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L'ancien coureur cycliste américain souhaite se lancer dans le commerce du cannabis thérapeutique, dans le Colorado.
Floyd Landis a trouvé sa reconversion. L'ancien coureur cycliste a confirmé à Cycling News la création d'une société à son nom – Floyd's of Leadville – commercialisant des produits au cannabis. Landis, par le biais de sa société, vante «les bienfaits sur la santé du cannabis récréatif» et compte vendre notamment de l'huile de cannabis pour cigarette électronique. Dans le communiqué que Cycling News a pu consulter, l'ancien coureur - qui a reconnu s'être dopé entre 2001 et 2006 et a notamment été radié du palmarès du Tour de France - explique notamment qu'il a «utilisé pendant de nombreuses années un analgésique à base d'opioïdes pour traiter [sa] douleur à la hanche. Avec le cannabis, [il] peut mieux gérer la douleur et avoir une meilleure qualité de vie.»
La culture et la vente de cannabis en petites quantités sont légales dans le Colorado depuis 2014.
http://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-rout … bis/698894
Pendant ce temps, le Canada va ouvrir une salle de sport pour les stoners. :
Deux entrepreneurs américains veulent ajouter un nouvel ingrédient aux «shakes» protéinés dans la diète des amateurs de gym: le cannabis.
L'ex-joueur de la NFL Ricky Williams et Jim McAlpine, un homme d'affaires spécialisé dans l'industrie du pot, prévoient ouvrir en novembre prochain à San Francisco le Power Plant Fitness, «premier gym de cannabis au monde», selon leur site web.
Leur concept: permettre à leurs clients de consommer de l'herbe, ou des produits alimentaires à base de celle-ci, durant leurs séances d'entraînement.
http://fr.canoe.ca/sante/forme/archives … 44314.html
Dernière modification par Mister No (28 juin 2016 à 15:26)
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Les coureurs pro, de vrai erlenmeyers roulant
Lui, c'est le haut du panier, pas du coureur français élevé au grain par un docteur Mabuse pas qualifié. On parle dopage haut de gamme, avec certainement des produits inconnus en plus du reste.
Floyd Landis a couru avec Lance Amstrong dont le nom restera associé au dopage pour toujours. Hollywood a même sorti un film.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g … 23004.html
Dernière modification par Mister No (28 juin 2016 à 18:20)
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Si tu étais à balle de speed et autres joyeusetés durant tes entrainements, la conso de quelques grammes d'herbe ne te couperait certainement pas les jambes. ça calme le "feu" de certains produits, ça arrondit bien les angles.
D'autre part, le cannabis a une action sur la douleur, en synergie ou pas avec des opioïdes.
Enfin, pour avoir pratiqué juste l'herbe sur le plan de l'endurance, cela permet de mieux supporter les longs efforts.
Mes potes prenaient de la coke certainement plus efficace. Juste du cannabis, ça ne freine pas forcément, au contraire, suffit de regarder sur les iron man ou autres épreuves d’endurance :
http://www.trimes.org/2015/02/dopage-la … -pourquoi/
Dopage > La marijuana de plus en plus populaire dans les sports d’endurance, le pourquoi.
Récemment, un ami me disait qu’une connaissance à lui venait de se faire contrôler positif pour usage de marijuana. Ces annonces font généralement sourire, on pense y reconnaitre une bêtise de jeunesse. L’athlète a fait l’usage d’une drogue récréative qui n’a rien à voir avec la performance et pourtant!
Il faudra désormais voir cette substance d’un autre oeil. Depuis quelques années, elle a été légalisée dans plusieurs états américains et sa popularité est tellement grandissante que l’état du Colorado a baissé les taxes locales ne sachant plus quoi faire des revenus générés par cette drogue.
Contrairement à certaines régions du globe, en Amérique, l’ultra trail rejoint une classe sociale plus bohème et fréquemment consommatrice de marijuana. Le cliché de l’homme plongé dans la simplicité volontaire et proche de la nature est bien réel. Dans ce rapprochement, cela n’a pas pris de temps pour que des coureurs commencent à courir sous l’effet de la drogue.
