Salut Ofdrykkja
On s'est bien fait avoir !
Tu nous a roulé dans la farine ,petit malotru. Fifrelin. Vil mufle !
SOMMAIREI - RAPPEL - LISTE NON EXHAUSTIVE- LES TRAITEMENTS QUI REDUISENT LES EFFETS :II - DEMI-VIE / HALF LIFE3III - REPONSE AU MESSAGE PRÉCÉDENTIV - SOURCES /SAUCEV - PROBLÉMATIQUE : QU'EST CE QUE JE CONSOMME POUR BLOQUER UN TRIP ? VI - TLDR - RÉSUMÉ POUR Ofdrykkja - principes de bases RDR pour consommer ton LSD de manière safeVII - BONUS : SET AND SETTING
Tu a omis tes problèmes psy, de tes traitements...
[b]Oui , la plupart des traitements psychiatriques réduisent / suppriment les effets des psychédéliques (certains produits ont des effets psychédéliques comme la
mdma qui peut provoquer des
HPPD ou le
cannabis avec des sativa (pas indica) qui peuvent entrainer des sacrés trips) !
C'est l'un des points positifs de ces traitements pour les soignants dans le domaine psychiatrique car cela évite que les patients se prennent un trip, en plein milieu d'une cure dans une unité fermé ou ouverte et qu'ils ont plein d'hallus/parano etc.. Ils sont Anti - "toxiques " , les patients peuvent s'enfile n'importe quoi et on s'en fiche ; sauf
alcool et autres produits non psychédéliques.
Déjà que sans produits , c'est parfois très difficiles à gérer et leurs "trips" commencent sans leur demander un avis, sans consentement et ils sont parfois pas cool du genre avoir des voix qui te dise des choses dérangeantes, des hallus sans psychédélique, de la paranoïa, empathie ou humeur complètement biaisé... Alors si ils prennent du
LSD je te laisse imaginer les dégâts...
Non il n'y a pas que les antipsychotiques qui suppriment les effets :)
I - RAPPEL - LISTE NON EXHAUSTIVE - LES TRAITEMENTS QUI REDUISENT LES EFFETS :0) Les IMAO's ou MAOI ,que ce soit les traitements , les plantes , les RC comme l'AMT...
[b]1)Les antipsychotiques (tous types, toutes générations) ou "neuroleptiques" comme l'Halopéridol (HALDOL® , AP typique) ou le
Rispéridone (RISPERDAL®, AP Atypique)
2)Les ISRS ou inhibiteurs sélectifs de la recapture de la
sérotonine (ISRS ; SSRI en anglais) comme la
Sertraline (ZOLOFT®)
3)Les IRSNa comme dans ton cas ou inhibiteurs de la recapture de la
sérotonine et de la noradrénaline comme la eenlafaxine (EFFEXOR®)
4) Le benzodiazépines comme le clonazéepam (RIVOTRIL®)
5) Certains antihistaminiques comme la prométhazine* (PHENERGAN® * a vérifier, effets subjectifs...)
6) Autres : certains Hypnotiques ou " somnifères "Z Drugs comme le
Zolpidem (STILNOX®),
certains Barbituriques, les OH comme
l'alcool ou le gamma oh (GHB) ont un effet sédatif calmant et le
GHB a en plus un effet euphorique et sédatif +++ donc cette molécule casse les
bad trips.
Le CBD ou
cannabidiol du
cannabis qui a un effet antipsychotique solide
Inversement le THC est bien psychédélique voir psychotique et les phytocannabinoides des variétés sativa comme les thaïlandaises, Zamal, Méxicaine vont te propulser dans le cosmos psychédéliques
7) Liste non exhaustiveTous le cercle supérieur "antipsychotics"
tu consommes quoi ? :) des benzo quotidiennement? Tu as d'autres traitement (ttt) que la venlaflaxine (EFFEXOR) ? même pas un petit somnifère genre IMOVANE ...
Zolpidem...
alcool?
Car la durée d'élimination peut être longue... Tu as dis que tu consommais du ...Clonazolam? peux tu vérifier le nom?
tu voulais dire du Clonazépam ? Tu ne connais pas le nom de tes traitements, peux tu nous en donner la liste? ce sera +simple.
