Codeine : risques à  en reprendre une seule fois ?

Publié par ,
17625 vues, 45 réponses
avatar
Annabelle femme
Nouveau Psycho
Inscrit le 16 Jul 2017
162 messages
@Miaou

Les angoisses sont nécessaires en thérapie
Les cauchemars etc.
Ta tête se met "au travail"
C'est dur parfois mais ça ne te tuera pas.
Et ce qui ne tue pas...

1000 Pensées

Anna

Hors ligne

 

MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 14 Nov 2016
601 messages
Salut chat bleu salut

D'habitude j arrive à ne pas céder. Depuis le 18 mai c'est la 3e fois que je craque.
Mais c'est la 1ere fois que c'est pour calmer l angoisse. Mon demon.

Et je n'aurai pas dû. Clairement j'ai réactivé le mécanisme.

J'ai relié angoisses au boulot à la codeine. Et ce n'est pas justifié en plus.

Avec un comprimé j'ai senti l'angoisse diminuer. Effet placebo ? Peut-être mais je n'y crois pas.

Avec ce simple comprimé j'ai senti un bien être. Mais pas de defonse.

Habituellement mes craving je les fait taire en moccupant. Mais dimanche je n'ai pas trouvé d'autre solution que de dormir. 16h dans la journée.

J'ai peur qu'au delà du PAWS je n'ai pas réussi à soigner ma dépression. Et que remuer le passé avec la psy m'a fait plus de mal.

Je lui avais pourtant dit que je ne voulais pas penser. Que penser c'était la voie vers l'autodestruction.

Et voilà que maintenant je ne veux que retrouver l'oubli de la codeine. Que rien que de programmer l'ouverture de la boîte me fait saliver.

Oublier. Ne plus être la. Faire taire la souffrance psychique .

Quand je lis les épreuves que traversent certains, j'ai honte. De quoi je me plains ?!

Je ne sais plus quoi faire. Craquer et aller mieux à court terme ? Mais revivre le sevrage à terme ?! Risquer de perdre mon boulot?  Alors que je suis en période d'essai? !

Ou résister en attendant des jours meilleurs?  Et n'avoir envie que de disparaître?

Bref pas facile. ..

Bises Mia

Hors ligne

 

MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 14 Nov 2016
601 messages
Bonsoir

Gros craquage aujourd'hui. Pour ne pas casser des nez (spéciale dédicace à elisa).

Pour faire taire ma colère qui se transforme en angoisses.

Résultats crise de pleurs dans la voiture en sortant du boulot. Envie de tout plaquer. Ma lettre de démission prête.
Ca fait exactement 3 semaines que j'ai commencé. Et pourtant je craque à la 1ere difficulté. Moralement.

Et du coup craquage sur la codeine.

Bordel je suis devenue inadaptée au boulot. Je vais y laisser ma peau.

Je voudrais tellement disparaître. Jamais satisfaite. Je ne sais pas profiter de ce que j'ai.

Et la codeine apparaît comme la solution. Mon cocon me manque.

Me cacher. Ne plus souffrir. Cesser d'exister.

Désolée pour ceux encore en plein sevrage,  Je ne suis pas porteuse d'espoir.

Bises Mia

Hors ligne

 

MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 14 Nov 2016
601 messages
C'est la foire d'empoigne au boulot. Moi je reste stoïque et zen. Merci ma copine codeine.

Vivre sans codeine c'est possible. ..Mais bosser sans codeine. ..je n'y arrive pas.

Et la je suis bien.... déchirée comme il faut.

Bises Mia

Hors ligne

 

Tatami femme
Psycho junior
Inscrit le 09 Jul 2017
266 messages

MIAOU44 a écrit

C'est la foire d'empoigne au boulot. Moi je reste stoïque et zen. Merci ma copine codeine.

Vivre sans codeine c'est possible. ..Mais bosser sans codeine. ..je n'y arrive pas.

Et la je suis bien.... déchirée comme il faut.