Cela vient pourtant en contradiction avec les croyances scientifiques puisqu’elles mettent en évidence que sous cette substance, un athlète perdrait sa puissance et ses facultés motrices. D’ailleurs le produit est bien interdit par l’agence mondiale antidopage durant les compétitions puisqu’elle invoque que cela permettrait de diminuer l’anxiété et pourrait augmenter l’entrée d’air (volume) dans les poumons.
Les Canadiens se rappelleront d’ailleurs du cas positif à la marijuana d’un snowboarder aux Jeux olympiques (Nagano 98). Il finira pourtant par récupérer sa médaille puisque la substance n’était alors pas interdite. Avec le temps, on sait désormais que c’est une excellente manière pour diminuer le stress et l’on peut facilement comprendre son intérêt avec la pression olympique.
Par amusement, certains coureurs ont donc essayé de courir sous l’effet de cette drogue. À leur grande surprise, ils se sont sentis invincibles, contrairement à la croyance, lorsque la dose est adaptée, cela permettrait THC toucherait des récepteurs dans notre cerveau nous permettant d’avoir une attitude plus agressive.
Le bénéfice principale s’effectue donc au niveau du cerveau. La perception de l’effort chez l’athlète est complètement changée. Il n’y a plus cette fixation sur la douleur ou l’athlète se demande constamment s’il en fait déjà trop. Ce phénomène est logique puisque lors de l’effort le corps génère du endocannabinoids. C’est l’endorphine du coureur. Le THC vient simplement l’amplifier. Le pot vient donc vous préparer à ce processus.
Tout cela peut sembler surnaturel, mais plusieurs publications comme Outside Magazine et même le New York Time encouragent les coureurs à fumer avant d’aller courir ou d’aller faire du vélo.
Cette drogue est donc en train de devenir extrêmement populaire dans les épreuves d’Ultra Trail américaines. Ils y trouveraient un moyen de réduire la douleur, la perception de leur fatigue, mais aussi les nausées. Même si le produit est interdit par l’agence mondiale anti dopage (AMA), il semble être difficile à faire respecter ce règlement d’autant plus que les contrôles se font rares.
Évidemment, c’est une pratique très questionnable puisque le coureur s’allège du challenge proposé par un ultra trail. Cela fait aussi réfléchir puisque cette pratique étant médiatisée, elle fera forcément son apparition dans le triathlon.
D’après notre compréhension, l’AMA contrôlerait l’usage de cannabis uniquement durant les compétitions. Elle parle d’un niveau de THC. Cela signifierait que la substance ne serait donc pas interdite à l’entrainement.
Chose certaine, maintenant que cette drogue est légalisée aux États-Unis, l’AMA devra rapidement réagir.
Ce qui pourrait être injuste, c'est que tu puisses être positif à un contrôle alors que tu n'utilises pas le cannabis comme un médicament quotidien, autrement dit un produit dopant.
Celui qui veut s'entrainer avec des amphés aura moins de chance de se faire tester positif, les traces de cannabis restent plus longtemps, cette plante a une demie-vie très longue et certains métabolytes restent longtemps, surtout dans l'urine.
Pour plein de produits, quelques douleurs, exéma, cicatrice, tendinite permettront toujours d'avoir une ordo pour couvrir les traces de corticoïdes stéroïdiens ou pas, si tu n'as pas eu le temps d'éliminer avant la compète.
Certains produits se masquent en compétition, certains sont réservés à la phase d'entrainement, d'autres produits doivent être indécelables car nouveaux et pas référencés.
Après le pot belge (morphine héro amphé coke), le pot apéro (caféine, THC, alcool nicotine)
Les détails de l'étude "The effects of caffeine, nicotine, ethanol, and tetrahydrocannabinol on exercise performance" :
http://nutritionandmetabolism.biomedcen … 7075-10-71
Tetrahydrocannabinol
Overview
Cannabis (Cannabis sativa) is known for its widespread use worldwide. In total, more than 400 different compounds, distributed by 18 chemical groups, including its most active substance Δ9-THC have been detected in different species of cannabis plants. Consumption of THC-containing cannabis products, such as marijuana (herbal cannabis) and hashish (resinous cannabis) are commonly consumed in the form of cigarettes or even in small pipes. In addition, dronabinol, a THC synthetic product, has been approved in many countries to treat medical conditions such as HIV and cancer. The widespread popularity of use of substances derived from cannabis, such as marijuana among young athletes has led to its high detection frequency. In 2012, 7.6 million individuals 12 years of age or older used marijuana on 20 or more days in the past month [150].
