Après les traitements que faire?

Merci pour votre réponse,est-ce que le trazolan peut aider,j'ai été traité à  ce produit il y a quelques temps et j'en ai sous la main,est-ce une bonne idée?

Julien : "Les douleurs intenses ont persistées jusqu'au 14/15eme jour puis sont allées en diminuant pour disparaître au 2eme mois approximativement."

La vache ^^

Oui Syam .. environ 2mois de douleurs d'intensité variable.
A plusieurs moments je crois qu'il n'aurait pas fallu que j'ai un flingue chargé à  côté de moi .. Mais ça finit par passer, heureusement..

Klrd pour le " confort ds l'inconfort " je pense que prescripteur à  tout dis.
Perso les médocs ne passaient pas et n'avaient que peu d'effets de toute façon, j'avais juste mon traitement anxiolytique comme d'habitude.
Le paracétamol, les AINS, l'aspirine ne marchaient pas sur moi.
Les hypnotiques ne me faisaient pas plus dormir.

Pour les jambes on à  essayer le ropinirole avec mon doc mais pareil, aucun effet si ce n'est des nausées. ( j'avoue qu' il ne savait plus trop comment me soulager )

Voilà  mon expérience perso, après  le ressenti n'est pas forcément le même d'une personne à  une autre je pense.

Bonne continuation à  toi

JC effectivement quand une personne voit tout en noir à  cause du manque, ça a beau être passager, elle a le sentiment que c'est objectif. Exactement comme lors d'une dépression ou dans certaines douleurs qui durent et durent encore.

Le patient dans ce cas à  du mal à  croire que sa vision si pessimiste des choses est seulement due au manque. Sur le moment son pessimisme lui semble tout simplement l'analyse rigoureuse de la situation même si en réalité c'est un simple problème "chimique".

Néanmoins même si c'est difficile pour elle de le croire, je pense qu'il est important de le lui expliquer et de le lui rappeler régulièrement. Spécialement lorsque cette dépression "artificielle" due au manque dure des mois voire des années (PAWS) - c'est souvent précisément lorsque le patient est justement sur la bonne voie, celle du rétablissement, qu'il a le sentiment que tout est foutu (qu'il ne retrouvera jamais le gout de la vie etc). Même si les mots ne peuvent pas faire revenir le bien-être, le fait de l'entendre et de le comprendre intellectuellement peut aider la personne souffrant du manque à  développer la patience nécessaire au rétablissement. Prendre le temps d'en parler peut éviter une rechute ou sauver une vie.

Merci Syam  :)

Oui, j'essaie de raconter un peu mon expérience du sevrage même si pas toujours évident par peur de démotiver certains ..

C'est bien que tu me dises ca parce que c'est exactement ce que j'ai pensé ces dernières années et encore un peu aujourd'hui, même si le manque physique est passé y'a toujours cette " déprime " plus ou moins forte selon les jours.
Ya un moment on se dit " mais putain c'est bon arrête de déprimer " ..!!
Sans forcément penser que c'est dû, en grande partie, au sevrage.

Pour l'instant je tiens bon, du faite que je pense sincèrement que tout finira par aller mieux., et honnêtement si je venais à  replonger je sais très bien que je ne supporterais plus un autre sevrage.

Voilà  .. je m'arrête là , je vx pas monopolisé le sujet de Klrd ..

Merci à  toi Syam

Bonjour Messieurs,

Je profite de mon trajet vers le taf pour vous remercier de ce très intéressant Fil de discussion.

Bonne journée à  tous.
Away