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Dernière modification par mona987 (04 novembre 2015 à 22:08)
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mona987 a écrit
Pour la non culpabilité lié à la conso je suis d'accord, mais qu'en est-il des dérapages comportemental(se faire hulrer dessus, se faire voler, se faire menacer, j'espère bien qu'après ça mon mec se sente mal quand même !)
Si tu ne l'as jamais fait tu peux te renseigner sur les pervers narcissiques, ça te permettra de mieux comprendre ton mec et tu trouveras surement des solutions à tes problèmes sur des sites spécialisés ou des forums.
En tout cas bonne chance pour la suite !
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Dernière modification par stella (04 novembre 2015 à 23:06)
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Dernière modification par stella (04 novembre 2015 à 23:40)
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qu'en est-il des dérapages comportemental(se faire hulrer dessus, se faire voler, se faire menacer, j'espère bien qu'après ça mon mec se sente mal quand même !)
Pour moi son mec ne se sentira pas mal ou très peu (le temps de se faire pardonner pour mieux recommencer), parce qu'il passe surement son temps à faire culpabiliser Mona987, exactement comme le ferait un pervers narcissique qui jouera la pauvre victime opprimée et mal jugée par sa copine alors que la seule victime dans l'histoire c'est elle, espérant que pour une fois son mec se sente un minimum coupable.
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Dernière modification par prescripteur (05 novembre 2015 à 18:13)
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prescripteur a écrit
Bonjour,
Je crois que Mona nous demande d'être conscient que certains usagers ont le droit de consommer et de ne pas culpabiliser OK mais qu'il faut être conscient quand même qu'il y en a qui emmerdent leur entourage.
La dessus, je crois que tout le monde sera d'accord.
Mais comme dans tous les couples ou toutes les familles, la vie en communauté doit toujours, pour être harmonieuse, passer par la franchise, le dialogue, le respect et le partage, et ce, addiction ou pas......
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prescripteur a écrit
Bonjour,
Je crois que Mona nous demande d'être conscient que certains usagers ont le droit de consommer et de ne pas culpabiliser OK mais qu'il faut être conscient quand même qu'il y en a qui emmerdent leur entourage.
Oui mais avec de sevère reserve. On a tendance à mettre tout tout le temps sur le dos des toxs. Hors, c'est souvent un problème systèmique et familial ou il ne faut pas oublier la codépendance... Il y a des personnes qui sont bien content de jouer les sauveurs (ou les victimes), ca leur donne une raison d'etre !
Ensuite, il y a des abrutis meme chez les usagers, mais ils sont abrutis avant d'etre usager...
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Dernière modification par BedBug (05 novembre 2015 à 23:47)
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Selon moi, une addiction ne transforme pas une personne. Mais elle peut exacerber certains côtés, et généralement pas les meilleurs, que chaque personne a déjà en soi.
ok elle ne transforme pas une personne, mais tout le monde à au moins un peu de mauvais chez soi. et le mérite des gens c'est justement de contrôler ce mauvais pour ne pas emmerder son entourage non ?
On ne peut pas rejeté qq parce qu'il a du mauvais en lui si on ne l'observe pas dans son comportement ?
Tout le monde à des défauts, pour moi ce qui est important c'est pas d'en avoir ou pas, mais c'est de faire des efforts pour s'améliorer et ne pas empoisonner la vie des autres.
je vais peut-être en choqué certain, mais moi un pédophile qui me dit être attiré par les enfants je vais pas le condamner si il n'a jamais touché un gosse/jamais consomé du porno pédo.
Il y peut rien de son attirance, il a peut-être lui même été victime, par contre il EST RESPONSABLE de qu'il en fait.
@prescripteur
J'espère que tu vas nous mettre le point 5,6 ou plus car tu as très bien expliquer ce que je ressentais.
et merci bcp pour ça :
a)ou l'usager promet d'arreter parce que c'est sa décision et alors s'il n'y arrive pas c'est qu'il a besoin d'aide pas d'etre accusé de mensonge
b)ou l'usager n'a pas vraiment envie d'arreter à ce stade et le dit et alors il faut mettre en place un contrat de "protection réciproque" (qui peut dans certains cas acter la séparation mais heureusement pas toujours).
(c) ou, le plus souvent, l'usager peut entrevoir un sevrage ou un meilleur contrôle de sa consommation, n'est pas sûr d'y arriver mais promet des efforts et on est dans un mélange des deux cas précédents = aide et contrat.
Donc plutot de dire c'est un menteur il vaudrait mieux se dire "qu'est ce qu'on a mal négocié ??"
j'en prends bien note, j'étais aussi un peu perdue par rapport à cela, comprenant que mon mec ait envie de faire un sevrage et puis le jour d'après plus, sans pourtant être un menteur. Mais même en comprenant cela me déboussole complètement ne sachant plus à quel saint me vouer.
@pierre
oui ce sont les co-dépendants, j'ai pas l'impression d'avoir ce rôle là mais peut-être inconsciemment oui. Mais je n'ai pas la prétention de pouvoir sauver qui que ce soit. Je l'ai appris bien assez jeune. Je ne suis pas d'accord d'aider qq'un si lui même n'entreprends rien pour changer les choses.
Ensuite, il y a des abrutis meme chez les usagers, mais ils sont abrutis avant d'etre usager...
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bighorsse a écrit
Il y a finalement au fond des questions posees celle de l attitude des hommes en général vis à vis de leur conception des rôles inconscients selon les sexes ...
Tant pis si je vais me faire casser à cause de ce post ...
Non tu as raison, comme l'a dit Pierre certaines personnes sont des "abrutis" en dehors de leur addiction.
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