Bises Mia

Coucou Miaou,
C'est effectivement ce qui me fait rechuter, l'idée de bosser et supporter le stress sans OPIS. je ne peux plus assurer comme naguère.
Autrement, je pense que les réussites seraient beaucoup plus nombreuses.
Ne culpabilise pas. Nous n'avons pas le choix non plus. On nous demande d'être productifs partout donc on fait comme on peut, avec nos béquilles du bord.
Bisou. Je pense à toi et compatis, bon ça ne t'aidera pas des masses. Mais si ça peut te rassurer de ne pas être seule à galérer au boulot. On peut pas se permettre de le perdre donc on compose.

Tatami


Vous pouvez échapper à la critique, en ne disant rien, en ne faisant rien, en ÉTANT RIEN !

Hors ligne

 

avatar
Lilas24 femme
Bavarde
Inscrit le 31 Jul 2017
344 messages
Coucou Miaou,

Il ne faut surtout pas te sentir désolée pour ceux qui sont en plein sevrage car ce que tu vis on le comprend et on le partage avec toi.

La codeine est un formidable anti angoisse, une couette mentale, une béquille psy. Sans elle, les bouffées d'angoisses parfois irrépressibles reviennent et quand en plus on est du genre à avoir le cerveau en ébullition permanence, ça devient vite ingérable. Le problème c'est que la codéine ne fait qu'étouffer le mal, elle ne règle rien. Elle permet de tenir le choc, de se maintenir à un niveau acceptable en société. Comprendre ses angoisses, tenter de les gérer puis de les régler est une clef vers le succès d'un sevrage mais bon sang que c'est dur, ça parait même impossible.

Pour ma part, je suis en plein sevrage dégressif du codoliprane en CSAPA depuis 7 semaines, après avoir débuté toute seule pendant un an. Le manque physique temporaire à chaque retrait, n'est pas trop un souci mais le plus compliqué c'est le retour des angoisses.

J'en avais identifiées plusieurs qui me paraissaient évidente mais depuis un mois je prends en pleine tronche le fait que mon travail est lui aussi une source d'angoisses et ça c'est terrifiant. Début août, je me suis retrouvée dans une stratégie d'évitement par rapport au travail qui était dingue. Je peux me le permettre car j'exerce une profession libérale. Je n'ai pas de patron mais aucun filet de sécurité car je ne peux pas me mettre en arrêt maladie et bien sur je n'ai pas droit au chômage. En arrivant au boulot, je n'avais qu'une envie, m'enfuir et c'est un peu ce que j'ai fait pour me protéger, car je sentais qu'en me forçant j'aurai envie de rebondir et donc de détruire mes 13 mois d'efforts.

L'addicto m'a donné un antidépresseur et je dois reconnaitre que ça marche bien sur mes angoisses car il a pris le relais partiellement. Toutefois, il y a une semaine, j'ai été confrontée professionnellement à une difficulté qui m'a donnée envie de prendre plus de codéine et c'était vraiment la 1ère fois depuis que je vois l'addicto. Comme mes stocks sont dans ma table de chevet, j'ai décidé de ne pas aller me coucher, de m'installer sur mon canapé, de rallumer la télé et de trouver une programme qui me fait du bien au moral (pour moi c'est les émissions scientifiques ou les séries de science fiction...). Une heure après, la crise était passée et je n'ai pas rebondi, mais j'étais terrorisée à l'idée de devoir lutter ainsi en permanence.

Le lendemain, j'ai parlé à un collègue pour qu'il s'occupe du travail que j'étais incapable d'accomplir  et il a accepté de prendre le relais en me disant de me concentrer sur mon sevrage et rien d'autre (c'est mon meilleur ami, je lui ai tout dit il y a une semaine, il a été formidable).

Alors voilà, je comprends que mon travail est une des raisons de mes angoisses et de mon addiction mais je vais en faire quoi ? Rien pour l'instant, je vais continuer à me sevrer et à prendre l'antidépresseur. J'aborderai ce problème lorsque je sentirai qu'il fait pleinement effet, ce qui n'est pas encore le cas. Pas question pour moi d'envisager une psychothérapie pour l'instant, je pense aussi qu'elle me ferait plus de mal que de bien mais je sais que je vais devoir y passer le moment venu.

