprenorphine (qui sont rares mais qui existent) on ne peut pas utiliser la naloxone, car elle ne marche pas sur là Buprenorphine.
Dit autrement Tu ne peux pas avoir de manque en snifant le suboxone si tu es dépendant de la BHD.
La preuve : pour les OD à la Buprenorphine (qui sont rares mais qui existent) on ne peut pas utiliser la naloxone, car elle ne marche pas sur là Buprenorphine.
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- Snoop'
- Modératrice à la retraite
- Inscrit le 09 Jul 2012
- 2280 messages
salut,
perso, il doit y avoir de ca 2 ans et quelques, j'ai été mise sous suboxone, et je le prenais en sniff ou en sublingual (d'ailleurs je prefere le gout de citron a celui du subutex ou de la bupré, gout medoc, bof quoi)
j'ai jamais vu de difference entre subutex et suboxone (je suis maintenant sous subutex), j'ai l'impression en revenant en arriere que ca me faisait le meme effet que j'ai aujourd'hui avec le subu.......
apres, je peux pas te dire pour l'iv, etant donné qu'a l'epoque du suboxone je ne fixais pas, alors que maintenant que le suis au subutex, je le shoote, donc impossible de te donner une comparaison......
mais comme le dit pierre, si comme tu l'ecris tu prends ton suboxone quand arrive le manque, ca ne devrais pas te rendre malade, mais te soulager (laisse lui quand meme le temps d'agir hein)
amicalement,
snoop'
perso, il doit y avoir de ca 2 ans et quelques, j'ai été mise sous suboxone, et je le prenais en sniff ou en sublingual (d'ailleurs je prefere le gout de citron a celui du subutex ou de la bupré, gout medoc, bof quoi)
j'ai jamais vu de difference entre subutex et suboxone (je suis maintenant sous subutex), j'ai l'impression en revenant en arriere que ca me faisait le meme effet que j'ai aujourd'hui avec le subu.......
apres, je peux pas te dire pour l'iv, etant donné qu'a l'epoque du suboxone je ne fixais pas, alors que maintenant que le suis au subutex, je le shoote, donc impossible de te donner une comparaison......
mais comme le dit pierre, si comme tu l'ecris tu prends ton suboxone quand arrive le manque, ca ne devrais pas te rendre malade, mais te soulager (laisse lui quand meme le temps d'agir hein)
amicalement,
snoop'
Born by accident, Bastard by choice, just...Bad seed...
"Si chaque personne savait ce que les uns disaient sur les autres, il n'y aurait pas deux amis au monde"
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- Leaf
- Psycho sénior
- Inscrit le 31 May 2014
- 844 messages
Je confirme de par mon expérience les propos de Pierre et de Snoopy, le suboxone, peu importe le mode d'administration, ne provoque pas de sevrage précipité sur une personne qui ne consomme QUE de la bupré. J'ai injecté du Suboxone pendant plus de six mois (on m'avait mis sous ce traitement car j'avais "avoué" shooter le subu au CSAAPA où j'étais) et jamais eu de problèmes, l'effet est légèrement amoindri, lorsqu'il m'arrivait de trouver un cacheton de subutex et de le shooter, je n'avais pas besoin du meme dosage.
Par contre, shooter ou sniffer du suboxone moins de 24h après la prise d'un opiacé agoniste est TRÈS TRÈS risqué et TRÈS TRÈS TRÈS désagréable, et là encore croyez-en mon expérience.
Par contre, shooter ou sniffer du suboxone moins de 24h après la prise d'un opiacé agoniste est TRÈS TRÈS risqué et TRÈS TRÈS TRÈS désagréable, et là encore croyez-en mon expérience.
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