La durée de vie du clonazépam est de " 18-50 h " d'après benzo.org.uk .. Si t'es une petite mamie nourrie sous perf/ seringues.. avec les reins, foie, estomac qui fonctionne o motoé... c'est pô pareil qu'un jeune homme dans la fleure de l'âge..
Exemple si tu prends un benzo à 24h demi vie :
II - Demi vieJ0 consommation de 2mg à midi : 100%
J1: 50% à midi soit 1mg (on va simplifier)
J2 : 25% à midi 0.5mg
J3 : 12,5% 0.25
J4 : 6.25% 0.125
J5 : 3.125% 0.5125 <- on considère que tu n'en as plus mais si le produit agit encore sur tes récepteurs, un demi milligramme c'est déjà pas mal, ça réduira encore les effets c'est un produit fort.
etc.
Attention, ne pas confondre la demi vie avec un éventuel effet ressenti, cela n'a rien avoir, à J1 le rivotril tu ne ressentiras plus les effets si tu en avais consommé que une fois. Tu ne ressentiras pas 50% des effets et à J2 un quart des effets ressentis, non tu seras à 0% des effets ressentis comme à J1.
En effet la demi vie c'est ça d'après wikipedia :
a demi-vie est le temps mis par une substance (molécule, médicament ou autre) pour perdre la moitié de
son activité pharmacologique ou physiologique. Donc cela va réduire directement les effets du
LSD même si tu ne ressent plus le produit. Et la demi vie ne touche pas que les Benzo mais aussi les médicaments comme les antidépresseurs, antipsychotiques etc.d
III réponse au message, RDR.Ofdrykkja a écrit
Oui je pense aussi que mon produit ne devait pas être très très frais, étant donné en plus que c'est mes premiers trips au lsd et c'est vrai que je m'attendais à quelque chose de vraiment beaucoup plus violent
ça peut être violent mais c'est pas une IV de morphie , une boîte de benzo avec alcool, une plâtrée de GHB, un DAB d'huile de cannabis (+80% thc) etc
tu vois tout qui s'anime des petites hallus ou des grosses, tu es différent mentalement, tu penses différemment, les couleurs changent etc..
-ça peut être violent si on supporte pas le coté cool des psychédéliques, quand ça devient dark, sérieux , glauque etc.
-ça peut être violent si on supporte pas les voyages introspectifs...
Ceci dit quelqu'un m'a dit sur un autre topic que le venlafaxine pouvait réduire les effets du lsd donc je pense que ça doit aussi venir de là, je suis à 75mg par jour
Mdr t'es trop drôle... pour toi c'est plus logique de penser à un produit pourris alors que les buvards de LSD RC sont quasiment tous dosés pareil que tes médocs???....Pour toi ça vient du produit et pas des médicament que tu t'enfiles?
c'est genre le truc qui peut le plus influencer les trips avec tes antécédents psychiatriques donc OUI le venlafaxine agit énormement sur le LSD et réduit ses effets............
(pourquoi tu prends ces médicaments?... tu comprends que tu as beaucoup plus ++++++de risques que les personnes sans problèmes psy, que tu peux vraiment avoir des gros soucis avec des produits qui sont déconseillés aux patients psy...bref tu es une personne à risque... Je dis pas que tu vas avoir des problèmes mais que potentiellement tu as un risque plus élevé que la moyenne)
Bref niveau RDR on est très loin du compte car tu nous files les info au compte goutte... si un jour tu vas dans un hopital il faudra tout dire au début hein pas dire après 2 semaines que tu bois un litre d’ammoniaque avec tes céréales chaque matin.
si tu nous donnes pas les infos on ne pourra te donner que des réponses erronées. Tu as juste parlé du produit, on ta répondu comme tel. Maintenant on apprend que tu es traité avec des médicaments psy EN PLUS des benzodiazépins
donc t'es sous effexor aussi? la venlafaxine oui... ça réduit les effets
extrait :
I've been taking Effexor extended release (Venlafaxine) for almost a year now for treatment of depression, currently 112.5mg/day. Prior to being on effexor, I had tripped many times with LSD and with mushrooms (psilocybes). Since starting on effexor, I have found that the effects of shrooms, and especially acid, are greatly diminished in comparison to similar doses when not on effexor.
