1
Hors ligne
Hors ligne
Des chercheurs de l’université de Birmingham se sont penchés sur cette hormone et sont arrivés à la conclusion qu’elle aurait des effets similaires à ceux de l’alcool. On sait qu’elle intervient dans le lien amoureux, qu’elle favorise les comportements sociaux comme l'altruisme, la générosité et l'empathie.
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par Morning Glory (07 avril 2018 à 14:08)
Hors ligne
Hors ligne
Mouais, cette théorie des trois ans, je pense a été "détournée". (dont le titre de beigbeider, réel raccourci qui a bien marqué les esprits).
Peut-être, je ne sais pas^^ En tout cas je n'ai pas d'autre explication à ce glissement comme tu dis, de la passion vers le reste.
Pour ce qui s'est passé entre vous ça ressemble bien à de l'addiction... je ne suis pas médecin hein, mais effectivement une conso quelle qu'elle soit qui prend le pas sur le reste, ça y fait penser. Je suis désolée pour vous que ça se soit passé comme ça en tout cas...
Mais bon, je ne me suis pas encore retrouvée face à un "produit" :roll: (mode caustique/ironie).
Tout ça pour me dire que je pense à toutes ces composantes de la vie qui nous font kiffer, et de l'influence que ça peut avoir; les parallèles possibles sur le mode de fonctionnement, sans pour autant dire que ça peut remplacer, loin de là (on retombe dans le : une personnalité, un environnement, un produit). Mais là je m'éloigne un peu.
Désolée je dois être un peu à l'ouest, mais j'ai pas compris ce passage^^"
En essayant d'être objective, l'amour me semble quand même un peu moins risqué et un peu plus durable que les drogues. C'est vrai qu'une rupture ou des sentiments non réciproques peuvent faire mal, voir parfois poussent aux conneries mais ça reste un mécanisme qu'on est faits pour ressentir naturellement, par nous-mêmes. Tandis que les substances elles vont plutôt "hacker" le cerveau et l'esprit... enfin je crois qu'on peut le voir comme ça?
Hors ligne
Morning Glory a écrit
Mais bon, je ne me suis pas encore retrouvée face à un "produit" :roll: (mode caustique/ironie).
Tout ça pour me dire que je pense à toutes ces composantes de la vie qui nous font kiffer, et de l'influence que ça peut avoir; les parallèles possibles sur le mode de fonctionnement, sans pour autant dire que ça peut remplacer, loin de là (on retombe dans le : une personnalité, un environnement, un produit). Mais là je m'éloigne un peu.Désolée je dois être un peu à l'ouest, mais j'ai pas compris ce passage^^"
J'avoue en relisant qu'il est un peu tordu. Je voulais signifier que parfois je me demande si certains fonctionnements du cerveau devant certaines situations ne sont pas juste des "atténuations" les uns par rapport aux autres. Et là, par exemple, l'amour passionnel fonctionnant à peu près comme des produits, mais avec des variations ou intensités. Et le côté "socialement acceptable et accepté" doit aussi y jouer un rôle.
Je sais que j'ai poussé cet aspect un peu loin, notamment dans ma présentation je crois, ou en tout cas un de mes premiers posts. Mais ce côté "manque de qlqch de lui/ de nous" qui me prenait (prend encore, mais très rarement) à tout moment me fait penser aux descriptions du "craving". L'autre jour, il a suffit que je voies la calandre d'une voiture de la même marque que la sienne ( très courante) pour que ça me remonte, alors même que j'étais à cent lieues (dans tous les sens du terme) de tout ce qui a fait notre histoire. En fait, cette situation, ça me parait normale aussi, ce jaillissement d'émotion, cette notion de vide et de perte, ça fait partie de l'être humain, et je l'ai déjà vécu au décès du père de mes enfants par exemple.
Morning Glory a écrit
En essayant d'être objective, l'amour me semble quand même un peu moins risqué et un peu plus durable que les drogues. C'est vrai qu'une rupture ou des sentiments non réciproques peuvent faire mal, voir parfois poussent aux conneries mais ça reste un mécanisme qu'on est faits pour ressentir naturellement, par nous-mêmes. Tandis que les substances elles vont plutôt "hacker" le cerveau et l'esprit... enfin je crois qu'on peut le voir comme ça?
Mais bien sûr, que c'est moins risqué globalement que les substances, je parle d'un mécanisme de base, pas de ses effets "indésirables", d'autant que là un certain nombre de choses divergent (le produit et ses effets directs sur la chimie du cerveau, la tolérance, le fait que ça soit licite, accepté, compris ou pas etc... ) loin de moi de vouloir comparer la nocivité.
Et d'autant aussi par ailleurs et pour revenir sur "le manque", que la personne que tu ne peux plus voir, ou qui ne veut plus te voir, par définition, tu ne pourras pas aller en reprendre, à l'inverse d'une substance où, à moins de devenir amnésique sur les façons de s'en procurer, on peut y revenir, avec plus ou moins de facilités, cela s'entend.
Hors ligne
Dernière modification par Snap2 (08 avril 2018 à 00:21)
Hors ligne
Hors ligne
1
0 | ||
[ Forum ] Un jour pas comme les autres
|
1 | |
[ Forum ] Opinions - Toxicophobie mon amour
|
41 |