Mechanism of action
The structure of THC was described long before its receptors, CB1 and CB2 were discovered. CB1, which has been primarily found in the CNS, likely explains the central psychotropic effects of marijuana [151]. CB2 receptors, on the other hand, are mainly found in sensory tissue mediating an analgesic effect [152]. Anandamide, an endogenous ligand binds to these receptors. Anandemide, however, appears to also signal via other receptors than CB1 and CB2. Future studies should investigate the effects of exercise on the cannabinoid receptor system and how this is modulated by marijuana use. Numerous cannabimimetics (cannabis receptor agonists) are being developed that have similar pharmacologic effects but limited negative side effects. However, illicit cannabimimetics such as Spice and K2 (synthetic cannabis) with dangerous side effects are on the rise, which is a concerning issue [153].
Effects on performance
The ergogenic effects of marijuana are questionable, as its performance enhancing effect, if any, has yet to be established. Along these lines, very few studies have tested the effects of marijuana on performance. One of the first studies to evaluate the effects of marijuana smoking on exercise performance was performed by Steadward and Singh [154], who tested the effects of marijuana smoking compared to placebo on several indices of exercise performance. Resting heart rate and both systolic and diastolic blood pressure were significantly elevated at rest after marijuana consumption compared to both control and placebo. Although there was no significant decrease in grip strength, physical work capacity at a heart rate of 170 decreased by 25% compared to placebo. Renaud and Cormier [155] tested subjects 10 min after smoking a marijuana cigarette (containing 1.7% of Δ9-THC) of 7 mg/kg of body weight, and noted a slight, but significant decrease in cycle ergometry time to exhaustion. Avakian et al. [156] demonstrated that double-blind administration of marijuana as 7.5 mg of Δ9-THC or placebo did not affect blood pressure, ventilation or oxygen uptake during submaximal exercise (15 min at 50% of Vo2max), however did increase heart rate and the rate-pressure product at rest and during both exercise and recovery. Tashkin et al. [157] hypothesized that the decrease in exercise performance may be due to its chronotropic effect leading to achievement of maximum heart rate at reduced workloads. Furthermore, detrimental effects on other aspects of performance have also been demonstrated. When subjects were acutely given THC orally (215 µg/kg) acutely, significant deficits in general performance, standing steadiness, reaction time and psychomotor performance were observed over a 5 hour period post-ingestion [158]. Interestingly, in a case report [159], it was documented that in a patient with asthma, a condition characterized by bronchoconstriction, smoking marijuana prior to exercise testing led to bronchodilation and no defect in pulmonary function [160, 161]. Thus, if there is any positive effect of marijuana, it likely only indirectly improves performance.
It is conceivable that cannabis may reduce an athlete’s feelings of pre-competition stress and anxiety as a result of the euphoric effect it may produce. Also, because cannabis diminishes alertness and has relaxing and sedative properties, use may be driven by the effects of relaxation, well-being and improved sleep quality. For example, it has been reported that relaxing, pleasure, and improved sleeping were the main motives to use cannabis [162], with the rationale that adequate sleep and being relaxed before competition may lead to optimal performance. However, due to the trade-off of decreased exercise performance, possibly secondary to increases in heart rate and blood pressure, which may alter perceived exertion, marijuana may be considered an ergolytic agent.
WADA status
The International Olympic Committee included cannabis in the banned substance list beginning in 1989 and since 2004 the World Anti-Doping Agency has prohibited its use for all sports competition [163]. Cannabinoids are substances prohibited in-competition only.
Detection
Testing for cannabis in the form of marijuana, hashish or other cannabis containing products is performed by urine analysis. The target molecule detected in urine analysis is 11-nor-9-carboxy-Δ9-THC, with the limit for a positive test at >15 ng/mL. Detection is determined by gas-chromatography/mass spectrometry, and this threshold distinguishes active users from passive smokers and foods that contain traces of cannabinoids [164, 165, 166]. However, it should be pointed out that recently Brenneisen et al. [167] suggested that THC, 11-nor-9-carboxy-Δ9-THC and 11-hydroxy-Δ9-THC all should be considered as target analytes for cannabis doping.
