1
Hors ligne
offrir un possible remède aux délétères conséquences
Par contre, une fois «traités par le médicament qui bloque les effets des opiacés, la réponse devient plus similaire à celle des sujets sains.
Outre les problèmes évidents de méthodologie, cette étude, ses résultats et son interprétation rendent surtout service à ceux qui les financent, autrement dit les marchand d’opioïdes et de médocs.
Là , c'est une nouvelle martingale sur un marché captif : le traitement par un médicament en plus pour répondre bien souvent aux abus d'autres opioïdes vendus par les même groupes.
Je te comprends quand tu signales que tu as du mal à appréhender cette étude.
C'est connu de tout le monde, les opiacés et les opioïdes ont cette qualité ; une bombe pourrait péter qu'on s'en tape tant leur effet agit sur notre "ressenti". Il est évident que certains stimuli ne provoquent plus tout à fait la même réponse.
Ce qui indique un mécanisme cérébral sous-jacent aux problèmes de déficit de cognition sociale chez les personnes abusant des opiacés
Ils vont bien vite. (on part d'opioïdes pour retomber sur opiacés au passage )
Si effectivement l'imagerie cérébrale nous montre un manque de réceptivité aux stimuli de l'expérience, la conclusion est bien rapide. Beaucoup trop pour être honnête.
ça sent plus la pub de marchands d’opioïdes qui vendent une molécule de plus dans un contexte "moral" et pseudoscientifique.
Cette étude parait faussée, biaisée comme si elle concentrait ses efforts sur un point prétendument négatif en dehors de tout contexte social pour imposer la logique d'un remède.
En particulier, l'étude pourrait permettre de comprendre pourquoi les problèmes d'investissement parental sont si courants chez ce type de drogués
Bien entendu, il n'est question ici pour toute analyse de constater l'imagerie cérébrale.
J'ai l'impression que cette étude utilise l'imagerie médicale pour bloquer tout les champs d'investigation psychosociaux... bref, tout ce qui pourrait biaiser ces conclusions hâtives pour le moins.
D'autre part, à l'heure actuelle pas besoin d'étude, nous savons que les TSO qui sont des opioïdes tendent à un résultat contraire à celui annoncé chez de nombreux patients qui retrouvent des repères sociaux, familiaux, pro etc...
A un moment donné, il faut se contenter de constater que les marchands d’opioïdes communiquent comme bon leur semble et sortent certains résultats de leur chapeaux quand ils ont besoin de vendre.
Qui est à vendre cette fois ?
naltrexone
Ce serait con de priver les opiophiles d'un traitement contre l'addiction de l'alcool surtout si leur imagerie cérébrale réagit mieux aux stimuli de bouilles d'enfants ou de petits chats par la suite...
Allez, hop hop, on gobe.
Dernière modification par Mister No (04 octobre 2016 à 09:24)
Hors ligne
Hors ligne
Une bombe peut peut être exploser a côté de moi sans trop de réaction mais quand c'est mon fils ou un gosse en général peut importe mon état je m'en fou pas.
Effectivement et merci de le rappeler par ton témoignage, nous ne sommes pas simplement tributaires de notre imagerie cérébrale dans nos comportements sociaux cognitifs.
C'est ce qui rend avant tout à mon avis la pilule trop grosse à avaler.
Dernière modification par Mister No (04 octobre 2016 à 09:16)
Hors ligne
Dernière modification par Acid Test (04 octobre 2016 à 09:39)
Hors ligne
Hors ligne
[ Forum ] Guerre à la drogue - Les opiacés toujours dans le colimateur...
|
1 | |
[ Forum ] Accès aux opiacés pour les malades
|
0 | |
[ Forum ] Overdose - Overdoses et opiacés : Naloxone pour la police !
|
18 |