En effet, je pense que pour en sortir durablement, il faut comprendre les angoisses qui nous poussent à consommer et tenter de les régler ou les apaiser. Alors je me dis que si ça doit passer par un arrêt de mon métier...non pour l'instant je ne veux même pas y penser.

Tu ne peux pas rester avec cette souffrance Mia, elle est aussi dure qu'une douleur physique. Je ne sais pas si tu peux te mettre en arrêt maladie ou aller consulter pour tenter de trouver une aide médicamenteuse rapide ?

Comme Tatami, je ne peux pas faire plus que penser à toi qui est peut être au travail comme je le suis sans aucune envie ou volonté de faire quoi que ce soit...alors que les dossiers s'accumulent sur mon bureau !

Hors ligne

 

MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 14 Nov 2016
601 messages
Merci pour vos messages.

J'ai démissionné du boulot qui m'a fait plonger dans les opiacés avec copine codeine.

J'ai commencé y a 1 mois un nouveau job qui me plait vraiment.  Mais dès que la pression monte je sens l'angoisse remonter.

J'avais arrêté la codeine le 18 mai.

Je replonge doucement mais sûrement. Je suis suivie par une psy du csapa.

Et mes collègues m'ont félicité sur le fait que je reste zen aujourd'hui lol

Bises Mia

Hors ligne

 

MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 14 Nov 2016
601 messages
Bonsoir

Je reprend LE rythme codeine la semaine et alcool le week-end  .. 

Putain je suis déchirée à l alcool. ..

En une semaine j'ai retrouvé mon rythme codeine la semaine et alcool la semaine

Fais chier.  Désolée mon post est anarchique.

Ma psy va pas être contente lol

Est ce qu'on peut être viré d'un suivi csapa parcequ'on replonge?

Je sais plus où j'en suis. 4 mois de sevrage foutu

Je suis tellement bien. .. merci les produits. .. là c'est rosé. .. 1 litre..

Pourquoi j'ai besoin de ça?

Bonne nuit je sens que le réveil va être compliqué

Bises Mia

Dernière modification par MIAOU44 (16 septembre 2017 à  23:37)

Hors ligne

 

perceval homme
Nouveau Psycho
Inscrit le 13 Jul 2017
138 messages

MIAOU44 a écrit

Est ce qu'on peut être viré d'un suivi csapa parcequ'on replonge?

Si tu tombe sur le plus mauvais addictologue du monde, peut être ! Mais dans ce cas là, c'est un mal pour un bien et tu peux en rechercher un autre :p.

MIAOU44 a écrit

Pourquoi j'ai besoin de ça?

A défaut de réponse... tu n'es pas la seule :)


Take care !


L'usage illicite de l'une des substances ou plantes classées comme stupéfiants est puni d'un an d'emprisonnement et de 3750 euros d'amende.

Hors ligne

 

avatar
Cynder homme
: )
Inscrit le 25 Jul 2017
378 messages
Salut chère homologue féline,


J'ai suivis ton fil sans participer, et...ne sois pas trop dure avec toi-même. : )

MIAOU44 a écrit

. là c'est rosé. .. 1 litre..
Pourquoi j'ai besoin de ça?

L'incarnation, je veux dire, le fait d'être, c'est quand même pas si simple. Depuis toujours les êtres vivants ont cherchés du réconfort un peu dans tout, et l'être humain en particulier.
Je me souviens de mon chat qui devenait taré devant de la paté, ou de l'herbe à chat. Comme un fix.

La gestion du stress et des angoisses, ce n'est pas la même chose pour tout le monde, et c'est pas simple. D'autant plus que tu tournes/tournait à la codo depuis un certain temps. La tu es en train de prendre des virages, et parfois on touche un peu la glissière, ca abime un peu de peinture, mais inutile de trop s'en vouloir.
Modifier ses habitudes, c'est vraiment très difficile, un travail long.

C'est bien que tu sois suivies, peut-être as-tu négocié les tournants trop vites ou autre...?

