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didjo a écrit
Telechargement en cours,
Je tiendrais au jus ici des que jai lu
a pluss
ben voilà . Super ce prospektus. Certains truks me disent quelque chose mais cest super et ça tombe à pik pour moi vraiment.... car mardi ça fera 3 semaine que jai commencé à arreter, enfon diminuer. Jai tenu 48h maxi et a chak foiss rebu. Puis 48h au lit en sevrage sans medok alirs ke jaime bien le defoncer d'habitude. Là je fait subir mon corps....enfin. aujourdhii je fete mes 72h d'abstinence. Demain matin ca fera 96h...
ca ma fait bizarement sourire en koin kan jai lu le pasage "boire mais nest jamais ivre". Ma famille me dit souvent ke je tiens lalkool et qu'ils ne me vouent jamais bourree. ..enfin voilà mes impressions
merci pour ce lien car ces put... dunites dalkool il faut ke jarrete pour y piger kelke chose. Alors que jarriver jamais à retenir tout ça avant. Dingue:super:d!!!!
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Si vous buvez souvent de l'alcool parce que vous en avez
besoin pour vous évader, pour oublier votre réalité quotidienne,
vous risquez de devenir dépendant. En effet, utiliser l'alcool
comme tranquillisant peut conduire à augmenter progres-
sivement les doses pour obtenir le même effet. N'hésitez pas à
demander conseil à un professionnel de santé
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (28 février 2016 à 13:55)
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Il y a en gros 2 façons de boire l'alcool, alimentaire et psychotrope. - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2121 … =d#p212167
Il existe deux façons de boire de l'alcool : psychotrope et psychotrope...
Boire à table avec modération et accord de gouts ne dispense pas d'effets psychotropes même si ils peuvent être réduits fortement. L'adjonction de la notion de culture qui détermine un usage qui réduit les risques est bien entendu à appréhender.
Le gout ou l'option alimentaire se décline dans l'art de masquer le gout infect de l'alcool que ce soit dans un cocktail ou dans un accord dit culinaire à table. Le diffusion de la quantité d'alcool va varier et surtout, je pense que les circuits de la récompense d'un accord alimentaire vont permettre de réduire de concerts la puissance des effets et limiter les quantités d'alcool absorbé.
Une petite quantité d'alcool a un effet psychotrope. Je suis assez surpris de ton assertion qui sent un peu le déni. Tu ne te classerais pas dans la catégorie "alimentaire" ?
C'est évoqué dans le document de l'INPES mais le document renvoie en général plus à la quantité consommée qu'à la motivation. - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2121 … =d#p212167
Cette approche parait bien plus rationnelle. Cela parait évident, ça ne dresse pas de barrière entre ceux qui consomment du vin à table et ceux qui boivent un apéro. La puissance des effets recherchés reste déterminante dans l'usage de "spiritueux"...
Ma question est = est ce que la consommation d'alcool dans un but psychotrope n'est pas déjà une consommation à risque ? - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2121 … =d#p212167
S'enquiller une bouteille de vin à table est aussi déjà une consommation à risque. Les arbres dichotomiques ont bien du mal à appréhender les facteurs de risque. Il faut bien plus de deux embranchements pour résumer le comportement humain.
Il faudrait appréhender le concept étendu de "set and setting"... avec une grille de lecture pour chaque individu.
Perso, j'aime l'ivresse occasionnelle d'un bon apéro, les accords avec la nourriture et le plaisir de ne pas consommer d'alcool. J'aime la modération, l'ivresse et les moments où je ne consomme pas d'alcool.
Mon rapport avec l'alcool est lié au set and setting accordé à cette conso, pas avec un lien "alimentaire". Chaque individu écrit finalement sa propre culture.
Cela me parait être plus un facteur de déni qu'une base saine pour appréhender les comportements que de cantonner le culturel à uniquement l'aspect alimentaire.
Dernière modification par Mister No (29 février 2016 à 10:30)
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Il faudrait appréhender le concept étendu de "set and setting"... avec une grille de lecture pour chaque individu. - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 56#p212256
J'ai oublié de préciser qu'en effet, dans mon idée, il s'agirait d'un conseil donné à chacun pour évaluer (s'il le veut) ses propres risques et en aucun cas d'un critère diagnostique "médical" . Donc "la grille de lecture pour chaque individu" va de soi puisque c'est la sienne.