source:
https://www.erowid.org/experiences/exp.php?ID=35488
en tout cas tu m'as bien fait rire.... c'est drôle que tu n'en avais pas parlé alors que tu en consommes chaque jour
Si tu as éliminé les benzodiazépines et la venlafaxine (5 demies vies , soit j+5 sans traitements psychiatriques) tu vas être sensibles à 100%¨avec ton lsd et pas 20% comme actuellement... (je met un % au pif) donc il faudra diviser par 3 à 5 tes dosages... N'oublie pas que le LSD peut être redroper 2H après , c'est pratique.. on peut avoir les effets 1 à 2/10 ajouter une dose +ou- fortes pour avoir les effets 2 à 6/10
Sinon c'est vrai qu'après tout se passe dans la tête, j'ai toujours appréhender le LSD étant dépressif depuis quelques années, j'avais peur de faire un énorme badtrip ou de flinguer ma santé mentale (si elle ne l'est pas déjà ) mais finalement ça s'est bien passé, juste faut plus jamais que je touche à un bédo parce que LSD ou non ça me fait partir en crise d'angoisses aujourd'hui
Déjà sans bédo tu joues avec le feu mais avec ... C'est de la roulette russe. Le cannabis est généralement pauvre en CBD donc il fait parano et angoisses ++ et sans CBD on a pas les effets antipsychotiques qui réduisent les effets du LSD/THC
J'avais aussi raconté cette histoire là à un mec de mon CAARUD qui m'avait dit que j'étais peut-être moins sensible au LSD mais je pense pas, j'ai sûrement du tomber sur des buvards qui étaient éventés couplés au venlafaxine ce qui fait que le trip a pas été extrêmement fort :)
Non non, tes sensible exactement...Comme tous le monde.
Je t'ai déjà dis que les personnes insensibles au LSD ça n'existe pas;
Et que si tu mets 100 personnes qui n'ont pas de traitement ni de problème psychiatrique sous 600mcg, ils auront tous des hallus et seront perché.. après certains seront plus fragiles mais aucun des 100 n'aura 0 hallus
d'autres sources pour le mélange venlafaxine + LSD et la réduction des effets....
IV SOURCES /SAUCE
VENLAFAXINE® ou les IRSNa's (EFFEXOR®) & le LSD
https://www.reddit.com/r/LSD/comments/1lc9dw/lsd_and_snri_venlafaxineeffexor_and_my_first_trip/
https://drugs-forum.com/threads/effexor … sd.127325/
https://drugs-forum.com/threads/an-upco … ng.199054/
https://www.shroomery.org/forums/showfl … r/19480424
Antipsychotique :
https://www.reddit.com/r/LSD/comments/3jff08/anyone_ever_stopped_a_trip_with_haloperidol/
ANTIDEPRESSEURS (dont SSRI inhibiteur de la sérotonine qui agit directement en lien avec le lsd)
https://drugs-forum.com/threads/effect-of-antidepressants-including-ssris-on-lsd.3602/
ANTIHISTAMINIQUE
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30911
"D-LSD and D-2-bromo-LSD (BrLSD) were shown to be competitive antagonists of histamine. L-LSD, mescaline and psilocin were inactive."
BENZOs
https://www.reddit.com/r/Drugs/comments … _with_lsd/
Attention si tu prends les effets 2J après la dernière dose de venlafaxine, tu peux te taper un gros trip , vu que le produit atteint sa première demi vie vers t+36
De plus , le manque va pointé son nez, tu seras peut être déprimé etc. Donc risque +++
V - PROBLÉMATIQUE : QU'EST CE QUE JE CONSOMME POUR BLOQUER UN TRIP ?
Q: Dit moi grougrou , d'après tes expériences , quel a été le médicament le plus efficace pour bloquer un trip de lsd en cours ?