Quoiqu'il en soit, je te souhaite bon courage,
Plein de bonnes pensées,

Cynder

Dernière modification par Cynder (17 septembre 2017 à  14:13)

Reputation de ce post
 
Belles métaphores. À vouloir aller trop vite on se plante, c'est certain. Tatami

"Je suis un pack de bien-pensance."

Hors ligne

 

Tatami femme
Psycho junior
Inscrit le 09 Jul 2017
266 messages
Salut Miaou,
Tu as simplement dérapé, c'était prévisible, car tout va trop vite : sevrage, nouveau JOB, stress, charge de travail importante.
Tu dois tout gérer en même temps : dépression, abstinence, renouveau... Bref pas mal de challenges pour une seule femme.
Revois très vite ton addicto pour ne pas replonger tête la première, tu avais besoin de lâcher prise. Ne sois pas trop dure envers toi-même.
Parle s'en avec ton addicto et pourquoi ne pas envisager un TSO en guise d'AD ?

Bref, cela ne remet pas du tout en cause tout le travail que tu as accompli depuis mai, car tu en as conscience, tu es suivie et tu sais plus ou moins ce que tu aimerais. Plus de codé au quotidien mais pourquoi pas des extras le WE ? Si cela te permet de te soulager un tant soit peu.
Évite en revanche les prises compulsives journalière car ta tolérance a baissé.
Bisou Miaou

@Cynder : ta réponse à Miaou est tellement juste, humaine, belle et touchante. Bref tes comparaisons ont fait mouche et on sent le vécu. MERCI.
Tatami

Vous pouvez échapper à la critique, en ne disant rien, en ne faisant rien, en ÉTANT RIEN !

Hors ligne

 

MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 14 Nov 2016
601 messages
Merci pour vos messages !!!

Oui j'ai probablement été trop vite.

Et ma psy aussi.

Je ne suis pas suivie par un addicto.  Vu que quand j'ai déménagé et changé de csapa je ne consommais plus.

Je ne veux pas de TSO. Parce que je vis dans une région où tout se sait. J'ai un boulot à forte responsabilité,  je ne peux pas me permettre d'avoir une image de "tox".
Je fais d'ailleurs 2h de route pour aller dans mon csapa et je suis suivie de façon anonyme.

Les virages trop serrés c'est exactement ça. J'ai probablement voulu aller trop vite.

Je pensais sincèrement que le changement de vie me permettrait de mettre tout ça derrière moi.

Le problème c'est j'ai trouvé une molécule qui me donne vraiment un bien être énorme.

Mon cerveau est tombé en amour des opiacés. Ça s est fait extrêmement rapidement. Mon métabolisme rapide à la codeine n'a pas aidé.

C'est dur de s'avouer toxicomane. Mais c'est encore plus dur de le vivre. Surtout que je n'ai pas le profil et mon mari n'a pas signé pour ça.

Bises Mia

Hors ligne

 

perceval homme
Nouveau Psycho
Inscrit le 13 Jul 2017
138 messages
Je ne sais pas si il y a vraiment un profil... Je suis loin d'être dans l'image que les gens peuvent avoir du "junkie", ça ne m'a pas empêché de faire n'importe quoi lors du passage sous ordonnance de la codéine (remplacer les conso de codéine par de l'héroïne, en l’occurrence).

Pour le TSO, si tu peux faire 2h de route pour te rendre dans ton CSAPA, tu pourras aussi les faire pour aller chercher ordonnance et médicaments loin de chez toi une fois par mois, non ?
C'est contraignant et c'est chiant comme solution mais si c'est une voie qui te permet de retrouver la stabilité que tu avais avec la codéine, les emmerdes en moins, ça mérite de ne pas être écarté de tes pistes de réflexion.

Je ne dis pas pour autant que c'est LA solution ou que c'est celle qu'il te faut. Tu peux aussi traverser des moments difficiles, craquer et reprendre finalement la main sur ton sevrage. Là dessus, il n'y a que toi qui peut savoir où tu en es et ce que tu peux / veux.

Bon courage !