Pour ma part, je suis en effet plutôt consommateur alimentaire mais il m'est arrivé de consommer ponctuellement pour des raisons psychotropes et je suis conscient des risques associés, notamment si la situation déclenchante tend à se pérenniser. Il ne s'agit donc pas d'un critère de catégorisation ou de dévalorisation mais d'un outil à donner pour que chacun évalue sa position face à l'alcool.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (29 février 2016 à 15:35)
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Personnellement je ne nie pas que l'alcool reste un psychotrope même consommé pour son goût et les accords mets et vins. Cependant cela n'implique pas que l'effet est recherché. - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2123 … =d#p212317
Garçon, un déni !
Si tu ne recherches pas l'effet psychotrope, pourquoi utiliser un psychotrope ? L'accord peut se réaliser tout simplement avec du raisin ou d'autres artifices tels que la rouille avec une soupe de poisson, des noix avec certains fromages ou des endives.
Je comprends bien que l'effet d'une ivresse massive n'est pas forcément le but recherché, ceci dit, j'ai déjà constaté que certaines personnes qui décrivent ta conception de la consommation d'un psychotrope sans en rechercher les effets ont bien du mal à se passer de cette consommation qui peut revenir à chaque repas. Les personnes substituées aux opiacés ont aussi cette sensation de ne plus ressentir d'effets. C'est à mon avis un problème de référentiel biaisé.
D'ailleurs, tu dis ne pas rechercher les effets, peut-être tout simplement que tu ne parviens plus à les distinguer tout comme un fumeur de tabac. Quand les effets deviennent d'une grande banalité au quotidien, difficile de les distinguer.
Maintenant, un cadre de consommation modéré particulièrement au cours des repas est une sorte de guide d'utilisation à moindre risque inscrit dans un cadre culturel. Les indiens d'Amérique ont découvert l'alcool sans aucune clé culturelle d'un usage à moindre risque.
Bon, je ne dois pas avoir une tolérance énorme, parce que quand je consomme un ballon de rouge au cours du repas, je parviens à distinguer les effets, de la montée à la descente. Quand je bois plus également.
Plus tard j'ai consommé par goût pour la gastronomie, et là même si l'effet est agréable, dans l'ensemble il me gênait plus qu'autre chose (ça me fait penser au parc aux rats) : je me serais bien passé de l'effet psychotrope parce qu'il n'apportait rien de réel (j'avais pas de problème d’inhibition à résoudre...)
- See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 23#p212423
L'effet psychotrope ne t'apporte rien de réel ? Où rien que tu ne peux éprouver ou ressentir ? Un vin bien élevé m'apporte outre les effets de l'alcool une certaine envie de somnoler.
(je pense à moi mais aussi à tous les oenologues qui sont obligés de recracher ce qu'ils goutent pour pas finir la journée torchés...) - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 23#p212423
Tu pourrais boire davantage pendant les repas si tu recrachais chacun de tes verres. L'accord reste identique quand tu recraches. Tu devrais recracher et t'adonner à davantage de rétro-olfaction si réellement les effets psychotropes n'ont aucun intérêt pour toi.
Je trouve assez hypocrite d'annoncer que l'on boit de l'alcool juste pour le gout... C'est certainement aussi là un cheval de troie pour des comportements à risque. Je ne dis pas que votre consommation est un comportement à risque. Le déni peut l'être...
Dernière modification par Mister No (01 mars 2016 à 14:08)
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Mais si un jour il existe sur le marché des produits vraiment équivalents sans alcool, cela permettra évidemment de mesurer la motivation psychotrope. - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2124 … =d#p212435
Il existe une infinité de possibilités qui ne résident pas seulement dans les boissons ; fruits avec le fromage, raisins, figues, nèfles, noix... je n'évoque même pas les épices, les pâtes de fruits ou tout simplement des graines.
Avec les viandes, tu peux enrichir la perception du gout avec de la moelle, du foie gras ou tout simplement des sauces ou marinades. Pour les boissons, un verre de certains sirops peuvent accompagner une grillade à merveille. orgeat, citronnade etc... Même un soda caramélisé avec un magret.
Avec les végétaux, tu peux rajouter des graines cannabis, sésame ou sélectionner voire assembler des huiles différentes etc...
Avec les poissons, je n'aime pas le pastis mais le fenouil ou l'anis étoilé et pourquoi pas un sirop d'anis ? Les gammes de thés dont le thé fumé peuvent aussi ravir les papilles.
Dans certains plats chinois, la boisson est dans le plat comme le bo-bunh.
Mais si un jour il existe sur le marché des produits vraiment équivalents sans alcool, cela permettra évidemment de mesurer la motivation psychotrope. - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2124 … =d#p212435
Tu le vivras mal quand tu auras fait la part des choses et découvert que tu as aussi une "motivation psychotrope" ?