Réponse
R: D'après mes essais c'est le rispéridone (RISPERDAL®) car :
1- Il agit par voie orale , sous toutes les formes : on peut avaler un comprimé, on peut en boire dans une solution buvable, on peut en avoir qui fond sous la langue (Orodispersible*) et est absorbé par les petites muqueses de la langue très vite , ou les autes muqueuses si on avale/en a marre.
*"Un comprimé orodispersible se place sur la langue et le principe actif est absorbé au niveau de la muqueuse gastro-intestinale ; ce type de comprimé convient aux patients souffrant de problème de déglutition. Un comprimé sublingual se place sous la langue pour que le principe actif soit absorbé par la muqueuse sublinguale ; cette forme galénique permet d’éviter le premier passage hépatique ; elle commence à agir plus rapidement qu’une formulation traditionnelle. Source : le bulletin d’information du CAPP, 09.2005 "
alors qu'une piqûre peut être mal vécu (ex: Haldol® , même dans les fesses ça peut être invasif, pour l'intraveineuse c'est encore pire, si la personne est agressive et bouge beaucoup...). Il peut être sous forme de comprimé mais aussi dilué dans un liquide
2) Il agit rapidement
3) Il est efficace , plus que les autres types de médicaments (benzodiazépines, antidépresseurs etc). Vu que c'est un antagoniste des récepteurs 5-HT2A (séroto) et dopaminergiques. Enfin la substance se lie également aux récepteurs alpha1-adrénergiques, aux récepteurs histaminergiques H1 et, à un moindre degré, aux récepteurs alpha2-adrénergiques. Bref, le spectre est large.
4) Il est facile à obtenir
Par contre en négatif : c'est un antipsychotique donc il génère pas mal d'effet secondaire, ce type de traitement doit être encadré par un médecin car il y a des risques rares et mortels, même si on ne compte l'utiliser qu'une fois. Parmis les effets secondaires , les effets extrapyramidaux sont parfois impressionant et célbres. Bien que difficile à gérer pour le patient, cette molécule en génère pas mal donc attention
L'objectif du neuroleptique VS LSD c'est d'agir sur les récepteurs séroto H-5T2A Spoiler Antagonistes de la sérotonineL’inhibition de certains effets de la sérotonine a des applications thérapeutiques.Antagonistes 5 HT2 : antipsychotiquesLes antagonistes des récepteurs 5-HT2A et 5HT2C qui traversent la barrière hémato-encéphalique ont des propriétés antipsychotiques. Beaucoup de données récentes suggèrent l’existence chez les psychotiques de dysfonctionnements impliquant la sérotonine. Des neuroleptiques à impact sérotoninergique de type antagoniste 5-HT2A améliorent des symptômes productifs et déficitaires de la psychose répondant mal aux neuroleptiques classiques, c’est-à-dire antagonistes des récepteurs dopaminergiques D2.Les médicaments que l’on appelle neuroleptiques ou antipsychotiques atypiques ont un effet antagoniste 5HT2A, en plus de leur effet inhibiteur des récepteurs dopaminergiques. Voir Inhibiteurs dopaminergiques.La clozapine est le prototype de cette classe d’antipsychotiques. Outre son effet antagoniste 5-HT2, la clozapine a plusieurs effets : antidopaminergique, antimuscarinique, antihistaminique et alpha-bloquant. Son utilisation est limitée parce qu’elle entraîne chez près de 1% des malades traités une agranulocytose. Elle peut de plus provoquer des myocardites.
De plus si la molécule a sur vous des effets anxiolytiques et sédatifs , cela réduira l'impact du lsdd d'un point de vue émotionnelle en annihilant l'anxiété, en agissant sur l'approche psy et physiques.
En deuxième position , je dirais pour mon corps, que c'était l'injection d'halopéridol. Si j'ai les deux molécules dans mon sac et que je me tape un bad trip +++, je choisirais l'injection vu que ça me fait bien dormir etc.