Summary
Overall, it appears that cannabis does not have ergogenic potential in sports activities and thus, its inclusion on the banned list is likely a function of its illicitness. As cannabis smoking impairs exercise and psychomotor performance (such as sedative effect, slower reaction times and other psychomotor effects), its ability to serve as an ergogenic aid has been questioned, and is generally considered to be an ergolytic drug (see also Table 4). This is likely due to increase in heart rate and blood pressure, decline of cardiac output and reduced psychomotor activity that have been demonstrated in prior studies.
Table 4
Pas vraiment une blague donc. On a longtemps cru qu'après l'effort, la sensation de bien-être était due au endorphines... de récentes études ont montré que cet état d'extase et de relaxation était due à la modification de notre système endocannabinoide. Si ça marche après, ça marche aussi pendant.
Maintenant, faut pas croire que le cannabis est le produit miracle qui va vous donner des performances incroyables. Il existe bien d'autres produits miracles, capables à eux seuls d'engendrer des performances supérieures. Mais en général, il s'agit dans la pratique d'un cumul de différents produits.
Les amateurs sont plus vulnérables car ils ne bénéficient pas d'un suivi médical... et pour avoir connu des compétiteurs dans les années 80, c'était très souvent des as de la fléchette... qui ont payé un lourd tribu pour leur sport où des familles entières se sont contaminées.
Je n'aime pas la stigmatisation des cycliste pour le dopage. C'est injuste. Si on voulait dénoncer le dopage dans tous les sports, il suffirait déjà de mesurer la mâchoire des sportifs quand ils ont terminé de grandir. Si la croissance de certains os se produit en dehors de maladie génétique, c'est que le recours à des hormones est prouvé.
C'est pas forcément le plus dangereux que de ne consommer que du cannabis, y compris durant l'effort.
Je connais le film, merci, pas vu, mais très peu pour moi.
Et en effet, j'ai lu çà et là des articles sur les méthodes de dopages les plus poussées et l'argent mis dans la recherche par les grosses team c'est hallucinant.
Le contexte me fait un peu penser au monde du "hacking" avec la perpétuelle courses entres les divers camps.
Et bien souvent j'ai l'impression que le camps du "fuck the rules" a une longueur d'avance!
Si on prend un peu de recul, on peut se demander si le film Hollywoodien et surtout les faits ne décrivent pas le parcours d'une équipe de gerbilles transhumanistes... Mais les effets spéciaux, voire Amstrong grimper sont plus jolis pour de vrai.
Brillante analyse, le "no rules" aura toujours une longueur d'avance sur les "vampires" des contrôles antidopage.
C'est un jeu de dupes avec de règles à contourner.
Dernière modification par Mister No (29 juin 2016 à 12:18)
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Pourtant, je t'assure que dans mon cas, quelques taffes de cannabis avant l'effort suffisent à rendre ma contraction musculaire mauvaise et ainsi engendrent une perte de puissance.
C'est un peu normal, si tu n'as pas une tolérance en particulier pendant l'effort, ça va te casser les pattes arrière. Tu peux ressentir les baisses de tension orthostatique en te levant brutalement pour passer en danseuse.
vous dites comment les cyclistes quand vous n'avez plus de force dans les jambes, l'impression qu'elles se pétrifient ?
Par contre je te rejoins dans ce que tu écris:
"Si tu étais à balle de speed et autres joyeusetés durant tes entrainements, la conso de quelques grammes d'herbe ne te couperait certainement pas les jambes. ça calme le "feu" de certains produits, ça arrondit bien les angles."
J'ai fait une soirée où j'ai consommé du 5-APB + du cannabis. Coucher pas trop tard. Le lendemain au réveil, motivation de fou, je suis allé rouler avec le club. J'ai eu des bonne performances. Il était évident que le 5-APB a pris le dessus sur la cannabis. De plus j'ai kiffé mon entrainement
C'est vrai que certains produits sont assez magiques pour la performance. Tu as senti une nette différence ?
Le fait que certains RC ne soient pas décelables ou sur la liste doit convenir à pas mal de monde.
A une époque, la ligne d'arrivée était surréaliste ; l'ambiance passait de la course à la réunion de l'amicale des shépers de compétition une fois la ligne franchie. ya ceux qui savaient plus où était la voiture ni dans quelle ville ils étaient.