Rien de grave, vouloir par ses actes quotidiens son bonheur et celui des autres ne tâche pas et cela nourrit une motivation psychotrope également. Cela est psychotrope par essence.
Si jamais tu consommais de l'alcool à chaque repas, cela peut t'offrir un début de piste quand à tes motivations...
Et pour un colonel (glace ou sorbet citron vert+ vodka) ? quid des accords, quid de la motivation psychotrope ? Vous recrachez la vodka ?
Vous mariez systématiquement le sorbet à la vodka ?
C'est de l'enculage de mouche, mais la motivation psychotrope n'est pas forcément synonyme de dérive à risque ou de déviance comme ton analyse le suggère.
Je n'ai qu'une certitude dans cette équation ;
-l'alcool n'est pas bon d'un point de vue gustatif.
-un verre d'alcool deviendrait subitement bon grâce aux accords d'un repas.
Je pense que les effets psychotropes nous apportent la vibe au point que l'on ne se concentre que sur le positif des accords, allant jusqu'à en oublier le toujours présent infect arrière gout de l'éthanol. Boire pour oublier, cela commence déjà peut-être ici.
J'ai utilisé "la vibe" pour bien entendu répéter qu'une motivation psychotrope n'est pas forcément une tare ou forcément un élément à risque...
A l'inverse, je connais pas mal de monde qui aime l'odeur du cannabis tant qu'il n'est pas chauffé et qui n'en aspire pas une bouffée pour autant car ils ne souhaitent pas les effets psychotropes. Bon je suis d'accord, on sort de table là .
Pour en revenir à votre œnologue, au bout d'un nombre important de verres recrachés et de rétro olfactions successives à un rythme soutenu, il y a moyen de faire passer un peu d'alcool dans le sang via la muqueuse ou les restes dans la salive, sans compter la part des anges inspirée dans les chais.
Une bonne dégustation avec un pro de bon matin devrait vous convaincre, sans que vous ne sentiez forcément un géranium pousser dans votre dos.
Mince alors, notre prescripteur est un toxicomane comme les autres alors! - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 37#p212437
Bah non, certains toxicomanes sont dans le déni, d'autres pas. Un toxicomane est en souffrance de la consommation de ces toxiques normalement, non ?
Il ne me semble pourtant que vous vous évertuez à poser une barrière là où il n'y en a pas ; les malades et ceux qui ne le sont pas.
Enfin, rien de grave, aucun éléphant rose à l'horizon !
Dernière modification par Mister No (02 mars 2016 à 09:29)
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Si vous voulez faire le point sur votre consommation d'alcool, l'INPES vient de mettre en ligne un petit guide avec tout un tas de question pour en savoir plus sur votre alcoolisme wink
- See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 37#p212437
Donc je le répète je n'essaie pas "de mettre une barrière entre les malades et ceux qui ne le sont pas" mais de proposer une piste de reflexion qui permette de mieux faire le point sur sa consommation d'alcool.
Ma question principale est donc "est ce que cela peut aider ?" Pour toi, non, c'est clair (et évidemment il n'est pas question pour moi de critiquer ta position) mais est ce que pour d'autres cela peut susciter une reflexion positive ?
Amicalement
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Les experts ont mis en évidence que
les risques liés à la consommation
d’alcool (mortalité et maladies graves)
augmentaient au-delà de 20 grammes d’alcool
par jour (soit une consommation équivalente à
2 unités d’alcool).
Pour les consommations occasionnelles :
• Pas plus de 4 unités* d'alcool en une seule
occasion.
Je trouve que les consos occasionnelles devraient être mieux décrites. Comment bien se "lâcher" ? Je bois environ 7 unités d'alcool par semaine, mais si je dois en boire seulement 4 quand je me lâche, je trouve cela un peu léger.
Bon puis de manière plus pragmatique, il s'agit ici de définir certaines limites pour minimiser les risques. Sauf que ce n'est pas très pratique et vraiment éloigné de ce que je constate ou ai pu constater.
Il faudrait écrire un guide pour se bourrer la gueule comme il faut mais pas trop et surtout à moindre risque.
Si le guide se limite à 4 unités d'alcool... cela revient presque à dire "ne buvez pas pour réduire les risques avec l'alcool". C'est une vérité peu utile.
Un tel guide devrait décrire les comportements appropriés pour limiter la conso occasionnelle trop intense et réduire les risques... le set and setting quoi.
Dernière modification par Mister No (01 mars 2016 à 15:26)
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Dernière modification par Syam (04 mars 2016 à 17:01)
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