VI - TLDR - RÉSUMÉ POUR Ofdrykkja - principes de bases RDR pour consommer ton LSD de manière safe
- Ton état mental joue à +80% sur ton trip, et le physique fait le reste et il n'y a pas une frontière entre les deuxSpoiler , c'est deux cotés de la même pièce je t'invite à lire la définition du "VII - SET AND SETTING*" dans la dernière partie du message si on met les problématique pharmacologiques decoté, les 20% restant sont tes antécedents psychiatrique. Si tu connais bien le produit, que tu es en terrain conquis il y a moins de risque. Par contre si tu es débutant, aucun traitement, psychotique paranoïaque à tendance skizophrène et que ta copine viens de te larguer la veille, le jour où toute ta famille vient de se prendre une météorite lors de la remise de ton diplôme de maître kébabier ah bah non en fait t'avais eu 9,75 malgré les ratrappages du coup tu n'as pas été pris, à cause du retard du à ton accident de voiture où ton meilleur ami a péri immolé par le joint que tu avais jetté sur son siège lors de ta poursuite avec la BAC et la soucoupe volante des atlantes.
- Revoir les dosages à la baisse si un jour tu reprend du LSD sans tes traitements habituels
- Revoir les dosages à la baisse quand tu arrives au "minimum" de la courbe de ton produit , l'instant T où tu allais prendre ton traitement , où la concentration dans ton plasma est minimum il faut faire attention à ne pas croiser le "maximum" pharmacologique de ton LSD
- Éviter le produit / Être très prudent si tu as des troubles mentauxSpoiler tel que dépression, psychose etc. Pour rappel, comme le cannabis, cela ne créé par de toutes pièces une maladie/syndrome mais ça peut les aggraver, les révéler si on était relativement peu malade, ces troubles apparaissant généralement à l'adolescence qui est aussi la période où l'on fait ses découvertes physiques, mentales mais aussi synaptiques et psychédéliques... certains parents/flics/médecins/citoyens croient encore que ces produits créé des maladies de toutes pièces... Alors que dans le pire des cas on peut avoir des symptômes comme la déréalisation, dépersonnalisation, HPPD etc.
- Pour rappel les usagers de psychoactifs, à travers les témoignages que j'ai lu et vécus :
une dose standard pour un débutant se situe entre 25 et 75 mcg donc si tu met tes buvards au congélateur dans un tube aspirine anti-humidité, que tu reprend du LSD sans traitements, sa,s troubles psy, sans tolérance...ben vise plutôt ces dosages là car à 500mcg tu vas te casser les dents avec des effets 10x plus forts que ce que tu as vécu avec ton joint Spoiler (ou µg) une dose normale pour un homme de 70kg environ est généralement entre 50 et 100mcg pour avoir plein des hallus etc.
Les doses de rues ne sont pas fiables, très exagérés , un buvard ne dépasse presque jamais 100mcg etse situe vers 70 max sinon les consommateurs qui prennent systématiquement 4-5 buvards d'entrée de jeu sans tolérance se casseraient les dents?
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VII *SET AND SETTING
Spoiler Set and setting
Set and setting traditionally describes the physical, mental, social and environmental context one brings into a psychedelic experience. Timothy Leary coined the term "set and setting".[1] One's "set" (a shortened form of "mindset") is the mental state a person brings to the experience, like thoughts, desires, feelings, general mood, and any preconceived notions or expectations about what they are about to experience. The current physical state of the body is also important to one's "set"; if one feels sick, injured, or generally unhealthy these sensations may be amplified during the trip.
Setting is the physical and social environment that the trip takes place in. It is able to guide or influence the course of the experience on both conscious and subconscious levels. Since psychedelics often enhance the emotions or mood one is currently feeling, stress, fear, or anxiety due to an unfamiliar, uncontrollable or otherwise disagreeable environment may result in an unpleasant or dangerous experience (bad trip) that may be inconsistent with the experiences one may have had in the past (even with the same dose of the same substance). Conversely, an environment that provides a sense of safety, familiarity, control, and comfort is more likely to result in a pleasant experience.
Set
Mental state
One of the most important factors to consider as a user (especially an inexperienced one) is one's current state of mind. Many substances exponentially enhance a person's current state of mind, emotions and general perception of the world which is a process that can go in either a positive and euphoric direction or a negative, terrifying, and anxiety-ridden direction.
