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Dernière modification par el_addicto (11 août 2017 à 06:29)
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El-addicto a écrit
on te file un Interupteur Selectif de la Recapture de la Serotonine.
Ces medocs sont une blague ! Leurs scores en double aveugle (vs placebo) sont a peine supérieurs
tes sources stp? Car sur la dernière analyse d'étude que j'ai lu l'effet serai peut présent sur les dépressions légère a moyenne mais efficace sur les dépression sévère (dommage que j'ai pas gardé le lien elle était sympas comme étude notamment les notes sur les effet placebo et leurs évaluation)
Dernière choses tu peux dire que tu les trouve pour toi inefficace mais pas généralisé et dire que c'est une blague, je trouve cela très insultant pour les personnes qui suivent leurs traitement (contrairement à toi) et le trouve efficace.
;p sphax
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Drug–placebo differences in antidepressant efficacy increase as a function of baseline severity, but are relatively small even for severely depressed patients. The relationship between initial severity and antidepressant efficacy is attributable to decreased responsiveness to placebo among very severely depressed patients, rather than to increased responsiveness to medication.
Donc, c'est plus efficace sur les depressions severes mais pas tres efficace quand meme.
Desole pour le lien en anglais mais on trouve pas grand chose en francais.
Dernière choses tu peux dire que tu les trouve pour toi inefficace mais pas généralisé et dire que c'est une blague, je trouve cela très insultant pour les personnes qui suivent leurs traitement (contrairement à toi) et le trouve efficace.
Le coup de la blague et de l'efficacitre ne concernait pas l'inneficacite sur moi mais concernait les faibles differences en double aveugle.
Ensuite, j'en ai bouffe des ISRS (et d'autres commes les ISRSN), en respectant scrupuleusement la prescription, pendant presque 8 ans, meme a fort dosage, et au mieux ca m'a calme...tellement que je devenais un zombie, au pire ca ne changeait rien dans ma tete, mais pas mal d'effets secondaires (vomissements, libido a 0 et impossible de fonctionner au niveau sexuel etc ...). Le sevrage brutal est deconseille, le sevrage progressif peut etre douloureux (ca m'est arrive). Toujours est il que je ne prends plus mon traitement pour ces raisons. Pour moi le benefice/inconvenients n'est pas en faveur du medoc, loin de la,
Alors, certes tu as raison, n'ayant pas la science infuse, je ne devrais parler qu'en mon nom cepdenant, j'ai lu un nombre incroyable de temoignages allant dans ce sens, et je connais pas mal de gens qui sont ou on ete depressifs (meme severes) et chez qui ca n'a jamais fonctionne. Et puis surtout, je ne connais personne sur qui ca a fonctionne !
Donc on se retrouve devant un medicament :
- qui a de gros effets secondaires
- mon psychiatre m'a avoue que personne ne comprend pourquoi ni comment ca marche (veridique)
- qui est chiant a sevrer
- ET qui n'a pas d'effet avere systematiquement (le cas de la depression severe est a voir de plus pres quand meme)
Donc desole, mais oui, moi j'appelle ca une blague ...
Dernière modification par el_addicto (12 août 2017 à 15:08)
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came5HT a écrit
Ma question peut paraître bizarre mais je me demandais comment on pouvait savoir où notre physiologie/psychologie bref notre cerveau etc en est ?
On peut par exemple tester son audition ou notre cholestérol mais comment savoir si les conséquences de nos consommations de drogues et en particulier de MD ne vont pas devenir irréversibles ? Si nos neurotransmetteurs arrivent à se remettre ?
Après je sais pas un scanner ou un truc ça peut pas détecter si on a flingué nos connexions neuronales ?! On peut pas calculer notre taux de séroto ? ^^
Des chercheurs en neurosciences veulent pas travailler là dessus ne serait ce que par rapport à la dépression/SSPT ou autre ? :)
Je me doutais bien qu'un jour je verrais cette question sur le forum
C'est une bonne question dans l'absolu mais comment parvenir à répondre ?
En effet on peux mesurer pas mal de choses, mais comment mesurer un taux de neurotransmetteurs, en perpétuel mouvement, qui est influencé par de multiples facteurs et qui est une réaction neuro chimique impalpable. Pour donner une image, je pense que c'est comme si on voulait compter le nombre d'étoiles dans le ciel.
http://www.creer-son-bien-etre.org/eval … eurs-tests
https://www.sciencesetavenir.fr/espace/ … iles_34749
INB
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TacOTac a écrit
Il me semble qu'il est conseiller d'espacer ses prises de 2 semaines au moins.
De 6 à 8 semaines en fait
Sinon pour continuer de répondre aux signes annonciateurs d'un manque de sérotonine
La dépression arrive bien souvent quand il est trop tard
Il y a, a mon sens, et d'après mon vécu (6 ans de conso, stoppé en 2000), d'autres signes au préalable (qui peuvent aussi dépendre du caractère d'une personne) :
Le ressentiment d'une lassitude, d'une fadeur / ne plus prendre de plaisir avec des choses simples
Ne plus s'émerveiller (hors contexte de consommation)
Ne plus ressentir de bien être, d'apaisement, ne plus pouvoir se décontracter, se détendre
Ne plus réussir a se concentrer et chercher ses mots, ses idées, ses arguments
Ne plus être pleinement dans le présent (se sentir ailleurs quand on nous parle)
Avoir des fixettes, des obsessions, des blocages, sur la musique par exemple
S'enfermer dans un contexte de sortie : toujours en teuf, sans s'imaginer ne pas consommer, vouloir retrouver cet état d'explosion de sérotonine, ne plus sourire, rire sans substance
La sérotonine finalement, régule bcp de choses en nous et en forçant notre cerveau à en libérer en masse chimiquement, en consommant, on habitue notre cerveau a croire qu'une substance va la produire. Et de cette manière on ne va plus faire l'effort d'en produire soi même naturellement. C'est à ce moment là que la dépendance se met en place, quand on remet son pouvoir sur la substance.
INB
Dernière modification par Intervenant Nuit Blanche (14 août 2017 à 21:14)
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Pti-joueur42 a écrit
Est-ce qu'il y a un éventuel rapport entre la quantité de MDMA consommer et le taux de sérotonine utilisé
Oui bien sur qu'il y a un rapport, tu ne libèrera pas autant de sérotonine avec une demi pilule qu'avec une entière... plus tu montes dans le dosage, plus tu en libère mais il y a un seuil... qui n'est pas a un dosage précis (c'est pas une science exacte, c'est de la neuro chimie) mais une fois que c'est l'explosion de sérotonine dans le cerveau, ça bouillonne et ensuite si tu redrope ça épuise le stock (et chacun a un taux, un seuil différent), donc plus tu en prends moins tu ressens les effets
C'est un peu comme si tu mettais de l'eau a chauffer, au début ça bouillonne, mais si tu laisse l'eau sur le feu, l'eau s'évapore et tu n'as plus rien dans ta casserole
Et plus tu consommes, plus tu libère de la sérotonine et plus la descente est difficile
Je ne sais pas si ça répond a ta question
INB
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Pti-joueur42 a écrit
Donc rien de vraiment mathématique, il n'y a pas de truc genre " x quantité de MDMA = Y quantité de sérotonine évaporé" ^^
Pour cela il faudrait pouvoir quantifier la sérotonine et que l'on soit tous pareil
Un lien qui pourra peut être t'intéresser :
https://blog.alexgirard.com/voici-votre … -vraiment/
INB
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