Salut
alors je suis allé chez le médecin hier soir qui m'a proposé deux solutions, soit passer chez lui tous les jours pour suivre un traitement adapté soit une hospitalisation de deux semaines environ mais je vais avoir du mal à justifier une absence de 2 semaines pour aller me faire sevrer auprès de mon entourage (dont beaucoup ne sont pas au courant que je l'ai, on me voit juste soit comme un bon vivant, soit comme un mec bizarre, selon que ce soit des collègues, la famille ou des amis)
suite à ça je lui ai demandé si je devais arrêter de boire en rentrant chez moi (ma dernière consommation d'
alcool datait de 5/6 heures avant le rendez vous histoire de ne pas débarquer bourré à la visite). Visiblement j'étais nerveux, je tremblais et j'avais des signes de manque, du coup on m'a prescrit des
benzodiazépines pour la nuit de peur que je fasse une crise d'épilepsie et j'ai un second rendez vous ce soir. J'ai pas trop senti d'effet, juste que j'étais moins agité après ça, là ça va bien, j'ai pas bu depuis hier à peu près à la même heure. Le médecin avait l'air assez inquiet que je fasse une crise d'épilepsie ou pire pendant la nuit, du coup j'ai essayé de trouver des renseignements sur le manque d'
alcool sur internet, je sais pas ce que ça vaut, certains disent que ça dure 12/24h, d'autres que ça ne disparaît vraiment qu'après 1 semaine, je redemanderai ça ce soir (si vous avez des infos/expériences je suis preneur)
j'étais vraiment crevé hier voilà pourquoi j'ai pas pris le temps de vous répondre
je vous tiens au courant pour ce soir vu qu'hier c'était plus une visite "pour faire le point", on n'a pas encore dit grand chose sur le traitement à suivre. Ce qui m'a fait peur au niveau du traitement c'est quand on m'a dit que c'était apparemment des médicaments dangereux bourrés d'effets secondaires qui nécessitaient un suivi de la fréquence respiratoire, pouvaient susciter une dépendance pour certains.
Sinon oui Mélatonine, c'est ce qui rend l'addiction encore plus vicieuse, puisque personne n'est jamais là pour te prévenir d'à quel point ça peut devenir problématique. Du coup ça s'installe petit à petit sans que tu t'en rendes compte. Il y a deux ans j'étais un gros fumeur, j'ai tout fait pour arrêter, pendant que ma consommation d'
alcool augmentait, augmentait, augmentait. Pour le
cannabis j'ai justement discuté il y a quelques jours avec un bon copain qui fumait 2
joints par soir et qui ne voyait absolument pas de différence de gravité entre sa consommation et la mienne.
J'attends ton MP alors Cuzco !
Yoshinabis/Clean/La lie, merci pour vos conseils et encouragements
A+