L'usage illicite de l'une des substances ou plantes classées comme stupéfiants est puni d'un an d'emprisonnement et de 3750 euros d'amende.

Hors ligne

 

avatar
PsyAgentDouble femme
Agent sous couverture
Inscrit le 21 Jul 2017
473 messages
Miaou, pour l'image de tox, tu vas prendre ton TSO à la pharmacie la plus prés de ton CSAPA, ils auront forcément l'habitude, voir tu leur pose la question.

Moi le medecin généraliste qui avait entamé mon sevrage m'a indiqué une pharmacie "bienveillante" avec qui il  travaillait pour le sevrage de cocaine de ses patients...je vais les voir pour mes ordos signées "medecin psychiatre, adictologue " et ça se passe super bien, je ne suis pas déçue.
Sinon au pire voit si tu peux passer par une pharmacie en ligne.
mais parles en à ton addicto.

Dans mon Csapa, y a une salle de consultation qui est juxtaposée à la mienne et la dernière fois j'ai entendu un bout de conversation. Un mec expliquait la même chose à son addicto qui lui a fait une ordo discrète si j'ai bien compris.

Quand à ton mari, SI il a signé pour ça, pour le meilleur et pour le PIRE bordel! me dit pas qu'il chie des orchidées sauvages le mec, il doit bien y avoir un paquet de truc pour lequel t'as pas signé!

In a world full of hollow, i'm jumping jumping

Hors ligne

 

MIAOU44 femme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 14 Nov 2016
601 messages
Bonjour

Un TSO ne me semble pas indiqué dans mon cas.
Je consomme peu. Métabolisme rapide avec la codeine.
Un TSO pour moins 100 mg de codeine / jour, c'est écraser une fourmi au mortier. Enfin c'est mon avis.

mon addiction est à  99% psychologique.  Le 1% restant je gère facilement car même en chien je dors (merci hypersomnie ).

Le problème c'est que mon mari est franchement cool et agréable. Il cherche du boulot. Du coup il s'occupe de tout à la maison.
Il cale son emploi du temps sur le mien. Il essaye de tout faire pour que je me sente bien.
Et malgré tout j'ai besoin de reprendre de la codeine.

Ce matin je crois que mon adjoint m'a grillé.  Il se doute qu'il y a quelque chose.

Je vais m'autoriser la codeine jusqu'à mercredi jour de ma consultation psy.

En fait je me trouve des excuses pour consommer. Mais tant pis.

Bises Mia

Hors ligne

 

avatar
PsyAgentDouble femme
Agent sous couverture
Inscrit le 21 Jul 2017
473 messages
ba tu vois, si t'as besoin de continuer la codéine, continue!

Perso je me suis laissée guider par l'addicto... demande son avis au tien, tu verras bien.

In a world full of hollow, i'm jumping jumping

Hors ligne

 


Remonter


Pour répondre à cette discussion, vous devez vous inscrire

Sujets similaires dans les forums, psychowiki et QuizzZ

logo Psychoactif
[ Forum ] Reprendre de la codeine plus de deux mois après?dose?risques?
par guérir, dernier post 11 septembre 2017 par thecheshirecat
  7
logo Psychoactif
[ Forum ] Usage oral/Gobber - Puis-je reprendre de la codéine sans vomir ?
par ECTALYS, dernier post 08 mai 2018 par Katime
  11
logo Psychoactif
[ Forum ] Usage oral/Gobber - Reprendre codeine après suboxone Accoutumance
par Trudbalski, dernier post 11 septembre 2017 par Trudbalski
  3
logo Psychoactif   [ PsychoWIKI ] Codéine, effets, risques, témoignages
logo Psychoactif   [ PsychoWIKI ] Usage, abus et addiction à la codéine et au tramadol
logo Psychoactif   [ QuizzZ ] Risquez vous une overdose d'opiacé ? (heroine, morphine, methadone)
20167 personnes ont déja passé ce quizzz !
logo Psychoactif   [ QuizzZ ] Testez vos connaissances sur les overdoses d'opiacés
20311 personnes ont déja passé ce quizzz !

Pied de page des forums