A une époque, les coureurs étaient tellement chargés an amphés que pour arrondir les angles, ils buvaient du rouge en permanence. C'est certainement le mélange speed alcool qui a tué Simpson, mais la légende en matière d'alcool, c'est Zaaf
Histoire(s) La vraie fausse cuite de Zaaf
1950 : Tour de la chaleur, Koblet n’y est pas, engagé au Tour d’Italie. Fausto Coppi, vainqueur l’année précédente fait l’impasse lui aussi, mais Bartali est bien présent à la tête de la Squadra alors que Magni dirige la deuxième formation italienne dite des " Cadetti ". Les Italiens vont faire parler d’eux en abandonnant à Saint-Gaudens. Je vous en parlerai plus longuement, mais aujourd’hui, je fais référence à mon compagnon de route Abel Michéa que personne n’a oublié. Dans son livre Drôles d’histoires et histoires drôles du Tour, Abel raconte à sa muse préférée " Nounouchette ", la fameuse cuite d’Abd El Kader Zaaf. Écoutons ce morceau choisi : " Tu sais "Nounouchette", je n’aurai pas le temps de tout te raconter. Il faut te faire une raison. Oui, je sais, nous sommes bien dans une année bissextile, mais enfin. Et puis, zut, j’ai sommeil ce soir. Ah ! non tu exagères. Bon ça va, mais une courte. Oui, je sais, je te l’ai promise. Là , verse-moi un verre de meursault, je vais te la dire la vérité sur la cuite de Zaaf. Zaaf, tu le connais. On a été chez lui à Alger. Eh bien moi, mon aimée, je te dis que le père Zaaf, il n’a jamais bu une goutte de vin. C’était en 1950. L’étape Perpignan-Nîmes. Tu as beau avoir une feuille de chou sur la cafetière, tu sentais quand même passer le truc. Un petit coup de roussillon, histoire de s’humecter les papilles. Et finalement c’est Abd El Kader qui a trinqué. Zaaf avait pris la tangente avec son ami Molines. Il pensait gagner l’étape, un copain belge lui avait vanté les mérites de petites pilules "comme ça !". Zaaf double la posologie et se met à tanguer sur la route, la balayer, éviter un platane avant de s’écrouler dans un fossé en bordure d’un vignoble. Il allait tomber dans les pommes quand un vigneron lui passa sa gourde. Zaaf ne buvait pas de vin, mais il s’aspergea le visage, la nuque. Il puait évidemment le pinard. C’est de là que naquit la légende de la cuite du père Zaaf. Il repartit à l’envers mais abandonna. Le lendemain, il se présenta au départ et proposa aux commissaires de faire, en plus de l’étape, les kilomètres qu’il n’avait pas fait la veille. Tu parles. Mais l’histoire avait fait le tour de la salle de presse : Zaaf devenait une sorte de héros en Belgique, pourtant tout le monde voulait connaître ce "black" qui n’a jamais été noir. Il eut des contrats d’après-Tour et gagna beaucoup d’argent.
Mais voilà Zaaf courait dans l’équipe d’Afrique du Nord et bien sûr, la presse algérienne comme toute la presse, avait abondamment relaté la biture sensationnelle. Les autorités religieuses se mêlèrent de l’affaire et décidèrent d’excommunier ce buveur de vin.
Abd El Kader était prisonnier de sa légende… Maintenant qu’il a tout avoué, je peux bien, moi aussi, te dire la vérité. Mais je crois que je t’avais demandé un verre de meursault. Ah ! je l’ai déjà bu ?. "
http://www.vo2cycling.fr/Phil-Info/qlaf … kader-zaaf
Pour en revenir au THC, j'ai le souvenir d'une prise de perf en début de saison sur un footing. Le tout premier de la saison. J'avais juste pas mal nagé avec palmes durant l'été, pas de préparation, pas vraiment "travaillé" avec un programme.
J'ai fumé un joint de kétama avant le cross de rentrée, je suis plutôt pas taillé pour l'enduro, bin, ce jour là , j'ai pu taper dedans comme jamais et j'ai cramé tous les potes qui normalement me déposaient finger in the noze du début à la fin de la saison.
Dernière modification par Mister No (29 juin 2016 à 15:54)
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