It is because of this that many substances should not be used (especially by the inexperienced) during stressful or negative periods of life and users should be fully aware of the ways in which hallucinogens and other drugs, particularly psychedelics, have been known to consistently force a person to face and directly deal with their deepest personal problems and existential anxieties (including any past trauma) that is shared among all human beings.
It has often been recommended that those with severe pre-existing mental conditions (especially individuals with psychotic illnesses like schizophrenia) should not ingest these substances due to the way they strongly amplify one's current state of mind and emotions as well as exacerbate latent delusions and hallucinations.
Throughout the experience itself, the user should try to let go and allow the effects to take charge. One should be taking the metaphorical passenger seat and not try to control or dictate any part of the experience. It is extremely important that people simply relax and let things arise or disappear on their own accord (i.e. "going with the flow"). The user should understand that the act of tripping is often ineffable and incomprehensible, particularly at high dosages, meaning that a total acceptance of not being able to understand the full scope of what is happening should be present at all times.
It is recommended that one face the fact that their thought processes, although more insightful in places, will be inherently impaired along with motor control, conversational skills and general psychosocial functioning. The user should be sure to view these effects as normal and not feel self-conscious or insecure about them within the presence of others.
Physical state
The current condition that one's body is in is as important as one's mood when going into a trip. If one feels tired, sick or injured, these sensations will manifest as amplified versions of the same conditions during the trip which, when combined with the possible body load of the drug, may easily ruin one's mood and therefore the rest of the experience.
Tactile enhancement, which occurs on many psychedelics, can be described as an overall enhancement in the intensity of tactile input alongside of an increase in one's overall awareness of the nerve endings throughout one's body. This effect in particular can make physical injuries more painful while tripping, including any pre-existing back pain. Instead of tripping during a stressful, tired, sick or injured time in your life, one should wait for a more suitable opportunity in order to drastically lower one's chances of having a negative experience.
Setting
Choosing an appropriate and safe place to undergo the effects of a psychedelic is extremely important and plays a key factor in determining the outcome of a psychedelic experience. The best place for an inexperienced user is a familiar, safe, and indoor environment that is completely devoid of certain factors which can elicit negative thought patterns in the mind of the user.
Ensure that one is completely free of responsibilities during the experience and the day after as the simplest of tasks will become incredibly difficult and sometimes stressful under the influence of certain intoxicating substances. One should be relaxing and remaining comfortable, not performing chores or fulfilling their everyday obligations. This includes driving and operating heavy machinery for obvious reasons.
Avoid people who are irrelevant as they should not be present throughout the duration of the experience. This includes parents who are sleeping in the same house and close friends who are anything but extremely trustworthy and understanding. The mere presence of people (especially if they are sober) can be very anxiety-inducing for many individuals.
A sober, responsible, and trustworthy trip sitter is strongly recommended to be present if one is inexperienced with psychedelics or looking to push the boundaries of their experience.
Avoid potentially dangerous, loud, unfamiliar, cluttered, and/or public environments. The more cluttered and messy one's environment is the more disorganized and negative one's state of mind can become.
Avoid general bad vibes of any sort. This may seem obvious, but do not watch scary or unpleasant films and do not listen to unpleasant music. If bad vibes are encompassing the experience, they can easily be escaped by quickly changing one's environment. For example, if one is sitting down with the lights off, stand up and put the lights on, change the music, or move to a different area and any negative thought loops can immediately reset to base level.
Once a person has become familiar with their substance of choice and aware of their own limits, it becomes entirely down to them as an individual when it comes to whether or not they would be comfortable tripping in a more recreational environment such as out in nature, social gatherings, parties, raves, parks, museums, etc. The inexperienced, however, should always seek out a safe, comfortable room at home or a friend's house or apartment. This should be with privacy, relaxing music, comfortable seating/bedding, a vomit bucket (in case of nausea) and readily available food/water.
Bonne soirée, encore bienvenue sur psychoactif. Mon message est un peu long, si tu satures niveau info tu peux retenir que la partie qui contient ton pseudo.